News au 15 juin 2020
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News au 15 juin 2020
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comme BERGOGLIO est HÉRÉTIQUE, APOSTAT & IDOLÂTRE (culte idolâtrique de la Pachamama le 4/10/2019 & « Jésus n'est pas Dieu ! » 9/10/2019, etc...), concluez !
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Re: News au 15 juin 2020
Lundi 15 juin 2020 : 565 avortements
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>>> REMÈDE 100% EFFICACE contre le COVID-19 (Dr Sabine PALIARD-FRANCO)
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Re: News au 15 juin 2020
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Un BOL d'AIR FRAISDans ce monde qui court à l'abîme, il est bon de se rappeler comment c'était dans le vieux temps, car cela reviendra, et même en mieux, et plus vite qu'on ne pense, malgré les Bergoglio, Macron et autres virus couronnés ! De quoi s'agit-il ? Tout simplement de la Fête-Dieu, comme on la célébrait autrefois. Voici un exemple qui se situe vers 1960, près du Puy du Fou dont le spectacle n'existait pas alors, dans la commune des Épesses, non loin de la Gaubretière, ma paroisse natale. Mais je n'en dis pas plus : voyez et appréciez : https://catholique.forumactif.com/t829-procession-de-la-fete-dieu-vers-1960-dans-un-village-vendeen-les-epesses#8491
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Re: News au 15 juin 2020
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>>> Mgr VIGANÒ : VATICAN II, le VER ÉTAIT dans le FRUIT (texte intégral)Aldo Maria Valli commente la dernière intervention de Mgr Vigano, en réponse à Mgr Schneider: Vatican II avait bien pour but de fonder une nouvelle Église, beaucoup de catholiques de bonne foi ont été trompés, il est temps pour eux de reconnaître leur erreur.Le CONCILE VATICAN II et les ORIGINES du DÉRAILLEMENT
par Aldo-Maria VALLI
La récente interventionde Mgr Carlo Maria Viganò consacrée aux liens entre le Concile Vatican II et les « déviations doctrinales, morales, liturgiques et disciplinaires qui sont apparues et se sont progressivement développées jusqu’à aujourd’hui » se concentre sur une question que nous ne pouvons pas éluder, même si elle est source de souffrance pour beaucoup d’entre nous qui avons grandi dans l’Église post-conciliaire.
Mgr Viganò, partant d’une intervention de l’évêque Athanasius Schneider, parle ouvertement d’un « monstrum généré dans les cercles des modernistes » et qui se montre aujourd’hui pour ce qu’il est, « dans sa nature subversive et rebelle ».
Il est inutile de tourner autour du pot: si nous avons aujourd’hui une Église qui emprunte en de nombreuses occasions des voies hérétiques de matrice gnostique et s’inspire de ce vague humanitarisme qui plaît tant au monde et qui, ce n’est pas un hasard, lui attire les applaudissements de ceux qui ont toujours été des ennemis de cette même Église, c’est parce que le Concile Vatican II, contrairement à tous ceux qui l’ont précédé, a eu en fin de compte la prétention de fonder une nouvelle Église. Il est vrai que cela n’a jamais été proclamé et qu’on a même parlé de la nécessité d’un renouvellement sans toucher au depositum fidei, mais les cercles modernistes ont de fait utilisé le Concile pour introduire une discontinuité. Et l’instrument rhétorique auquel on recourut fut l’expression totalement nouvelle « esprit du Concile », un concept qui permettait de fait d’introduire des bouleversements, bien au-delà de ce qui était écrit dans les textes.
Il y a un passage, dans le discours de Mgr Viganò, qui m’a particulièrement frappé, car il est très personnel et je pense que plus d’un lecteur peut se reconnaître:Il arrive un moment dans notre vie où, par disposition de la Providence, un choix décisif pour l’avenir de l’Église et pour notre salut éternel se présente à nous. Je parle du choix entre comprendre l’erreur dans laquelle nous sommes tous tombés, et presque toujours sans mauvaises intentions, et continuer à se détourner ou à se justifier.
Eh bien, je crois que cette affirmation met en lumière le drame de ceux qui, ayant grandi dans l’Église de l’après-Concile, des décennies plus tard, ne peuvent qu’ouvrir les yeux et se rendre compte de la tromperie.
Dans le domaine œcuménique comme dans celui liturgique, écrit Viganò, pendant longtemps « nous avons pensé que certains excès n’étaient qu’une exagération de ceux qui s’étaient laissés prendre par l’enthousiasme de la nouveauté », mais nous avions tort.
Se référant à l’horrible pachmama, Mgr Viganò le dit clairement:Si le simulacre d’une divinité infernale a pu entrer à Saint-Pierre, cela fait partie d’un crescendo que la partition prévoyait dès le début.
De même, si « de très nombreux catholiques pratiquants, et peut-être même la plupart des clercs eux-mêmes, sont aujourd’hui convaincus que la foi catholique n’est plus nécessaire pour le salut éternel » et si beaucoup sont maintenant intimement convaincus que « le Dieu Un et Trine révélé à nos pères est le même dieu que celui de Mahomet », c’est parce que la graine de l’erreur et de l’hérésie a été plantée il y a plus d’un demi-siècle, puis cultivée au fil des décennies.
Viganò écrit:« Les progressistes et les modernistes ont habilement réussi à cacher dans les textes du Concile ces expressions d’ambiguïté qui, à l’époque, semblaient inoffensives pour la plupart des gens mais qui, aujourd’hui, se manifestent dans leur valeur subversive ».
