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News au 30 juillet 2020

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 30 Juil - 11:49

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 30 Juil - 11:52

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 30 Juil - 12:02

- 1 -
     
News au 30 juillet 2020 Remède-anti-covid-400x267

Nous avons un traitement dans le COVID-19 et il ne fait pas les affaires de l’industrie et de leurs experts !

L’hydroxychloroquine (HCQ) est efficace pour traiter le COVID-19. 

Elle est efficace pour enrayer l’évolution de la maladie, à condition d’être donnée assez tôt et de respecter contre-indications et sécurité d’emploi (cardiaque). 

Elle ne coûte rien et la puissante industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler. Elle a utilisé tous les moyens à sa disposition pour la faire proscrire et la diaboliser, dont la publication dans la revue médicale la plus prestigieuse (Lancet) d’un article frauduleux retiré 12 jours après. 

La littérature scientifique, la médecine, les gouvernements et les médias qui leur sont affidés en sortent plus méprisables et affaiblis que jamais.

Arrêtons de dire qu’il n’y a aucun traitement pour le COVID-19 ou que seul un vaccin va nous sauver !

Il y a un traitement pour cette maladie, pas aux soins intensifs, là c’est trop tard, mais pour empêcher d’aller aux soins intensifs, donc à donner suffisamment tôt, par les médecins généralistes ou des urgences.

Harvey Risch, MD, PhD, est professeur d’épidémiologie à la célèbre université de Yale (Yale School of Public Health).

« En tant que professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health, j’ai rédigé plus de 300 publications évaluées par des pairs et j’occupe actuellement des postes de direction au sein des comités de rédaction de plusieurs revues de premier plan. J’ai l’habitude de défendre des positions au sein des courants de la médecine, j’ai donc été déconcerté de constater qu’en pleine crise, je dois me battre pour un traitement soutenu pleinement par les données, mais qui pour des raisons n’ayant rien à voir avec une compréhension correcte de la science, a été mis à l’écart. En conséquence, des dizaines de milliers de patients atteints de COVID-19 meurent inutilement. Heureusement, la situation peut être inversée facilement et rapidement.
Je parle, bien sûr, du médicament hydroxychloroquine. »

Ces résultats montrent que le temps écoulé entre l’infection et le début du traitement est crucial pour l’efficacité de l’hydroxychloroquine en tant que traitement du Covid-19… 

« Il s’agit d’une preuve statistique solide que le traitement à l’hydroxychloroquine réduit la proportion de patients symptomatiques lorsqu’il est utilisé en prophylaxie juste après l’exposition, surtout si le traitement commence en 2 jours. »

L’hydroxychloroquine (HCQ) [1] est prescrite dans la malaria (paludisme) et dans des maladies auto-immunes (lupus érythémateux, polyarthrite rhumatoïde) [2] depuis très longtemps.

L’efficacité antivirale de l’HCQ est démontrée in vitro depuis longtemps, mais également dans le cas du SRAS-CoV-2 (COVID-19) [3]. 

L’azithromycine, un antibiotique associé à l’HCQ dans le protocole marseillais mis au point par l’équipe du professeur D Raoult [4] est également antivirale.

Des études confirment le rôle antiviral du zinc [5-6] ainsi que sa capacité à inhiber un virus comme le SRAS-CoV-2 [7].

Donc, HCQ, azithromycine et zinc sont trois antiviraux. Ils se soutiennent l’un l’autre : des études ont montré que le zinc facilite la pénétration intracellulaire de l’HCQ et augmente son action antivirale [8].

L’HCQ est un médicament bon marché.

Ses effets secondaires sont connus des médecins ; ils sont faciles à maîtriser.

L’efficacité antivirale de l’HCQ repose sur des données expérimentales solides, l’expérience d’une équipe experte dans ces domaines (infectiologie, virologie) et sur des résultats cliniques probants [9] : diminution de la période contagieuse, diminution de la durée des symptômes, blocage de l’évolution vers une forme sévère.

Ces bénéfices ont été vérifiés par des médecins français [10-11-12] et par des médecins d’autres pays, Maroc, Algérie, Corée du Sud, Chine [13-14-15].

La sécurité cardiaque est facile à optimiser, en particulier sous contrôle médical [16].

À force de ne montrer que les études ou avis scientifiques à charge de l’hydroxychloroquine, focalisant sur son inefficacité et/ou ses dangers, sans mentionner les études et avis à décharge qui prouvent son efficacité, les médias partiaux ont semé une vision biaisée, mensongère dans l’esprit du public.

Lorsque les études à charge en question se sont révélées fausses ou truquées, comme cette étude pourtant publiée dans The Lancet le 22 mai 2020 [17], scandale obligeant la revue à rétracter l’étude le 4 juin 2020, les médias n’en ont pas parlé !

Lorsque des études viennent confirmer l’efficacité de l’hydroxychloroquine (HCQ) dans le COVID-19 [18], les médias ne s’en font pas l’écho !

« La somme de données probantes plaide aujourd’hui solidement pour l’efficacité de ce traitement (HCQ), mais les médecins et le public sont convaincus du contraire suite à cette sélection. » [19] 

À l’inverse, malgré leur danger réel et leur inefficacité, des antiviraux (Remdesivir) sont encensés par ces médias !

Donc, où est le vrai problème avec l’HCQ ?

  • Bloquer l’accès au marché aux antiviraux (comme le Remdesivir-Gilead) beaucoup plus rentables pour l’industrie pharmaceutique que l’HCQ ?

  • Rendre caduque l’intérêt d’un vaccin urgent (et très rentable également pour la même industrie pharmaceutique) ?

Dans la foulée de telles hypothèses, certains journalistes naïfs ou complices vont crier à la conspiration. Pourtant, c’est documenté, prouvé ! 

La corruption de la science comme de la médecine par l’industrie concernée est développée, étayée, démontrée, expliquée depuis de nombreuses années.

Des auteurs, chercheurs et lanceurs d’alerte ont prouvé ces malversations.

Parmi eux, nous retrouvons des journalistes, des médecins, des professeurs, des doyens d’université, des chargés de cours à l’université ou dans de hautes écoles, des députés, des pharmaciens, des vétérinaires, des PDG repentis de compagnie pharmaceutique, des experts internationaux et des rédacteurs en chef repentis de grande revue scientifique [20 à 32].

Que faut-il de plus ?

L’industrie pharmaceutique, lobby le plus puissant de tous [33-34], a infiltré, noyauté l’ensemble des organes décisionnels officiels de la plupart des pays.

Cette corruption pandémique a des ramifications à tous les niveaux de la société [35-36-37] y compris, voire surtout, dans les pouvoirs publics [38] censés protéger la santé des populations.

Personne n’est épargné.

Des milliards (dollars, euros) sont en jeu [39]. 

1000 milliards d’euros de profit en 20 ans ! Aucune éthique n’est de taille à lutter contre ça, dans un monde comme le nôtre.

Vous pensez que cette industrie surpuissante ferait l’impasse sur les bénéfices engendrés par les antiviraux (autrefois Tamiflu° de Roche, aujourd’hui Remdesivir de Gilead) ou par les vaccins ?

Et laisserait passer un traitement qui ne leur rapporte plus rien : l’HCQ ?

Dès le début de la crise, la Belgique s’est dotée d’un « comité scientifique COVID-19 ». 

Ce comité n’est pas transparent ! Tout au plus connaissons-nous quelques personnalités de ce comité dont certaines étaient déjà à la manœuvre en 2009 pour faire acheter au gouvernement des millions de doses de vaccins contre le H1N1, au profit cette fois de GSK (Glaxo SmithKline).

En 2020, dans la crise COVID-19, nous retrouvons les mêmes personnes, les mêmes scénarios :

Promouvoir les tests [40-41], les antiviraux chers aux firmes, et surtout, la vaccination, comme en 2009 :

« Invité dans une émission de Radio 1, le virologue Marc van Ranst (l’un des chefs du comité de sécurité COVID-19 en Belgique) a rappelé que le développement d’un vaccin était le seul moyen de se débarrasser durablement du nouveau coronavirus. » [42].

Même si cette phrase doit faire très plaisir aux firmes pharmaceutiques et à leurs lobbys, et même si aucun journaliste des médias dominants ne remet ce genre d’assertion en question, le public, lui, mérite une information plus proche de la vérité. 

Non, le développement d’un vaccin n’est pas le seul moyen de se débarrasser durablement du nouveau coronavirus !

L’hydroxychloroquine (HCQ) est moins chère, moins dangereuse et nous l’avons déjà !

Dr Pascal Sacré
 

Notes :

[3] In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2), Clin Infect Dis 9 mars 2020. Hydroxychloroquine was found to be more potent than chloroquine to inhibit SARS-CoV-2 in vitro.

[4] Coronavirus : Protocole, risques, 20minutes.fr, 25 mars 2020

[5] Correspondance du Dr Vladimir Zelenko sur le traitement du COVID-19 à New York, hydroxychloroquine + azithromycine + zinc, en résumé, ma recommandation urgente est de commencer le traitement en ambulatoire dès que possible conformément à ce qui précède. D’après mon expérience directe, ce traitement permet de prévenir le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), d’éviter de devoir être hospitalisé et de sauver des vies.

