News au 5 avril 2019

fr.news  5 avril 2019

François lance la polémique contre « la prière du perroquet »

Au cours de son homélie du 4 avril au matin, le pape François a attaqué ceux qui priaient le Notre Père pour les autres.

Les gens avec des problèmes nous disent parfois de prier, a expliqué François : « Oui, oui, je dirai deux Notre père et deux Je vous salue Marie. » Mais François a appelé cela une « prière de perroquet » qui n'est « pas acceptable ».

Comme alternative floue, il a proposé une prière « avec le Seigneur », effectuée « avec courage » en faisant « tout son possible ».

Le président italien pro-immigration, Sergio Mattarella, a assisté en privé à la messe de François.

[Et ailleurs, dans un autre écrit-interview sur la vocation religieuse (été 2018), il a traité le Chapelet de « babiole ». Voilà sa grande piété mariale...]

fr.news  5 avril 2019

La douche froide de François au contact des Bulgares "orthodoxes"

Le "Saint Synode de l’Église orthodoxe" bulgare n’est pas ravi de la visite du pape François dans le pays (du 5 au 7 mai).

Il a publié une déclaration adoptée à l'unanimité (le 3 avril) pour "Anselmo Guido Pecorari", le nonce en Bulgarie qui n'est reconnu ni comme diplomate ni comme archevêque.

La déclaration souligne que François a été invité par l’État qui devrait donc prendre soin de lui.

Le "patriarche de Bulgarie" est prêt à recevoir François dans sa cathédrale « comme prévu dans le projet de programme qui nous est envoyé ». Mais « toute forme de célébration liturgique ou de prière commune, ainsi que le port du vêtement liturgique pour l'occasion, est inacceptable pour nous ». La participation de la chorale patriarcale est également « impossible ».

"L’Église orthodoxe bulgare" ne sera présente à aucun autre événement. Le diacre "orthodoxe" Ivan Ivanov n’est pas autorisé à faire office de traducteur pendant le voyage de François, sauf pendant la visite à la cathédrale.

De plus, aucun clerc "orthodoxe" n'a la bénédiction de participer aux événements du voyage.

[L'Antéchrist, comme pour tout le reste, saura bien s'en dépatouiller...]

fr.news  5 avril 2019

Un prêtre s'excuse pour avoir brûlé des livres

Le père Rafał Jarosiewicz de Gdansk, en Pologne, a qualifié son autodafé de livres comme Harry Potter et d'ouvrages païens, de « malheureux ».

Jarosiewicz a déclaré sur Facebook le 2 avril qu'il n'avait aucune intention de condamner des auteurs ou des religions spécifiques :

« Si quelqu'un a vu cela ainsi, je voudrais m'excuser. » Il a ensuite souligné qu'il ne voulait pas générer plus d'émotions. « Je suis encore une fois très désolé. »

Jarosiewicz fait maintenant l'objet de critiques sur les réseaux sociaux pour son rétropédalage couard.

fr.news  5 avril 2019

L'archevêque de Malte : du whisky à la place du vin par erreur (vidéo)

L’archevêque de Malte, Charles Scicluna, a célébré la messe du dimanche 31 mars à l'autel de la co-cathédrale Saint-Jean avec un calice contenant du whisky.

Scicluna n'a remarqué l'incident que lorsqu'il a consommé ce qu'il croyait être le Précieux Sang du Christ. Mais le whisky ne peut être consacré. Un concélébrant a confirmé la nature de la substance dans le calice.

Un deuxième calice sur l'autel avait été rempli de vin. Par conséquent, Scicluna a terminé la messe.

Selon tvm.com, un sacristain s'est excusé d'avoir mélangé deux bouteilles de vin et de whisky qui se trouvaient dans une armoire de la sacristie.

fr.news  5 avril 2019

Le Vatican ment ou coopère avec des menteurs

Le militant gay Frederic Martel a publié le 4 avril un document (photo) contenant une annonce selon laquelle le pape François prononcerait un « discours historique » sur l'homosexualité pendant une audience privée du 5 avril.

Le 4 avril, le porte-parole du Vatican, Alessandro Gisotti, a déclaré que « concernant ce qui a été écrit par plusieurs organes de presse, je peux nier catégoriquement que le Saint-Père va prononcer un "discours historique" sur l'homosexualité. »

Le document est signé par le juge argentin Raúl Zaffaroni et l'avocat Leonardo Raznovich.

Dans une interview de 2006, Zaffaroni a refusé de répondre à la question de savoir s'il était homosexuel. Raznovich est un propagandiste gay connu.