Je ne suis pas un historien de l’Église et encore moins du Concile Vatican II, mais je pense pouvoir être d’accord avec ce qu’explique Mgr Viganò lorsqu’il affirme qu’il y a eu une tromperie et que beaucoup sont tombés dans le piège. Lorsque l’archevêque parle d’une « course à l’abîme » et se dit surpris que « nous persistions à ne pas vouloir enquêter sur les causes profondes de la crise actuelle, nous limitant à déplorer les excès d’aujourd’hui comme s’ils n’étaient pas la conséquence logique et inévitable d’un plan orchestré il y a des décennies », je pense qu’il nous place devant une tâche qu’il n’est pas possible de contourner.
Viganò est très clair quand il met en relation directe la pachamama avec Dignitatis humanae, la liturgie protestante avec les thèses de Mgr Annibale Bugnini, le document d’Abou Dhabi avec Nostra aetate, et je sais bien que beaucoup de gens, même parmi ceux qui font partie du camp opposé au camp moderniste, bondissent sur leur siège face aux déclarations de l’archevêque, en prétendant que les maux et les abus ne sont pas nés avec le Concile mais à cause d’une trahison du Concile. Ce n’est pas ici l’endroit pour entrer dans la controverse. Pour ma part, je pense pouvoir être d’accord avec l’analyse de Mgr Viganò lorsqu’il écrit queCe Concile a été tellement exalté qu’il a été indiqué comme la seule référence légitime pour les catholiques, les clercs et les évêques, obscurcissant et connotant avec un sentiment de mépris la doctrine que l’Église avait toujours enseignée avec autorité, et interdisant la liturgie pérenne qui, pendant des millénaires, avait nourri la foi d’une génération ininterrompue de fidèles, de martyrs et de saints.
Et j’ai le sentiment que je peux adhérer aussi là où Viganò écrit:Je l’avoue avec sérénité et sans polémique: j’ai été l’un de ceux qui, malgré de nombreuses perplexités et craintes, qui s’avèrent aujourd’hui tout à fait légitimes, ont placé leur confiance dans l’autorité de la Hiérarchie avec une obéissance inconditionnelle. En réalité, je pense que beaucoup, et moi parmi eux, n’ont pas initialement envisagé la possibilité d’un conflit entre l’obéissance à un ordre de la Hiérarchie et la fidélité à l’Église elle-même. Ce qui a rendu tangible la séparation contre-nature, voire perverse, entre la Hiérarchie et l’Église, entre l’obéissance et la fidélité, c’est certainement ce dernier pontificat.
Bref,malgré toutes les tentatives d’herméneutique de la continuité misérablement naufragées lors de la première confrontation avec la réalité de la crise actuelle, il est indéniable que depuis Vatican II, une église parallèle s’est formée, superposée et opposée à la véritable Église du Christ. Elle a progressivement occulté l’institution divine fondée par Notre Seigneur pour la remplacer par une entité fallacieuse, correspondant à la religion universelle souhaitée dont la Franc-maçonnerie a été le premier théoricien. Des expressions comme +nouvel humanisme+, +fraternité universelle+, +dignité humaine+ sont les mots d’ordre d’un humanitarisme philanthropique qui nie le vrai Dieu, d’une solidarité horizontale d’inspiration vague et spiritualiste et d’un irénisme œcuménique que l’Eglise condamne sans appel.
Arriver à ces conclusions, provoque, je le répète, de la souffrance, et pourtant, comme l’écrit Viganò, il faut regarder la réalité en face.Cette opération d’honnêteté intellectuelle exige une grande humilité, tout d’abord pour reconnaître que nous avons été induits en erreur pendant des décennies, en toute bonne foi, par des personnes qui, constituées en autorité, n’ont pas su veiller et garder le troupeau du Christ: certains pour vivre tranquilles, d’autres par excès d’engagements, d’autres par commodité, d’autres enfin par mauvaise foi ou même malice. Ces derniers, qui ont trahi l’Église, doivent être identifiés, repris, invités à s’amender et, s’ils ne se repentent pas, jetés hors de l’enceinte sacrée. Ainsi agit un vrai berger, qui prend soin de la santé des brebis et donne sa vie pour elles ; nous avons eu et nous avons encore trop de mercenaires, pour qui le consensus des ennemis du Christ est plus important que la fidélité à son Épouse..
Le piège a été tendu, beaucoup d’entre nous y sont tombés, mais cela ne justifie pas de persévérer dans l’erreur.
Et si jusqu’à Benoît XVI on pouvait encore imaginer que le coup d’État de Vatican II (que le cardinal Suenens a appelé le coup d’État de 1789 de l’Église) avait ralenti, ces dernières années même les plus naïfs d’entre nous ont compris que le silence, par crainte de provoquer un schisme, la tentative d’ajuster les documents papaux au sens catholique pour remédier à l’ambiguïté souhaitée, les appels et les doutes adressés à François, éloquemment laissés sans réponse, sont une confirmation de la situation d’apostasie très grave à laquelle sont exposés les dirigeants de la Hiérarchie, alors que le peuple chrétien et le clergé se sentent irrémédiablement écartés et considérés presque avec agacement par l’épiscopat.
Souvent, regarder en face les origines de la maladie provoque souffrance et peine; il peut même naître un sentiment insidieux d’échec. Il est nécessaire de le faire si l’on veut trouver le chemin de la guérison.
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Re: News au 15 juin 2020
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« C'était le meilleur et le pire de tous les temps, le siècle de la folie et celui de la sagesse ; une époque de foi et d'incrédulité ; une période de Lumières et de Ténèbres, d'espérance et de désespoir, où l'on avait devant soi l'horizon le plus brillant, la nuit la plus profonde ; où l'on allait droit au Ciel et tout droit à l'Enfer. » - Charles Dickens, Le conte de deux cités (1859)
De temps à autre, le compteur est remis à zéro, et le monde subit une réinitialisation.