[6] Zinc as a Gatekeeper of Immune FunctionNutrients. 2017 Dec ; 9(12) : 1286.

[7] Zn (2+) inhibits coronavirusPLoS Pathog. 2010 Nov 4;6(11):e1001176.

[9] Christian Perronne : “À Garches, nous avons de bons résultats avec l’hydroxychloroquine”, 15 avril 2020, Fervent défenseur du traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine, pour le Pr Christian Perronne la question de son efficacité ne se pose plus. Chef du service infectiologie de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, il le constate tous les jours depuis le début de l’épidémie : le traitement du Pr Raoult soigne et réduit considérablement les passages en réanimation. 

[10] Riposte à la covid-19 : la saine colère du Dr BELLATON, Source : page Facebook de Silviane Le Menn, 20 avril 2020.

[11] Coronavirus : le bilan très positif d’un praticien lorrain qui prescrit l’hydroxychloroquine, le Républicain Lorrain, Philippe Marque, 6 avril 2020. Le bilan est plus que positif : « J’ai utilisé ce protocole sur une dizaine de patients hospitalisés, qui ont donc un Covid-19 déjà relativement inquiétant, et je n’ai eu ni décès ni aucune évolution vers un stade grave nécessitant une réanimation. »

[12] Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine, le Républicain Lorrain, Thierry Fedrigo, 11 avril 2020. Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.

[14] Des médecins algériens attestent de l’«efficacité quasi totale» de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 27 avril 2020. Les chefs de services de maladies infectieuses d’un hôpital à Blida et d’un autre à Alger affirment que le protocole à base d’hydroxychloroquine, suivi dans le traitement des patients atteints du coronavirus, donne un résultat positif «quasi total»

[15] Après l’Algérie, le Maroc encense l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 1 mai 2020. Le protocole thérapeutique à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine utilisé contre le Covid-19 « a donné des résultats positifs » au Maroc, a déclaré le ministre de la Santé, précisant que les « effets secondaires sont minimes ».

[16] PROCÉDURE DE SÉCURISATION DE LA PRESCRIPTION DU TRAITEMENT HYDROXYCHLOROQUINE/AZITHROMYCINE, Service de cardiologie, Pr Deharo, Hôpital La Timone, AP-HM, Marseille, France, 1 avril 2020

[20] La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, comment elles nous trompent, comment les contrecarrer, Marcia Angell, MD, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, traduction en français, les éditions le mieux-être, 2005.

[21] Un député et son collab’ chez Big Pharma, Cyril Pocréaux et François Ruffin, Fakir éditions, 2018

[22] Sanofi Big Pharma, l’urgence de la maîtrise sociale, Danielle Montel, Daniel Vergnaud, Danielle Sanchez, Thierry Bodin, Editions Syllepse, 2014

[23] Le grand secret de l’industrie pharmaceutique, Philippe Pignarre, La découverte/Poche 2004

[24] Les inventeurs de maladies, manœuvres et manipulations de l’industrie pharmaceutique, Jörg Blech, Actes Sud, 2005

[25] La Guerre des Médicaments, pourquoi sont-ils si chers ? Dirk Van Duppen, Aden éditions, collection epo, 2005

[26] La fabrique de malades, ces maladies qu’on nous invente, Dr Sauveur Boukris, le cherche midi éditions, 2013

[27] Impostures pharmaceutiques, médicaments illicites et luttes pour l’accès à la santé, Mathieu Quet, les empêcheurs de penser en rond / La découverte, 2018

[28] Big Pharma, une industrie toute-puissante qui joue avec notre santé, coordonné par Mikkel Borch-Jacobsen, Les Arènes, 2013

[29] Médicaments effets secondaires : la mort, les laboratoires nous trompent. John Virapen, le cherche midi éditions, 2014

[30] Santé-business ou la santé bafouée, Henri Van den Eynde, Editions EPO, 1995

[31] Corruptions et crédulité en médecine, Pr Philippe Even, Le cherche midi, 2015

[32] les médicamenteurs, labos, médecins, pouvoirs publics : enquête sur des liaisons dangereuses, Stéphane Horel, éditions du moment, 2010


Dernière édition par Gilbert Chevalier le Sam 1 Aoû - 17:42, édité 1 fois
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 30 Juil - 15:22

- 2 -

Une nouvelle étude scientifique
suggère que les Radiations 5G
seraient liées à une infection au coronavirus

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Le site GreenMedInfo publie une analyse d’un nouvel article publié dans le Journal of Biological Regulators & Homeostatic Agents qui « postule qu’il pourrait y avoir une relation unique et causalement liée entre l’exposition aux ondes millimétriques 5G et le coronavirus – une idée qui, bien que largement discutée au début de la crise mondiale du COVID, a finalement été rejetée comme « Théorie du complot » par les médias traditionnels et les représentants du gouvernement, entraînant une censure généralisée sur les plateformes de médias sociaux. »

GreenMedInfo donne les explications suivantes :

« La nouvelle étude, intitulée Technologie 5G et induction du coronavirus dans

les cellules de la peau, rédigée par une collaboration internationale de scientifiques italiens, américains et russes, suggère que le rayonnement 5G peut être absorbé par des cellules dermatologiques qui agissent comme des antennes *, transférant ainsi ses effets sur d’autres cellules, y compris l’activation de processus de biosynthèse à base d’ADN dans le noyau de la cellule, pouvant entraîner la synthèse de novo de coronavirus dans des cellules biologiques.

Les auteurs décrivent comment cela peut fonctionner comme suit :

« L’ADN est construit à partir d’électrons et d’atomes chargés et a une structure semblable à un inducteur. Cette structure pourrait être divisée en inducteurs linéaires, toroïdaux et ronds. Les inducteurs interagissent avec les ondes électromagnétiques externes, se déplacent et produisent des ondes supplémentaires dans les cellules. Les formes de ces ondes sont similaires aux formes des bases hexagonales et pentagonales de leur source d’ADN.

Ces ondes produisent des trous dans les liquides à l’intérieur du noyau. Pour combler ces trous, des bases hexagonales et pentagonales supplémentaires sont produites. Ces bases pourraient se joindre les unes aux autres et former des structures de type virus telles que le coronavirus.

Pour produire ces virus au sein d’une cellule, il est nécessaire que la longueur d’onde des ondes externes soit plus courte que la taille de la cellule. Ainsi, les ondes millimétriques 5G pourraient être de bons candidats pour la construction de structures de type virus telles que les coronavirus (COVID-19) dans les cellules. »

L’idée selon laquelle l’une des causes de maladie associées à la crise du coronavirus dérive d’une exposition aux rayonnements électromagnétiques non natifs, y compris des ondes millimétriques 5G, a été proposée par le Dr Thomas Cowan (…) Cela a été qualifié d’informations «fausses et nuisibles» sur une variété de médias sociaux et de plateformes de médias grand public mondiaux.

Selon Cowan, les ondes millimétriques 5G peuvent induire des dommages cellulaires qui entraînent l’excrétion du contenu cellulaire, qui comprend des acides nucléiques et des exosomes (nanoparticules de type virus produites dans les cellules en tant que formes naturelles de communication intercellulaire).

Ces débris, qu’il décrit dans le cadre de la détoxification des cellules endommagées («caca cellulaire»), peuvent être identifiés à tort comme des virus exogènes comme le coronavirus et peuvent entraîner des faux positifs sur les tests RT-PCR, qui sont notoirement inefficaces distinguer des souches spécifiques de virus et les identifier avec certitude.

Bien que cette idée diffère légèrement de celle proposée par les auteurs de l’étude, elles se chevauchent de manière significative. Dans les deux explications, le rayonnement associé à la 5G induit des changements cellulaires qui sont identifiés comme étant causés par le «virus COVID».

Il reste à déterminer s’il y a ou non une synthèse de novo des coronavirus à la suite de l’exposition aux rayonnements 5G, ou si les dommages à la cellule produisent ou non des débris contenant le virus COVID comme l’acide nucléique.

Mais dans les deux scénarios, ce qui est perçu comme une maladie COVID de l’extérieur peut en fait être le sous-produit de changements cellulaires résultant d’une exposition aux CEM et non une infection virale exogène, comme on le suppose généralement.

Le Dr Andrew Kaufman a également exploré ce sujet et découvert que ce que l’establishment médical grand public mondial et les médias identifient comme «COVID-19» est probablement que nos propres exosomes sont sécrétés par des cellules saines ou endommagées. »

- - -
* Incidemment, la notion selon laquelle les méfaits du rayonnement 5G s’étendent au-delà de la surface de la peau, telle qu’elle est communément évoquée par l’industrie des télécommunications et ses futurs régulateurs, et que la peau humaine peut agir comme un récepteur de rayonnement 5G a été discutée dans un article publié. en 2018, intitulé La peau humaine en tant que récepteur sous-THz – La 5G représente-t-elle un danger ou non? »
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 30 Juil - 17:21

- 3 -

[Le tableau qui suit est effrayant, apocalyptique : l’État profond dirigé par l'Antéchrist (pour lors Bergoglio) prend les rênes du monde par la terreur, et cette élite maçonnique va réussir, et ce seront les trois ans et demi de l'Antéchrist : la mort est désormais à nos portes.]

