News au 2 août 2020
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News au 2 août 2020
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comme BERGOGLIO est HÉRÉTIQUE, APOSTAT & IDOLÂTRE (culte idolâtrique de la Pachamama le 4/10/2019 & « Jésus n'est pas Dieu ! » 9/10/2019, etc...), concluez !
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Re: News au 2 août 2020
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Re: News au 2 août 2020
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Le Forum économique mondial (FEM)
est le mieux placé pour savoir… :
La « grande remise à zéro mondiale » post-covidienne
Le FEM a contribué à la fermeture de l'économie mondiale et maintenant ils veulent la relancer
Le Forum économique mondial (FEM) vient de faire une découverte grandiose et il a déclaré (le 21 juillet 2020), sous un titre alarmant, « C’est maintenant la plus grande menace du monde – et ce n’est pas un coronavirus ». Cette superbe découverte est répertoriée comme « L’affluence est la plus grande menace pour notre monde, selon un nouveau rapport scientifique ». (Voir ceci).
Cette « nouvelle choquante et révélatrice » est la « principale conclusion d’une équipe de scientifiques d’Australie, de Suisse et du Royaume-Uni, qui ont averti que la lutte contre la surconsommation doit devenir une priorité. Leur rapport, intitulé « Scientists’ Warning on Affluence », explique que « l’affluence est le moteur des impacts environnementaux et sociaux, et par conséquent, une véritable durabilité appelle des changements significatifs du mode de vie, plutôt que d’espérer qu’une utilisation plus efficace des ressources suffira ».
Afin de mieux comprendre le contexte de la déclaration du FEM, revenons un peu en arrière. Le 3 juin 2020, le fondateur et président exécutif du FEM, Klaus Schwab, a présenté ce que le FEM et toutes les élites et oligarques derrière lui appellent la « Grande remise à zéro » [« The Great Reset » en anglais] :« Pour obtenir de meilleurs résultats, le monde doit agir conjointement et rapidement pour repenser tous les aspects de nos sociétés et économies, de l’éducation aux contrats sociaux en passant par les conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. Pour faire simple, nous avons besoin d’une « Grande remise à zéro » du capitalisme. »
Selon l’auteur Matthew Ehret-Kump, la réunion comprenait des élites du « FMI, de la Banque mondiale, du Royaume-Uni, des États-Unis, des entreprises et du secteur bancaire » qui cherchaient toutes « à profiter de la COVID-19 pour fermer et « mettre à zéro [« réinitialiser »] l’économie mondiale dans le cadre d’un nouveau système d’exploitation intitulé le nouveau pacte vert [Green New Deal] ».« …C’est la période la plus dangereuse de l’histoire de l’homme. La gravité de ce complot ne peut être sous-estimée. Il n’est pas dû à une menace de guerre conventionnelle ou de décimation nucléaire, il est basé sur le fait qu’il s’agit d’une guerre psychologique menée par des psychopathes contre toute l’humanité, et qu’elle est avancée par un petit groupe de monstres qui ont pris le contrôle de l’esprit des masses par un endoctrinement à long terme et des politiques destinées à engendrer la dépendance ».
Et,« La peur est la nouvelle arme de destruction massive, non pas parce qu’elle est légitime, mais parce que les gens ont perdu toute volonté d’être libres, ont perdu toute capacité de penser, et cherchent refuge et confort en tant que troupeau collectif uniquement capable d’exister dans une société basée sur un régime totalitaire ».
Et enfin,« Aspirer à la liberté sans avoir le courage de la revendiquer est une entreprise vide de sens, car toute demande réelle des masses laisserait l’élite au pouvoir nue et effrayée. Tout ce qui est nécessaire pour atteindre la liberté, c’est de la vouloir, et elle seule peut vaincre la tyrannie ».
Une question légitime :
Qu’est-ce que le FEM et qui est derrière le FEM ? – Qu’est-ce qui rend le FEM si omnipuissant ?
Le FEM a été créé en 1971 par Klaus Schwab, un ingénieur et économiste allemand. Depuis ce jour, il est à la tête de ce puissant club de riches. Depuis ce jour, le FEM est devenu une ONG. Il a été fondé en tant que Forum européen de gestion. Son siège social est à Cologny, une banlieue luxuriante de Genève, en Suisse. Son statut juridique est celui d’une fondation, une simple ONG (voir ceci). [Il est également appelé le Forum de Davos]
Le FEM n’a absolument aucun statut ou rôle international légal – comme par exemple les Nations unies – qui lui permettrait de promulguer des décrets et des règles au monde entier sur la façon dont ce dernier devrait être géré et se comporter. Cependant, il pourrait bien exercer un contrôle sur la population mondiale et décider du sort des 7,8 milliards de personnes (estimation de la population en 2020, rapport de l’ONU).
Or, c’est précisément ce que le FEM prétend faire – et ce, depuis au moins deux ou trois décennies déjà. Et la plupart des dirigeants occidentaux – et de nombreux non-occidentaux parmi les 193 membres de l’ONU – acceptent le FEM comme une autorité mondiale en matière de politique économique et de pensée politique. Ils placent l’autorité du FEM au-dessus de celle des Nations unies.
Pourquoi ? – Quelqu’un s’est-il déjà demandé comment une ONG, le FEM, s’arroge le pouvoir de se placer au-dessus des Nations unies, au-dessus de toutes les nations du monde et dicte, en tant que mandataire de ses membres du complexe militaro-financier, qui doit vivre et qui doit mourir, en imposant un système économique mondial [mondialisation de l’économie] qui n’a apporté qu’une misère abjecte à la majorité des populations ? – Et il continuera à le faire, si nous ne l’arrêtons pas…
Des déclarations similaires pourraient être faites à propos du G7 et du G20 – ce ne sont même pas des ONG, mais simplement des clubs des nations autoproclamées comme les plus riches et les plus puissantes du monde. Eux aussi, comme le FEM qui travaille main dans la main avec les grands « G », ont récupéré le rôle de l’ONU – établir une politique économique et politique mondiale. Ils prétendent prendre les décisions concernant la guerre et la paix. Dans leur intérêt capitaliste élitiste, bien sûr. Pas dans l’intérêt du peuple.