Parfois, c'est un cataclysme ou une catastrophe naturelle qui déclenchent le bouton « reset ». Parfois, c'est une révolution politique. D'autres fois, une guerre. Ou bien une avancée technologique.
Les mots inoubliables de Dickens - « le meilleur et le pire de tous les temps » - sont tirés d'un roman dont le sujet est justement l'une de ces réinitialisations : la Révolution française. Cette expression capture parfaitement l'essence duale de ces points de rupture qui marquent régulièrement l'Histoire. Si l'on s'en tient à la traduction douteuse du mot « crise » en chinois, un reset représente à la fois un danger et une opportunité.
Chacun aura compris que nous sommes à la veille d'un nouvelle réinitialisation planétaire. Cette fois, on nous demande de croire que c'est une pandémie virale qui a déclenché le bouton « reset ». D'aucuns argueront que c'est en réalité la panique générée par cette (prétendue) pandémie qui est responsable de cette crise. D'autres encore affirmeront que cette p(l)andémie n'est rien d'autre qu'une distraction, un écran de fumée visant à masquer le reset financier planétaire qui, pandémie ou pas, était sur le point de se produire de toute manière.
Quelle que soit la cause, il n'en demeure pas moins que le bouton « reset » A ÉTÉ actionné. Personne ne sait avec certitude ce qui nous attend de l'autre côté du gouffre, mais - comme on n'arrête pas de nous le répéter depuis plusieurs semaines - rien ne sera plus jamais pareil.
Alors, guidés par Dickens, explorons la nature duale de ce reset planétaire, et exposons les dangers et les opportunités que nous offre cette crise.
C'est le pire de tous les temps
Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'expliquer en quoi nous vivons actuellement « le pire de tous les temps », mais je vais tout de même le faire.
Économiquement, nous vivons le pire de tous les temps. Fait absolument inouï, 10 millions d'Américains se sont inscrits au chômage rien que ces deux dernières semaines [cet article date du 4 avril dernier], et on s'attend à ce que plusieurs autres millions rejoignent la liste des demandeurs d'emploi au cours des prochaines semaines. Les chiffres sont tout aussi apocalyptiques au Canada, en Europe, en Corée du Sud, et dans d'autres endroits du globe. L'expression de l'année est « chaîne logistique », à mesure que les gens prennent conscience de la fragilité des maillons de la chaîne d'approvisionnement, en temps et en heure, des denrées alimentaires, des fournitures médicales, des voitures, des appareils high-tech et de tout le reste, en cette période de bouleversement planétaire. La FED est en train de monétiser la dette, imprimant frénétiquement de la monnaie hélicoptère pour en inonder Wall Street, mais ça n'empêche pas les marchés de s'effondrer. Des versions modernes des soupes populaires d'antan fleurissent un peu partout, et il ne fait plus aucun doute que la plus Grande dépression pointe à l'horizon.
C'est aussi le pire de tous les temps pour les libertés. La moitié de l'humanité est confinée de force, ou fortement incitée à s'« auto-isoler ». On est en train de fermer les frontières et d'installer peu à peu des checkpoints internes dans tous les pays, tandis qu'on restreint de plus en plus les déplacements. La police a de plus en plus recours à des drones pour faire respecter les mesures de « distanciation sociale », et on a ouvert des hotlines qui permettent aux citoyens de se dénoncer les uns les autres. Les gouvernements surveillent ouvertement les smartphones pour suivre les déplacements des citoyens à tout moment. La loi martiale médicale a été instaurée, et la situation empire de jour en jour.
Enfin, c'est le pire de tous les temps en matière de santé. Il est tout à fait possible qu'une arme biologique ait été - volontairement ou non - lancée à travers le monde. Pendant ce temps-là, l'installation des antennes 5G suit son cours, menaçant de compromettre encore davantage nos systèmes immunitaires et de détériorer notre santé déjà compromise par cette vague de panique. Big Pharma et ses potes mafieux s'escriment à confisquer des remèdes prometteurs contre le virus, tandis qu'un vaccin MRna totalement nouveau est en cours de développement pour « soigner » l'infection par le Covid-19. Lorsqu'il sera prêt, vous devrez prouver que vous avez été vacciné si vous voulez continuer vos activités quotidiennes, tandis que le Plan national de vaccination de tous les Américains est dévoilé sous nos yeux.
C'est le meilleur de tous les temps
Vu le niveau de « pire » que nous avons atteint en ces « pires de tous temps », on pourrait penser que « le meilleur de tous les temps » ne fait pas partie du processus de réinitialisation que nous sommes en train de vivre. Mais il est important de se rappeler qu'un reset implique une remise des compteurs à zéro et, comme je l'ai fait remarquer, c'est seulement en période de chaos que surgit l'opportunité d'un véritable changement.
Si vous lisez ces lignes, il est probable que vous soyez déjà conscient de la nécessité de changer le status quo. Prendre conscience du fait que le monde dans lequel nous vivons est bâti sur des mensonges de politicards, sur une dette impossible à rembourser, sur des false flags et sur une gouvernance kakistocratique n'est pas spécialement réjouissant, c'est le moins qu'on puisse dire. Mais cela génère un stress supplémentaire : la tâche (utopiste) de convaincre ceux qui vous entourent qu'il y a un problème, et qu'il faut que les choses changent.
Cela ne devrait pas être trop difficile ; après tout, tout le monde sait que le système est détraqué. Mais la propagande qu'on sert au public s'avère tellement efficace, l'endoctrinement dont il est victime si profond, qu'au mieux, tout ce que cela déclenche chez la majorité des gens, c'est une sorte de colère assez vague qui se manifeste par des prises de bec entre voisins, au lieu d'une impulsion de renverser les psychopathes qui s'efforcent d'asservir l'humanité.
