News au 8 juin 2020
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News au 8 juin 2020
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comme BERGOGLIO est HÉRÉTIQUE, APOSTAT & IDOLÂTRE (culte idolâtrique de la Pachamama le 4/10/2019 & « Jésus n'est pas Dieu ! » 9/10/2019, etc...), concluez !
>>> BERGOGLIO = 666_________________
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Re: News au 8 juin 2020
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Re: News au 8 juin 2020
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L’ANTÉCHRIST est un BLASPHÉMATEUR« Au sein de la Sainte Trinité, dit Bergoglio, ils [les trois Personnes divines] passent leur temps à se disputer derrière des portes closes, mais, extérieurement, ils donnent une image d'unité. »
(11/03/2017 & en image)
Dites-moi maintenant si un Pape peut émettre un tel blasphème ! Si oui, c'est que vous ne savez pas ce qu'est un Pape. Si non, Bergoglio ne peut pas être Pape mais bien plutôt l'Antéchrist ou l'un des siens. Un catholique qui ne comprend pas cela, soit il est ignorant, soit il n'est pas catholique. Ainsi d'ailleurs peut-on dire la même chose pour tous les papes conciliaires car chez tous les six on peut citer des hérésies flagrantes et donc des blasphèmes. Réfléchissez-y car il y va de votre salut : vous ne pouvez pas faire comme si cela n'existait pas, à moins d'être d'une ignorance crasse. Un vrai catholique a le devoir d'examiner ce qui se passe et d'en tirer des conclusions pratiques, sinon il n'est catholique que de nom.
Pour bien comprendre ce qui se passe aujourd'hui, une seule solution : le CHAPELET QUOTIDIEN
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Re: News au 8 juin 2020
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Le curé d’une paroisse périphérique de Barcelone (l’une des régions les plus touchées par le coronavirus et aussi l’une des plus sécularisées, politisées et cosmopolites de la péninsule) exprime sa douleur devant ce qui a été imposé aux fidèles à l’occasion de la pandémie du covid-19.(*) Néologisme aussi en espagnol, non encore pris en compte dans le dictionnaire de l’Académie. D’autres mis aussi en italique dans la traduction dans le texte.HYGIÉNISATION (*) et STÉRILISATION de la FOI
par P. Francesc M. Espinar Comas
Curé de – El Fondo de Santa Coloma de Gramenet
Beaucoup penseront que le Carême est terminé et même le temps pascal. Évidemment le calendrier nous dit que nous avons bien célébré l’Ascension et la Pentecôte ; néanmoins le moment historique que nous sommes en train de vivre est bien loi d’être la « Pâque ». Et, étant donné que les mots Carême et Quarantaine sont des synonymes dans notre langue, nous pouvons constater que le moment de sortir de nos tombes n’est pas encore arrivé. Tout au moins pas totalement. En effet, il semble que le temps s’est soudain distendu et que le jour du Vendredi Saint est en train de s’étaler lentement en une séquence très dense dans le contexte de notre temps de travail sans précédent. Un véritable « Temps de la Passion », loin d’être métaphorique, loin de se terminer.
En effet, nous pourrions dire que le Carême pour nous a commencé le 24 février (2020) et n’est pas encore fini puisque Pâques est passé sans possibilité de célébration pour les gens. Évidemment, tous ont fait tout leur possible pour créer des “célébrations domiciliaires” et essayant d’imiter la Sainte Liturgie. Mais c’est justement ce qu’il faut pointer. C’était une simple “imitation”, une “fausse messe”, virtuelle. Nous avons prié, nous avons jeûné et en quelque sorte nous avons célébré. Mais qu’avons-nous eu? Une fête certainement très attendue, mais malheureusement, sans celui dont on fête l’anniversaire. L’attente par conséquent continue.
Certainement, cette année, beaucoup d’enseignants et de prédicateurs ont pu vraiment dire que le Christ “est ressuscité dans nos cœurs” puisque, selon eux, la résurrection n’est pas un fait historique, réel, et que par conséquent, on doit la célébrer, mais que c’est quelque chose purement intérieur et symbolique. Et c’était tellement intérieur que peu s’en rendirent compte eux et en tout cas les gens “ne pouvaient pas courir vers le sépulcre” pour lui rendre gloire et témoigner. Je pense en particulier à ceux, nombreux, qui n’allaient à la messe que pour Noël et Pâques, peut-être comme ultime recours pour ne pas perdre complètement le contact avec leur foi et sauver leurs âmes. Cette année on leur a aussi refusé cette grâce. Un coup de pioche dévastateur par conséquent pour la foi des plus petits. En effet, tous n’étudient pas la théologie ou n’ « examinent » pas les Écritures, et par ailleurs, on ne demande pas à une personne baptisée de le faire, mais il suffit de participer aux moyens “normaux” de salut, c’est à dire, aux sacrements. Oui, cela fait partie des Cinq Préceptes Généraux de l’Église, une de ces choses que l’on a cessé d’enseignement depuis quelques générations. Par conséquent, il a été facile et commode d’éliminer le précepte dominical (cette année aussi le précepte pascal) pour ceux qui déjà n’y croyaient pas.
Après plus de cinquante ans de spiritualisation (il serait plus correct de dire « évaporation ») des dogmes catholiques durant lesquels la prédication s’est plus fixée sur les démonstrations de l’œcuménisme et le dialogue interreligieux, il en résulte que la nouvelle pastorale s’est concentrée, jusqu’à l’implosion, dans les moyens de grâce « extraordinaires ». En abaissant les sacrements et la liturgie de l’Église, à une expression d’ « une communauté ecclésiale », finalement, aujourd’hui, nous avons atteint un objectif de plus, un point de non-retour. Mais l’urgence sanitaire a également fait une brèche dans le communautarisme postconciliaire, balayé par un coup de balai, ou mieux par une toux. Du cri « plus de messe et moins de messes » des prêtres-ouvriers soixante-huitards, nous en sommes arrivés à « la messe, c’est fini, restez chez vous ». C’était inévitable.
Après une première phase de suspension totale et immédiate des sacrements sans aucune indication pour les fidèles, nous sommes passés à la «messe en streaming», à la «numérisation de la foi» et à une virtualisation de la vie chrétienne. Par conséquent, alors que la société civile est en phase 1 et en phase 2 (phases progressives de dé-confinement en Espagne, à partir d’un point zéro), les catholiques modernistes (qui, en ce qui concerne la révolution, ne suivent pas le monde mais le précèdent), nous ont déjà introduit dans la phase 3, c’est-à-dire, la phase de la messe pour les personnes saines, la messe pour les chrétiens responsables, la messe pour ceux qui acceptent de se soumettre à une nouvelle loi, celle du chrétien désinfecté, aseptisé, et finalement « stérilisé ».
Ceux qui ne voudront pas se soumettre à ce “traitement sanitaire de la foi”, seront exclus de la vie de l’Église et de la célébration des mystères sacrés. Quelqu’un a-t-il pensé que le problème ne sera que celui des vaccinations obligatoires sans lesquelles plus personne ne pourra aller travailler et faire ses courses ? L’Église aussi aura son protocole sanitaire d’accès aux églises. La vérité est nous nous trouvons en face d’une ghettoïsation progressive de la foi, avec une confiscation de l’autonomie et de la liberté dans la vie de l’Église, qui est désormais sous le contrôle presque total d’un état totalitaire et d’une hiérarchie qui lui est soumise. Pire encore, d’un infâme conseiller à un démantèlement spirituel sans précédent.