C’est totalement illégitime et extrêmement dangereux.
Maintenant, qui est derrière le FEM ? Qui sont les membres et les acteurs du FEM ?
Ils sont la crème de la crème de l’élite. Le FEM considère que ce sont les très riches qui sont le problème, ce sont ceux qu’ils prétendent devoir « ajuster » pour que le monde puisse continuer à fonctionner – de manière « durable ». – « Durable », le terme omniprésent partout, surutilisé et exploité, précisément par ceux qui condamnent le monde vivant de manière non durable. Il s’agit de magnats de la finance et des entreprises, d’anciens et d’actuels politiciens, de personnalités d’Hollywood, etc. Ils sont la vitrine de l’État profond obscure.
Ce sont eux qui tentent d’introduire le « Nouveau pacte vert », une déviation de l’économie actuelle basée sur le consumérisme, vers une économie basée sur le capitalisme « vert » ; les voitures électriques (largement basées sur l’électricité produite par les hydrocarbures), et l’agriculture biologique (sic) basée sur les OGM, l’intelligence artificielle (IA) « propre », les « villes vertes », où les travailleurs (pas encore anéantis par l’IA) ne peuvent pas se permettre de vivre – et bien d’autres choses de ce genre. Un agenda vert est une bonne propagande. Ce concept se vend facilement à la population, qui ne pose pas de questions.
Est-ce que nous le comprenons tous ? – Le FEM – une petite ONG de la banlieue de Genève, en Suisse – agit au-dessus de l’ONU – et ce depuis un certain temps. Et nous, le peuple [les citoyens du Monde], nous laissons faire. Nous protestons un peu chaque année en janvier lorsque le clan du FEM se réunit dans la luxueuse station balnéaire de Davos, en Suisse, pour nous dire ce qu’ils veulent pour l’avenir de l’humanité et pour le monde entier. Mais c’est tout.
Puis ils rentrent « chez eux » et disparaissent à nouveau derrière le rideau pendant un an, du moins c’est ce que nous pensons, et réapparaissent ensuite avec de nouvelles idées et règles et des moyens d’imposer un comportement aux 99,999 % des citoyens du monde. Et, encore une fois, cette petite et riche ONG, sans aucun statut juridique international, continue d’agir comme un dieu puissant, bien au-delà des Nations unies, qui, de leur côté, ont été créées par les nations du monde pour arbitrer les conflits et pour promouvoir la paix. Ne rien faire contre le FEM, le laisser agir et lui permettre de prendre toujours plus de pouvoir, signifie accepter l’autorité de ses successeurs – bref cela signifie approuver son statut illégitime d’autorité mondiale suprême.
Il semble que c’est ce que nous avons fait dernièrement – au détriment de l’économie mondiale, en nuisant au tissu social de notre monde multiculturel, aussi imparfait soit-il – mais il a une existence légitime. Maintenant, cette existence a été réduite en miettes – oui, en grande partie par le FEM et ses acolytes, l’OMS, l’école de santé de l’université Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates. Ils sont à l’origine de la catastrophe de la crise de la COVID-19. L’événement 201 est le dernier témoignage à cet effet.Ils sont soutenus par une myriade d’autres acteurs de la scène mondiale, et par les filiales des oligarques et des institutions les plus riches, qui prétendent diriger le monde, le FMI, la Banque mondiale, la FED, l’industrie pharmaceutique mondiale, les institutions bancaires et financières privées, c’est-à-dire Wall Street et ses filiales internationales, sans oublier le complexe militaro-industriel mondial.
La destruction mondiale que le FEM veut maintenant réparer par une Grande remise à zéro mondiale, style FEM, a été – et est causée – par un ennemi invisible, un virus, un coronavirus, le même qui est à la base de la plupart des épidémies de grippe. Les médias occidentaux diffusent dans nos cerveaux des messages de peur de la COVID-19 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, donc on y croit. Mais ce n’est pas vrai du tout.
La pandémie de coronavirus, ce qu’on appelle maintenant COVID-19, avait été soigneusement planifiée, probablement depuis des décennies, au moins depuis le rapport Rockefeller de 2010, qui décrit la première phase de cette destruction mondiale que nous connaissons maintenant « Le scénario du verrouillage » (p. 18 du rapport Rockefeller de 2010).
L’événement 201 a été le dernier et important exercice de simulation de pandémie du coronavirus et ses conséquences – 65 millions de morts en 18 mois et un marché boursier dévasté, des faillites sans précédent. Cela a été la « répétition générale » avant l’épidémie, d’abord en Chine, et quelques semaines plus tard dans le monde entier. Cet événement a été coparrainé par le FEM, la Fondation Bill Gates et l’École de santé publique de l’Université Johns Hopkins.
Un certain nombre d’acteurs clés dans ce scénario de pandémie -également appelé « Fear Indoctrination » ( » la peur de la contagion « )- étaient également présents à l’événement 201, tels que l’OMS, l’UNICEF, le FMI, la Banque mondiale – et des représentants de diverses agences des Nations unies. L’ONU est entièrement complice avec cette entreprise criminelle et génocidaire.
Cela montre que l’ONU n’a pas de pouvoir ; un organisme mondial créé après la Seconde Guerre mondiale, ….« Les Nations unies sont une organisation internationale fondée en 1945 après la Seconde Guerre mondiale par 51 pays qui se sont engagés à maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations et à promouvoir le progrès social, l’amélioration du niveau de vie et les droits de l’homme » (voir ce document).
Cela montre simplement que le FEM, une petite ONG, a plus de pouvoir que l’ONU, et a en fait coopéré avec l’ONU et beaucoup de ses agences pour suivre le diktat des oligarques élitistes, ou de l’État profond obscur – qui se tiennent derrière le FEM.
Pourquoi l’autorisons-nous ?
Cette Grande remise à zéro mondiale que le FEM prévoit et planifie, est bien sûr motivée par un autre agenda que le « Bien-être du Monde ». Ces maîtres de l’univers qui se sont autoproclamés, parmi les mêmes personnes fortunées que le FEM considère comme le plus grand risque pour l’humanité, se ravisent maintenant et donnent leurs richesses afin qu’il y ait un meilleur équilibre dans la distribution des richesses de la planète (Terre Mère), plus de justice, plus de respect des droits de l’homme, moins de consommation et – une protection absolue de l’environnement et des ressources non renouvelables ? – C’est peu probable.