Mais maintenant, le bouton « reset » a été actionné.
C'est uniquement dans ces moments-là, lorsque tout change radicalement et dramatiquement, que nous avons le moindre espoir de convaincre les masses que quelque chose va de travers, et qu'il faut agir. Je suis bien placé pour le savoir. Les false flags spectaculaires et terrifiants du 11 septembre sont une des raisons principales pour lesquelles j'ai commencé à remettre en question la Matrice dans laquelle nous vivons. Si cette crise du coronavirus qui se déroule sous nos yeux est véritablement une sorte de 11 septembre planétaire « au ralenti », comme certains le suggèrent, alors attendez-vous à ce que, parmi la horde de nouveaux chômeurs et de nouveaux « radicalisés » désœuvrés, nombreux soient ceux qui prendront rapidement conscience de cette dure réalité.
Il est grand temps que ce grand réveil arrive. Certes, c'est une noble cause que de s'opposer à l'agenda mondialiste, mais en cette ère de tyrannie technocratique, il est facile d'éradiquer les petits foyers de résistance isolés. Une action à grande échelle s'impose, si nous voulons avoir un effet et dévier pour de bon la trajectoire sur laquelle cette crise nous a propulsés. Et nous avons maintenant une réelle opportunité (peut-être la seule de notre vivant) de tirer les masses de leur sommeil et de les pousser à l'action.
Si les Pouvoirs-qui-ne-devraient-pas-être-en-place avaient simplement continué à faire mijoter la grenouille - l'humanité libre - à petit feu, elle aurait été cuite à point en une décennie. Mais en essayant d'augmenter la température pour accélerer le processus, il se pourrait bien qu'ils poussent la grenouille à bondir hors de la casserole.
Tout dépend de nous... mais le temps presse
Je ne vais pas vous vendre de faux espoirs. L'avenir paraît bien sombre. La toile que les mondialistes s'emploient à tisser autour de nous depuis des décennies pour nous asservir - de la disparition de l'argent liquide à l'État-surveillance total - est bientôt achevée. Au sein de la population, nombreux sont ceux qui applaudissent le statu quo depuis leurs balcons, persuadés qu'ils font preuve de « responsabilité sociale » et qu'ils aident à sauver des vies.
À ce stade, il sera difficile de motiver le public pour qu'il se révolte contre le système. Il est probable que ceux qui n'ont pas encore pris conscience des mensonges du 11 septembre, des tromperies de la banque centrale ou de la corruption du complexe médico-industrio-militaro-renseignements soient impossibles à réveiller.
Pire, aucun d'entre nous n'a le pouvoir de modifier la trajectoire de ces événements mondiaux. Aucun d'entre nous, au niveau individuel, ne peut empêcher l'économie mondiale de s'effondrer. Ni empêcher l'effondrement de la société. Et même si nous pensons être préparés, nous ne serons peut-être même pas capables de nous protéger ou de protéger nos proches des conséquences de cet effondrement.
Mais il y a des choses que nous pouvons encore contrôler : notre capacité à dire « non ». Notre capacité à refuser de consentir. Notre capacité à résister.
Ça ne sera pas facile. Ça ne l'est jamais. La victoire n'est pas garantie. Et même si ça paraît glorieux de mourir en martyr, on n'en est pas moins mort.
Non, je ne peux pas promettre que nous gagnerons cette bataille. Et je peux quasiment vous assurer que le chemin sera pavé de souffrance et d'embûches. Mais peut-être que, alors que commence le processus de réinitialisation et que nous choisissons de quelle manière nous allons réagir à ces événements, nous - comme Sydney Carton à la fin du Conte de deux cités - découvrirons qu'il y a des sorts pires que la mort.Ce que je fais est une bien, bien meilleure chose qu'aucune que j'ai jamais faite ; le repos vers lequel je m'en vais est bien, bien meilleur qu'aucun repos que j'ai jamais connu.
[Tout étant bouclé, tout espoir humain est impossible. Mais par contre il y a une certitude : ils arriveront à leur fin, mais pour un temps très court, car Dieu les détrônera. En effet, ils ne pourront y arriver sans mettre quelqu'un à leur tête, et ce quelqu'un est l'Antéchrist en personne (pour lors Bergoglio). Or l'Antéchrist sera détrôné par le souffle-même de Jésus-Christ, et lui et toute sa meute disparaîtront pour toujours. Et c'est alors que l’Église catholique règnera en maîtresse sur le monde entier. Voilà notre seule espérance qui est en même temps une certitude !]
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Re: News au 15 juin 2020
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La fondation de l'ancien PDG de Microsoft, Bill Gates, la « Fondation Bill & Melinda Gates », est contrôlée par ses trois administrateurs : Bill et Melinda Gates et le gestionnaire de fonds spéculatifs Warren Buffett. La fondation détient des actifs d'une valeur d'environ 50 milliards de dollars — dont la moitié environ provient de Buffett — et finance un grand nombre de projets caritatifs.
Deuxième après les États-Unis, la « Fondation Bill & Melinda Gates » est l'un des plus grands donateurs de l'Organisation mondiale de la santé et lui a versé plus de 200 millions de dollars en 2018 — plus que l'Allemagne, la France et la Suède réunies au cours de la même période. Mais ce n'est pas la seule façon dont l'OMS est financée par Gates. La GAVI, anciennement connue sous le nom d'« Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation », a fourni à l'OMS 150 millions de dollars supplémentaires en 2018. L'un des [url=https://www.gavi.org/sites/default/files/document/2019/GAVI Alliance 2018 Annual Financial Report.pdf]principaux donateurs[/url] de GAVI est à nouveau la « Fondation Bill & Melinda Gates », avec 1,5 milliard de dollars en 2016, par exemple.