COVID-19,
le verrouillage et la destruction au niveau mondial :
Impacts économiques et sociaux
    
News au 30 juillet 2020 Covid-19--400x267

Destruction planifiée de l’économie mondiale

Ce que nous devons comprendre, c’est que la destruction au niveau mondial, pays par pays – qui se produit simultanément – n’est pas une coïncidence.

Elle a été planifiée depuis des décennies. Des milliers de pages ont été écrites intégralement pour la préparation de documents, comme le rapport Rockefeller 2010 et la réalisation de l’Événement 201 (Event 201) à New York le 18 octobre 2019, ainsi que pour réaliser des « études » pour l’OMS, ce afin de présenter le nouveau coronavirus (SARS-2-2019/COVID-19) comme étant une pandémie. Cela a finalement provoqué un verrouillage mondial vers la mi-mars 2020.

Pour mettre au point ces outils décisionnels et d’autres encore, les dirigeants de l' »État profond » et leurs bellicistes ont dû passer au travers de nombreuses pages et assister à des dizaines de réunions secrètes. Aujourd’hui, les personnes anonymes de l’establishment financier et de l’État profond ont le pouvoir de vie et de mort de l’humanité. – [url=http://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller Foundation.pdf]comme ce qui a été prédit dans le rapport Rockefeller de 2010 (p.18, Le scénario du Lockstep[/url]) (voir ci-dessous) et tel que le confirme l’Événement 201.

Les références au rapport Rockefeller 2010 et aux versions préliminaires, ainsi que celles qui ont conduit aux décisions de « pandémie » et de « verrouillage » étaient facilement accessibles il y a encore quelques semaines seulement. Aujourd’hui, l’internet a été largement « épuré » par Google, ou censuré, en déclarant que tout ce qui révèle les intentions diaboliques de ce « plan diabolique » est une « fausse nouvelle ».

News au 30 juillet 2020 Screen-Shot-2020-07-25-at-11.12.45
 
L’Événement 201, organisé par John Hopkins avec Gates et le WEF, consistait en un exercice de simulation de la pandémie que nous vivons actuellement :

« Le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé l’événement 201, un exercice de simulation de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, NY. L’exercice a illustré les domaines dans lesquels des partenariats public/privé seront nécessaires lors de la réponse à une pandémie grave afin de diminuer les conséquences économiques et sociétales à grande échelle ».

Event 201 Pandemic Exercise: Highlights Reel

De tout cela sont nés des documents sur des documents d’instructions et des scénarios, sur la façon de contrôler l’humanité – réduire la population – l’eugénisme à son meilleur – et comment la petite « Élite obscure et puissante » finira par nous avoir en nous obligeant tous à porter un masque, faire de la distanciation sociale, afin d’éviter que nous nous parlions et nous nous réunissons.

News au 30 juillet 2020 Screen-Shot-2020-07-25-at-10.42.02

Le non-respect de ces obligations peut être sanctionné. Le refus d’une mise en quarantaine – c’est-à-dire d’un isolement – dans certains États américains des moniteurs de surveillance sont placés à la cheville.

C’est la peur d’un ennemi invisible – un virus – qui menace nos vies, alors ils nous font croire – et divisent les croyants des non-croyants, et la propagande diabolise les non-croyants en objets de haine – en obtenant un regard haineux désobligeant de la part de passants masqués… oui, la vieille division pour conquérir et régner [« il faut dicviser pour régner »]. C’est ce qui se passe.

Destruction de l’économie mondiale

Pendant ce temps, l’économie mondiale s’effondre, les faillites se multiplient – et le chômage qui en découle prend des dimensions sans précédent – inégalées dans l’histoire de l’humanité – en surpassant de très loin la crise la plus grave de 1929-1933. Et nous n’avons même pas encore vu la pointe de l’iceberg.

Après plus de six mois de Covid-19, l’OIT (Bureau international du travail) fait état d’environ un demi-milliard de personnes au chômage ou sous-employées dans le monde entier,. Sur ce nombre, un nombre impressionnant de 267 millions de jeunes (âgés de 15 à 24 ans) ne sont pas employés, ne suivent pas d’études ou de formation, et beaucoup plus nombreux sont ceux qui subissent des conditions de travail inférieures aux normes.

Dans les pays du Sud – ou les pays dits en développement -, 60 à 70 % de la main-d’œuvre est informelle, sans filet de sécurité sociale, sans prestations sociales – sans obligations contractuelles de la part des employeurs. Les gens sont livrés à eux-mêmes. Enfermés durant la quarantaine ? – Comment ont-ils pu faire, ils doivent chercher du travail, en gagnant de quoi se payer un repas quotidien pour eux-mêmes, et souvent aussi pour leur famille. La famine sévit déjà. Et les décès dus à la famine ne sont pas signalés, ou ils sont simplement attribués à la Covid-19, « renforçant » les statistiques pour la volonté des maîtres diaboliques.

Au plus fort de la crise de 2020 et au-delà – l’OIT prévoit jusqu’à 2 milliards de personnes – 58 % de la population active totale du monde pourrait être au chômage ou sous-employée (population active totale du monde 2019 : 3,46 milliards). Que dire de la pauvreté, de la famine, de la misère et du désespoir – de la mort par une multitude de maladies, autres que la « maladie de Covid », mais plutôt liées à la malnutrition et à la déficience des services de santé, au désespoir et finalement au suicide ?

Selon le Programme alimentaire mondial, environ 9 millions de personnes meurent chaque année de la famine et de maladies liées à la faim. Ce chiffre pourrait atteindre – et atteindra probablement – 1,5 à 2,0 milliards de personnes vulnérables à la famine, dont beaucoup encore pourraient mourir. Imaginez, environ un quart de la population mondiale pourrait mourir de sous-alimentation voire de famine. En fait, ceci est provoqué par le canular Covid, autrement dit à cause de la propagande de peur de la Covid favorisant le confinement.  Ces mesures [anti-Covid-19] ont été suivies scrupuleusement par tous les gouvernements du monde, mais il ne s’agit pas d’une coïncidence. Une mauvaise gestion injustifiée d’une crise, fabriquée de toutes pièces, pourrait entraîner un changement majeur dans le monde.

Le cas de l’Allemagne

Une équipe de dix médecins et professeurs allemands de renom, virologues et immunologistes, a été chargée par le ministère allemand de l’intérieur en mai dernier d’analyser toutes les facettes (médicales, économiques, sociales) de la crise de la COVID-19. Ils ont conclu que le gouvernement allemand avait mal géré la crise du coronavirus.

  • La dangerosité de la Covid-19 a été surestimée : probablement à aucun moment le danger posé par le nouveau virus n’a dépassé le niveau normal.

  • Les personnes qui meurent du coronavirus sont essentiellement celles qui, statistiquement, mourraient cette année, car elles sont en fin de vie et leur corps affaibli ne peut plus faire face à un stress quotidien aléatoire (y compris les quelque 150 virus actuellement en circulation).

  • Dans le monde, en un quart d’année, il n’y a pas eu plus de 250 000 décès dus à la Covid-19, contre 1,5 million de décès [25 100 en Allemagne] lors de la vague de grippe 2017/18.

  • Le danger n’est évidemment pas plus grand que celui de nombreux autres virus. Rien ne prouve ce danger et il s’agirait donc d’une fausse alerte.

  • On pourrait critiquer le gouvernement dans ce sens : Lors de la crise du coronavirus, l’État a prouvé qu’il était l’un des plus grands producteurs de fausses nouvelles.

L’équipe médicale a proposé une session d’urgence avec le gouvernement allemand pour prendre des mesures immédiates pour relancer l’économie, l’emploi et rétablir la normalité de la vie sociale. Il semble que le gouvernement allemand n’a pas répondu à cette proposition pertinente.

L’Allemagne est un pays représentatif des gouvernements du Nord et du Sud. Ils suivent des ordres stricts, auxquels ils doivent obéir à tout prix.

L’exemple de la Suède


Peu de pays se sont opposés aux ordres. L’un d’eux est la Suède. Les Suédois n’ont pas fermé le pays et l’économie, mais ils ont été particulièrement attentifs aux personnes âgées et aux autres groupes vulnérables. Ils n’ont plus de dégâts que les autres pays européens. Bien au contraire. Les Suédois se sentent moins déprimés, moins désespérés, ils sont donc en meilleure santé et leur économie n’a pas été démantelée.

La Suède pourra-t-elle maintenir son modèle « exceptionnel » de gestion de l’épidémie COVID-19? – Ou les ordres des « autorités supérieurs » exigeront-ils de la Suède de modifier leur stratégie face à la crise ?

Que se passerait-il si un gouvernement voulait sauver son économie et sa population et osait ne pas obéir à ces ordres ?  Quelle est l’étendue des pressions exercées ou des menaces ? Ou quelle est la « récompense » accordée à ceux qui obéissent ?

