News au 23 janvier 2020

en.news 22 janvier 2020

François : Le roi David était « beau » mais « se comportait bêtement » et « ne priait pas tous les jours »

François a décrit le roi David dans son discours du 21 janvier comme « un garçon agité » qui faisait paître le troupeau.

Cependant, François a également montré un intérêt accru pour le fait que, selon les Écritures, David était un beau jeune homme « faisant une splendide apparition ».

François continua en devinant que le Seigneur avait peut-être choisi un garçon normal, qui « se comportait peut-être parfois de façon stupide comme beaucoup de jeunes » et qui « n'était même pas un garçon pieux, qui priait tous les jours ».

[J'ai lu cette Sainte-Marthe : affreux ! Mais en fait, qui est bête et stupide ? L'Antéchrist qui se décrit lui-même, fréquentant l'école public, et videur de boîte et n'ayant aucune piété.]

en.news 22 janvier 2020

L'Église a deux cents ans de retard : Par rapport à quoi ?

Dans son discours d'avant Noël à la Curie, François a invoqué le défunt cardinal Martini, qui a affirmé dans sa dernière interview que « l’Église a deux cents ans de retard ».

« De quoi, précisément, l’Église était-elle en arrière ? » demande George Weigel sur FirstThings.com (8 janvier) :

« Une culture qui célèbre le Soi impérial et autonome ? Une culture qui détache le sexe de l'amour et de la responsabilité ? Une culture qui engendre une politique de gratification immédiate et d'irresponsabilité intergénérationnelle ? Pourquoi diable l'Église voudrait-elle rattraper cela ? »

M. Weigel remarque que les églises qui ont le plus tenté de rattraper leur retard sur « l'histoire » et « l'époque » s'effondrent.

Il présente par exemple le catholicisme germanophone. Bien qu'il soit en train d'imploser, la grande majorité des évêques allemands est favorable à une capitulation devant « l'époque » avec « une obstination autrefois caricaturale comme typiquement prussienne ».

[On reconnaît le style compliqué de Weigel, grand adorateur de Jean-Paul II par ailleurs ; or Bergoglio n'est-il pas la continuation de Jean-Paul II ? D'ailleurs, j'ai appris qu'il va sortir un bouquin sur Wojtyla pour le célébrer ! Alors là, Weigel se réconciliera certainement avec l'Antéchrist...]

fr.news  23 janvier 2020

Cardinal Müller : Quand François parle à Scalfari, c'est un « effort vain »

Un homme politique, tenant le chapelet, peut être plus digne de confiance que celui qui descend les crucifix, a prêché le cardinal Müller en tenant un chapelet dans l'église romaine Sant'Agnese in Agone le 21 janvier.

Il s'agissait d'une référence à l'ancien vice-premier ministre italien, Matteo Salvini, qui a souvent affiché un chapelet pendant ses discours, alors que, par exemple, le cardinal Marx de Munich s'est opposé à ce que les crucifix soient obligatoirement affichés dans les bâtiments publics bavarois.

Selon Edward Pentin (NcRegister.com, 21 janvier), Müller a observé que François s'est engagé dans un « effort vain » en parlant à Scalfari « lorsque l'athée a conclu de ces dialogues que François avait nié la divinité du Christ ».

Müller rappelle à François que ce n'est qu'en témoignant avec Saint Pierre : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant », qu'un Pape parle en tant que « Pape de toute l'Église catholique ».

[Et moi, j'ai une question pour Müller : Comment cela se fait-il que l'Antéchrist te laisse tranquillement parler alors que Viganò est obligé de se cacher ? Curieux, non ?]

fr.news  23 janvier 2020

Un archevêque défend la foi - Les évêques polonais s'en émeuvent

C'est une bonne chose que Benoît XVI ait parlé du célibat, a déclaré l'archevêque Jan Pawel Lenga, 69 ans, anciennement à Karaganda, au Kazakhstan, dans un talk-show de la télévision d'État polonaise.

Si Benoît avait agi plus tôt, la confusion ecclésiastique actuelle n'aurait pas eu lieu, estime Lenga. Il espère que l'Église du Kazakhstan et de la Russie qui a survécu au communisme, échappera aux influences corrompues de l'Occident.

Sur les questions sexuelles, Lenga dit que l’Église ne devrait pas suivre la voie facile, ou demander aux gens ce qui est plus facile pour eux, parce que le Christ n'a pas agi comme ça.

La Messe tridentine et le Novus Ordo sont pour lui comme le ciel et la terre, parce que le célébrant de la Messe devient un second Christ, et non un ami de Jésus.

De nombreux prélats, dont Bergoglio, n'ont pas la foi profonde que le Christ a transmise à ses disciples, a observé Lenga. Il soutient l'archevêque Viganó et critique le cardinal Marx, dont l'église n'a « rien à voir » avec l'Église catholique.

L'ex-secrétaire des cardinaux de Berlin Sterzinsky (+2011) et Meisner (+2017) a déclaré à Lenga qu'en Allemagne, il ne restait plus que trois ou quatre évêques plus ou moins catholiques.

Lenga a mentionné un archevêque polonais émérite et professeur de Bible [probablement l'archevêque Henryk Muszyński], qui lui a dit qu'aujourd'hui « personne n'a le monopole de la vérité ». Mais Lenga l'a informé que le Christ, qui est le chemin, la vérité et la vie, a ce monopole. Pour lui, cet archevêque est une catastrophe personnelle et trahit le Christ.

Lenga a également cité un évêque gréco-catholique qui a qualifié les prêtres mariés de « catastrophe » parce qu'ils sont divisés entre l'autel et la famille.

Le 22 janvier, le porte-parole de la conférence des évêques polonais, le père Paweł Rytel-Andrianik, a regretté que Lenga apparaisse dans les médias et « trompe les croyants ».

[Les évêques polonais ayant été infestés par Jean-Paul II, sont désormais dans le trou. Quant à Lenga, je le comparerais à Viganò.]

fr.news  23 janvier 2020

Une sœur en action liturgique

Voici une photo d'une sœur de la Congrégation brésilienne des Sœurs du Cœur Immaculé de Marie.

Elle a été publiée en novembre dernier sur un réseau social.

Les sœurs sont notamment actives dans les domaines de « l'inclusion sociale » et de « l'exercice de la citoyenneté ».

[C'est ce que l’Évangile appelle une vierge folle.]

fr.news  23 janvier 2020

La version italienne du livre de Ratzinger/Sarah prouve que Gänswein est un menteur

L'éditeur italien David Cantagalli a déclaré à IlFoglio.it (22 janvier) que l'introduction et la conclusion du livre de Ratzinger et Sarah sur le célibat « ont été écrites par le cardinal Sarah et lues et partagées par le pape émérite Benoît XVI ».

C'est pourquoi les deux noms figureront sur la couverture du livre : « Robert Sarah avec Joseph Ratzinger / Benoît XVI ».

Cela contredit à nouveau le mensonge éhonté de l'archevêque Gänswein selon lequel Benoît XVI n'a pas vu le livre avant le 13 janvier.

Sarah a déclaré de manière crédible qu'il avait envoyé le manuscrit complet le 19 novembre à Benoît pour correction, et qu'il avait présenté personnellement à Benoît une ébauche de la couverture le 3 décembre.

[Il n'empêche que l'édition italienne s'est pliée en partie à ce que voulait Gänswein, ce que n'a pas fait encore l'édition française et ce que ne fera jamais l'édition anglaise. C'est donc cette dernière qui est la plus fiable.]