On peut dès lors affirmer que la « Fondation Bill & Melinda Gates » et donc la famille Gates et Warren Buffett sont, par des canaux directs et indirects, la principale source de financement de l'OMS, ce qui soulève des questions quant à son indépendance. En outre, la « Fondation Bill & Melinda Gates » a également financé la création de la « Coalition pour l'innovation en matière de prévention des épidémies » (CEPI) — qui s'occupe de la recherche et du développement de vaccins — à hauteur d'environ 100 millions de dollars en 2017. En outre, la « Fondation Bill & Melinda Gates » soutient régulièrement des organisations non gouvernementales telles que PATH [« Programme de technologie appropriée en santé » - NdT], qui participent au développement des technologies de vaccination, en leur accordant des millions de dollars. La liste des bénéficiaires de la « Fondation Bill & Melinda Gates » comprend également les plus grandes entreprises pharmaceutiques mondiales, telles que Pfizer, Novartis, GlaxoSmithKline et Sanofi Aventis. L'influence globale de la « Fondation Bill & Melinda Gates » dans le secteur de la vaccination est donc criante.Commentaire : La CEPI est connectée avec le Dr Fauci, lui-même directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et qui a joué un rôle déterminant dans la campagne de peur et de panique menée dans toute l'Amérique : « Dix fois pire que la grippe saisonnière ». .:~ Source« La Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI) est un organisme international à but non lucratif qui a pour mandat d'accélérer le développement de vaccins contre les maladies infectieuses émergentes. Le 23 janvier, elle a annoncé un soutien financier à trois institutions pour le développement d'un vaccin contre le 2019-nCoV. Il s'agit d'Inovio Pharmaceuticals Inc. avec sa plateforme vaccinale à base d'ADN (États-Unis), de l'Université de Queensland avec sa plateforme à pince moléculaire (Australie) ainsi que d'un partenariat entre Moderna Inc. et NIAID avec leur plateforme à base d'ARNm (États-Unis). »
Et si la CEPI traite simultanément avec plusieurs entreprises pharmaceutiques, selon toute vraisemblance, le NIAID Moderna devrait mettre en œuvre le vaccin COVID-19 aux États-Unis.
Financement « lié à la crise »
Dans la crise du Covid-19, il est frappant que des institutions qui jouent actuellement un rôle important soient également soutenues par la « Fondation Bill & Melinda Gates ». Par exemple, l'université Johns Hopkins, qui tient à jour les statistiques mondiales sur la crise du Coronavirus diffusées dans tous les médias, reçoit régulièrement des dons importants. Au cours des dix dernières années seulement, plus de 200 millions de dollars ont été transférés à l'université par la Fondation Gates. Ces dons avaient pour but de financer des programmes de planning familial.
En Allemagne, l'Institut Robert Koch, en tant qu'agence épidémiologique nationale responsable, a reçu 250 000 dollars en novembre 2019. La Charité à Berlin — employeur du professeur Christian Drosten, l'un des plus importants conseillers du gouvernement pendant la crise — a reçu un total de plus de 300 000 dollars en 2019 et 2020. Comme pour l'OMS, la présomption d'un conflit d'intérêts est évidente si ces institutions ou leurs employés font des recommandations politiques qui ont un impact sur les entreprises que la Fondation parraine ou dans lesquelles elle investit à des fins financières.
Entre-temps, le site allemand Frag den Staat (« Demandez à l'État ») a été utilisé pour s'enquérir des contacts et des liens financiers entre le ministère fédéral de la santé ou la Charité et la « Fondation Bill & Melinda Gates », dont les résultats pourraient être révélateurs.
Les activités de la Fondation en Allemagne ne se limitent pas aux aspects sanitaires. Elle apporte également un soutien financier aux médias établis. Par exemple, le principal magazine d'information allemand DER SPIEGEL a reçu 2,5 millions de dollars en décembre 2018 et le principal hebdomadaire Die ZEIT a reçu 300 000 dollars en décembre 2019. On peut supposer que ces « dons » ne sont pas vraiment gratuits et qu'en conséquence, les recherches critiques de ces médias concernant les activités de la Fondation Gates sont très peu probables.
En outre, la Fondation Gates est l'un des organisateurs de la simulation de pandémie connue sous le nom d'« Event 201 », qui a eu lieu en octobre 2019, peu avant le déclenchement de la crise du Coronavirus. Les autres participants étaient — encore une fois — l'Université Johns Hopkins et le Forum économique mondial.
Compte tenu des nombreux liens financiers avec des institutions influentes du secteur des soins de santé et des médias, la « Fondation Bill & Melinda Gates » et ses institutions associées devraient faire l'objet d'une attention toute particulière. Cela vaut en particulier pour le rôle éminent que Bill Gates veut assumer dans la gestion des crises et qui lui est également proposé sans aucune considération critique.
Pourquoi l'activisme en faveur de la vaccination ?