Peut-être que personne ne s’attendait à ce que la persécution contre la foi en Occident ne commence de cette manière suave, humanitaire et sanitaire, motivée par une urgence de santé publique apparemment « très raisonnable ». Néanmoins, elle a commencé. Non seulement en Espagne mais dans d’autres pays européens. En Suisse, par exemple, dans le canton du Tessin, l’heure de religion à l’école a été supprimé en bloc sans aucun motif (et c’est peut-être bon, quoique prévisible), y compris dans sa forme d’ «enseignement à distance», alors que les autres matières ont repris leur cours habituel.
En fait, l’ennemi a très bien compris que les persécutions sanglantes sont contre-productives pour lui, parce qu’il sait mieux que nous, le sang des martyrs génèrent de nouveaux chrétiens. Saint Léon le Grand l’explique parfaitement : « Si cet ennemi cruel et orgueilleux avait pu pénétrer la sagesse de la Divine Miséricorde, il aurait essayer d’adoucir et de calmer l’esprit des Juifs au lieu de leur inspirer une haine injuste par crainte de perdre l’esclavage de tous les pécheurs, alors qu’il persécutait la liberté de Celui qui ne lui devait rien » (Sermon 11 De Passione Domini)
En vingt siècles d’histoire de l’Église, à partir de la défaite subie à la crucifixion et à la mort du Christ à travers les persécutions violentes de l’histoire contre les chrétiens, l’ennemi a accumulé, entre les victoires et les défaites, une longue expérience de stratégie militaire. Il a parfaitement compris que la collision frontale, la haine féroce et l’intention manifeste affaiblissent son action et la mettent en évidence. Par exemple si aujourd’hui était approuvé un décret, – comme cela s’est passé au Mexique dans la décennie des années 1920 contre tous les catholiques et les prêtres qui ont été fusillés sur les places publiques -, stipulant que tous ceux qui manifestent la foi chrétienne en public, seront torturés et emprisonnés, l’origine luciférienne de ces lois serait claire, et la foi recevrait une grande impulsion et un grand développement, et le résultat serait finalement très bénéfique.
Mais avec des dogmes vidés [de leur contenu], l’épuisement spirituel, la sécularisation de la vie chrétienne réduite à la “protection de la santé” du corps au lieu d’être un remède pour les maladies de l’âme, c’est une tactique beaucoup plus fructueuse pour l’ennemi qui veut entraîner autant d’âmes que faire se peut, sans clameur ni révolte, et même si c’est possible avec leur consentement volontaire motivé, comme l’on dit, par le « sens commun ».
En effet, aucune personne saine d’esprit, ne serait-ce que pour une excellente raison (par exemple la santé ?) ne renoncerait d’une manière spontanée à sa liberté et son intimité. Pour cette raison, la plupart des chrétiens comme le reste de la population, ne se rendent pas compte qu’ils font partie d’un grand processus de déconstruction anthropologique qui, à travers la plus que raisonnable « protection de la santé » et la confrontation à une « urgence sanitaire », se dirige à grands pas vers un système de contrôle social de plus en plus fin et envahissant, étendu et généralisé.
Sous le prétexte de la santé, il est facile de manipuler la pensée de quelqu’un qui pense trop à sa santé. C’est évident : « Où est ton trésor, là aussi sera ton cœur » (Mt 6 :21). Une fois identifié le «trésor » de l’homme du XXIème siècle, qui est l’idole de sa santé et de son bien-être, il sera facile de contrôler son cœur.
Romano Amerio, l’avait bien compris, quand dans son œuvre maîtresse « Iota Unum » il signalait la somatolâtrie [néologisme construit sur le grec σωμα – corps], le culte du corps, comme une idole non seulement du monde contemporain mais aussi de l’Église contemporaine, également humaine : humaine et par conséquent « compromise » avec les affaires de la terre. Et c’est ainsi qu’à partir de la si précieuse et estimée « théologie du corps » (ndt Jean-Paul II – 1987), l’on est passé à un « corps sans théologie » puisqu’au moment de la pandémie post-chrétienne, tu ne peux plus prendre au sérieux cet avertissement évangélique : « N’ayez pas peur de ceux qui tuent le corps, mais n’ont pas le pouvoir de tuer l’âme; mais craignez plutôt celui qui a le pouvoir de faire périr votre âme et votre corps dans la Géhenne » (Mt 10:28).
Dans la tromperie de la toute-puissance médicale, tous, y compris les catholiques de bonne foi, ont oublié de se demander : « Lequel d’entre vous, pour beaucoup que cela vous importe, peut ajouter une heure à sa vie ? (Lc 12,25). Et la hiérarchie ecclésiale d’aujourd’hui a accepté et désiré une dévaluation radicale de ce qui devrait être le plus précieux, la liturgie et les sacrements, en renonçant à la célébration des “mystères sacrés” même avant et sans que l’état l’ait demandé (les églises étaient fermées avant les bars et les restaurants, vous en souvenez-vous?). En effet, je crois que les mystères sacrés ont cessé d’être d’authentiques mystères depuis la Réforme Liturgique de 1969. Mais passons sur cette question.
Peut-être pensiez-vous mes chers compagnons prêtres et évêques, de gauche et de droite, traditionalistes et progressistes, qu’après avoir retiré la messe et les sacrements et nous avoir donné le substitut virtuel du surnaturel, les gens maintenant nous suivraient dans la mise en scène de la « messe stérilisée », expression grotesque d’une foi stérilisée incapable d’attirer même un extraterrestre ? Et si en d’autres temps, il arrivait parfois qu’une âme éloignée de la foi entrât, même par erreur, muée par une intervention intérieure de la grâce, cela ne sera plus possible si cette personne n’a pas tous les papiers nécessaires et en règle, les mains propres et la tête rendue hygiénique avec une solution hydro-alcoolique.
Combien de vagabonds sans foyer et moins privilégiés que nous, ai-je vus dans ma vie, entrant dans les églises pour rechercher une consolation, craignant de s’approcher des gens « de bien » et propres parce qu’ils ne se croient pas dignes d’être comptés comme membres de la société, peut-être en faisant un signe de croix, et en plongeant ces mains sales et malodorantes dans les bénitiers avec l’espoir que ce geste enfantin leur servira à quelque chose ! Maintenant ce n’est plus possible parce que « L’Église 3.0 », depuis ses édifices stérilisés et stériles mettra un panneau : «aux chiens et aux personnes irresponsables, il est interdit d’entrer». Bon, en fait, non. Les chiens peuvent entrer, on ne sait pas s’ils transmettent le virus… C’est cela l’Église des derniers, des marginaux, des périphéries et du bla-bla-bla.