Ils voulaient l’euthanasier mais une larme l’a sauvée

Cette histoire vraie va vous faire pleurer :

Une larme m’a sauvée : Angèle Lieby, prisonnière de son corps

Prisonnière de son corps, sans pouvoir le faire savoir. C’est la terrible expérience qui est arrivée à Angèle Lieby. En 2009, elle est hospitalisée en urgence pour un malaise, et placée en coma artificiel. Sauf que les médecins se sont trompés de diagnostic et ont été proches de la débrancher, comme elle le raconte chez Christophe Hondelatte mardi, et dans un livre : Une larme m’a sauvée.

D’abord des picotements aux bouts des doigts, puis un violent mal de tête, une migraine terrible : le 13 juillet 2009, Angèle Lieby montre plusieurs signes de ce qu’elle considère comme de la fatigue. Quand le médecin l’examine, elle se sent comme engourdie. Quelques heures plus tard, admise à l’hôpital, tout devient cotonneux autour d’elle. Angèle Lieby s’enfonce peu à peu dans un monde vaporeux, comme si elle se paralysait lentement. Impossible pour les médecins de savoir ce dont elle souffre. Ils prennent alors la décision de la plonger dans un coma artificiel, pour un ou deux jours.

« Comme devant un meuble ». Lorsqu’Angèle Lieby se réveille, elle entend tout ce qui se passe autour d’elle. Elle sent aussi les infirmières qui la touchent. Angèle Lieby croit pouvoir bouger mais elle est inerte. Alors elle comprend vite. Elle est dans le coma, dans l’incapacité de faire comprendre au monde extérieur qu’elle peut tout comprendre et entendre. Médecins, infirmières, proches, tous agissent comme si elle ne pouvait pas communiquer avec eux. « Les infirmières racontaient des histoires devant moi comme devant un meuble », se souvient-elle.

Elle entend les tests des médecins pour voir ses réactions. Elle les sent aussi. « Ça faisait mal comme si on vous arrache un bras », ajoute Angèle Lieby. Mais la mère de famille ne peut pas répondre, son corps refuse de suivre les instructions de son cerveau. « Pour les médecins, ça prouvait que je n’existais plus », déplore l’ancienne patiente. Au point qu’un jour, un médecin réanimateur annonce à la famille qu’il faut songer à la débrancher. Selon le professionnel de santé, plus rien ne fonctionne, hormis le cœur. La famille refuse, Raymond – le mari d’Angèle Lieby – en tête. « Jamais vous ne débrancherez Angèle », clament ses proches.

C’est une conversation qui va sauver Angèle. Un jour, sa fille s’approche d’elle, tout près de son oreille. Elle lui annonce qu’elle veut un troisième enfant, et qu’il faut qu’il connaisse sa mamie. Angèle Lieby ressent une forte émotion, elle a l’impression de suffoquer. Elle entend alors sa fille lancer à son mari : « Regarde, maman pleure. » Sur la joue d’Angèle Lieby coule une larme. Signe d’un contact, d’une réaction. Tout va changer à partir de là. Quelques heures plus tard, c’est un doigt qu’elle arrive à bouger.

Les médecins comprennent enfin ce dont souffre Angèle Lieby : le syndrome de Bickerstaff. Une maladie neurologique très rare, où la phase aiguë peut laisser penser à une mort cérébrale. « J’étais le quinzième cas dans le monde qui s’en est sorti, donc je comprends que c’est difficile à diagnostiquer », reconnaît Angèle Lieby.

« Il m’a fallu quatre années pour être quasiment comme aujourd’hui ». Plus les jours passent, plus Angèle Lieby retrouve ses capacités. Bientôt, on lui enlève son respirateur artificiel. Elle recommence à parler, puis à manger, à écrire, puis à être autonome. « J’ai passé six mois en réanimation et six mois en réadaptation », précise l’ancienne malade. « Il m’a fallu quatre années pour être quasiment comme aujourd’hui », souligne-t-elle. « Près de dix ans après, il reste des dégâts : je ne sais plus chanter, je ne sais plus courir. Mais je suis bien contente de m’en être sortie. »

( https://www.europe1.fr/societe/une-larme-ma-sauvee-angele-lieby-prisonniere-de-son-corps-3885056 )

Bon sens

Le gouvernement italien a rétabli les termes de père et mère sur les formulaires de demande de carte d'identité.

« On retrouve un peu de bon sens », a déclaré Matteo Salvini, qui dénonçait inlassablement cette initiative antifamiliale du gouvernement précédent.

Naturellement le lobby contrarié crie très fort et annonce des recours devant les tribunaux administratifs.