À propos de l'objectif de l'activisme de Gates en matière de vaccination, il est bon d'écouter Gates lui-même. Lors d'une conférence du TED en 2010, il a déclaré ce qui suit concernant le problème du CO2 et une partie possible de sa solution :« Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards de personnes. Ce chiffre atteindra environ 9 milliards [dans les toutes prochaines années - NdT]. Maintenant, si nous fournissons le meilleur travail possible concernant les nouveaux vaccins, les soins de santé et les programmes de santé en matière de reproduction, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 %. »
Il affirme ainsi que les vaccinations et les programmes de santé génésique [de reproduction - NdT] peuvent contribuer à réduire la population, ce qui permet de résoudre le problème climatique, même si ce n'est que dans une faible mesure. Cette déclaration contient probablement plusieurs angles que nous ne discuterons pas plus avant ici. Toutefois, on pourrait convenir que de telles mesures ne devraient être prises qu'en coopération avec les personnes concernées et avec leur consentement explicite, ce qui impliquerait avant tout une information complète sur les conséquences et les risques de telles interventions. Le cas suivant illustre que les projets de la Fondation Gates et des institutions qu'elle finance n'en font aucun cas.
Abus de vaccination au Kenya
En octobre 2014, la Commission catholique de la santé du Kenya a porté des accusations dans le cadre des vaccinations contre le tétanos effectuées par l'OMS et l'UNICEF. Le motif invoqué statuait de l'existence de différences par rapport aux campagnes de vaccination précédentes, différences que les autorités ont apparemment considérées comme inhabituelles. Par exemple, l'Église catholique, qui fournit de nombreuses installations médicales, n'a pas participé à la campagne et la publicité a été très limitée, contrairement aux campagnes de vaccination précédentes contre la polio. En outre, les vaccinations contre le tétanos ont été administrées sans nécessité sanitaire particulière et uniquement aux femmes âgées de 14 à 49 ans, ce qui a fait naître la suspicion qu'il s'agissait peut-être de vaccinations « clandestines » dans le cadre d'une contraception forcée. Elles sont liées à l'hormone chorionique gonadotrope humaine, l'hormone nécessaire au déclenchement et au maintien d'une grossesse [ou gonadotropine humaine, ou hCG - NdT].
En février 2015, le gynécologue et obstétricien Dr Wahome Ngare, au nom de l'Association médicale catholique kenyane, a publié un article dans le Catholic Medical Quarterly de la Société médicale catholique de Grande-Bretagne, dans lequel il exposait et justifiait les accusations. Selon son article, le vaccin a été délibérément imposé, et comportait dans sa désignation un numéro de lot différent de celui des vaccins antitétaniques habituels. En outre, cinq séries de vaccination étaient prévues, chacune avec des intervalles de six mois, ce qui est inhabituel pour le tétanos mais normal pour les vaccins contre l'hCG afin d'éviter une grossesse.
Le Dr Ngare a également évoqué ces mesures de stérilisation « cachées » et méthodologiquement similaires à celles du Mexique en 1993, et du Nicaragua et des Philippines en 1994, où des jeunes filles et des femmes ont été stérilisées sans le savoir. Il a décrit comment l'Église catholique — une fois les accusations rendues publiques — s'est plainte auprès du ministère kenyan de la santé et a exigé que soit effectué un test du vaccin : demande rejeté. Dans la suite de l'affaire, les représentants catholiques ont alors réussi à obtenir l'accès à certaines doses de vaccin et à les faire tester par une partie indépendante.
Selon le Dr Ngare, le vaccin contenait l'hormone de grossesse suspectée, ce qui, selon lui, prouve le rôle prépondérant de l'OMS dans les stérilisations massives et délibérées pour le contrôle des naissances. Avant que les analyses secrètes du vaccin ne soient rendues publiques, l'Organisation mondiale de la santé a exprimé sa « profonde inquiétude » quant à la « désinformation » (sic !) émanant de l'Église catholique, et selon laquelle aucune preuve n'existerait. Après la publication des résultats, l'OMS a accepté de soumettre le vaccin à une commission mixte pour une nouvelle analyse.Commentaire : Le Kenya et le Malawi, zones test pour un carnet de vaccination injecté sous la peau :
Selon Le Monde le 19 décembre 2019, La Fondation Gates finance le projet développé par des « « ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l'œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée. »
« Un jour », « c'était la nuit d'ailleurs », dirait Coluche... Ce jour semble-t-il approcher à grands pas ?
Confirmé par les travaux scientifiques
Un article scientifique publié en octobre 2017 par les universités de Louisiane aux États-Unis et de Colombie-Britannique au Canada, en collaboration avec le Dr Wahome Ngare, a confirmé les accusations antérieures. Au lieu de la procédure habituelle pour vacciner contre le tétanos, les cinq vaccinations programmées étaient identiques à celles du contrôle de la population, et la composition exclusive du groupe cible de filles et de femmes en âge de procréer ne pouvait en aucun cas être justifiée de manière convaincante.
De plus, la campagne a été coordonnée depuis un hôtel plutôt qu'un établissement médical, et la livraison et la collecte du vaccin ont été effectuées sous la protection de la police. Le travail des infirmières a également été contrôlé par l'OMS et la police. Les hormones de grossesse ont été détectées dans les doses de vaccin secrètement testées, alors que les doses de vaccin délivrées plus tard par l'OMS se sont avérées systématiquement négatives, ont déclaré les scientifiques. La suspicion d'une tentative de manipulation par l'échange du vaccin est donc évidente et expliquerait également les mesures de sécurité étendues et inhabituelles prises lors du maniement du vaccin original. Le rôle essentiel joué par l'OMS dans les mesures secrètes de stérilisation forcée et donc de contrôle des populations pourrait donc être prouvé en ce qui concerne le Kenya.
La planification du contrôle de la population par l'OMS depuis 1972
Dans ce contexte, les scientifiques se sont également penchés sur l'histoire des mesures de contrôle des populations au sein de l'OMS, qui opère depuis la création de l'organisation en 1945 sous le nom de « planning familial », bel euphémisme s'il en est. Le programme de recherche de l'OMS sur le développement de vaccins pour le contrôle des populations a débuté en 1972 et une étude a été publiée en 1976. Selon les scientifiques, les « services » de stérilisation sans le consentement des personnes concernées organisés par l'OMS sont connus depuis les années 1970, tandis que les cas mentionnés par le Dr Ngare ont également suscité l'indignation au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines dans les années 1990.