Il y a une sentence du Seigneur, qui cependant ne nous plait pas, en général, à nous les pasteurs, non pas qu’elle soit dure, mais parce qu’elle est seulement écrite pour nous: « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites qui fermez aux hommes le royaume des cieux; car de cette façon vous n’y entrez pas vous-mêmes, et vous n’y laissez pas entrer ceux qui veulent y entrer » (Mt 23,13). Et sur le thème de la propreté et de la santé externes, le Seigneur nous a prévenus : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites qui nettoyez le dehors de la coupe et du plat; alors qu’en dedans ils sont pleins de rapine et d’intempérance ! »(Mt 23,25).
N’ayez pas peur. Il n’y aura pas besoin de mettre des « gardes » aux portes des églises parce qu’il n’y aura pas des foules à y entrer. Si nous nous plaignions auparavant de la diminution de l’affluence des fidèles, nous pouvons être sûrs que d’ici peu nous resterons seulement avec une poignée de germes dans la main, et même pas cela, car nous aurons même transformés en aseptique (plutôt méphitique) l’air que nous respirons. Ne nous préoccupons pas beaucoup non plus du respect de la distance de deux mètres : si nous sommes diligents et que nous faisons bien notre travail, il y aura tellement peu de fidèles que nous aurons quatre, huit ou dix mètres entre un (in)fidèle et l’autre. Mais nous serons des « curés responsables », exécuteurs obéissants des nouveaux diktats de la religion mondiale de la santé.
Le ridicule est en train d’arriver à la cime du grotesque. Ayant déjà dépassé les transformations de la liturgie, nous sommes prêts pour le développement, ou plutôt, pour la mise au point de la religion humanitaire, élitiste et médicalisée dans laquelle les gens ne chanteront pas avec l’enthousiasme des enfants mais avec la monotonie des esclaves : Notre Père qui êtes aux cieux, sanitaire soit ton nom ».
Néanmoins, ce qui, à nous, pauvres sous-officiers sortis du rang, abandonnés parmi les sifflements des balles et les explosions dans les tranchées, sans vivres ni munitions, ce qui nous est resté, ce sont les paroles du seul authentique Docteur qui peut mettre les choses à leur place : « Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades» (Mt 9 :12). Et cela, chers lecteurs, c’est une grande consolation.P. Francesc M. Espinar Comas
Le Père Espinar Comas est né en 1961. Il dessert actuellement la paroisse de Saint- Jean Baptiste, dans la commune de El Fondo de Santa Coloma de Gramenet, dans la périphérie nord-est de Barcelone. Et à voir l’édifice l’on peut vraiment dire que ce prêtre est en périphérie… Sur le site de la paroisse, on apprend qu’il y célèbre la messe en latin le dimanche matin (mais aussi en espagnol à d’autres heures, en non pas qu’en catalan) et que le vendredi après-midi, pour la communauté chinoise, au confessionnal, il y a une tablette où les commandements de la Loi de Dieu sont en mandarin et en espagnol, et à côté le nombre et le genre de péchés. J’en conclus qu’il y a une communauté chinoise d’une certaine importance dans la zone et que même si elle ne maîtrise pas complètement l’espagnol, elle a néanmoins les moyens de se confesser sans avoir à sa disposition un prêtre maîtrisant le mandarin.
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Re: News au 8 juin 2020
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Un officiel allemand divulgue un rapport
dénonçant le coronavirus
comme une « fausse alerte mondiale »par Daniele Pozzati
Le gouvernement fédéral allemand et les grands médias sont activement occupés à contrôler les dommages provoqués par la divulgation d'un rapport du ministère de l'Intérieur qui remet en cause le récit établi du Corona.
Voici quelques passages clés du rapport :
- La dangerosité du Covid-19 a été surestimée : le danger posé par le nouveau virus n'a probablement à aucun moment dépassé le niveau normal.
- Les personnes qui meurent du Corona sont essentiellement celles qui, statistiquement, seraient mortes cette année, pour avoir atteint la fin de leur vie, leur corps affaibli ne pouvant plus faire face à un stress quotidien aléatoire — y compris les quelque 150 virus actuellement en circulation.
- Dans le monde, en un quart d'année, il n'y a pas eu plus de 250 000 décès dus au Covid-19, contre 1,5 million de décès [25 100 en Allemagne] lors de la vague de grippe 2017/2018.
- Le danger n'est évidemment pas plus grand que celui de nombreux autres virus. Rien ne prouve que ce soit davantage qu'une fausse alerte.
- Un reproche pourrait aller dans ce sens : lors de la crise du Corona, l'État a prouvé qu'il était l'un des plus grands producteurs de fausses nouvelles.
Jusque-là, tout va mal. Mais il y a pire.
Le rapport se concentre sur les « nombreuses et lourdes conséquences des mesures prises face au Corona » et alerte sur le fait qu'elles sont « graves ».
Le nombre de personnes qui meurent à cause des mesures imposées par l'État contre le « Corona » est plus élevé que le nombre de personnes tuées par le virus.
La raison en est un scandale en devenir : un système de santé allemand axé sur les mesures face au Corona reporte des opérations chirurgicales vitales et retarde ou réduit le traitement des patients qui ne sont pas atteints par le virus du Corona.
Berlin en mode déni — Les scientifiques ripostent
Au départ, le gouvernement a tenté de rejeter le rapport comme étant « le travail d'un seul employé », et son contenu comme étant « sa propre opinion » — tandis que les journalistes, sans poser de questions, resserraient les rangs avec les politiciens.
Mais le rapport de 93 pages intitulé « Analyse de la gestion de la crise » a été rédigé par un comité scientifique nommé par le ministère de l'Intérieur et composé d'experts médicaux externes issus de plusieurs universités allemandes.
Le rapport a été rédigé à l'initiative d'un département du ministère de l'Intérieur appelé Unité KM4 et chargé de la « Protection des infrastructures critiques ».
C'est également là que le fonctionnaire allemand devenu lanceur d'alerte, Stephen Kohn, a travaillé et d'où il a divulgué l'information aux médias.
Les auteurs du rapport ont publié un communiqué de presse commun dès le 11 mai, reprochant au gouvernement d'avoir ignoré les conseils des experts et demandant au ministre de l'Intérieur de commenter officiellement la déclaration commune de ces mêmes experts :Les mesures thérapeutiques et préventives ne devraient jamais entraîner plus de dommages que la maladie elle-même. Elles doivent avoir pour but de protéger les groupes à risque, sans compromettre la disponibilité des soins médicaux et la santé de l'ensemble de la population, comme c'est malheureusement le cas actuellement.
Nous, les scientifiques et les médecins, subissons les dommages secondaires des mesures prises contre le Corona quant au fait de pouvoir assurer le suivi médical de nos patients dialysés.
Nous demandons donc au ministère fédéral de l'Intérieur de commenter notre communiqué de presse et nous espérons une discussion pertinente sur les mesures [du Corona], qui conduira à la meilleure solution possible pour l'ensemble de la population.
Au moment de la rédaction de cet article, le gouvernement allemand n'avait pas encore réagi. Mais les faits justifient — malheureusement — les inquiétudes des experts médicaux.
Le 23 mai, le journal allemand Das Bild titrait : « Les conséquences dramatiques des mesures du Corona : 52 000 opérations contre le cancer retardées ». Dans l'article, un médecin de renom avertit que « nous allons ressentir les effets secondaires de la crise du Corona pendant des années ».