Propagande, désinformation et corruption

Le plan, tel qu’il se déroule, continuera à utiliser les médias pour une propagande importante, la COVID-19 est tous les jours à la une des nouvelles. Il n’y a pas un seul bulletin d’information qui n’ait pas la COVID-19 en tête d’affiche. Et cela est présenté toujours de manière effrayante : il y a tellement de nouvelles infections depuis la veille et on continue à présenter un nouveau record pour le mois. Les taux de mortalité augmentent… Par ailleurs, on ne parle jamais du nombre de personnes qui ont récupéré du Covid-19, et encore moins de la manière dont ces statistiques sont établies [collecte des données], et des critères définis pour considérer une personne comme infectée ou non par la covariose 19.

Chaque pays, ou même chaque « sous-pays » – chaque État des États-Unis – a ses méthodes, et aucune instance indépendante ne vérifie ces méthodes et ces chiffres. De temps à autre, certains médecins ou virologistes sortent de leur cadre verrouillé et divulguent leurs doutes et leurs expériences. Il s’agit surtout de ceux qui ne craignent pas de perdre leur emploi, mais, à dire vrai, il s’agit de professionnels dont la préoccupation première est avant tout l’humanité plutôt que se soumettre à la corruption du système.

Après avoir fait l’assouplissement des restrictions [déconfinement graduel], les décisions des gouvernements sont inversées (sur la base d’une augmentation des nouveaux cas que personne ne vérifie !). Ils réintroduisent des mesures radicales comme par exemple l’obligation du port du masque. Ils menacent les personnes qui ne voudraient pas se conformer à ses exigences plus stricts.

En Espagne, après une longue quarantaine, les restrictions [relatives à la Covid-19] avaient été assouplies. Les gens se réjouissaient, dansaient dans les rues. Maintenant, le recul prévisible arrive. Les gens doivent à nouveau porter des masques, dans les lieux publics, dans la rue et même à la plage. Ceux qui désobéissent risquent une amende de 100 euros. Un contrecoup sur le plan psychologique. Un nouveau sentiment de désespoir.

Il y aura des vagues d’assouplissement et de renforcement des restrictions imposées par la loi [concernant la Covid-19], avec des contrôles de plus en plus sévères et des libertés plus restreintes-.  Tout cela s’effectuera grâce à une importante propagande de peur – pour soi-disant le bien-être et la santé des citoyens. Pourtant on a affaire à une pandémie dont plus de 97 % des personnes infectées se remettent et où le taux de mortalité par infection est en moyenne d’environ 0,7 %, et qui est très similaire à la grippe saisonnière !

Le vaccin

Ce scénario continuera jusqu’à ce qu’un vaccin soit prêt . Les gens en auront tellement marre de ce « jeu » qu’ils se soumettront volontairement au vaccin, même si celui-ci n’a pas été testé et qu’il est dangereux. Peu importe que ces vaccins introduisent très probablement une protéine altérant l’ADN, et qu’ils soient éventuellement associés à une sorte de nanopuces pouvant être contrôlées et manipulées à distance. C’est la raison principale des ondes électromagnétiques 5G, dont les dangers pourraient être bien pires que ceux de la Covid.

Les vaccins modifiant l’ADN – c’est-à-dire modifiant génétiquement le génome humain – n’ont jamais été testé sur l’homme. C’est ce que Monsanto fait aux plantes et aux cultures vivrières, en les transformant en organismes génétiquement modifiés – OGM. GAVI, l’Alliance pour les Vaccins, créée et financée par la Fondation Bill et Melinda Gates et Glaxo-Smith-Klein – l’un des principaux producteurs de vaccins pharmaceutiques, soutenu par l’OMS, prévoient de « Monsanto-niser » notre génome, pour mieux contrôler l’humanité – et non pas pour assurer une meilleure santé des personnes, c’est certain. Pouvez-vous imaginer ce que prépare le gros budget de Bill Gates ? – Allez-vous permettre qu’on vous « monsantisnise » ?

Souvenez-vous du TED Talk de Bill Gates en Californie du Sud en février 2010, où il a déclaré : « lorsque nous faisons du bon travail (en faisant référence à la vaccination), nous pouvons être en mesure de réduire la population mondiale de 10 à 15 % ».

Numériser nos vies

De là découle la numérisation complète de nos vies : une société sans argent liquide, uniquement de l’argent numérique contrôlée par les banques, vos dossiers de santé accessibles à qui veut bien les connaître – vos comptes bancaires vulnérables à toute interférence extérieure – numérique bien sûr. Beaucoup de gens, en particulier les jeunes, pensent que l’argent numérique est « tellement cool » – il suffit de glisser une carte et l’achat est fait. Ils n’ont aucune idée des implications ultérieures de l’argent exclusivement numérique. Pas d’argent liquide. Vous n’avez plus le contrôle exclusif de votre argent, de vos revenus, de vos économies.

La plupart des gens espèrent qu’avec le vaccin, la « normalité » telle qu’ils la connaissent, ou la connaissaient, reviendra. Elle ne reviendra pas. Ce n’est que si les gens sortent du royaume de la peur, éteignent leurs radios, leurs télévisions et les grands médias qu’ils pourront mettre fin à la propagande de la peur .  Il y aurait ainsi une chance que les gens reprennent le contrôle de leur vie et soient capables de reconstruire notre univers comme un effort  pour la souveraineté de l’humanité – et d’abolir le rêve psychotique d’une « élite d’État obscure » qui se présente en soi comme les dirigeants d’un Nouvel Ordre Mondial.

Tel est le plan actuel. Nous pouvons l’arrêter. Ne tombez pas dans le piège du mensonge, ne tombez pas dans le piège de la propagande – et surtout ne tombez pas dans le piège de la PEUR de ceux qui veulent vous endoctriner. Il n’y a PAS DE RAISON D’AVOIR PEUR. RÉSISTEZ !

Reconstruire la société

Nos pensées devraient maintenant se concentrer non pas sur la maladie, la Covid-19, le coronavirus – ou quel que soit le nom que vous voulez donner à ce virus de la peur, mais sur la reconstruction de notre société, de notre communauté, de notre économie, de nos tissus sociaux – nos systèmes sociaux de cohésion. Nous sommes en bonne santé. L’isolement nous rend malades. Vivre derrière un masque nous rend malades. La peur nous rend malades. Elle apporte la désolation – et la désolation nous rend malades. Nous, les hommes et les femmes, nous devons prendre soin de notre avenir commun. Ne laissez pas l’invisible l’État profond obscure (Deep Dark State) prendre supposément soin de vous, vous manipuler dans son nouvel ordre mondial.

La force de notre santé – qui est au moins aussi forte qu’avant l’apparition de la Covid – peut alimenter notre ingéniosité pour construire une nouvelle société, une société qui corrige l’aberration dans laquelle notre ancienne civilisation s’est enlisée au cours des dernières décennies, en particulier depuis la montée du néolibéralisme. Nous pouvons construire une civilisation plus équilibrée, plus juste, en nous débarrassant du capitalisme sauvage, de la pensée du profit sans limite, du consumérisme sans fin, du gaspillage des ressources, dont beaucoup ne sont jamais renouvelables et disparaissent à jamais.

La machine de la dette extérieure

Pour relancer et reconstruire les économies détruites par la Covid, les gouvernements doivent sauver les secteurs productifs et subventionner les citoyens pour leur survie. Pour ce faire, l’argent local, la dette, est le plus souvent utilisé, dans tous les pays, au Sud ou au Nord, où des interventions gouvernementales de sauvetage ont lieu.

Dans les pays riches et industrialisés du Nord, il est normal que la dette locale soit gérée localement par les politiques monétaires et de développement économique souveraines d’une nation, ainsi que par les politiques guidant les filets de sécurité sociale – chômage, santé, prestations de retraite – et plus encore. Il n’y a pratiquement aucun pays du Nord qui demande un « plan de sauvetage » du FMI.

Dans les pays du Sud, ce sont aussi les gouvernements qui sont censés intervenir avec l’argent local pour sauver les citoyens et l’économie nationale. C’est une affaire intérieure souveraine, c’est une dette locale, comme dans le Nord. Cependant, dans le Sud, pour des « raisons étranges », le FMI et la Banque mondiale interviennent avec de la monnaie étrangère pour « sauver » les pays. En d’autres termes, ces gouvernements abandonnent leurs droits souverains pour gérer leur dette locale localement. Au lieu de cela, ils s’adressent de leur plein gré – peut-être sous la pression – au FMI et à la Banque mondiale pour obtenir des prêts internationaux.

Ils transforment la dette locale en dette extérieure, augmentant ainsi leur dette extérieure et créant non seulement une dépendance vis-à-vis des devises étrangères et du service de la dette extérieure, mais acceptant également un certain nombre de conditions auxquelles ils ne seraient pas soumis s’ils géraient leur dette locale à l’interne. Tout comme le fait le riche Nord industrialisé souverain – à l’exception des pays européens qui se sont fait asservir par la zone euro (principalement la Grèce et d’autres pays du Sud de l’Europe), ayant cédé leur souveraineté financière et économique à la Banque centrale européenne (BCE) et leur souveraineté politique à la Commission européenne à Bruxelles.

