Voilà à quoi l'Antéchrist destine toutes les églises à l'avenir ! Bientôt à Saint-Pierre ?

Denis Crouan, Pro Liturgia, le 19 novembre 2018 a écrit:
« Plus de six années d’études de théologie pour terminer
comme sommelier chargé de profaner une église.
Quelle belle carrière pour le cardinal-archevêque de Lyon ! »



Source : https://www.proliturgia.org/actua.html

Le site de l’Église catholique dans le Rhône et le Roannais, le 14 novembre 2018 a écrit:

Journée mondiale des pauvres « Heureux les invités »

A l’occasion de la Journée mondiale des pauvres instituée par le pape François, le cardinal Barbarin a lancé une large invitation, sur le thème « Heureux les invités », à ces personnes en précarité. Il s’agit de réunir « pauvres et riches » le dimanche 18 novembre de 11 h à 15 h pour un temps de partage, de repas et de convivialité, au sanctuaire Saint-Bonaventure à Lyon 2ème ( fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Sai… ).

Les mouvements et paroisses en lien avec ces personnes sont appelés à leur transmettre cette invitation et à les accompagner lors de cette rencontre. C’est en ce sens que les curés et les responsables de mouvements ont reçu un courrier de la part du père Éric Mouterde, pour préciser l’intention de cette rencontre à l’invitation du Cardinal et les modalités pratiques pour la réussite de cet événement. « En novembre dernier, concrétisant l’appel du pape François pour une journée mondiale des pauvres , le cardinal Philippe Barbarin nous a appelés à relever le défi de la rencontre avec les exclus de notre société pour faire de nos communautés un lieu de partage de nos richesses respectives. Pour conforter cette attention aux personnes en précarité, le Cardinal les invite à un repas fraternel et convivial, « Heureux les invités ! », écrivait alors le père Mouterde, vicaire général-Mission de notre diocèse.

Les personnes en précarité pourront échanger, partager, se réjouir en « une rencontre authentique et donner lieu à un partage qui devient style de vie » comme l’écrivait le pape en novembre dernier. Il s’agit d’inviter soi-même des personnes en précarité, afin qu’elles rencontrent des personnes issus de différents mouvements et paroisses.

Heureux les invités !
Dimanche 18 novembre, 700 personnes en situation de précarité sont venues partager un repas fraternel au Sanctuaire Saint-Bonaventure.
Merci à tous pour votre présence, aux bénévoles pour leur aide et aux organisateurs.

Diaporama sur ce site du diocèse : http://lyon.catholique.fr/diocese-en-images/heureux-les-invites/




Source : http://lyon.catholique.fr/actualites/diocese/2018/11/14/journee-mondiale-des-pauvres-heureux-les-invites/

Bérengère Dommaigné, Aleteia, le 19 novembre 2018 a écrit:

Journée mondiale des pauvres : un déjeuner étoilé à Lyon

Ce dimanche 18 novembre s’est déroulée la deuxième Journée Mondiale des Pauvres.

A Lyon, 700 personnes défavorisées ont été invitées à un déjeuner gastronomique dans l’église Saint Bonaventure.

Cliquez ici pour ouvrir le diaporama

Au cœur de la presqu’île lyonnaise, les bancs de l’église Saint Bonaventure ont été remplacés par des tables décorées pour accueillir 700 personnes en situation de précarité. Les Lyonnais aiment bien la bonne chère ! Au menu, terrine de la mer, confit de canard et tartelette au chocolat noir de Madagascar, l’île de cœur du Cardinal Barbarin, présent pour partager ce moment de rencontre et de fraternité.

Le repas gastronomique a été préparé par le chef Christophe Geoffroy et quelques Meilleurs Ouvriers de France. Il est servi, à l’assiette, par les bénévoles de l’association Cœurs de Lyon. Un clown assure l’animation et les rires de ce déjeuner convivial ! Les convives sont également invités à décorer un rond de serviette pour le donner à leur voisin.

Heureux les invités ! Les papilles sont satisfaites grâce à ce déjeuner organisé par la Fondation Saint Irénée. Ce moment chaleureux met aussi en valeur les très nombreuses associations qui s’occupent de ces personnes tout au long de l’année.

Source : https://fr.aleteia.org/2018/11/19/journee-mondiale-des-pauvres-un-dejeuner-etoile-a-lyon/

Francesca de Villasmundo, Médias-Presse.Info, le 2 janvier 2019, a écrit:

Églises transformées en restaurants pour les pauvres,
une mode à la Judas

Signes de temps déchristianisés et apostats : les églises se vident du mystère eucharistique et de fidèles adorant leur Dieu dans l’humble hostie pour se remplir de bruits et d’agitation mondaine lors de déjeuners solidaires !