Attaquer le lanceur d'alerte et ignorer le message
Comme l'a rapporté Der Spiegel le 15 mai : « Stephen Kohn [le dénonciateur] a depuis été suspendu de ses fonctions. On lui a conseillé de prendre un avocat et son ordinateur portable professionnel a été confisqué ». Kohn avait initialement divulgué le rapport le 9 mai au magazine libéral-conservateur Tichys Einblick, l'un des médias alternatifs les plus populaires en Allemagne.
La nouvelle du rapport s'est répandue en Allemagne pendant la deuxième semaine de mai — mais dès la troisième semaine, les médias et les politiciens ont cessé de discuter de la question en refusant de la commenter.
L'approche de Günter Krings, porte-parole du ministre de l'Intérieur Horst Seehofer — le patron du lanceur d'alerte — est emblématique. Lorsqu'on lui a demandé s'il allait traiter le document avec sérieux, M. Krings a répondu : « Si vous commencez à analyser des documents de cette manière, vous allez bientôt inviter les hurluberlus coiffés d'aluminium aux audiences parlementaires ». Les « hommes coiffés de papier d'aluminium » — Aluhut en allemand — est un terme utilisé pour décrire les personnes qui croient aux théories conspirationnistes [et à des événements ou des situations qui sont le résultat de plans secrets de personnes puissantes - NdT].
En effet, un article du Der Spiegel traitant du mouvement de protestation contre le Corona et des conséquences de la divulgation du rapport contenait le mot « conspiration » pas moins de 17 fois ! Et aucune discussion sur les questions soulevées par le rapport lui-même. En dehors de l'Allemagne, la nouvelle n'a pratiquement pas été relayée.
Le mouvement de protestation — ou le « Corona-Rebellen »
Les Allemands ont commencé à manifester contre les confinements dès le mois d'avril. Et des milliers de citoyens continuent de manifester chaque week-end, alors même que le gouvernement assouplit les restrictions. Les manifestations ne portent pas seulement sur les restrictions, qui ont en fait été relativement légères par rapport à de nombreux autres pays occidentaux.
Les manifestations remettent en question l'ensemble du récit du Corona, et plus encore ses principes, notamment le rôle que Bill Gates joue en tant que deuxième donateur de l'OMS — le premier depuis que Trump a suspendu la contribution américaine.
En effet, la plus grande manifestation de ce type a eu lieu à Stuttgart le 9 mai dernier, où des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées pour dire non au NWO.
Les Allemands disent non à toute solution orwellienne que le gouvernement pourrait un jour imposer en raison d'un « état d'urgence » douteux, depuis les applications de surveillance de masse jusqu'aux vaccinations obligatoires. La divulgation du rapport a prouvé que leurs craintes étaient fondées. Au moins en ce qui concerne la fausse nature de la « pandémie du Corona ».
Le reste pourrait bientôt suivre.
https://youtu.be/yECKXOdvSMQ
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Re: News au 8 juin 2020
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SYNTHÈSEAu vu des deux articles précédents, on ne peut être qu'éberlués si on ne considère pas par une vue globale ce qui se passe. En effet, la boucle est bouclée sur tous les plans et il est quasi impossible d'en sortir.
1- Sur le plan spirituel, la conciliaire a fait son temps et elle agonise.
2- Sur le plan temporel, c'est la même chose.
Que se passe-t-il donc ? C'est tout simple : l'empire de l'Antéchrist et dans sa dernière phase d'installation ; celle-ci une fois réalisée, il montera officiellement sur le trône.
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Re: News au 8 juin 2020
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[Cet article est tout simplement terrifiant : il est à lire en intégralité et il justifie ce que j'écrivais dans mon post précédent.]
Conspirations à propos du coronavirus
J’aime les théories du complot ; elles tentent d’injecter du sens dans des ensembles de faits divers, qui sont sinon incohérents. Ils apportent de la rationalité dans notre vie, comme dirait notre ami E. Michael Jones.Un ennemi des théories du complot écrirait dans le New York Times en dénonçant Sir Isaac Newton comme un théoricien du complot notoire : à partir de faits totalement déconnectés – chute de pomme, pompage de l’eau, bombardement d’artillerie – il a concocté la théorie du complot de la gravitation en affirmant que les corps sont mutuellement attirés proportionnellement à leur masse. C’est évidemment faux, dirait-il, comme vous pouvez le constater sur n’importe quelle plage ; s’il doit y avoir une formule, c’est celle de la proportionnalité inverse. Les filles et les garçons minces attirent beaucoup plus que les corps obèses, et la réciprocité n’entre pas dans cette équation. Le canular gravitationnel de Newton a toujours été enseigné dans les écoles. Pour un lecteur fidèle du NYT, il s’agit simplement de «répandre des mensonges sans fondement et des absurdités, déjà démystifiées, à travers de fausses rumeurs».
La grande panique des coronavirus de l’année 2020 après JC, avec ses énormes conséquences est un événement qui appelle une explication raisonnable. Comment une maladie mineure, tuant une partie infinitésimale de la population – 0,000045% – avait-elle pu provoquer l’effondrement de la civilisation telle que nous la connaissions ? Pourquoi une civilisation qui a vigoureusement résisté au meurtre de la fine fleur de sa jeunesse, dans la force de l’âge, sur les champs de bataille de Verdun et de Stalingrad, ne peut-elle survivre à la disparition de quelques vénérables vieillards, de telle sorte qu’elle se confine dans l’auto-isolement, tout en abandonnant la foi, l’amour du prochain, l’opposition aux ennemis de toujours, et la destruction de son économie, de son éducation et de sa capacité reproductrice ?
On veut trouver un complot pour l’expliquer. Qui l’a fait ? Qui a enfermé des milliards d’êtres humains en résidence surveillée ; qui a amené les hommes et les femmes à se considérer comme une source de danger mortel, au lieu d’amis ou même d’amants potentiels ; qui a transformé les églises, les mosquées et les synagogues en bâtiments vides et inutiles ? Il y a beaucoup de forces qui ont profité de l’aubaine qui l’accompagne, et beaucoup étaient prêtes pour cela depuis longtemps. Mais il y a une explication non conspiratrice : peut-être que nous vivons un tel changement systémique, qu’aucune force ne serait en mesure de réaliser, un changement systémique de magnitude inconnue depuis des centaines d’années.
Nous sommes encore à un stade précoce de la transformation en cours ; nous espérons toujours que ce sera fini en été, ou au moins à l’automne, ou l’hiver prochain, mais très probablement notre vie comme nous la connaissions est terminée. Pouvons-nous blâmer le virus, même s’il a été fabriqué dans les laboratoires pervers des États-Unis ou de la Chine, comme l’a suggéré de manière convaincante Ron Unz ? Il y a des millions de virus et l’humanité a réussi à vivre avec tous. Il n’y avait aucune raison de paniquer et de détruire notre civilisation pour un nouveau virus.
Imaginez un homme qui a reçu une lettre du Nigeria, lui promettant des millions ; il doit simplement envoyer de l’argent à l’auteur de la lettre pour payer les frais de transfert, les taxes, les dessous de table, etc., il donne également ses coordonnées bancaires pour recevoir l’argent. Il vend sa maison ou prend un prêt, envoie sa femme et ses enfants mendier dans la rue, afin de recevoir les millions promis. Nous ne dirions pas que «la lettre nigériane a causé sa chute», car beaucoup de gens ont reçu des lettres nigérianes, mais un seul homme a agi comme lui. Sans doute, la lettre était une vilaine tentative de fraude, mais le problème était chez lui, pas dans la lettre nigériane.