Il y a quelques mois, le FMI a mis en place un fonds de sauvetage spécial Covid-19 d’environ un trillion de dollars – probablement plus élevé maintenant, et au moins 60 pays du Sud avaient déjà demandé de tels « plans de sauvetage ». Ces opérations de sauvetage sont toutes assorties des conditions habituelles  : privatisation massive des biens et services publics, ainsi que des concessions pour l’exploitation des ressources naturelles, comme les hydrocarbures, les minéraux. Plus important encore, le dernier rachat d’entreprise semi-clandestin et la conversion d’un bien public en une marchandise privée – est l’EAU. L’eau qui sera privatisée par les sociétés occidentales, l’eau dont toute vie dépend. La privatisation de l’eau est le coup final porté à une population, en particulier aux segments pauvres d’un pays.

Alternatives à la dette extérieure – Utilisation de la dette locale / nationale au lieu de la dette extérieure

La plupart des dettes résultant de la crise du coronavirus sont des dettes locales qui sont créées localement (la FED l’appelle QE – Quantitative Easing, un terme complexe pour un concept simple, « imprimer de la nouvelle monnaie »), par les banques centrales souveraines nationales et les banques publiques nationales. Elles sont chargées de renflouer les industries locales, la main-d’œuvre locale – en construisant ou en reconstruisant les filets de sécurité sociale, les plans de santé publique et bien d’autres choses encore. C’est le gouvernement national autonome qui fixe les conditions de prêt, et non le FMI ou la Banque mondiale, ni une banque privée liée à Wall Street qui travaille pour le profit de ses actionnaires – plutôt que pour le gouvernement qu’elle est censée « sauver ».

La dette extérieure est le plus souvent liée au commerce extérieur. Une partie de la dette peut être nécessaire pour l’importation de biens essentiels – nourriture, médicaments, pièces détachées et autres. Toutefois, avant d’augmenter sa dette extérieure, un pays peut vouloir utiliser dans la mesure du possible ses réserves de devises étrangères.

Pour mieux contrôler l’utilisation des devises étrangères, une banque centrale souveraine peut introduire un système monétaire double temporaire – une monnaie locale pour l’économie locale et une monnaie internationale de plus grande valeur à utiliser pour le commerce extérieur (et pour promouvoir la substitution des importations) – contrôlant ainsi l’utilisation des devises étrangères – c’est-à-dire potentiellement la dette extérieure. Un bon exemple de l’application de ce concept est celui de la Chine, qui a utilisé le système dual jusqu’en 1984.

Un concept simple pour reconstruire et stimuler l’économie locale est la production locale pour la consommation locale, par le biais d’un système bancaire public local avec de l’argent local/national, contrôlé par une banque centrale nationale autonome qui travaille pour l’économie nationale et le bien-être de la population – pour atteindre l’autosuffisance. Les trois piliers clés de l’autonomie nationale sont l’alimentation, la santé et l’éducation. – Le commerce extérieur doit être conclu avec des nations amies qui partagent la même idéologie, à la manière de l’ALBA.

Tout cela ne sera peut-être pas facile et ne se fera peut-être pas du jour au lendemain. Cependant, la seule façon de reconstruire une économie nationale autonome – est la démondialisation et la dédollarisation, en se mettant hors de portée de la domination du dollar. Il y a une vie après la Covid – et surtout après la chute de l’hégémonie du dollar.
 
(Article original en anglais : Global Destruction, 
The COVID-19 Lockdown: Economic and Social Impacts)

[La fin de cet article n'est qu'un rêve pieux qui ne se réalisera pas. À la chute de l'Antéchrist, toutes les sociétés secrètes (État profond) et toutes les religions tomberont, sauf la seule vraie, l’Église catholique romaine, qui opérera comme une sorte de résurrection, et c'est elle et elle seule qui dirigera ce qui restera du monde, car il ne restera pas grand monde et des pays entiers auront disparu comme nous l'a annoncé Notre-Dame de Fatima, et ce sera le « certain de temps de paix » annoncé également par elle. Pour hâter ce temps et pouvoir passer à travers les mailles du filet actuel, persévérons dans le CHAPELET QUOTIDIENNews au 30 juillet 2020 Q80zdt11]
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 30 Juil - 22:24

- 4 -

[C'est la course pour la Gouvernance mondiale : après (ou avec) Xi, Gates, Soros, voici Israël, autrement dit les Juifs. Mais l'Antéchrist (pour lors Bergoglio) les abattra tous.]

RENCONTRE avec la SOCIÉTÉ LIÉE au RENSEIGNEMENT ISRAÉLIEN
qui utilise l’IA
pour dresser le profil des Américains
et influencer la politique américaine de confinement
    
News au 30 juillet 2020 Cover_Ryan-400x267

Un contractant du gouvernement israélien fondé par un ancien espion israélien a conclu un partenariat avec un état américain et s’apprête à annoncer une série de nouveaux partenariats avec d’autres états et des prestataires de soins de santé américains pour surveiller la santé des civils et utiliser un système d’IA conçu par l’IDF pour établir le profil des américains susceptibles de contracter le coronavirus et pour façonner la politique de confinement du gouvernement américain.

Une société liée à l’unité du renseignement militaire israélien, Unit 8200, s’est récemment associée à l’État du Rhode Island pour utiliser un système basé sur l’intelligence artificielle développé en tandem avec les Forces de Défense Israéliennes (IDF)pour établir le profil des Américains potentiellement infectés et/ou « à risque » d’être infectés par le coronavirus, puis pour informer les autorités gouvernementales de leur « profil de risque ». Une fois le profil établi, les autorités sanitaires de l’État peuvent cibler ces personnes ainsi que leurs communautés pour les soumettre à des tests obligatoires, à un traitement et/ou à des mesures de confinement plus restrictives.

La société, basée en Israël, Diagnostic Robotics, est sur le point d’annoncer une série de nouveaux partenariats de ce type avec plusieurs autres États américains ainsi qu’avec les principaux systèmes hospitaliers et prestataires de soins de santé américains dans les prochaines semaines, selon un porte-parole de la société. La première de ces annonces a été faite le 30 juin dernier concernant le nouveau partenariat de l’entreprise avec la clinique Mayo, qui mettra bientôt en place la « plate-forme d’intelligence artificielle de Diagnostic Robotics qui prédit le risque d’hospitalisation des patients ». Ils sont également en discussion avec le vice-président Mike Pence au sujet de la mise en œuvre de la plateforme à l’échelle nationale depuis le mois d’avril.

Leur expansion insidieuse dans la réponse de dimension nationale des États-Unis au coronavirus  et celle d’autres pays a été directement facilitée par l’organisation Start-Up Nation Central, financée par le gestionnaire de fonds spéculatifs controversé Paul Singer et directement associée à une initiative des renseignements soutenue par le gouvernement israélien. Cette initiative vise à rendre les États-Unis dépendants de la technologie développée par l’armée ou les services de renseignement israéliens afin d’empêcher l’adoption de politiques qui soutiennent le mouvement non violent « Boycott, Divest et Sanctions » (BDS) au niveau fédéral et au niveau des États. Cette initiative sert également le double objectif de garantir l’influence politique d’Israël et son positionnement en tant que « cyber-puissance » mondiale, un objectif politique souvent répété du Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahu.

Depuis mars, le logiciel de « profilage des risques » de Diagnostic Robotics basé sur l’IA pour les coronavirus est utilisé par l’État israélien sous la forme du Système National Israélien de Surveillance COVID-19, un élément clé de son système national de surveillance sanitaire de plus en plus orwellien. Ce système, qui s’est également associé au départ avec Clalit – le plus grand fournisseur de services de santé d’Israël – implique désormais « la surveillance quotidienne des symptômes liés aux coronavirus dans la population à l’échelle nationale ». Bien entendu, ces « symptômes liés aux coronavirus » comprennent des symptômes courants tels que les maux de tête, la toux, les douleurs abdominales et les troubles psychiques, qui peuvent caractériser un nombre quelconque de maladies mineures, de réactions allergiques ou d’autres affections sans aucun rapport avec les coronavirus.

La plateforme Diagnostic Robotics acquiert spécifiquement des informations auprès des individus via un questionnaire en ligne, mais a également accès aux bases de données nationales et privées sur la santé grâce à ses partenariats avec Clalit ainsi qu’avec les quatre organisations de gestion de la santé (HMO) d’Israël, tous les prestataires de soins de santé nationaux du pays et le Ministère de la Santé israélien. Ces données sont ensuite mises en commun et analysées pour évaluer la « probabilité d’infection » d’un individu donné, qui est ensuite recoupée avec les informations de « millions d’autres personnes », selon Kira Radinsky, co-fondatrice de la société et ancienne de l’Unité 8200.

Après la mise en commun et l’analyse de cette masse de données par l’algorithme de l’IA, la plateforme de la société, telle qu’elle est utilisée en Israël et maintenant ailleurs, crée un « profil de risque personnalisé basé sur l’IA pour le Covid-19 » pour les individus et transmet les informations de cet individu et tout « drapeau rouge »aux autorités sanitaires, fournissant au Ministère de la Santé une carte des « points chauds » du coronavirus, que le gouvernement utilise ensuite pour identifier les communautés à cibler avec des tests et des mesures de confinement plus restrictives. Forbes a noté que l’utilisation par Israël de la plate-forme de Diagnostic Robotics lui a permis de « fermer rapidement les zones contaminées … même en un seul jour à partir de l’identification des patients symptomatiques ». Une étude interne menée par l’entreprise elle-même affirme que la plateforme a une précision prédictive de 73%, mais leur étude n’a pas été auditée par des scientifiques indépendants.