Au contraire, comme cela a déjà été prouvé. L’effondrement planifié de l’économie mondiale a créé une misère inimaginable par les faillites, principalement de petites et moyennes entreprises, qui seront englouties par les grandes sociétés – et par le détriment de ce qui restait des filets de sécurité sociale dans le Nord global ainsi que dans le Sud global. Un autre énorme transfert de ressources de la base vers le sommet – comme en témoignent les 434 milliards de dollars de richesses supplémentaires des milliardaires étasuniens (voir ci-dessus) – et cela n’inclut pas la somme des richesses supplémentaires des milliardaires du monde entier.
Ayant dit que la richesse est la plus grande menace pour le monde, sans entrer dans les détails, le FEM soutient que « la vraie durabilité ne sera atteinte que par des changements drastiques de style de vie » et appelle à « une grande remise à zéro du capitalisme dans le sillage de la pandémie« .
Un extrait de « In the Stranglehold of the Untruth », par Gerd Reuther, Rubikon News – (traduit de l’allemand) – peut mettre l’agenda du FEM dans une autre perspective encore :« Une « pandémie » de résultats de tests faussement positifs écrasants, l’obligation de masquer sans augmentation du risque d’infection, les « épidémies » de Covid sans malades, les transferts d’argent gigantesques sans compensation. Corona a rendu possible ce qu’aucune contre-réforme ou contre-information n’a pu réaliser. Combien de décès par Covidose avez-vous connu personnellement ? Probablement pas beaucoup. Mais en attendant, presque tout le monde connaît quelqu’un qui est devenu fou. Les sociétés ont contourné la planète sur le chemin de l’abîme. »
Nous ne pouvons que spéculer sur ce que la Grande remise à zéro pourrait signifier pour les citoyens du monde. Essayons. C’est ce que les oligarques riches, par leur affiliation à des sociétés, à la finance, à l’industrie pharmaceutique et à l’armée, pourraient avoir l’intention d’imposer aux « grandes foules placées en dessous d’eux ».
- Pour parvenir à la Grande remise à zéro du FEM, le numéro un est de maintenir ou d’augmenter la cadence de la propagande de la fausse peur et des mensonges en cours, comme décrit ci-dessus par Gerd Reuther dans Rubikon.News. Cela doit être un effort acharné et ne devrait pas être un problème, car tous les organes de presse et de propagande anglo-américains occidentaux et leurs affiliés dans d’autres langues sont pleinement cooptés.
- Une autre ou plusieurs enfermements avec des masques et une distanciation sociale, le confinement, pour diminuer encore plus les contacts humains par l’isolement ; une « société masquée » perd l’estime de soi, la peur et l’anxiété affaiblissent le système immunitaire des gens, les rendant vulnérables à toutes sortes de maladies, en particulier l’obligation de porter un masque qui fait que les gens respirent leur propre CO2 hautement toxique – tout ce qui dépasse le niveau de 1 000 ppm de CO2 est au-dessus de la tolérance – le port d’un masque peut augmenter l’inhalation de CO2 à un taux de 10 000 ppm, ou plus (voir ceci).
- Moins de consumérisme, grâce à une austérité extrême, un travail à bas salaire, un chômage gigantesque qui se poursuit, provoquant l’insécurité, l’anxiété et la peur de la survie, préparant ainsi la mentalité de la population à plus de manipulation, plus d’esclavage – et attendant désespérément LE VACCIN.
- Remplacer le fruit du travail, à savoir le salaire d’un travail [fierté du travail], par un revenu de base universel (RBI), créant ainsi une dépendance au système et détruisant le travail humain et ce qui reste de l’estime de soi.
- Le FEM appelle également à un « capitalisme des acteurs ». Quelqu’un sait-il ce que cela signifie ? Google le décrit comme suit : « Le capitalisme des parties prenantes est un système dans lequel les entreprises sont orientées pour servir les intérêts de toutes leurs parties prenantes. … Dans ce système, l’objectif d’une entreprise est de créer de la valeur à long terme et non de maximiser les profits et d’accroître la valeur des actionnaires au détriment des autres groupes de parties prenantes« .
En d’autres termes, ce serait un changement radical et bienvenu par rapport au capitalisme néolibéral des entreprises actionnaires, si par d' »autres groupes de parties prenantes » on entend le consommateur commun. C’est très peu probable. – Il est plus probable que les bénéfices à long terme (profits) s’accumulent de manière plus égale pour les actionnaires, puisque chaque actionnaire est également une partie prenante. Mais toutes les parties prenantes ne sont pas des actionnaires. Les consommateurs, les gens ordinaires, sont laissés pour compte.
- Enfin, il existe une forte volonté de réduire la population mondiale ; Bill Gates en est l’un des principaux moteurs et il l’a dit ouvertement à diverses occasions. L’un de ses aveux les plus flagrants est son discours TED de 2010, « Innovating to Zero », en Californie, où il déclare nonchalamment que « si nous faisons du bon travail, nous pourrons peut-être réduire « la population mondiale de 10 à 15 % – voyez ceci. Ce programme d’eugénisme s’inscrit parfaitement dans l’agenda du FEM. Moins de personnes, moins de ressources. Celles qui restent, peuvent être partagées plus abondamment entre les belles et les puissantes.
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Re: News au 2 août 2020
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[Les juifs, autrement dit la judéo-maçonnerie, pour se venger de l'étoile jaune nous infligent le masque. Réfléchissez-y bien : il y va de votre vie. La Bête est là, au Vatican, et elle se nomme Bergoglio, et c'est lui qui par-dessous ordonne toutes ces choses. En disant cela, croyez-le bien, je pèse mes mots.]