Un changement précédent d’une telle ampleur s’est produit à la fin du XVIIIe siècle, il s’appelle la révolution industrielle. Les propriétaires d’usine ont commencé à remplacer leur main-d’œuvre qualifiée par des machines bon marché, et les travailleurs ont perdu leur emploi, leurs moyens de subsistance et leur estime de soi. En 1811, les ouvriers forment le mouvement Luddite. Les Luddites entraient par effraction dans des usines et brisaient des machines textiles. Cela a duré jusqu’en 1816, lorsque le mouvement s’est essoufflé. Les ouvriers ont été vaincus, beaucoup d’entre eux se sont enfuis en Amérique, et la bourgeoisie britannique a prospéré. Il a fallu de nombreuses années pour que les travailleurs retrouvent certaines de leurs positions antérieures dans la société, principalement en raison de la menace de la révolution communiste.
Nous arrivons maintenant à la nouvelle révolution numérique, avec des travailleurs remplacés par des ordinateurs et un avenir en intelligence artificielle (IA). Des millions d’employés de bureau fonctionnent déjà comme interface humaine avec l’ordinateur. Vous l’avez peut-être remarqué lorsque vous leur parlez : ils sont formés pour éviter de prendre des décisions ; ils disent des phrases qui ont été scriptées pour eux, et les décisions sont prises par l’ordinateur qui a été programmé pour faire la volonté de leur maître. Le confinement ayant contraint des millions de personnes à communiquer directement avec les ordinateurs, de nombreux travailleurs sont devenus superflus.
Le processus de licenciement de millions de travailleurs dans le système économique existant risque d’être douloureux pour les chômeurs. Le confinement imputé au virus et le contrôle numérique permettent aux propriétaires des entreprises numériques de réaliser la révolution avec un minimum de risques pour eux. Ce qui nécessiterait une implication de l’armée et de la police contre les chômeurs déchaînés, peut être réalisé plus facilement sous la menace de la pandémie. L’économie sera modernisée et rendue plus efficace. Hélas, pour nous ce script présage du sort des tisserands hautement qualifiés du 18e siècle en Angleterre, même si nous éviterons la prise de contrôle totale de l’IA de style Terminator.
La nouvelle la plus effrayante ne concerne probablement pas le nombre de personnes «infectées». C’est un mot vide de sens, car il existe des porteurs persistants qui ne succombent pas à la maladie; la grande majorité des «infectés» sont asymptomatiques, ce qui signifie qu’ils ne sont ni malades ni infectieux ; le nombre des «infectés» est directement proportionnel au nombre de tests ; les tests sont au mieux douteux, et aucun n’est vérifié par les méthodes acceptées en médecine pré-corona, tandis que la méthodologie approuvée et appliquée par l’OMS ne peut pas être qualifiée de scientifique. Il ne s’agit pas de décès, car nous ne connaissons pas plus de décès qu’en 2018. De plus, dans de nombreux pays, notamment en France et en Norvège, il y a 30% de décès en moins pendant certaines semaines d’avril et de mai de cette année que l’année dernière. .
La nouvelle la plus effrayante est que l’entreprise Zoom vaut plus en bourse que les sept plus grandes compagnies aériennes. Ces compagnies aériennes avec leur main-d’œuvre accumulée – des millions d’heures de travail, des centaines de milliers d’employés, des pilotes hautement qualifiés, des masses d’équipements sophistiqués – n’arrivent tout simplement pas à valoir autant en bourse qu’un travail effectué en un mois par quelques programmeurs, et qui peut être refait en un mois. La monnaie et les cours boursiers sont des outils utiles s’ils mesurent les efforts humains, ils ne font plus ça. Ce qui a commencé avec des banquiers gagnant plus d’argent en une journée qu’une centaine de travailleurs et d’ingénieurs qualifiés au cours de leur vie, s’est terminé avec les seigneurs de la haute technologie gagnant plus au cours de leur vie qu’un million de travailleurs. Cela signifie que Big Money a misé sur l’économie numérique, un contrat avec le Diable, tandis que l’économie réelle était à saisir. L’argent a décidé que nous ne volerions plus. Eux, les nouveaux maîtres, voleront dans leurs jets privés, l’ère de l’accès de masse aux voyages est révolue. Vous serez satisfait par Zoom et PornHub, au lieu de la vraie chose.
Ajoutez à cela le futur prix négatif du pétrole et les banques centrales émettant de plus en plus d’argent, pour essayer d’étouffer l’incendie avec de l’essence, et vous obtiendrez une image du monde à venir. Il n’y a probablement pas de place pour vous et moi dans ce monde.
La grande mise à jour avec la technologie de l’IA est-elle un besoin objectif, et apportera-t-elle finalement du bien à l’humanité ? Peut-être. Mais cela ne signifie pas que le processus doive être décidé par Big Money et la Digital Economy, expliqué par les médias de masse, justifié par des bio-horreurs et poursuivi aux frais du public. Il faut procéder différemment si nous voulons préserver les acquis de la longue période de paix de 1945 à 2020.
Et maintenant, revenons aux théories du complot. Si le virus est le grand destructeur tel qu’on le présente, pourquoi les pays pauvres sans valeur et sans technologie de pointe n’ont-ils pas souffert ? Pourquoi le pauvre Cambodge n’est-il pas dévasté par la Covid ? Les Cambodgiens ont peu de soins médicaux et ils ont accepté tout un chargement de touristes «infectés» du paquebot Diamond Princess. Ils ont également des milliers de touristes chinois. Et ils n’ont pas de Covid dans leur pays pauvre. Pourquoi la Mongolie, voisine de la Chine avec leurs liens très étroits, n’a pas de Covid ?
Pourquoi seuls les pays riches souffrent-ils ? Pourquoi est-ce seulement les pays avec une presse libérale puissante, ayant un lien affirmé avec l’OMS, avec une infrastructure de haute technologie développée et leurs propres seigneurs numériques ? Serait-ce simplement parce qu’ils ont quelque chose à piller ? Il est logique de piller la Belgique, et les Belges ont beaucoup de malade de la Covid. Mais cela n’a aucun sens de piller la Mongolie ou le Cambodge. Si vous me suivez jusqu’ici, vous verrez également que de telles choses ne peuvent pas arriver par elles-mêmes, les GAFAM – Google etc. – sont le principal moteur et bénéficiaire, tandis que le M, Microsoft de Gates, est le lien entre eux et l’OMS.