Le pape François a mis à la mode les repas pour les pauvres à l’intérieur des églises. Partout dans le monde, de New-York à Manille en passant par Rome et Ouagadougou, des édifices religieux sont transformés en grands restaurants où s’agite la jet-set ecclésiastique reconvertie en serveur de café sous les flashs des journalistes.

Dernièrement, c’est le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, qui, en calotte et tablier rouge, officiait en l’église Saint-Bonaventure de son diocèse lyonnais, lors d’un repas offert un dimanche midi à 700 convives dont 300 accompagnants sociaux. Pour un coût de 25 000 euros !

Pour la fête prochaine de l’Épiphanie, nombreuses seront les églises en Italie et ailleurs qui se consacreront, avec l’excuse d’aider l’humanité souffrante, à des repas festifs qui se croient sacrés quand ils ne sont qu’inappropriés, insultants et condamnables à tout point de vue.

Uniquement une nécessité extrême, telle une guerre ou une catastrophe naturelle, peut justifier l’utilisation de l’église comme refuge pour les populations. D’ailleurs les édifices publics et culturels, maisons des jeunes et autres salles polyvalentes, ne manquent pas pour ce genre de festivités sans qu’il soit nécessaire de transformer les églises en restaurants.

L’église est un édifice sacré, construite souvent avec l’apport et les sacrifices des riches comme des pauvres, qui témoigne de la présence de Dieu parmi les hommes. Abaisser cet édifice religieux à un usage profane est bien une profanation, une dégradation d’un lieu de culte, mais aussi une trahison du peuple chrétien et de ses pauvres : ces derniers ne sont plus des fidèles, riches ou pauvres qu’importe, venus cherchés l’amitié et la miséricorde du Seigneur mais sont ravalés au rang de simples hôtes occasionnels d’un curé, d’un évêque ou d‘un pape en recherche d’applaudissements mondains, nouveaux Judas de Nos Temps modernes.

Leur façon de mettre en avant les pauvres est tellement analogue à l’attitude de l’Iscariote : lui-aussi mettait en avant les pauvres pour s’approprier le parfum que Marie-Madeleine répandait sur les pieds du Seigneur, et ce afin de le vendre pour trois cent deniers. Et puis il vendit le Christ pour à peine un dixième !

Cette désacralisation des édifices religieux qui se revêt d’une fausse idée de la vertu de charité d’où la notion de culte et de révérence voués à Dieu en tout premier a totalement disparu n’est somme toute qu’un autre fruit funeste de la désacralisation de la liturgie accomplie par l’Église conciliaire : de l’autel tourné vers Dieu, on est passé lors de la révolution liturgique de Paul VI à la table eucharistique anthropocentrée. Aujourd’hui il ne reste plus que la simple table en plastique des repas solidaires… Logique d’une déchéance annoncée par une apostasie qui n’est guère silencieuse…

Source : https://www.medias-presse.info/eglises-transformees-en-restaurants-pour-les-pauvres-une-mode-a-la-judas/103119/

Saint Jean Chrysostome a écrit:

« Rien ne sied mieux dans une église que le silence et un bon maintien ; le tumulte est pour le théâtre et le barreau, mais non pour l’église. Ce n’est pas ici un lieu de prostitution, mais une église ; si votre corps est celui d’une prostituée, gardez-vous d’entrer dans ce lieu, ne le souillez pas de votre présence. »

( http://www.montfortajpm.sitew.fr/fs/Root/d310p-Recueil_de_paroles_de_Saints_6.pdf )

La Repubblica Napoli.it, le 28 décembre 2016, a écrit:

Dans le déjeuner de la cathédrale pour six cents nécessiteux,
le Cardinal Sepe sert aux tables.

Six cents places, mais beaucoup plus, en fait, ont participé au déjeuner pour les pauvres du diocèse de Naples. Et cette année, pour la première fois, le déjeuner a été servi dans la cathédrale et non dans la salle archiépiscopale, l'ancien lieu de l'événement voulu par le cardinal Crescenzio Sepe. Pendant une journée, la cathédrale a été transformée en "restaurant" pour les immigrés, les pauvres, les sans-abri, avec des fours à pizza dans le parvis de l'église.

Le regard était surprenant : des bancs dans toute la cathédrale et de l'espace pour les tables mises pour les "derniers" à qui tendre la main. Comme toujours, le cardinal a servi aux tables, en cuisant personnellement l'une des 700 pizzas préparées (photo riccardo siano).