Le Ministère israélien de la Santé, dirigé par Yuli Edelstein, a récemment annoncé que la plateforme « prédictive » de Diagnostic Robotics serait utilisée de manière plus intensive pour informer le processus décisionnel du gouvernement, car lui, Netanyahu et d’autres ministres israéliens ont récemment affirmé qu’Israël commençait à connaître une « deuxième vague » de coronavirus et devait mettre en place des mesures plus restrictives et augmenter l’utilisation des « solutions numériques«  existantes et nouvelles. D’anciens responsables de la santé israéliens et d’autres voix critiques ont toutefois affirmé qu’il n’y a pas de « deuxième vague » étant donné que le test utilisé par le gouvernement ne fait pas la distinction entre les cas de coronavirus symptomatiques et asymptomatiques. D’autres ont encore fait valoir que les mesures proposées sont tout à fait inutiles, étant donné qu’il y a moins de 40 cas graves de coronavirus dans tout le pays et que seuls 22 patients atteints de coronavirus sont sous respirateur.

Il est à noter que le timing de cette nouvelle offensive en faveur d’un confinement plus restrictif et d’un élargissement de la surveillance « sanitaire » orwellienne fondée sur la grippe aviaire coïncide directement avec le lancement imminent des plans du gouvernement israélien visant à annexer de larges pans de la Cisjordanie palestinienne, un acte qui devrait générer des troubles, non seulement en Palestine occupée, mais aussi dans certaines parties d’Israël et au niveau international en raison de son illégalité flagrante et de ses implications profondes.

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Les points chauds des données prédictives


Après une forte promotion de l’utilisation de ses plateformes par la voie des médiaset les organisations israéliennes de « lobby des technologies« , les dirigeants de Diagnostic Robotics ont annoncé le 10 avril que leur technologie de surveillance prédictive de la santé serait bientôt déployée pour « aider les autorités » dans les gouvernements du monde entier, en particulier aux États-Unis, en Europe occidentale et en Asie.

« Le partenariat solide [entre Diagnostic Robotics et le gouvernement israélien] garantira que notre solution soit accessible au plus grand nombre de patients possible et aux différentes autorités gouvernementales aux États-Unis, en Europe et en Asie »
, a déclaré le PDG de la société, Yonatan Amir, au Jerusalem Post. Amir a également déclaré au Jerusalem Post qu’à l’époque, la société était déjà en discussion avec la White House Coronavirus Task Force « avec le soutien du vice-président américain Mike Pence » concernant l’utilisation de son logiciel à l’échelle nationale.

Moins de deux semaines après la publication de ce rapport, l’État de Rhode Island a annoncé que le ministère de la santé de l’État s’associerait à Diagnostic Roboticspour créer un site appelé Rhode Island Covid-19 Self-Checker qui recueillerait des informations médicales sur les habitants du Rhode Island et utiliserait ses capacités « prédictives ».

« Nous sommes très heureux de ce partenariat avec Diagnostic Robotics »
, avait déclaré le gouverneur de Rhode Island, Gina Raimondo, lors de l’annonce du site le 22 avril. « Diagnostic Robotics est un leader dans l’utilisation de technologies innovantes pour s’assurer que les gens reçoivent les bons soins au bon moment – y compris pendant la pandémie COVID-19. En facilitant la prise de décisions sur la manière de se protéger et sur le moment où il faut se faire soigner et tester, nous contribuons à ralentir la propagation de la COVID-19, à soutenir notre système de santé et à sauver des vies ».

Toutefois, les rapports sur l’initiative et la déclaration de M. Raimondo, qui a été peu couverte par les médias américains locaux et nationaux, ont noté que le site « utilise également une technologie prédictive pour reconnaître les éventuelles flambées avant qu’elles ne se produisent ». Cette fonctionnalité combinera les données obtenues sur le site avec des « bases de données médicales «  auxquelles le Ministère de la Santé de l’État a accès. L’analyse de ces données, telles que les futurs patients « probables » atteints de coronavirus et les futurs points chauds potentiels, est ensuite transmise au Ministère de la Santé de l’État et vise à l’aider à décider dans quelles régions de l’État il convient de renforcer les mesures de confinement, d’intensifier les tests et/ou d’imposer des traitements ou des vaccinations, une fois qu’un vaccin est disponible.

Les informations recueillies par le site lui-même comprennent les « facteurs de risque » d’une personne et si elle présente plusieurs symptômes communs, ainsi que des informations démographiques et médicales. L’adresse IP d’un utilisateur et les informations relatives à son appareil sont également collectées. Bien que l’objectif officiel du site soit de recommander à une personne participante de se faire soigner ou de demander un test de dépistage de coronavirus, le site créé par Diagnostic Robots note dans ses conditions d’utilisation que le site n’est pas destiné à être utilisé comme « outil de diagnostic » et « ne fournit pas de diagnostic et/ou de conseils médicaux professionnels ». Il indique néanmoins que Diagnostic Robotics« a le droit (y compris le droit moral) d’utiliser, de copier, de stocker, de reproduire et de traiter vos informations et de créer des œuvres dérivées à partir de celles-ci et des droits de propriété intellectuelle créés par l’utilisation de vos informations sans autre consentement, avis ou compensation pour vous ou toute autre personne ».

Les termes stipulent également que la société « ne sera pas responsable de l’exposition ou de la publication des réponses auxdits questionnaires ou des données que vous avez entrées dans le système à des tiers en raison d’un dysfonctionnement ou d’un défaut du système ou après que les informations aient été transmises conformément à la politique de confidentialité de la société ».

Le partenariat du Rhode Island avec « Diagnostic Robotics » n’est que le premier signe des intentions de l’entreprise de s’étendre rapidement aux États-Unis. Il y a quelques semaines, le porte-parole de l’entreprise, Michal Kabatznik, a déclaré au Jerusalem Post que l’entreprise « est en pourparlers avancés avec d’autres États, les principaux fournisseurs de soins de santé et certains des meilleurs systèmes hospitaliers des États-Unis », ajoutant qu’« il y aura de grandes annonces dans les prochains jours ». La première de ces « grandes annonces » a eu lieu mardi, lorsque le partenariat de l’entreprise avec la clinique Mayo a été rendu public.

En outre, la société a commencé à embaucher divers cadres pour un bureau basé à New York peu après que Kabatznik ait dévoilé les annonces à venir d’une série de nouveaux partenariats américains. Ces offres d’emploi indiquent que Diagnostic Robotics prévoit une expansion américaine majeure et « rapide » et identifie les États-Unis comme son « marché stratégique » actuel.


Appât et interrupteur


La politique de confidentialité de Diagnostic Robotics, telle qu’elle est appliquée dans le cadre du partenariat du Rhode Island, permet à l’entreprise d’utiliser les informations qu’elle acquiert grâce à ce partenariat de manière « dés-identifiée » dans le cadre de deux initiatives différentes sur les coronavirus qui impliquent de grandes entreprises technologiques américaines, des sociétés de technologie des soins de santé et/ou des éléments de la Sécurité Nationale américaine

La première de ces initiatives, COVID 360, a été créée par Diagnostic Robotics en tandem avec deux autres entreprises : Salesforce, une société de logiciels en nuage étroitement liée à Oracle et dont le PDG/fondateur était encadré par Colin Powell, et Deloitte Global, l’une des plus grandes sociétés de conseil au monde qui a l’habitude d’engager d’anciens agents de la CIA. COVID 360 est décrit par le PDG de Diagnostic Robotics comme « une solution complète pour les personnes à risque de COVID-19 et celles qui présentent des symptômes du virus ». Bob Vanstraelen, Senior Vice-Président de Salesforce, a précisé que la plateforme est « une solution complète et gratuite de traitement du coronavirus pour les patients et les citoyens à risque » et est « construite par Deloitte Israël, sur la base de Salesforce Health-Cloud, et de la plateforme de triage et de prévisions cliniques de Diagnostics Robotics Al ».

Cependant, une vidéo officielle de l’initiative COVID 360 note que « les agences gouvernementales ou les gardiens » qui utilisent le système enverront à une personne potentiellement à risque d’exposition au coronavirus, bizarrement appelée dans la vidéo « patient à risque d’exposition au coronavirus », un message leur disant qu’ils ont été trouvés « à proximité d’un cas potentiel de coronavirus positif ». Le message, tel qu’il est montré dans la vidéo, demande ensuite au destinataire de suivre un lien dans le message et de s’inscrire au système COVID 360. Lors de l’inscription, un employé de l’agence gouvernementale détermine quelle personne doit être envoyée pour un test coronavirus obligatoire et/ou un régime de traitement basé sur les protocoles gouvernementaux relatifs aux coronavirus. Le système COVID 360 est actuellement utilisé dans l’État indien d’Odisha, où vivent près de 50 millions de personnes, selon le porte-parole de Diagnostic Robotics, Michal Kabatznik.