PASSER le RUBICON :
Le ROYAUME-UNI se TRANSFORME en ÉTAT RÉPRESSIFLe passage du Rubicon par Jules César en 49 avant JC au mépris du droit romain le place, lui et son armée, sur une trajectoire de collision directe avec Rome, ce qui conduit à la guerre civile qui l’établit comme dictateur romain. C’est une métaphore bien établie pour désigner un point où il n’y a pas de retour en arrière et où les choses ne seront plus jamais les mêmes.
J’ai prédit il y a quelques semaines que le gouvernement britannique allait, dans un avenir proche, essayer de forcer tout le monde à porter un masque en public.
Si l’on laisse de côté la pléthore d’informations qui montrent clairement que les masques faciaux ne présentent pratiquement aucun avantage dans les circonstances quotidiennes et qu’ils peuvent même être dangereux, le port forcé de masques faciaux est une transgression si fondamentale et d’une telle importance qu’il est difficile de l’exprimer de manière adéquate.
Elle remet implicitement votre corps au contrôle de l’État et soumet l’une de vos libertés existentielles les plus fondamentales à l’ingérence de l’État. Pour la première fois, le droit de choisir si vous devez inhiber vos facultés respiratoires et cacher votre visage en public vous est retiré. Si vous doutez de l’importance de cette mesure, essayez de vous souvenir du tollé général qui a suivi un débat sur l’interdiction du port de la burqa et du hijab face au terrorisme islamique, et des connotations que cela avait pour les libertés civiles à l’époque.
Le port du masque est la marque visible des États asiatiques perçus en Occident comme répressifs et autoritaires. Il s’agit d’un insigne de servitude, semblable à l’étoile jaune que les portées dans les camps de l’Allemagne nazie. Il n’y a pas de plus grande invasion de votre personne possible, à part vous tatouer avec un numéro.
Ce revirement politique étonnant ne s’est pas produit du jour au lendemain ou sans préparation. Il a été précédé d’une campagne médiatique habilement orchestrée qui cherche à bouleverser bizarrement la recherche professionnelle et scientifique établie, transformant les virologistes, les organismes de contrôle des infections et les universitaires qui ont publié des articles pour la profession médicale en menteurs et en charlatans.
Cette campagne a inclus des éditoriaux et des blogs qui parlent sur un ton désapprobateur et accusateur « d’anti-masques » et de « négationnistes des masques » qui « refusent » de porter des masques. Laissez de côté le fait évident que le refus ne peut avoir lieu sans une demande : en d’autres termes, quelqu’un doit vous donner une instruction à laquelle vous répondez « Non, merci ».
En l’absence d’une telle demande, vous ne pouvez rien refuser, vous faites simplement un choix. Et jusqu’à présent, il n’y a pas eu de demande en ce sens. Mais ceux qui font ce choix sont maintenant des psychopathes et des ennemis de l’humanité sans la moindre once d’intégrité, de respect ou de considération pour leurs semblables.
Lorsque je suis revenu d’Asie au début de l’année, le conseil était clair : les masques faciaux ne protègent pas contre les infections et il n’est pas conseillé de les porter.
Qui plus est, le port du masque facial a été activement découragé en raison de l’insuffisance des fournitures nécessaires dans les hôpitaux, où le contrôle des infections est roi et où toutes les précautions ont un sens. Par-dessus tout, la seule situation dans laquelle il est approprié de porter un masque facial en public est celle où vous êtes malade et où vous toussez, auquel cas pourquoi ne pas rester chez vous ?
Mais cette simple logique a été couverte par les défenseurs des masques dont la logique fonctionne ainsi :« Vous pouvez attraper le coronavirus sans le savoir, et vous pouvez infecter d’autres personnes avec votre souffle même à des distances illimitées, vous devez donc porter un masque ».
Cette logique couvre tous les fondements, bien que les preuves en soient au mieux négligeables et au pire manipulées et malhonnêtes.
Elle fait partie de la logique plus large qui rend toute valeur sociétale sans valeur, à moins qu’elle ne contribue à la tâche impossible de s’assurer qu’aucun individu, nulle part, n’est infecté par le Covid-19. Rien de tout cela ne signifie que nous ne devrions rien faire contre cette pandémie. Mais il y a maintenant une prise de conscience croissante que le remède proposé n’est pas indéfiniment viable et qu’il pourrait même être pire que la maladie.
La vertu des défenseurs du masque facial est facilement réfutée. Les masques sont disponibles depuis des décennies dans l’industrie et les idées généralement considérées comme bonnes sont reprises par le public. Personne n’a eu besoin que le gouvernement lui dise d’aller acheter une voiture ou un téléviseur.
Alors si vous êtes si convaincu que les masques sont une bonne idée, pourquoi a-t-il fallu que l’État vous le dise avant que vous n’arriviez à ce moment Eureka ?
Et pendant combien d’années ou de décennies avez-vous infecté vos semblables de manière irrespectueuse en sortant sans masque lorsque vous aviez un rhume ou la grippe ?
Cependant, apparemment, toutes les recherches établies sont maintenant erronées et le port du masque est essentiel. C’est un vaste jeu de « Jacques a dit », dans lequel nous ne faisons rien que lorsque Simon dit. Et cela ne s’arrêtera pas là. Attendez-vous à ce que des journaux comme le Guardian publient des éditoriaux moralisateurs exigeant que le port du masque facial soit étendu aux pubs et aux restaurants, et éventuellement à chaque départ de votre domicile.
Après cela, une telle mesure deviendra une politique : en effet, le public britannique fera ce qu’il fait déjà, en adoptant avec joie cette doctrine perverse, en se vantant d’acheter des masques colorés pour ses enfants et en désapprouvant toute personne ayant un point de vue différent.
Je suis maintenant obligé de douter que nous, le peuple britannique, apprécions notre liberté autant que nous le prétendons. Nous descendons dans les rues en masse pour embrasser de nouvelles formes de répression, comme un mouvement anarchiste qui cherche à réécrire l’histoire et à démanteler nos forces de police, ou un culte de la mort anti-humain qui cherche à supprimer toute activité humaine en nous effrayant tous pour nous faire croire que nous détruisons la Terre en existant.