La Fondation Gates, créée à l'origine en 1994 par le père de Gates, William Gates Sr., finance encore aujourd'hui des activités de planning familial. Comme mentionné ci-dessus, l'université Johns Hopkins a reçu à cette fin plus de 200 millions de dollars au cours des dix dernières années. En outre, la « Fondation Bill & Melinda Gates » finance également l'organisation Planned Parenthood, dirigée par le père de Bill Gates lorsque le jeune Gates était adolescent, et qui est issue à l'origine de la Ligue américaine pour le contrôle des naissances. Le financement de l'OMS et l'activisme de la Fondation Gates en matière de vaccination, également au nom du contrôle de la population, semblent être le prolongement d'une tradition familiale.
L'abus de vaccination n'est pas un incident isolé ?
Une implication directe de la « Fondation Bill & Melinda Gates » dans l'abus de vaccinations n'a pas été prouvée. Toutefois, des questions restent ouvertes, comme le montre un cas survenu en Inde en 2009. Là-bas, l'organisation PATH, financée par la Fondation, a mené une étude sur 16 000 filles âgées de 9 à 15 ans ayant reçu un vaccin contre le cancer du col de l'utérus. Par la suite, de nombreuses filles sont tombées malades et cinq sont mortes, tandis qu'ailleurs, sur 14 000 enfants, deux n'ont pas survécu aux conséquences de la vaccination. PATH et la Fondation Gates ont été accusés de ne pas avoir informé les parents des enfants — dont la plupart n'étaient pas alphabétisés — sur le vaccin, ses risques et ses objectifs.
L'avocat et critique de la vaccination Robert F. Kennedy Jr. énumère dans un article toute une série d'abus dans les projets soutenus par Gates. Son organisation « Children's Health Defense » met en garde de toute urgence contre un vaccin Gates dans le contexte de la crise du Covid-19.
ID 2020 - L'identité numérique
En ce qui concerne les autres projets financés par la Fondation Gates, une utilisation abusive encore plus importante de la vaccination est plausible.
L'« Alliance pour l'identité numérique », ou « ID 2020 », se dit favorable à la création d'une identité numérique qui permettra aux gens de s'identifier par-delà les frontières tout en gardant le contrôle de leurs données personnelles. Les partenaires fondateurs du projet sont la société Microsoft de Gates, l'alliance GAVI pour la vaccination parrainée par Gates, le cabinet de conseil en gestion Accenture et la Fondation Rockefeller, l'une des fondations les plus anciennes et les plus riches des États-Unis.
Depuis septembre 2019, l'« Alliance pour l'identité numérique » coopère avec le gouvernement du Bangladesh pour y introduire des identités numériques. Cela implique de combiner les vaccinations avec l'enregistrement de données biométriques, telles que les empreintes digitales, pour permettre l'identification numérique de la personne concernée.
En février 2020, 100 millions d'identités numériques avaient été créées, comme l'a indiqué le ministre responsable dans un article pour le Forum économique mondial. Cette série d'identités numériques est commercialisée sous le nom d'« inclusion numérique », censée permettre aux personnes défavorisées de bénéficier des avantages du monde moderne.
Les voyages impossibles sans une « preuve d'immunité numérique » ?
En Europe également, les premières approches visant à établir cette technologie sont en train d'émerger. Le journaliste Norbert Häring, par exemple, rend compte d'une application dans le cadre du programme « Known Traveller Digital Identity » du Forum économique mondial, qui prévoit une communication de données — dans un premier temps sur la base du volontariat pour bénéficier d'un traitement préférentiel dans les voyages aériens.
[Le programme « Known Traveller Digital Identity n'a pas de page Wikipédia, mais sous l'acronyme KTDI, il dispose de son site Web. Ailleurs sur le Web : « Le programme KTDI (Known Traveller Digital Identity) permettra aux personnes de voyager sans documents entre des destinations internationales. Ce programme est en cours d'expérimentation et les passagers inscrits au projet pilote pourront voyager entre le Canada et les Pays-Bas en utilisant leur téléphone portable au lieu de leur passeport. 18 juillet 2019 » - NdT]
À long terme, cependant, une réglementation obligatoire semble également possible, une fois le système mis en place. Bill Gates l'a expliqué le 24 mars dernier dans une interview avec l'animateur de TED, Chris Anderson :« Il nous faudra, à terme, pouvoir disposer de certificats indiquant qui a guéri, qui a été vacciné, parce que les gens se déplacent à travers le monde, et notamment dans certains pays qui n'auront, malheureusement, pas pris les mesures [pour contrôler le Covid-19 - NdT]. Il est impossible d'empêcher totalement ces personnes d'aller dans ces pays, d'en revenir et de se déplacer partout. Il y aura donc un jour une sorte de preuve d'immunité numérique, qui facilitera la réouverture du monde [après le confinement]. »
La dernière phrase — très explosive — a été coupée dans la version officielle TED de l'interview (minute 33:55). Les commentaires de Norbert Häring sur ces propos :« Avoir la preuve sous forme numérique semble pratique car c'est plus rapide et plus facile. Mais pour qu'une preuve numérique pour les voyages internationaux soit applicable dans le monde entier, il faut un lieu de stockage des reçus qui soit considéré comme sûr et généralement accessible, une norme pour l'échange de données qui fonctionne partout et une norme mondiale pour certifier l'authenticité d'une telle preuve. Le « Known Traveller Digital Identity Program », qui est piloté par la Sécurité intérieure des États-Unis et le Forum économique mondial, veut développer et mettre en œuvre tout cela. Bill Gates est l'un des membres les plus influents du Forum économique mondial, si ce n'est le plus influent.