Sans la bénédiction de l’OMS, aucun pays n’envisagerait l’idée d’un verrouillage. L’OMS a beaucoup appris depuis 2009 et a finalement décidé de jouer sur la Covid aussi fort que possible. Le président Trump a un bon instinct, même s’il donne de mauvaises explications. L’OMS est en effet un acteur central du complot. Ils ont même dû tuer leur propre cadre supérieur en janvier 2020, qui s’était notamment opposé à classer la Covid comme une pandémie. L’OMS a offert un pot-de-vin de 60 millions de dollars au président biélorusse Loukachenko pour qu’il enferme son pays, mais le président a refusé le pot-de-vin car il se sentait responsable du bien-être du Bélarus. Et en effet, la Biélorussie non confinée a, à peu près, la même proportion d’infections et de décès Covid que ses voisins enfermés d’Ukraine et de Pologne. La Pologne est un peu plus mal lotie car c’est une proie plus grosse que la maigre Biélorussie. L’OMS a même tenté de soudoyer Madagascar qui a développé son propre traitement médical à faible technologie pour les personnes souffrant de Covid avec des résultats étonnamment bons. L’OMS a offert un pot-de-vin à leur président pour lui faire dire que des personnes étaient mortes du traitement. Mais Madagascar étant pauvre, le pays n’avait pas à s’en inquiéter beaucoup.
Le président Trump a eu des raisons d’être mécontent de la Chine, car ce grand pays a inventé le confinement comme outil de lutte contre les épidémies en 2009, alors que le monde s’inquiétait de la grippe porcine H1N1. La Chine a alors commencé à pratiquer des fermetures massives, mettant en quarantaine des villes entières, déclarant que des centaines de milliers de personnes sont infectées, limitant les voyages en avion et produisant un vaccin. Ces mesures ont été prises après que seulement 30 personnes ont succombé à la grippe, et l’OMS s’était opposée aux actions chinoises. Finalement, 3 000 personnes sont mortes aux États-Unis et 800 en Chine. Les bénéfices de la commercialisation du vaccin étaient énormes. « Une aubaine pour Big Pharma », a rapporté Reuters. L’OMS en a également profité et n’a pas rendu compte de sa propre participation. Ainsi, le partenariat Big Pharma – Chine – OMS avait été inauguré et ils étaient prêts à répéter l’ancien script de 2009 à plus grande échelle. Ils l’ont fait en 2020.
Les Chinois n’ont pas hésité à verrouiller Wuhan en 2020, et cette fois, leur exemple a été suivi par d’autres pays. Les ennemis de la Chine disent qu’en diffusant leur modèle, les Chinois voulaient attaquer les économies d’autres États afin d’acheter leurs actifs à bas prix. D’autres ajoutent que la Chine a verrouillé des villes gênantes comme Wuhan, qui étaient susceptibles de se rebeller selon le modèle de Hong Kong. Les amis de la Chine affirment que la critique de la Chine est liée au désir américain de faire défaut sur sa dette de 1 300 milliards de dollars envers la Chine. Et d’ailleurs, la Chine avait été attaquée à plusieurs reprises par les armes biologiques américaines, elle devait donc se méfier.
Disons que la Chine n’a pas forcé et ne pouvait forcer aucun État à utiliser son modèle. D’un autre côté, l’OMS et diverses forces dans d’autres pays ont rapidement reconnu les avantages du verrouillage pour elles, et ce n’était pas pour des raisons épidémiologiques. Certains voulaient profiter comme ils l’ont fait en 2009, mais à plus grande échelle, d’autres avaient des raisons politiques, des élections, des troubles civils, d’autres voulaient mettre les gens ordinaires sous contrôle. Ils réussissent, à nos dépens et aux dépens du monde réel.
Le verrouillage actuel a amené le monde au bord d’une sombre dystopie totalitaire. Même si la maladie a été maîtrisée, et que les auteurs du stratagème ont besoin de plus en plus de falsifications grossières pour prouver le contraire, leur volonté de contrôle a encore augmenté.
En Israël, tout le monde doit installer et utiliser l’application préparée par le Mossad retraçant tous vos contacts. L’application peut vous envoyer un message texte disant «Vous avez rencontré une personne infectée par le coronavirus, vous devez immédiatement vous rendre chez vous et y rester en retrait pendant quinze jours». Vous ne pouvez pas discuter avec l’application, et l’application ne paiera pas votre hypothèque ni vos factures d’épicerie pendant votre quarantaine.
A Moscou, le régime de contrôle passe également par une application. Une personne qui a visité l’hôpital ou même un médecin doit installer l’application et envoyer un selfie chaque fois que l’application le demande, même au milieu de la nuit. L’omission de se conformer en moins d’une minute est punie d’une amende de 4 000 roubles (55 USD). Si vous dormez profondément, vous vous réveillerez le matin avec un tas d’amendes.
Le régime de surveillance et de contrôle de Moscou est extrêmement strict. Vous devez demander un QR code pour quitter votre domicile, en marquant votre destination et la raison. Les églises et les parcs ne sont pas répertoriés comme destinations autorisées. Seules quelques personnes sont en désaccord avec cet arrangement. Les gens en général se laissent aller. Ils partagent sur Facebook leur satisfaction vis-à-vis du système, ravis qu’il ait été facile de postuler et de recevoir le code. Est-ce la formation de leurs parents par Staline, ou l’esclavage – jusqu’en 1861 – de leurs ancêtres les plus éloignés qui a installé cette conformité et cette obéissance, ai-je d’abord songé, mais j’ai ensuite remarqué le rapport de l’État de Washington épris de liberté :« Le gouverneur de l’état de Washington Jay Inslee (D) a indiqué que les personnes qui refusent de coopérer avec les traceurs de contact ne seront pas autorisées à quitter leur domicile, même pour aller à l’épicerie ou à la pharmacie ».
Hélas, les gens du monde entier sont facilement soumis à la volonté des autorités, surtout s’ils ont peur du jargon médical. Les Latino-Américains, prétendument coléreux, se plient placidement aux règlements de la Covid ; mais avant cela, ils obéissaient à leurs tyrans et dictateurs. En Nouvelle-Zélande démocratique, un projet de loi a été adopté accordant à la police des pouvoirs étendus pour pouvoir pénétrer, éventuellement, dans les foyers sans mandat pour faire respecter les règles de la Covid malgré les objections de l’opposition, bien que la Commission des droits de l’homme ait déclaré qu’il s’agissait d’un «grand échec de notre processus démocratique». Le livre et le film, Vol au-dessus d’un nid de coucous, nous rappellent qu’il n’y a pas beaucoup de rebelles. La majorité accepte même les régimes les plus horribles. Je suis contre le confinement parce que j’accorde plus d’importance à la liberté qu’à la vie, mais ce n’est qu’une préférence personnelle.
Afin de convaincre les gens, les forces de l’ordre de la Covid disent qu’ils le font «pour sauver les personnes âgées et vulnérables». C’est un mensonge pathétique. En fait, ils ont créé un régime extrêmement inconfortable pour les personnes âgées. En Israël, il est prévu – encore à concrétiser – d’émettre un «patch vert» aux personnes de plus de 60 ans. Seules les personnes arborant le patch vert sont autorisées à entrer dans l’espace public. Une personne âgée risque d’être arrêtée et passible d’une amende si elle ne montre pas le patch. Le patch sera délivré par la police après un contrôle médical et sera valable un an. Les porteurs de patch verts ne pourront même pas voler. Cela ne ressemble pas à la protection des personnes âgées. Israël n’est pas seul : aux Samoa américaines, les personnes de plus de 60 ans doivent rester chez elles, emprisonnées. Vous pouvez consulter les limites de la liberté naturelle dans divers pays pour voir comment ils rivalisent pour savoir qui rendra le plus misérables ses citoyens. Cela rend la lecture déprimante.