Mais face aux attaques croissantes contre notre liberté, nous restons silencieux. On nous a enlevé notre liberté. Nos mouvements sont surveillés. Nos discussions sont censurées via les médias sociaux. Nous ne sommes même plus libres de faire des choix fondamentaux concernant notre corps. Un public qui accepte en silence ces choses n’a rien appris de l’histoire, accepte tout et mérite son sort si c’est un État-monde dystopique.
Nous n’avons plus le droit de faire la leçon aux autres nations sur le fait d’être des États répressifs. Leurs représentants, à juste titre selon moi, nous riraient au nez. Beaucoup d’entre nous craignent de plus en plus que le verrouillage de l’Occident ne soit permanent. Les spectres des cartes d’identité, de la loi martiale et de la vaccination forcée planent désormais sur nous.
Rejeter cela comme une « théorie du complot » et accuser ceux qui ressentent cela d’un mépris inhumain pour la vie est la rhétorique du fascisme, une force qui prospère toujours face à une menace perçue. Je crois que le port forcé d’un masque dans les rues britanniques est un acte brutal qui franchit le Rubicon, et signifie finalement notre descente dans un État répressif de facto.
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Re: News au 2 août 2020
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Covid : l’hydroxychloroquine aussi en ItalieLe docteur Gulisano (que mes lecteurs connaissent bien) dresse pour la Bussola un tableau résolument optimiste, rendant d’autant plus suspecte l’insistance des médias à menacer de seconde vague, de port du masque généralisé et même de reconfinement. Quoi qu’il arrive à l’avenir, le covid n’est plus une maladie incurable, on sait désormais le soigner. Et se basant sur les données d’un organisme d’état (l’Agence italienne pour les médicaments), il constate que passée la première vague de stupeur créée par la confrontation à une maladie inconnue, les médecins de terrain ont eu massivement recours au protocole Raoult, alors qu’en milieu hospitalier, la consommation de drogues destinées à accompagner les patients vers « une mort douce » a explosé. Comme par hasard…?
Nous vivons dans un état d’alarmisme constant et peu importe que les preuves scientifiques indiquent que le Covid est une maladie curable aujourd’hui. Et même l’agence des médicaments le certifie à travers un rapport ignoré par les médias : à ce jour, il y a déjà 21 médicaments présents qui peuvent bloquer la réplication du Sars-CoV-2. Et parmi ceux-ci, l’hydroxychloroquine, dont l’utilisation a connu une forte hausse dans la période d’expansion maximale. C’est le signe que les médecins italiens, qui opéraient sur le terrain et non ceux qui dissertaient à la télévision, sont allés au-delà des limites des protocoles.
L’heure est toujours à l’alarmisme. La vulgate officielle sur le Covid est simple : le virus continue de circuler, de nouveaux foyers peuvent éclater, celle de l’été n’est qu’une trêve, à l’automne il reviendra.
Peu importe que les preuves scientifiques disent autre chose, que dans la plupart des pays européens la vie soit déjà revenue à la normale [??? en tout cas, pas en France], qu’en Italie les soins intensifs soient désormais désertés, que les décès quotidiens puissent être comptés sur les doigts d’une main, et surtout que le Covid soit une maladie curable, comme beaucoup d’autres. Et ce n’est pas du déni, mais c’est le fait qui a été communiqué par les dirigeants de la santé italienne eux-mêmes.
Justement hier a été présenté le Rapport sur l’utilisation des médicaments pendant l’épidémie COVID-19, réalisé grâce aux données élaborées par l’Observatoire national sur l’utilisation des médicaments de l’Agence italienne du médicament (Agenzia Italiana del Farmaco, AIFA). Le rapport de l’AIFA qui a suivi l’évolution de la consommation de médicaments entre février et mai peut sembler être un texte extrêmement technique, pour des spécialistes, mais en réalité il contient des éléments d’un intérêt extrême aussi et surtout pour le grand public, ceux qui souffrent encore d’un terrorisme psychologique d’État, qui les conduit à croire que nous vivons dans une situation d’urgence, que le virus est encore très répandu, que de nouveaux foyers de contagion pourraient exploser à tout moment, et que nous pourrions revenir dans les ténèbres du confinement, la seule mesure que le gouvernement Conte considère comme essentielle pour faire face au virus.
En réalité, le document de l’AIFA nous présente une situation très différente.
Le document analyse le type et la consommation des médicaments utilisés dans les premiers mois de 2020 pour traiter l’infection COVID-19, mais aussi ceux utilisés dans les établissements de santé publique pour faire face à l’urgence, avec des différences mises en évidence entre la période pré-COVID-19, identifiée au cours du trimestre décembre 2019-février 2020, et le trimestre suivant, de mars à mai 2020.
Le rapport est composé de trois sections qui abordent les différents modes de délivrance des médicaments: le canal des achats directs, c’est-à-dire les médicaments achetés et délivrés directement auprès des structures du Service sanitaire national (SSN) ; les achats auprès des pharmacies territoriales publiques et privées remboursés par le SSN sur ordonnance ; les achats privés à charge des citoyens, principalement pour les médicaments de classe C.
La première donnée qui ressort du rapport est que parmi les médicaments utilisés pour traiter les patients souffrant du COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’azithromycine, font enregistrer la plus forte consommation au cours de la période considérée. En bref : les médecins italiens, une fois communiquées les premières données sur l’utilisation de ces médicaments, en particulier la chloroquine, n’ont eu aucun doute sur leur utilisation, malgré le barrage soulevé par les médias de régime, qui ont donné la parole aux virologues les plus populaires et appréciés par l’establishment, à commencer par l’américain Fauci, totalement négationistes quant à l’efficacité de la chloroquine. Nous avons parlé en leur temps des tentatives maladroites et démasquées de l’OMS elle-même de nier l’efficacité de la chloroquine.
Le rapport de l’AIFA montre donc que depuis le mois d’avril, l’utilisation de la chloroquine en Italie augmente de plus en plus, et ce n’est peut-être pas un hasard si le taux de mortalité diminue proportionnellement.
Il faut donc constater avec satisfaction que de nombreux médecins italiens, ceux qui ont travaillé sur le terrain et non ceux qui sont passés à la télévision, ont dépassé la rigueur des protocoles, des procédures rigides, et ont essayé de s’attaquer à la maladie avec tous les moyens à leur disposition. Un exemple de la médecine du côté du peuple.
