News au 26 février 2019

fr.news  26 février 2019

La soirée de drogue et de sexe gay du Vatican ? « Tout est faux »

En juin 2017 les médias ont signalé l'histoire d'une soirée de drogue et de sexe gay dans l'appartement de Mgr Luigi Capozzi, alors secrétaire du cardinal Francesco Coccopalmerio.

Coccopalmerio a déclaré à InfoVaticana.com (25 février) que « tout » ce qui a été rapporté était faux : « Ce qui est incroyable, c'est qu'ils ont tout inventé. »

Coccopalmerio a affirmé qu'il n'était pas là et que Capozzi « n'a rien fait de grave », « Tout est faux, tout est inventé. »

Selon Coccopalmerio, cette histoire aurait été inventée pour lui nuire, ainsi qu’au pape François.

La question reste de savoir pourquoi Coccopalmerio a mis si longtemps à nier l'histoire.

[Nous voilà au sommet de l'iniquité : mentez, mentez, disait Voltaire, il en sortira toujours quelque chose.]

fr.news  26 février 2019

Voici l'évêque pro-François qui a "présidé" à la messe sur une plage

Le consécrateur du bloc sur la photo est Oscar Miñarro, 58 ans, évêque auxiliaire de Merlo-Moreno, en Argentine.

La photo montre Miñarro à l'époque où il était curé du diocèse de Merlo-Moreno.

Il a continué à célébrer des messes sacrilèges en tant qu'évêque. Son dernier sacrilège public était une messe de plage” en janvier, lors de la Journée mondiale de la jeunesse à Panama.

Miñarro a été nommé évêque par François en septembre 2016. Il était déjà connu des décennies plus tôt comme un hérétique. Il s'oppose au célibat sacerdotal, soutient le pseudo-mariage homosexuel, appelle l’Église « homophobe » et nie que la vie humaine commence à la conception.

fr.news  26 février 2019

Le canular des abus se transforme en persécution ouverte : le cardinal Pell sera emprisonné mercredi

Le cardinal George Pell sera placé en détention provisoire après l'audience sur son plaidoyer mercredi, après avoir été déclaré coupable à tort.

Pell devrait être condamné dans les quinze jours suivant cette audience, rapporte TheAge.com.au (26 février).

Il a toujours et vigoureusement maintenu son innocence, apparue clairement au cours du procès.

Il existe des preuves évidentes du fait que Pell ne peut avoir commis les crimes pour lesquels il a été condamné - même s’il avait voulu le faire.

Tous les témoins ont confirmé que maltraiter des enfants un dimanche dans la sacristie de la cathédrale de Melbourne après la messe aurait été impossible. Les personnes qui étaient près de Pell ont témoigné qu'aucun abus n'avait été commis. En vain.

L'accusateur factice de Pell a demandé aux médias de « ne pas révéler [s]on identité ».

Le 26 février, le Vatican a publié une déclaration dans laquelle il réaffirmait son « respect absolu » à l'égard des autorités judiciaires australiennes [corrompues], mais il attend l'issue de l'appel.

[L'Antéchrist rigole : il a réussi son coup !]