News au 24 avril 2019

Un « court-circuit » à Notre-Dame ?
La charpente n’était pas électrifiée

( https://gloria.tv/video/SpFaFHQ4m2ye6NgAAYHTWx7aE )

INFO PANAMZA. Selon la version officielle, une défaillance électrique serait l'éventuelle cause de l'incendie de la cathédrale. Problème : la zone d'origine du feu n'était pas électrifiée. La preuve en vidéo.

 

L'affaire Notre-Dame n'en finit pas d’être grossièrement récupérée comme en atteste la dernière prestation éloquente de l'épouse de BHL.

https://www.youtube.com/watch?v=WN6bGyvuLnw

Et le tam-tam politico-médiatique recouvre de son vacarme des informations cruciales (comme celle de la fermeture "exceptionnelle" des tours au moment du déclenchement de l'incendie) ou intrigantes (telle celle relative à l'identité singulière de la personne chargée de transférer les reliques sauvées du feu).

Nulle surprise que l'étrange gêne des ouvriers du chantier soit ainsi passée inaperçue…
 (Les échafaudeurs de NDdP. Il n’y avait pas encore de soudeurs la haut : https://www.youtube.com/watch?v=ZAvVpZGf60I )

Dimanche, la chaîne publique de désinformation France 3 et le Journal du Dimanche (groupe Lagardère) ont souligné un nouvel élément d'information communiqué/martelé par une source policière (évidemment anonyme) : "la piste d'une défaillance électrique est privilégiée".

Un prétendu "court-circuit", précise (à 0'33) CNews (groupe Bolloré). 

https://www.youtube.com/watch?v=WnuvvzIobvM

Le départ de l'incendie (mystérieusement fulgurant) s'est produit vers 18h15, au niveau de la charpente, indique le JDD.

Problème majeure : la zone n'était pas du tout électrifiée.

Panamza a déniché deux reportages éclairants (diffusés respectivement en juin 2011 et septembre 2018) dans lesquels deux architectes sollicités visitent la charpente et affirment clairement -face caméra- que la zone entière est dénuée de tout raccordement électrique.

Rappel-clé : depuis l'incendie, les architectes des monuments historiques -sous tutelle du ministre de la Culture (Franck Riester, engagé pour Israël)- ont reçu la consigne édifiante de ne pas s'épancher auprès des journalistes.

En clair : de ne pas émettre publiquement l'hypothèse d'un acte délibéré (comme le fit tacitement Benjamin Mouton).

Découvrez les deux extraits ci-dessous attestant de l'absence d'électrification, suivis ensuite des reportages intégraux consacrés à Notre-Dame…

Notre-Dame de Paris :
les tours étaient « exceptionnellement » fermées

INFO PANAMZA. Ce mystère est totalement passé sous silence par la presse traditionnelle et les autorités : les tours de la cathédrale avaient été spécialement barrées au public au moment -troublante coïncidence- du déclenchement de l'incendie. Pourquoi ?  

 

Internet est magique : il conserve le plus souvent des traces effacées du passé.

L'archivage web permet ainsi de découvrir que le site officiel de la cathédrale Notre-Dame avait annoncé -fin mars jusqu'au jour même– que les tours seraient rendues inaccessibles aux visiteurs une heure plus tôt dans la journée du lundi 15 avril. 

 

Au jour fatidique de l'embrasement rapide et mystérieux de la cathédrale…

 

Normalement, ces structures sont accessibles -à partir du 1er avril- jusqu'à 18h30 (18h45 pour la base de l'édifice).

Pourquoi les responsables de la cathédrale ont-ils restreint l'accès aux tours une heure plus tôt pour ce 15 avril ? 

Mystère. Aucune explication ne fut fournie sur le site à propos de cet avertissement mentionné ailleurs -tel ce compte Twitter en date du jeudi 11 avril.

Détail troublant : la première alarme a retenti à 18h20 et le feu fut constaté vers 18h50, suite à la seconde alarme de 18h43.

En clair : c'est précisément durant la tranche horaire de 17h30/18h30 (qui fut spécialement interdite aux visiteurs -mais aussi aux ouvriers qui avaient tous quitté les lieux à 17h30) que le foyer du feu fut activé…

Accidentellement…

Ou délibérément.