Une autre donnée significative provient de l’analyse des médicaments utilisés à l’hôpital, où l’on constate une plus grande consommation d’anesthésiques généraux, de sédatifs en injection et de curare à partir de février 2020. Des médicaments certes pas destinés à combattre le virus, mais sclairement utilisés pour « accompagner » les patients jusqu’à la mort. Un fait qui était déjà ressorti de divers témoignages familiaux et qui est maintenant officiellement confirmé.
Pour en revenir aux médicaments utilisés pour combattre le virus, il convient de noter que les essais cliniques déjà commencés, officiellement autorisés par l’Agence du médicament et le Comité national unique d’éthique, se poursuivent. Trente-huit essais cliniques ont été lancés dans notre pays, tandis que d’autres bonnes nouvelles nous parviennent des États-Unis, où 21 médicaments existants ont été identifiés et se sont avérés capables de bloquer la réplication du Sars-CoV-2. C’est le résultat d’une étude publiée dans la revue Nature et réalisée par un maxi screening sur 12 000 molécules.
Une équipe de recherche internationale a effectué des tests approfondis, y compris l’évaluation de biopsies provenant de poumons infectés par le virus, en utilisant l’une des plus grandes bases de données sur les médicaments (ReFRAME). On a ainsi identifié 100 molécules dont l’activité antivirale a été confirmée en laboratoire. Parmi ceux-ci, 21 se sont avérés efficaces pour bloquer la réplication du Sars-Cov-2 à des doses qui garantissaient la sécurité des patients. Cette étude élargit considérablement les options de traitement possibles, d’autant plus que de nombreuses molécules disposent déjà de données de sécurité clinique chez l’homme.
Toutes ces nouvelles importantes sont systématiquement ignorées par les médias. Et pourtant, il ne s’agit pas de fake news, d’hypothèses de prétendus théoriciens du complot, mais d’études de réalité scientifique absolument accréditées. Toutes ces études nous disent que le Covid n’est en aucun cas la « nouvelle [grippe] espagnole », une tragédie inaffrontable, un cataclysme planétaire, mais un virus comme beaucoup d’autres, et qu’il peut être éradiqué. Il n’est même pas nécessaire d’attendre un vaccin, qui est maintenant indiqué dans les médias – et même dans certains documents du Vatican – comme la potion magique qui sauvera l’Humana Communitas : les traitements sont déjà là, sont accessibles, sont disponibles.
Pourquoi cette cécité délibérée persiste-t-elle face aux succès de la recherche et maintenant un niveau d’alarmisme élevé ? Les réponses à cette question ne doivent pas être recherchées dans le domaine médical, mais exclusivement politique. Malheureusement, les choix politiques peuvent avoir de graves conséquences sur la santé des gens. Tout le monde continue à parler des 35 000 décès du Covid, mais il ne faut pas oublier que chaque année en Italie, 500 000 autres personnes meurent d’autres pathologies, de type chronique dégénératif, et que ce nombre augmentera considérablement si la santé publique ne sort pas de l’état d’urgence le plus rapidement possible et cesse d’être Covidocentrique.
Le rapport de l’AIFA précité indique que pendant la période Covid, la consommation des catégories de médicaments utilisés pour les maladies chroniques est restée stable, ce qui témoigne du succès – selon l’AIFA – des stratégies mises en place pour promouvoir la continuité des soins aux malades chroniques et aux personnes fragiles, notamment la prolongation de la validité des plans thérapeutiques, la dématérialisation de la prescription médicale et l’information institutionnelle.
Cependant, toutes les activités de diagnostic ont été arrêtées pendant longtemps et aujourd’hui, les listes d’attente pour les visites et les examens ont été allongées de plusieurs mois. Cela pourrait avoir des conséquences tragiques pour les patients atteints de cancer ou de maladies chroniques graves. C’est la réalité sur laquelle il faut vraiment s’alarmer. C’est un tableau épidémiologique préoccupant, mais qui ne reçoit pas l’attention des médias.
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Re: News au 2 août 2020
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DÉSORMAIS VOUS ÊTES SUIVIS PARTOUT !
1/2Il l'avait promis, mais quelqu'un, sérieusement, y croyait-il ? Lorsque Google a mis la pression sur les pays pour qu'ils recourent à son application de tracing pour le Covid et abandonnent leurs recherches propres, il avait promis la confidentialité. Pourtant, comme le révèle le New York Times, et le tait respectueusement la presse française, Google peut toujours collecter les données de localisation. Souriez, vous êtes suivi! D'autant plus que le principe même du traçage numérique des personnes n'est en soi absolument pas remis en cause ... seules ses modalités sont discutées.
Après avoir promis en avril de protéger les données des utilisateurs de la nouvelle application développée par Google avec Appel, plusieurs pays réticents, comme l'Allemagne ou la Suisse, ont accepté de l'utiliser. Et plus de 20 millions de fois, l'application a été activée. Pourtant, Ô surprise, Google garde l'accès aux données de géolocalisation. Dixit le New York Times :When Google and Apple announced plans in April for free software to help alert people of their possible exposure to the coronavirus, the companies promoted it as “privacy preserving” and said it would not track users’ locations. Encouraged by those guarantees, Germany, Switzerland and other countries used the code to develop national virus alert apps that have been downloaded more than 20 million times.
But for the apps to work on smartphones with Google’s Android operating system — the most popular in the world — users must first turn on the device location setting, which enables GPS and may allow Google to determine their locations.
Les autorités de certains pays, comme la Suisse ou le Danemark, se sont - en vain - adressés à Google pour obtenir le droit des utilisateurs à recourir à cette application sans être suivi.“Users should be able to use such proximity tracing apps without any bindings with other services,” said Dr. Sang-Il Kim, the department head for digital transformation at Switzerland’s Federal Office of Public Health, who oversees the country’s virus-alert app.
Un pas, timide, est fait, notamment en Allemagne, où l'on commence à se dire que beaucoup trop de pouvoir, finalement, est accordé à deux compagnies. Certes, mais aucune remise en cause du fait même de recourir à la technologie pour maîtriser le déplacement d'êtres humains. Rien. Ce qui est discuté est la manière, pas le principe. L'on veut nous faire accepter le principe d'un suivi technologique de nos déplacements, nous faire ergoter sur ses modalités techniques, mais surtout pas le remettre en cause en tant que tel.