Le verrouillage était-il nécessaire pour des raisons purement médicales ? Cela a-t-il sauvé des vies ? Je ne le pense pas, mais le jury est toujours absent. Nous connaîtrons la réponse exacte dans un an. Si la Covid disparaît comme ses prédécesseurs la grippe aviaire (2003) et la grippe porcine (2009), le verrouillage n’était pas une trop mauvaise idée. Peut-être que ce n’était pas vraiment nécessaire, car cela a sauvé quelques personnes à un coût social énorme, mais ce n’était pas si mal. Cependant, si la Covid est venue pour rester et revenir régulièrement, le verrouillage n’a aucun sens.
Les adeptes de la Covid ont tendance à penser que nous devrions nous attendre à la deuxième vague, et à plus de vagues par la suite. Certains d’entre eux prêchent de prolonger la quarantaine d’un an ou plus. Cela ne peut pas être fait – nous ne survivrons pas à une assignation à résidence aussi longue en tant qu’espèce. Ce qui est ennuyeux, c’est qu’ils insistent pour imposer le port de masques et de gants, et la distanciation sociale, dès maintenant et pour toujours. Ils bloquent également les voyages internationaux. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a prédit que notre liberté de mouvement pré-Covid ne reviendrait pas.
Bien que nous ne puissions pas faire dérailler le progrès et arrêter la révolution numérique, nous pouvons mettre fin à la fraude et aux restrictions extra-légales qui l’accompagnent sur notre liberté de mouvement. Nous devons également chérir les quelques sites web restants comme Unz Review qui nous permettent d’exprimer et de partager des vues peu orthodoxes.
Israël ShamirVous pouvez retrouvez toutes les traductions de cet autour sur le blog plumenclume
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Le CHAPELET QUOTIDIEN récité avec vous : https://catholique.forumactif.com/t1-le-chapelet-quotidien-recite-avec-vous-gilbert-chevalier#1
Re: News au 8 juin 2020
- 6 -
[Ce témoignage poignant dit vrai.
La preuve ? La voici ici :
https://catholique.forumactif.com/t816-news-au-4-juin-2020#8345
et là :
https://catholique.forumactif.com/t788-news-au-15-mai-2020#8022 ]Covid-19 et le Lot.
Coup de tonnerre dans le milieu médical :
démission d’une jeune médecin de CahorsLe Dr Magali Roussilhe exerce la profession de médecin généraliste depuis 14 ans dans le Lot. Or, elle vient d’annoncer son retrait et elle s'insurge contre la gestion du Covid-19.
Le Dr Magali Roussilhe, ici chez elle à Cahors,
souhaite que sa démarche contribue à une prise de conscience des réalités qui nous entourent.
Le Dr Magali Roussilhe exerce la profession de médecin généraliste depuis 14 ans ; jusqu’ici, elle faisait partie de la Maison de santé de Prayssac, en vallée du Lot et du vignoble. Or, elle vient d’annoncer son retrait : un coup de tonnerre dans le milieu médical !
Ce n’est pas sur un coup de tête que Magali Roussilhe a pris sa décision, mais celle-ci résulte plutôt d’une démarche qui n’a cessé de mûrir au fil du temps.
« Déjà, je portais le projet d’exercer la médecine dans les prochains mois, hors convention avec la Sécurité sociale, mais j’avais l’intention de faire les choses en douceur pour ne pas laisser mes collègues dans l’embarras. » Très vite, Magali Roussilhe évoque le système de santé, tel qu’il est organisé par l’État, avec ses Agences régionales de santé, la médecine conventionnelle et les médecins référents ; un ensemble d’obligations administratives imposées, tant aux soignants qu’aux patients.
Déjà, la réglementation du médecin référent, scellant une sorte de contrat entre le praticien et son patient, sous peine pour ce dernier de se voir pénalisé lors du remboursement, lui avait déplu. Magali Roussilhe dénonce le carcan administratif, qui à ses yeux ne cesse d’empirer. Le coronavirus n’a rien arrangé et n’a fait que précipiter sa décision !
Jean-Claude BONNEMÈRE : Quel regard portez-vous sur cette période de coronavirus ?
Dr Magali ROUSSILHE : J’ai travaillé durant le confinement, en appliquant les protocoles sanitaires. Cela ne m’a pas empêchée pour autant, de me poser des questions sur tout ce qui nous était demandé. Je dois dire que je ne suis pas du tout d’accord avec la manière dont a été organisée cette lutte contre l’épidémie de Covid-19. Par exemple, j’ai très mal ressenti les menaces de radiation proférées par les autorités de santé, à l’encontre de certains confrères qui, cherchant à soigner des gens atteints du virus, appliquaient des protocoles thérapeutiques non reconnus, mais recommandés par le professeur Didier Raoult, alors qu’il s’agissait de sauver des personnes malades. Pour ma part, je ne me suis pas retrouvée face à un patient qui avait besoin de traitement. Il me paraît aberrant qu’on ne puisse pas suivre les préconisations d’un professeur connu mondialement dans sa spécialité de virologie.
- Qu’est-ce qui fait que vous ayez pris cette décision d’arrêter aussi brutalement ?
- Ma décision peut avoir un côté brutal, mais elle intervient à la suite d’annonces qui m’ont choquée les unes après les autres. L’avant-dernière annonce, vient de la Sécurité sociale qui m’a appelée, comme cela était fait de la même manière pour l’ensemble des médecins généralistes, pour expliquer la mise en place du traçage des patients testés positifs au Covid-19, en demandant, non seulement de tracer les patients, mais également tous les cas contacts, la famille et tout l’entourage, afin de les inscrire sur un fichier informatique. Rappelons que dans un second temps, il est fait appel à des brigades pour tester les personnes. Ce procédé m’a choquée et j’ai dit que je ne le ferai pas. À présent, cette démarche nous est imposée par la loi, et là, je ne peux pas, ce n’est plus possible ! En conscience je dis non ! Certes, je ne juge pas mes confrères qui se plient à la réglementation, je ne juge personne. Je souhaite simplement être en paix avec moi-même.
- Le fichage des malades existe déjà en médecine ; n’est-ce pas dans une intention louable ?
- Oui, des maladies, telle la méningite, la tuberculose, la syphilis, la rougeole… font partie de la liste des maladies qu’un médecin doit obligatoirement déclarer auprès des autorités de santé. La démarche est similaire, en effet. Il y a recherche des cas contacts pour les dépister et protéger les personnes contaminées, si besoin. Dans ce cas de figure, la situation se limite à un nombre très réduit de personnes. Alors que dans le cas du Covid-19, ce sont des millions de gens qui vont être concernés et pour pas grand-chose.
- C’est le principe du fichage, que vous n’acceptez pas ?