Source : https://napoli.repubblica.it/cronaca/2016/12/28/foto/nel_duomo_il_pranzo_di_natale_per_i_poveri-155012743/1/#1

La Repubblica Napoli.it, le 28 décembre 2017, a écrit:

Le Cardinal Sepe sert des pizzas et des panuozzi aux pauvres
dans la Cathédrale de Naples

Pizza et panuozzi servis par le Cardinal Crescenzio Sepe sur fond de chansons napolitaines classiques. Voici le traditionnel repas de Noël pour les pauvres du Dôme de Naples. L'archevêque de Naples a ouvert les portes de l'église de la cathédrale à 600 personnes, pauvres et sans abri, qui sont maintenant rejointes par des familles sans revenu. Différents types de pizzas et panuozzo, produits laitiers et autres ont été servis sur la table, tous préparés sur place. Dans le parvis du Dôme il y a des fours et l'équipement nécessaire pour la préparation des plats, offerts par Vincenzo Staiano, propriétaire de la pizzeria "Zì Aniello" à Lettere (Naples), aussi connu comme "le pizzaiolo du Pape" parce que, au nom du Pape François il a préparé et distribué des milliers de pizzas sur la Place Saint Pierre et dans les communes sinistrées du Centre Italie et, ces jours-ci, il lui a offert une grande pizza pour son anniversaire. Le déjeuner a été servi aux invités par le Cardinal Sepe avec des prêtres, des moniales et des séminaristes. Le déjeuner a été animé par des artistes qui ont interprété des chansons napolitaines classiques. A la fin, le Cardinal Sepe a offert un cadeau à tous les invités.

Source : https://napoli.repubblica.it/cronaca/2017/12/28/foto/il_cardinale_sepe_serve_pizze_e_panuozzi_ai_poveri_nel_duomo_di_napoli-185374040/1/#1

Saint Jean Chrysostome a écrit:

« L’église n’est ni une boutique de barbier,
ni un étalage de marchandises ;
c’est la demeure des Anges et des Archanges ;
c’est le palais du ciel, c’est le ciel lui-même. »

( http://www.montfortajpm.sitew.fr/fs/Root/d310p-Recueil_de_paroles_de_Saints_6.pdf )

Rino Cammilleri, dans La Nuova Bussola quotidiana, le 31 décembre 2017 a écrit:

Pizzeria "la Cathédrale", scénario inutile et criard

Les clochards et les sans-abris mangent à l'église. Il n'y a pas de salles spéciales à Naples ? Oui, c'est pourquoi l'installation de la cathédrale comme réfectoire avec un archevêque en tablier et une calotte est une une chose inutile et criarde.

Le Cardinal Sepe sert de la mozzarella dans la Cathédrale

Jusqu'à récemment, chaque année, j'étais invité par les Milanais City Angels (association d'assistance civique) à un événement caritatif réservé aux VIP. Il s'agissait de servir le déjeuner à la table des clochards de la ville dans la cantine gratuite de l'Opéra Cardinal Ferrari, une institution méritoire qui, en fait, aide les sans-abris et les plus pauvres. Portant le T-shirt rouge avec le logo City Angels, des personnages comme la chanteuse Jo Squillo, le showman Mauro Coruzzi en art Platinette, des politiciens locaux et des gens plus ou moins célèbres, nous nous sommes produits dans un va-et-vient entre les tables, alternant les parcours. Après le dessert, les chanteurs ont chanté, les écrivains et les politiciens se sont produits dans un discours de circonstance. Mais j'ai été frappé par l'avis qui m'a été donné par le personnel de cuisine à chaque fois que j'entrais pour prendre de nouveaux plats : « Je recommande, un verre de vin, un seul. »

Ils connaissaient leurs poulets et nous avertissaient. Puis j'ai cessé d'être considéré comme un VIP et ils ne m'ont plus appelé. Cependant, ces déjeuners pour cent personnes, je me souviens, étaient offerts dans une salle spéciale, où il y avait déjà des tables et des chaises préparées. Certainement pas à l'église, bien que l'Opéra en ait une, d'époque et très spacieuse. En fait, s'ils avaient rendu l'église disponible, leur geste aurait été démagogique, un geste gratuit et d'effet inutile. Pourquoi, en fait, faire déjeuner les "pauvres" à l'intérieur de l'église ? Pour montrer que c'est le clergé qui offre ? Peut-être que les gens que j'ai servis à la table de Milan ne savaient pas qui payait l'addition ? Mais le poisson part de la tête, dit-on, et depuis que le Pape François a donné l'exemple, tous les prêtres se sont précipités pour l'imiter.