La coopération actuelle entre Google et Apple, qui consiste à fournir une application « corona » unifiée pour identifier les éventuels individus infectés par le Covid-19 pour les deux systèmes d'exploitation de téléphonie mobile monopolistiques, Android et iOS, pourrait créer le lieu de stockage accessible à l'échelle mondiale. [...] Et déjà le programme Known Traveller est prêt avec une première application. [...] Chacun peut décider par lui-même s'il veut voyager et utiliser l'application, ou s'il préfère rester chez lui.
Comme Google et Apple travaillent de toute façon en étroite collaboration et en toute confiance avec les autorités de sécurité et les services de renseignement, il ne sera pas difficile d'ajouter d'autres domaines d'application. Tout d'abord, les autorités de sécurité peuvent cocher la case « ne peut pas voyager » ou « à surveiller de près » si nécessaire. Ensuite, le système pourra être affiné à volonté [...] Grâce au Covid-19, le meilleur des mondes s'approche à pas de géant. »
À long terme, ces mesures permettent un contrôle complet auquel sera exposée toute personne qui souhaite encore participer à la vie, de quelque manière que ce soit. L'actuelle situation de crise semble maintenant fournir un prétexte approprié pour accélérer la mise en œuvre de ces plans.
L'interview complète (en anglais) : https://youtu.be/R3VowBAYKZo
« Nous allons administrer ce vaccin à sept milliards de personnes »
Le 12 avril, le principal journal télévisé allemand « ARD Tagesthemen » a offert une tribune à Bill Gates lui permettant de présenter son projet au public allemand. L'animateur, Ingo Zamperoni, a joué le rôle d'assistant de Gates dans une discussion qui ressemblait plus à une conférence de presse de la « Fondation Bill & Melinda Gates » qu'à un programme d'information destiné à clarifier les choses. Dans le droit fil de M. Gates, M. Zamperoni est arrivé à la conclusion que « malgré tous nos efforts, nous ne pourrons contrôler la pandémie que si nous développons un vaccin. »
Gates s'est dit d'accord et a souligné que nous ne pourrions revenir à la normale « uniquement lorsque nous aurons trouvé un remède miracle qui fonctionne dans 95 % des cas ou lorsque nous aurons mis au point un vaccin. » Il a également souligné que « nous » (Sic !) allons finalement administrer ce vaccin à venir « à sept milliards de personnes ». La question se pose de savoir à qui Bill Gates pense lorsqu'il parle de « nous » dans ce contexte. On peut supposer qu'il s'agit aussi des institutions soutenues par sa fondation.
Une approche plus critique de la Fondation Gates et de ses activités, ainsi qu'une information approfondie sur les développements déjà en cours, notamment en ce qui concerne la combinaison de l'activisme en matière de vaccination, de l'identité numérique et d'un contrôle et d'une surveillance de grande envergure, semblent nécessaires, et de toute urgence.
Les mesures qui sont devenues possibles entre-temps se manifestent par l'autorisation légale au Danemark de tests obligatoires, de vaccinations obligatoires et de traitements médicamenteux obligatoires. Si ces mesures et ces structures ne sont pas portées à la connaissance d'un plus large public, la société pourrait, dans la situation actuelle de crise, devenir somnambule et se retrouver dans un état de police et de surveillance dont elle pourrait ne pas avoir pleinement conscience tant que les menottes numériques ne seront pas complètement verrouillées.
À propos de l'auteur : Eric Wagner, né en 1990, a étudié l'éducation, l'histoire et les sciences politiques à Leipzig, suivies d'études en Europe du Sud-Est à Belgrade et Ljubljana. Il travaille comme éducateur dans une école communautaire gratuite en Allemagne.
Source de l'article initialement publié le 16 avril 2020 : Multipolar
Traduction : Sott.netCommentaire : Voir aussi :
- La vaccination obligatoire votée au Danemark
- Bill Gates : L'incroyable arnaque derrière sa fondation
- La Fondation Gates finance un système de surveillance des contestataires des vaccins
Et en anglais :
- White House petition to investigate Bill Gates for crimes against humanity to hit half a million signatures - 5 times the number to qualify
- Dr. Ron Paul interview: Bill Gates & Tony Fauci are determined to run the world by vaccines
- Why the World Health Organization treats Bill Gates like a president
- Objective:Health - Bill Gates: Philanthropist, World Savior, AntiChrist
- Bill Gates has been controlling the WHO
_________________
Le CHAPELET QUOTIDIEN récité avec vous : https://catholique.forumactif.com/t1-le-chapelet-quotidien-recite-avec-vous-gilbert-chevalier#1
Re: News au 15 juin 2020
- 5 -
On veut à tout prix nous faire accepter le soit-disant futur vaccin !
Sources : www.konbini.com/…/medecins-du-mon…
www.medecinsdumonde.org/…/medecins-du-mon…
https://mobile.francetvinfo.fr/sante/...
www.francesoir.fr/…/deux-medecins-q…
www.youtube.com/watch
www.francetvinfo.fr/…/coronavirus-ce-…
https://association-victimes-coronavi...
www.egora.fr/…/44557-inedit-un…
www.ilmessaggero.it/…/seconda_ondata_…
_________________
Le CHAPELET QUOTIDIEN récité avec vous : https://catholique.forumactif.com/t1-le-chapelet-quotidien-recite-avec-vous-gilbert-chevalier#1
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