Il paraît que c'est "le progrès". Soit. Mais que signifie ce "progrès" ? Il se réduit au progrès technologique, même quand celui-ci est liberticide, même quand celui-ci réduit l'humanité à un tas d'animaux pucés pour les retrouver en cas de perte ? Etrange vision particulièrement réductrice du "progrès". Vision de laquelle l'homme est totalement absent.
PS: L'on appréciera la discrétion de la presse française sur le sujet. A souligner, un résumé en français de cette publication du NYT ici [reproduit dans le post suivant].
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Re: News au 2 août 2020
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DÉSORMAIS VOUS ÊTES SUIVIS PARTOUT !
2/2Google a promis la confidentialité avec les applications de contact tracing développées en s'appuyant sur l'API qu'il a proposé conjointement avec Apple, mais l'entreprise peut toujours collecter des données de localisation. Certaines agences gouvernementales qui utilisent le logiciel ont déclaré être surprises que Google puisse localiser certains utilisateurs de l'application. D'autres ont déclaré avoir tenté en vain de contraindre Google à apporter un changement.
Lorsque Google et Apple ont annoncé en avril des projets de développement logiciel d'un outil commun de traçage du COVID-19 pour iOS et Android (traduit dans un premier temps par une API, puis par un outil intégré nativement aux deux systèmes), les entreprises l'ont promu comme « préservant la confidentialité » et ont déclaré qu'il ne suivrait pas l'emplacement des utilisateurs. Selon les deux entités, le système ne géolocalise pas les utilisateurs, mais envoie un identifiant Bluetooth aux appareils à proximité. En outre, l’identifiant change toutes les 15 minutes et n’est aucunement lié à l’identité de l’utilisateur. Ces identifiants passeront par un simple serveur relais qui peut être géré par des organismes de santé du monde entier. Ces serveurs n’ont pas la capacité de suivre les utilisateurs, ont assuré Google et Apple.
Plusieurs pays ont demandé à Google de changer de façon de procéder
Encouragés par ces garanties, l'Allemagne, la Suisse et d'autres pays se sont appuyées sur ce code pour développer des applications nationales de contact tracing qui ont été téléchargées plus de 20 millions de fois. Mais pour que les applications fonctionnent sur les smartphones dotés du système d'exploitation Android de Google, les utilisateurs doivent d'abord activer le paramètre de localisation de l'appareil, qui active le GPS et peut permettre à Google de déterminer leur emplacement. Certains responsables gouvernementaux ont semblé surpris que l'entreprise puisse détecter les emplacements des utilisateurs d'Android. Après en avoir pris connaissance, Cecilie Lumbye Thorup, porte-parole du ministère de la Santé du Danemark, a déclaré que son agence avait l'intention de « lancer un dialogue avec Google sur la manière dont ils utilisent généralement les données de localisation ».
La Suisse a déclaré qu'elle avait essayé de pousser Google pendant des semaines à modifier l'exigence de réglage de l'emplacement. « Les utilisateurs devraient pouvoir utiliser ces applications de traçage de proximité sans aucune liaison avec d’autres services », a déclaré le Dr Sang-Il Kim, chef du département de la transformation numérique à l’Office fédéral de la santé publique de Suisse, qui supervise l’application de contact tracing du pays.
La Lettonie a déclaré qu'elle avait mis la pression à Google sur la question alors qu'elle développait son application de contact tracing. « Nous n’apprécions pas que le GPS soit activé », a déclaré Elina Dimina, chef de l’unité de surveillance des maladies infectieuses au Centre de prévention et de contrôle des maladies de Lettonie.
La réaction de Google
Les exigences de localisation de Google s'ajoutent aux nombreux problèmes de confidentialité et de sécurité liés aux applications de contact tracing, dont beaucoup ont été développées par les gouvernements avant que le nouveau logiciel Apple-Google ne soit disponible. Les responsables gouvernementaux et les épidémiologistes affirment que les applications peuvent être un complément utile aux efforts de santé publique pour endiguer la pandémie. Mais les groupes de défense des droits de l'homme et les technologues ont averti que la collecte de données agressive et les failles de sécurité dans de nombreuses applications exposent des centaines de millions de personnes au harcèlement, aux escroqueries, au vol d'identité ou au suivi oppressif du gouvernement.
Désormais, le problème de la localisation d'Android pourrait saper les promesses de confidentialité que les gouvernements ont faites au public.
Pete Voss, un porte-parole de Google, a déclaré que les applications de contact tracing qui utilisent le logiciel de l'entreprise n'utilisent pas la localisation de l'appareil. Cela concerne également les personnes dont le test de dépistage du virus est positif et qui utilisent une application pour avertir les autres utilisateurs. Les applications se servent des signaux de balayage Bluetooth pour détecter les smartphones qui entrent en contact étroit les uns avec les autres, sans avoir besoin de connaître l'emplacement des appareils. Depuis 2015, le système Android de Google oblige les utilisateurs à activer la localisation sur leurs téléphones pour rechercher d'autres appareils Bluetooth, a déclaré Voss, car certaines applications peuvent utiliser le Bluetooth pour déduire l'emplacement de l'utilisateur. Par exemple, certaines applications utilisent des balises Bluetooth dans les magasins pour aider les spécialistes du marketing à comprendre dans quelle allée un utilisateur de smartphone peut se trouver.
Cependant, une fois que les utilisateurs d'Android ont activé la localisation, Google peut déterminer leurs emplacements précis, à l'aide du Wi-Fi, des réseaux mobiles et des balises Bluetooth, via un paramètre appelé Google Location Accuracy, et utiliser les données pour améliorer les services de localisation. Voss a déclaré que les applications qui n'avaient pas l'autorisation de l'utilisateur ne pouvaient pas accéder à l'emplacement de l'appareil Android d'une personne.
Pour sa part, Apple n'oblige pas les utilisateurs iPhone des applications de contact tracing à activer la localisation.