La deuxième initiative dont fait partie Diagnostic Robotics est beaucoup plus importante que le groupe de trois membres à l’origine de COVID 360. Appelée Covid-19 Healthcare Coalition, elle compte parmi ses membres des géants de la technologie et des entrepreneurs du secteur public/du renseignement tels que Microsoft, Amazon, Palantir, Leidos et Google, ainsi qu’un certain nombre de laboratoires nationaux américains, le corps civil américain et In-Q-Tel, la branche de la CIA spécialisée dans le capital-risque. Elle comprend également un certain nombre de systèmes hospitaliers américains, d’universités américaines (dont le chef du MIT) et de fournisseurs de services informatiques de santé, ainsi que la société pharmaceutique Pfizer et la Mayo Clinic. Comme mentionné précédemment, le partenariat de la Mayo Clinic avec Diagnostic Roboticsa été annoncé mardi dernier.

La coalition prétend être une « réponse menée par le secteur privé qui rassemble des organisations de soins de santé, des entreprises technologiques, des organisations à but non lucratif, des universités et des start-ups » afin « d’aider à protéger les populations américaines » et « de fournir des informations en temps réel basées sur des données pour améliorer les résultats cliniques » et la prise de décision du gouvernement concernant le coronavirus. Leur site web indique que « les membres de la coalition partagent ouvertement leurs plans, coordonnent leurs travaux mutualisés dans la mesure du possible, identifient les meilleures pratiques, communiquent largement et ouvertement, et distribuent les capacités en open-source ». En particulier, la coalition dirige spécifiquement leurs efforts mutualisés pour influencer les politiques en faveur des « populations en bonne santé », des « personnes à risque d’exposition au Covid-19 » et des « systèmes de prestation de soins de santé ».

Selon les communiqués de presse
présents sur le site web de la coalition, celle-ci « représente une vaste source de données, d’expertise, de capacités et d’idées et complétera les actions des gouvernements fédéraux, étatiques et locaux ». Depuis sa formation au début de l’année, la coalition a publié plusieurs ressources, dont le tableau de bord d’aide à la décision face à la Covid-19, un outil permettant aux responsables gouvernementaux et aux chefs d’entreprise de savoir comment « rouvrir » ou fermer des communautés et des entreprises. Cet outil a été conçu et alimenté par les membres de la coalition, dont Diagnostic Robotics, qui ont fourni des données.

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Les racines de la robotique de diagnostic dans les « opérations spéciales » de la technologie d’espionnage israélienne


Diagnostic Robotics a été fondé en 2017 par Kira Radinksy, le Dr Moshe Shaham et Yonatan Amir, qui se sont tous rencontrés officiellement par le biais de leur affiliation (respectivement professeur invité/ancien, professeur et ancien élève) à l’université Technion d’Israël. À l’origine, la société devait aider les services d’urgence des hôpitaux à évaluer et à prévoir la charge de patients grâce à l’utilisation de l’IA, permettant ostensiblement aux services d’urgence d’anticiper les moyens qui leur permettraient, entre autres, de gérer la charge de patients et de les classer par ordre de priorité.

L’idée
d’Amir aurait été de modifier la plateforme pour l’utiliser dans la lutte contre la crise du coronavirus, afin de servir de « guichet unique pour la gestion de la maladie, une solution centralisée de bout en bout pour le traitement de la Covid-19 », selon le porte-parole de la société, Michal Kabatznik. Il a également ajouté que les modifications ont été initialement effectuées en utilisant les conseils des Centres américains de Contrôle des Maladies et les données reçues d’Italie et de Corée du Sud.

La société a ensuite pris contact avec le Ministère de la Santé israélien et a apporté d’autres modifications afin de fournir au gouvernement israélien une « plate-forme ad hoc ». Nombre de ces modifications ont été apportées par les IDF, qui – selon le co-fondateur de la société Radinsky – « ont intégré nos algorithmes dans un vaste système opérationnel qui devait fonctionner sans problème en moins de deux semaines ». Le « système opérationnel » qui en a résulté était le Système National israélien de Surveillance COVID-19 de la société, désormais utilisé dans tout Israël et une grande partie de la Palestine occupée. Ce même système, comme mentionné précédemment, est également le modèle du système du Rhode Island et de ceux qui seront mis en œuvre dans d’autres États qui devraient annoncer prochainement leur propre partenariat avec Diagnostic Robotics.

L’implication de Mme Radinsky dans la fondation de Diagnostic Robotics, et son rôle actuel de Présidente et de Chief Technical Officer (CTO) de l’entreprise, sont particulièrement remarquables. Sa carrière a débuté au sein de l’Unité de renseignement militaire israélienne, l’unité 8200 – souvent décrite comme l’équivalent israélien de l’Agence de Sécurité Nationale (NSA) des États-Unis, qui est bien connue pour ses opérations de piratage et de surveillance de la Palestine ainsi que de pays étrangers dans le monde entier, y compris les États-Unis. Pendant son séjour à l’unité 8200, elle a été recrutée pour la Division encore plus secrète et controversée de l’Unité, l’Unité 81, où elle a travaillé pour les « opérations spéciales« .

L’Unité 81 a été spécifiquement décrite par ses partisans comme une « usine à jouets des renseignements », dont les « jouets » comprennent des mines terrestres déguisées en pierres et autres armes de guerre ainsi que des outils de surveillance de masse [c’est-à-dire du « SIGINT« , NdT]. Dans les premiers jours de la crise du coronavirus, l’Unité 81 a été chargée par le Ministère de la Défense israélien de créer « un logiciel pour les hôpitaux qui peut stocker et analyser les données des patients, le suivi des infections, les résultats des tests, en fournissant aux hôpitaux des données pour les aider à donner un sens à ce qu’ils voient et la meilleure façon de lutter contre le défi quotidien », un logiciel qui ressemble remarquablement à la plate-forme que Diagnostic Robotics de Radinsky produirait par la suite avec l’aide d’une unité non spécifiée de l’armée israélienne.

Radinsky a été rapidement recruté par Microsoft à son départ des Unités 8200 et 81 pour « diriger des projets stratégiques d’incubation de Microsoft », notamment des algorithmes permettant de prédire les épidémies ainsi que les troubles civils et les émeutes. Elle a ensuite créé sa propre société, SalesPredict, qui a été reprise par d’autres anciens de l’Unité 8200, puis par eBay, propriété du milliardaire controversé Pierre Omidyar. Radinsky est ensuite devenue Directrice des Data Technologies  chez eBay et Chef Scientifique de sa filiale en Israël.

Un mois après avoir obtenu ce poste lucratif chez eBay, Radinsky est devenu membre du Conseil Consultatif de la banque HSBC, l’une des banques les plus connues au monde pour le blanchiment d’argent, et qui entretient des liens étroits avec les cartels de la drogue, notamment au Mexique et en Colombie. Moins d’un an après avoir rejoint HSBC, Mme Radinsky est devenu membre du Conseil d’Administration de l’Autorité des Valeurs Mobilières du gouvernement israélien, qui travaille en étroite collaboration avec le Ministère des Finances du pays et la Knesset. Il a été critiqué ces dernières années pour avoir « tacitement consenti«  à des escroqueries généralisées sur les devises et les options binaires dans le secteur financier israélien. Après être devenue CTO de Diagnostic Robotics, elle a quitté l’Autorité israélienne des Valeurs Mobilières mais continue de siéger au Conseil Consultatif de HSBC.

Les liens étroits de Radinsky avec le monde de la finance israélienne et mondiale ont probablement contribué à la capacité de Diagnostic Roboticsà obtenir un financement de 24 millions de dollars en novembre dernier, le même mois où le gouvernement américain a averti Israël de l’imminence d’une pandémie mondiale causée par le coronavirus. Depuis lors, les principaux investisseurs auprès de la société ont été Accelmed Growth Partners et Mivtach Shamir Holdings.

Accelmed Growth Partners
est une société de capital-risque fondée et dirigée par le Dr Uri Geiger, un ancien officier de l’Armée de l’Air israélienne dont la carrière dans le secteur privé a débuté au sein du célèbre cabinet d’avocats Sullivan and Cromwell, plus connu sous le nom de l’ancien cabinet du premier directeur de la CIA, Allen Dulles, qui a des liens de longue date avec l’agence de renseignement.

Mivtach Shamir Holdings
est une société de capital-risque dont le PDG et principal actionnaire est Meir Shamir, président de longue date de Birthright Israel. Birthright Israel est l’une des entreprises « ethno-philanthropiques » les plus emblématiques du Mega Group, l’organisation liée au crime organisé co-fondée par Leslie Wexner et Charles Bronfman en 1991, qui a des liens étroits avec le scandale Jeffrey Epstein et les scandales d’espionnage israélien en général. Birthright a été créée par Charles Bronfman et Michael Steinhardt, membres de Mega Group, trois ans après la fondation du groupe. Ses principaux donateurs sont les Bronfman, Steinhardt, le gouvernement israélien et Sheldon Adelson.