Le dernier était le cardinal de Naples, qui a préparé le repas de Noël pour les clochards à l'intérieur de la cathédrale. « Dans l'esprit de l'œuvre de miséricorde "Accueillir les pèlerins" », nous lisons sur le site du diocèse. Et de la patience lorsque les clochards ne sont pas du tout des pèlerins, mais des gens qui, d'une certaine manière, ont cédé et, ne résistant plus aux complications de la vie normale, ont préféré la route. Bien sûr, beaucoup de gens ont une motivation économique, mais pas tous. Toujours est-il, dit le site, chaque plat servi dans la cathédrale napolitaine y est né, puisque le parvis avait été transformé, à cet effet, en une grande friture pour pizzas et pizzettas, panuozzi, zizze et autres, tous offerts par le "pizzarolo del Papa", à savoir le restaurant "Zi'Aniello" qui se distingua auparavant pour avoir distribué des pizzas sur la Place Saint-Pierre et avoir donné une grande pizza au Pape Bergoglio.

À Naples, le VIP qui a servi était l'archevêque lui-même, immortalisé dans son tablier sur son veston et avec une mozzarella à la main. « Le déjeuner a été servi aux invités par le Cardinal avec des prêtres, des sœurs, des séminaristes... il a été animé par des artistes avec la performance de chansons napolitaines classiques », dit le site. Pour autant que l'on puisse en juger, Catari', Torna a Surriento et 'O sole mio, mosaïque de chants de Noël (il y a des Napolitains et des signatures illustres, comme Quanne nascette ninno). En un mot, tout va bien et c'est une grande fête. Mais pourquoi la faire à l'intérieur de la cathédrale ? Pourquoi la faire dans un lieu sacré, dans le plus sacré de la ville ? Il n'y a pas de salles à Naples ? Nous ne le pensons pas. Non, c'est juste un geste éhonté et d'un superflu inconvenant, dans le sillage du dernier cri du cléricalement correct. Bah, à ce point, puisque nous sommes à Naples nous citons Totò : mais s'il vous plaît !

Source : http://www.lanuovabq.it/it/pizzeria-la-cattedrale-inutile-e-plateale-sceneggiata

Chiesa di Napoli, en décembre 2018, a écrit:

"J'avais faim et vous m'avez nourri" (Mt 25,35)
Le Cardinal Sepe ouvre les portes de la Cathédrale à 800 pauvres

 

Le vendredi 28 décembre, à 12h30, pour la troisième année consécutive, le Cardinal Crescenzio Sepe, au nom de l’Église de Naples, ouvre les portes de la Cathédrale aux indigents et aux sans-abris, à qui, comme déjà en 2006 avec son arrivée à Naples, il servira le repas, pour célébrer ensemble Noël.

Il s'agit d'un événement spécial, qui célèbre l'hospitalité quotidienne des différentes cantines de la Caritas diocésaine, dirigée par Don Enzo Cozzolino.

Il y a environ 800 invités, de nationalités et de religions différentes ; ce sont des personnes individuelles mais aussi des petites familles qui n'ont ni travail ni revenu.

Contrairement aux deux dernières années, les invités ne se verront pas offrir les différentes spécialités de pizzas, mais se verront servir un déjeuner complet, préparé, organisé et coordonné par le "pizzaiolo del Papa", Vincenzo Staiano, propriétaire de la pizzeria "Zi'Aniello" de Gragnano/Lettere, qui a trouvé le concours de restaurateurs et de cuisiniers, notamment "EP" Pasquale Esposito.

Pour l'occasion, les étudiants de l'Istituto Superiore Alberghiero "Graziani" de Torre Annunziata seront impliqués : ils seront occupés dans la cuisine mais assureront aussi le service aux tables.

En plus des étudiants, cependant, une centaine de volontaires seront impliqués, coordonnés par le Directeur adjoint de Caritas, le Dr Giancamillo Trani, qui installera la "salle à manger", l'assistance logistique et, à la fin du déjeuner, l'enlèvement des tables et le nettoyage, pour ramener la cathédrale, dans la dignité, aux activités du culte, selon les instructions et sous l'œil du curé, Mgr Enzo Papa.

Source : http://www.chiesadinapoli.it/pls/napoli/V3_S2EW_CONSULTAZIONE.mostra_pagina?id_pagina=53281&rifi=guest&rifp=guest