News au 21 novembre 2019

fr.news  21 novembre 2019

Demande de mandat d'arrêt international contre le protégé de François, Zanchetta

Le procureur argentin María Soledad Filtrín Cuezzo a demandé l'aide internationale pour arrêter l'évêque Gustavo Zanchetta, accusé « d'abus homosexuels sur deux séminaristes ».

Selon AciPrensa.com, la demande a été faite parce que Zanchetta n'a pas répondu aux appels téléphoniques ou aux e-mails répétés. On suppose qu'il se cache au Vatican.

Plus tôt ce mois-ci, la police a fait une descente dans les bureaux de son ancien diocèse d'Orán.

Zanchetta est un protégé de François et le premier évêque argentin nommé par François. Les premières accusations contre lui ont été portées en 2015 et concernaient des selfies nus sur le téléphone de Zanchetta.

Il a pris sa retraite en août 2017 comme évêque d'Orán pour des « raisons de santé ». Peu de temps après, François a créé pour lui un poste au Vatican.

[Au Vatican, il est en sûreté, à moins que Bergoglio le lâche, ce qui peut aussi arrivé, car avec l'Antéchrist, on peut s'attendre à tout, même à un crime camouflé.]

fr.news  21 novembre 2019

Le rédacteur en chef de L'Osservatore Romano est un désastre

Andrea Monda, rédacteur en chef du quotidien du Vatican L'Osservatore Romano, nommé seulement en décembre 2018, est un autre désastre personnel pour François, écrit LaVerità.info (17 novembre).

Monda est un ancien professeur d'instruction religieuse à l'école secondaire Pilo Albertelli de Rome.

Il a été recommandé pour ce poste par le Préfet du Dicastère de la Communication Paolo Ruffini, l'homme de l'homme de François Antonio Spadaro et d'Andrea Tornielli, journaliste à la cour du pape.

Monda est considéré comme la victime d'un ego trop grand. Voici les accusations contre lui :

- il a invité le père Giacomo Ruggeri, l'abuseur d'enfants condamné, à publier un article sur L'Osservatore Romano. Après que Monda ait été averti, il a demandé à Ruggeri d'écrire un deuxième article.

- il a identifié Jean-Paul II comme l'auteur de l'encyclique Pacem in Terris de Jean XXIII (1963).

- il a appelé François à l'occasion de sa sixième année comme pape « médecin de famille ».

- il a longuement parlé d'un festival du film romain dont le directeur est son frère Antonio.

- il a accepté de promouvoir un nouveau parti catholique de gauche à la condition que le parti donne une position de leader à son fils.

- il a mis en colère les évêques italiens en faisant pression pour un synode italien dont ils ne veulent pas.

- il n'a pas publié un article du cardinal José Tolentino en première page de L'Osservatore comme il l'avait promis. Afin d'apaiser Tolentino, il a re-publié le texte en revendiquant des corrections non spécifiées de la première version.

- même l'anti-catholique Lucetta Scaraffia et son équipe qui ont produit un encart féministe pour L'Osservatore ont démissionné de leur poste pour protester contre Monda.

[Il faut dire que Bergoglio à l'habitude de nommer des incompétents, des corrompus et tout ce qu'on veut, afin de les tenir en laisse. Ce sont les petits coin-coins de l'Antéchrist...]

fr.news  21 novembre 2019

Le cardinal Parolin a-t-il violé des accords financiers internationaux ?

Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État de François, a personnellement demandé à l'Administration du patrimoine du siège apostolique (APSA) en 2014 un prêt de 50 millions d'euros pour l'achat de l'hôpital catholique IDI à Rome afin de le sauver de la faillite.

Parolin en a informé CatholicNewsAgency.com (20 novembre). L'IDI avait contracté une dette de 800 millions d'euros. Certains de ses anciens administrateurs, dont un prêtre, ont été emprisonnés pour fraude.

La déclaration de Parolin est probablement un mensonge pour couvrir François, car Parolin est connu pour rester loin des affaires financières.

Le prêt a fait l'objet d'une inspection par Moneyval, le Comité de lutte contre le blanchiment d'argent du Conseil de l'Europe, car il violait les accords réglementaires interdisant à l'APSA d'accorder des prêts commerciaux.

En conséquence, Parolin a élaboré un plan avec le cardinal Wuerl pour demander à la Fondation papale de couvrir le prêt douteux de l'APSA.

Wuerl a faussement dit à la Fondation papale que les fonds étaient nécessaires pour couvrir les déficits de fonctionnement à court terme. Malgré des objections, la subvention a été approuvée.

A la fin, l'APSA a perdu 30 millions d'euros dans l'opération. En plus du prêt APSA, le Vatican a utilisé 30 millions d'euros détournés de l'hôpital Bambino Gesu, prélevés sur une subvention de 80 millions d'euros du gouvernement italien.

[Bergoglio a dit plusieurs fois que le diable rentrait par le portefeuille ; eh bien, il est rentré par le sien, et par ensuite dans le bonhomme... dans lequel il est resté coincé !!!]