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Un ministère des affaires étrangères pour l’industrie technologique israélienne


L’un des premiers promoteurs de Diagnostic Robotics et de ses initiatives liées aux coronavirus est une organisation appelée Start-Up Nation Central (SUNC). SUNC a été créée en 2012 grâce au financement du gestionnaire de fonds spéculatifs et milliardaire Paul Singer, un sioniste fervent qui finance également le groupe de réflexion néoconservateur American Enterprise Institute (AEI), le groupe de réflexion islamophobe et belliciste Foundation for Defense of Democracies (FDD), la Republican Jewish Coalition (RJC), et a également financé la défunte Foreign Policy Initiative (FPI), successeur du Project for a New Amercian Century (PNAC).

M. Singer a financé la création de l’organisation avec l’aide de son associé de longue date, l’ancien conseiller de Mitt Romney et activiste néoconservateur Dan Senor, dont la sœur Wendy Singer est actuellement la Directrice Exécutive de SUNC. Elle était auparavant la Directrice de longue date du bureau de l’AIPAC en Israël. Le PDG actuel de SUNC est Eugene Kandel, Conseiller économique en Chef de Netanyahu de 2009 à 2015.

La motivation derrière la création de SUNC visait à intégrer les start-ups israéliennes, en particulier les start-ups technologiques créées par les anciens élèves de l’Unité 8200, dans des entreprises étrangères et plus particulièrement américaines, afin de cibler le mouvement non-violent Boycott, Divest and Sanctions (BDS) qui promeut les droits de l’homme pour les Palestiniens et la fin de l’occupation illégale de la Palestine par Israël. Il a été appelé à « un ministère des affaires étrangères pour l’industrie technologique israélienne ».

La création de SUNC était aussi directement liée à la « politique délibérée » de Benjamin Netanyahu qui voulait que les anciens membres des « Unités militaires et de renseignement israéliennes … fusionnent dans des entreprises avec des partenaires locaux et étrangers » afin de rendre pratiquement impossible le boycott d’Israël par les grandes entreprises et les gouvernements étrangers et de s’assurer qu’Israël devienne la « cyberpuissance » dominante dans le monde. Singer est un partisan et un donateur de longue date de Netanyahu et de son parti au pouvoir, le Likoud.

La même année que la création de SUNC et cette politique « délibérée » de Netanyahou, les services de renseignement israéliens – qui dépendent directement du Bureau du Premier Ministre – ont commencé à mettre en place une politique selon laquelle les opérations de renseignement militaire et de renseignement qui se faisaient auparavant « en interne » (c’est-à-dire dans le cadre de l’unité 8200, du Mossad, etc.) étaient transférées à des sociétés privées, plus précisément à des start-ups.

Par exemple, un rapport sur cette politique, publié par l’agence israélienne Calcalist Tech, a interrogé des dizaines de militaires, de services de renseignement et de fonctionnaires israéliens et a noté que « depuis 2012, les projets liés au cyber-espionnage et au renseignement qui étaient auparavant réalisés en interne par l’armée israélienne et les principales agences de renseignement israéliennes sont transférés à des entreprises qui, dans certains cas, ont été construites dans ce but précis ». L’article indique également qu’à partir de 2012, les agences de renseignement et de renseignement militaire israéliennes ont commencé à externaliser « des activités qui étaient auparavant gérées en interne, avec un accent sur les logiciels et les cyber-technologies ».

Depuis que cette politique a été instituée, la ligne de démarcation entre l’industrie des start-ups technologiques israéliennes et son appareil de renseignement est devenue de plus en plus floue, d’anciens directeurs du Mossad et du Shin Bet faisant office de conseillers et de membres du conseil d’administration de nombreuses start-ups technologiques israéliennes. En outre, de nombreux cadres et fondateurs de ces start-ups sont des anciens de l’Unité 8200 ou d’autres agences de renseignement, certains – comme le PDG de Cybereason, Lior Div – admettant ouvertement que leur travail dans ces entreprises « privées » est la continuation directe de leur service antérieur à l’État de sécurité nationale israélien.

Sans surprise, Diagnostic Robotics – une entreprise en partenariat avec l’armée israélienne et le Ministère de la Santé et créée par un ancien de l’Unité 8200 – correspond au profil du type d’entreprise israélienne dont l’expansion à l’étranger est facilitée par SUNC et qui est représentée sur le site web de SUNC. En effet, Wendy Singer de SUNC a récemment écrit un article pour Forbes faisant l’éloge de l’outil de surveillance prédictive de la santé de la population de la société et a été interviewée aux côtés de Radinksy dans un rapport du Times of Israel mettant en lumière les start-ups israéliennes et les technologies qui seront utilisées pour combattre la prétendue « deuxième vague » d’infections dans le pays.

En outre, Diagnostic Robotics est l’une des entreprises promues par l’initiative CoronaTech, un effort conjoint entre SUNC et HealthIL – dans le cadre d’une entreprise commune impliquant le ministère de l’économie et le ministère de l’égalité sociale. En outre, le site web de CoronaTech est géré par Wix – une entreprise de construction de sites web créée par un ancien élève de l’unité 8200. L’objectif déclaré de CoronaTech est d’agir « comme un portail central permettant de découvrir les principales innovations et les meilleures pratiques israéliennes »« pour les prestataires de soins de santé, les gouvernements et d’autres organisations ».


Utilisations non officielles, résultats garantis


Les liens du co-fondateur de Diagnostic Robotics avec les services de renseignement israéliens, le soutien de la société par une société de capital-risque liée au Mega Group et ses partenariats étroits avec le gouvernement israélien, l’armée et SUNC, sont autant de motifs d’inquiétude concernant l’utilisation de leur système spécifique aux coronavirus, destiné à surveiller les populations tant en Israël qu’aujourd’hui aux États-Unis. Cependant, leurs partenariats avec le Rhode Island et la Mayo Clinic, ainsi que ceux qui devraient être annoncés dans les jours et les semaines à venir, sont particulièrement troublants étant donné l’histoire agressive d’Israël en matière d’espionnage contre les États-Unis qui dure depuis des décennies, et dont une grande partie a été effectuée grâce à des « portes dérobées » dans des logiciels, du piratage et d’autres moyens de piratage électronique.

Beaucoup de ces opérations de renseignement – qui, le plus souvent, ne rassemblent pas l’Unité 8200, SUNC et le gouvernement israélien – semblent également avoir pour but, non seulement d’empêcher les victoires du mouvement BDS ou d’assurer la position d’Israël en tant que « cyber-puissance » mondiale, mais aussi de faire avancer la création de ce que j’en suis venu à appeler « l’État de sécurité binational« . Ce programme, à l’ère des coronavirus, s’est développé à pas de géant. Par exemple, les entreprises technologiques israéliennes liées à l’espionnage sont prêtes à construire les « villes intelligentes » de l’État de New York, à dominer le système américain d’appel d’urgence 911 et à offrir des options de « gouvernement à distance »aux agences fédérales et étatiques, tout cela dans les mois qui ont suivi le début de la crise du coronavirus.

Nombre de ces entreprises technologiques israéliennes liées à l’espionnage comptent également des membres de la communauté de la sécurité nationale et du renseignement des États-Unis en tant que membres du Conseil d’Administration ou conseillers éminents, notamment les anciens chefs du Department of Homeland Security, Michael Chertoff et Kirstjen Nielsen, l’ancien chef de la sécurité de l’information de la CIA, Robert Bigman, et l’ancien membre du commandement des opérations spéciales conjointes de l’armée américaine, Geoff Hancock, parmi beaucoup d’autres. Ensemble, les États de sécurité nationale des États-Unis et d’Israël n’ont cessé de construire un cauchemar orwellien dans les deux pays, un cauchemar qui est devenu plus proche de la réalité que jamais sous le couvert des « soins de santé » et de la lutte contre la pandémie liée au coronavirus.

Les efforts de Diagnostic Robotics pour prévoir et surveiller des populations entières avec l’IA sont un outil puissant qui peut être utilisé à de nombreuses fins, n’ayant pas grand-chose à voir avec la santé publique. Tout comme les logiciels de « recherche des contacts » qui, après avoir été d’abord justifiés par la pandémie, ont ensuite été utilisés pour cibler et suivre les manifestants, les analyses prédictives et les cartes des « points chauds » de Diagnostic Robotics peuvent être utilisées aux mêmes fins. Étant donné les antécédents des États de sécurité nationale des États-Unis et d’Israël, de telles utilisations « non officielles » de ces « solutions numériques » à la pandémie ne sont pas seulement des vues de l’esprit, elles sont garanties.
 
(Article original en anglais : Meet the Israeli Intelligence-Linked Firm Using AI to Profile Americans and Guide US Lockdown Policy)
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Message par Gilbert Chevalier Ven 31 Juil - 7:56

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Cherchez l'erreur ! A cette tribune nous ne voyons pas un seul Français aux côtés de ces courageux médecins qui font honneur au serment d'Hippocrate !
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Message par Gilbert Chevalier Ven 31 Juil - 7:59

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Des Médecins Américains montent au front au sujet du COVID 19 et parlent de certaines réalités bien cachées aux populations.
Cette Vidéo est censurée sur les réseaux sociaux : Twitter a verrouillé le compte de Trump Jr pour la publication de la conférence de presse de médecins pro-hydroxychloroquine.

Transcription complète de toutes les interventions des médecins lors de cette conférence de presse de 45 minutes, ici : http://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de ou là : www.alterinfo.net/Twitter-a-verro…
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