- Oui, d’autant qu’on est en présence d’une maladie qui n’est pas aussi grave qu’on veut bien nous le faire croire, même s’il y a eu en France plus de 27 000 morts. Si l’on avait pu accueillir à l’hôpital tous les patients qui ont besoin d’oxygène et de réanimation et si l’on avait géré l’épidémie autrement, notamment en appliquant des traitements non reconnus officiellement, peut-être qu’on compterait moins de morts. Et que dire des décisions qui ont laissé s’affaiblir ces dernières années, les capacités de soins… Déjà en temps normal, l’hôpital travaille à flux tendu, même si le personnel hospitalier se plie en quatre pour soigner tout le monde. Je le sais d’autant plus que lorsque je demandais des rendez-vous pour mes patients, c’était toujours compliqué ; idem pour les hospitalisations. Toute épidémie, que ce soit le coronavirus ou la grippe aurait occasionné le même résultat. Bien sûr, le coronavirus s’est révélé beaucoup plus contagieux que la grippe et plus agressif, au pic de l’épidémie. Mais tirer prétexte de cela pour pister toute une population, pour ma part, je ne peux l’admettre.
- Il a pourtant été répété qu’il s’agissait d’un fichage contrôlé et limité à la cause de l’épidémie !
- La bonne cause, c’est la santé des gens ! Si l’on prétend se préoccuper de la santé des gens, il y a bien d’autres mesures que l’on aurait pu mettre en place et cela, depuis des mois et des mois !
- Donc vous refusez le fichage, c’est-à-dire la pratique des tests par la même occasion ?
- Je suis profondément choquée par ce fichage, car il faut bien se rendre compte que le test implique le fichage, dès lors que vous êtes positif au Covid-19. À partir de là, il est devenu pour moi impossible de pratiquer mon métier de médecin généraliste, dans de telles conditions. Peut-être que de ficher les personnes, cela peut être considéré comme une bonne solution, mais pour moi, c’est non. Je ne veux pas participer à cette entreprise et je me suis rendu compte que je ne suis pas la seule.
- Du coup, vous êtes contre le fait que vos enfants puissent faire l’objet d’un test ?
- Oui j’y suis opposée et je n’ai pas envie que nos contacts puissent faire également l’objet de tests et par conséquent soient l’objet d’un fichage. Je refuse également le vaccin à ce sujet, si l’on en découvrait un.
- Vous refusez le vaccin. Qu’est-ce qui motive votre opposition ?
- Parce que nous sommes en présence d’un virus qui mute, parce que ce vaccin est réalisé dans la précipitation et je m’en méfie ! Il y a de plus en plus de questions qui se posent autour des vaccins. Pour ma part, je n’ai pas une position anti-vaccin, moi-même j’ai été vaccinée et mes enfants l’ont été aussi. Mais je suis mal à l’aise de savoir qu’il n’est pas admis qu’on puisse critiquer les vaccins en général. Ainsi, j’ai été choquée par l’obligation vaccinale de 2018 et ses 11 vaccins. Il n’est pas sain qu’on ne puisse pas remettre en question certaines vaccinations ; je ne suis pas la seule à le faire, or ce n’est pas possible et je trouve cela inquiétant ! Ce contexte général où l’on ne doit pas se poser de question, n’est pas rassurant pour l’avenir de notre société !
- C’est une action politique que vous engagez ?
- Je ne suis inscrite dans aucun parti politique. Pour autant, je sais que mes prises de position sont politiques ; tous nos actes sont politiques, en définitive, dans le contexte général au sein duquel nous exerçons notre métier et où nous nous positionnons.
- En tout cas, c’est une remise en cause de l’organisation du système de santé actuel à laquelle vous procédez !
- Je remets en cause l’organisation du système de santé, tel qu’il est dans notre pays. Et cela touche bien sûr au fonctionnement général de notre société. D’ailleurs, la santé, cela ne concerne pas seulement le physique. Il y a le psychique, le mental… la santé c’est quelque chose de global. Si l’on a des problèmes d’argent, on risque d’avoir des problèmes de santé… La nature du travail peut elle-même engendrer des problèmes de santé. Si l’on consomme uniquement une alimentation industrielle, chimique, on encourt des soucis de santé etc.
- Que reprochez-vous à la pratique de la médecine générale ?
- La pratique de la médecine générale nous pousse à voir de plus en plus en plus de patients, dans la mesure où nous ne sommes pas suffisamment nombreux. Au final, plus on va vite avec les patients et plus on a tendance à prescrire des médicaments. Alors que plus on prend du temps avec les patients et moins on prescrit des médicaments ; on va plutôt prescrire de changer d’alimentation, de se reposer, de faire de l’exercice physique, de prendre le soleil… Il n’y a pas que le médicament qui compte pour être en bonne santé. Il faut prendre du temps, pour écouter le patient et lui proposer une thérapeutique adaptée à lui, or ceci est de moins en moins possible en l’état actuel de la pratique à laquelle nous sommes contraints. Il va de soi que si nous vivions dans une société plus écologique, nous serions en meilleure santé.
- Au-delà de la médecine, vous posez un regard critique sur le mode de fonctionnement de la société. Qu’est-ce qui ne va pas ?
- J’ai la sensation qu’on va trop loin dans cette complexification de la société. Je préconise une refondation de notre système de vie en société, de notre système de soins, de notre manière de se nourrir, d’élever nos enfants et là on rejoint le système scolaire où il y aurait également beaucoup à dire. Au passage, je trouve que cette reprise scolaire a été angoissante, à la fois pour les enseignants et pour les élèves. Je n’étais pas favorable à un retour des enfants à l’école dans de telles conditions… Les solutions ne viendront pas d’en haut ! Il y a des idées formidables qui voient le jour ici ou là et qui ne demandent qu’à se développer. Il y a des solidarités locales à faire jouer.
- Au final, que recherchez-vous ?
- Jusqu’à présent, j’essayais de concilier les contraintes de l’exercice du métier avec une certaine forme de liberté. Là, je me rends compte que ce n’est plus possible ! Il me semble qu’on n’est pas obligé de dire amen à tout. On doit pouvoir exprimer un avis différent, se respecter dans ses convictions.
Tout le monde se pose des questions ; on n’a pas écouté les soignants lorsqu’ils sont descendus dans la rue, on n’a pas écouté les gilets jaunes lorsqu’ils ont manifesté… À un moment donné la coupe est pleine ! Tout va très vite, nous avançons à marche forcée, on dirait que tout est fait pour qu’on n’ai pas le temps de prendre du recul. Tous ceux qui adhèrent à cette nouvelle loi du fichage Covid-19, ont-ils pris le temps de réfléchir à ce qui leur était imposé ?
Je souhaite que ma démarche aide d’autres personnes à s’interroger et j’espère montrer qu’on peut remettre en question des choses qu’on cherche à nous imposer un peu trop facilement. Je recherche un mieux vivre ensemble, dans la cohérence, la bienveillance et la différence, qui n’est pas possible à atteindre, avec l’évolution actuelle.
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Re: News au 8 juin 2020
- 7 -
Publication du Lancet sur l'hydroxychloroquine chez des patients hospitalisés : le Dr Guérin commente le manque de qualité de l'étude, s'étonne des conflits d'intérêt et de l'absence de notification par la presse française de l'étude sud coréenne concluant à l'efficacité de l'hydroxychloroquine Le Dr Guérin appelle de ses vœux que soit enfin lancé en France une véritable étude sur le protocole proposé par le Pr Raoult.
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Re: News au 8 juin 2020
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Violaine Guérin, gynécologue, endocrinologue et cofondatrice du collectif « Laissons les médecins prescrire » au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.
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