Un déséquilibre de pouvoir
L'exigence de localisation Android souligne un déséquilibre de pouvoir inquiétant entre les gouvernements et les deux grandes enseignes de technologie qui dominent le marché mobile, ont déclaré certains experts en sécurité et en confidentialité. Les pays utilisant le logiciel, ont-ils dit, ont peu de recours contre les nouvelles normes mondiales que les entreprises établissent pour la technologie de la santé publique.
Google et Apple, par exemple, empêchent les applications de contact tracing des gouvernement utilisant leur technologie de suivre les emplacements des utilisateurs. Mais Google peut déterminer et utiliser les emplacements des appareils des utilisateurs Android des applications, en fonction de leurs paramètres.
« Nous donnons trop de contrôle à deux grandes entreprises », a déclaré Alexandra Dmitrienko, professeur de systèmes logiciels sécurisés à l'Université de Würzburg en Allemagne. « Ils le monopolisent. »
La technologie de détection de proximité Bluetooth des entreprises est issue d’idées développées par Singapour et des universitaires. Elle offre aux agences de santé publique une alternative aux modèles plus invasifs qui impliquent le suivi des emplacements précis des utilisateurs et l'envoi de données privées telles que leurs noms à des serveurs gouvernementaux centralisés. Le logiciel Apple-Google utilise des codes d'identification rotatifs pour enregistrer les contacts étroits entre les utilisateurs de l'application « pour aider à empêcher le suivi », assurent les entreprises. Il traite également les données des personnes sur leurs téléphones - là où les gouvernements ne peuvent pas y accéder.
« C’est ce que nous appelons "la protection de la vie privée dès la conception" », a déclaré le Dr Kim, responsable suisse de la santé. « Cela signifie qu'aucunes données personnelles, c'est-à-dire qu'aucun nom, aucun numéro de téléphone, même aucune identification technique du matériel à partir d'e-mails ou de smartphones ne sont collectées par les applications ».
La conception axée sur la confidentialité a rendu la technologie des entreprises attrayante pour les dirigeants gouvernementaux. « Cette application mérite votre confiance. Elle protège votre vie privée », a déclaré Angela Merkel, la chancelière allemande, dans un récent discours vidéo sur l'application Corona-Warn de son gouvernement, basée sur le modèle Apple-Google. « Aucune géodonnée n'est collectée», a déclaré Merkel.
Mais les experts en confidentialité et en sécurité ont déclaré qu'ils étaient préoccupés par le fait que les pratiques de localisation de Google pourraient dissuader certaines personnes d'utiliser les applications des agences de santé publique pendant la pandémie. « Le but de la conception de la notification d'exposition Apple-Google est de protéger la confidentialité et d'atténuer les obstacles à l'adoption », a rappelé Jonathan Mayer, professeur adjoint d'informatique et d'affaires publiques à Princeton. Certains utilisateurs d'Android en Europe disent se sentir induits en erreur par leurs gouvernements. Les instructions sur de nombreuses applications poussent les utilisateurs d'Android à activer la localisation, par exemple, mais ne font aucune mention du fait que les utilisateurs peuvent empêcher Google de déterminer leurs emplacements précis en désactivant la fonction de précision dans le paramètre de localisation.
« Avec cette application, vous êtes invité par le gouvernement, faisant fortement appel à votre sens des responsabilités et de votre moralité, à céder votre emplacement en direct à des entités qui en tirent un profit, afin de protéger la santé publique », a déclaré Massimo Zannoni, ingénieur électronique à Zurich. Les responsables de la santé au Danemark, en Allemagne, en Lettonie et en Suisse ont déclaré que leurs gouvernements avaient délibérément conçu leurs applications nationales d'alerte aux virus pour une confidentialité maximale.
« Aucun gouvernement, aucune agence de sécurité n'a la moindre chance d'utiliser la technologie à mauvais escient », a déclaré Gottfried Ludewig, directeur général de la numérisation et de l'innovation au ministère allemand de la Santé, à propos de l'application Corona-Warn, qui a été téléchargée plus de 15,5 millions de fois. Il a déclaré que plus de 500 personnes testées positives pour le virus avaient utilisé l'application pour informer les autres utilisateurs d'une éventuelle exposition au virus. Il a ajouté que si Google utilisait les données de localisation à d'autres fins que l'activation des services Bluetooth dans l'application, il lui faudrait des motifs juridiques pour le faire en vertu de la loi européenne sur la protection des données.
D'autres personnes impliquées dans l'application allemande ont déclaré que c'était le problème de Google, pas le leur. « Vous devez interroger Google sur les spécifications de son système d'exploitation », a déclaré Marcus Winkler, un porte-parole de SAP, qui a contribué au développement de l'application allemande. « Si vous activez le suivi de localisation, vous recevez un message du système d'exploitation - cela n'a rien à voir avec l'application ».
Le professeur Dmitrienko, experte en sécurité logicielle, a déclaré que la solution était que les gouvernements poussent Google à cesser d'exiger des utilisateurs Android des applications de contact tracing d'activer la localisation. « Ils ont une puissance suffisante et ils pourraient même faire pression sur des géants tels que Google et Apple pour qu'ils agissent à ce sujet », a-t-elle déclaré.
Sources : Princeton, FAQ CornaWarn, FAQ logiciel Apple-Google, Alexandra Dmitrienko, Sénateur Richard Bluemental : https://www.blumenthal.senate.gov/imo/media/doc/05.11.2018%20-%20FTC%20-%20Google%20Location%20History.pdf , Apple, Angela Merkel
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Re: News au 2 août 2020
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Désinformation totale :
Les Américains pensent que 9% de la population
est décédée à cause du Covid
Les médias et le gouvernement ont alimenté l’hystérie de masse autour du virus, mais voyons. Neuf pour cent, c’est près d’une personne sur dix.
Quiconque pense qu’une personne sur dix qu’il connaissait est morte à cause du virus est une victime absolue de cette guerre des cerveaux.
Via Children’s Health Defense :Avons-nous vraiment perdu la tête ? Oui.
Vous n’êtes peut-être pas l’un d’entre eux. En fait, je suppose que les personnes qui prennent réellement le temps de lire mes articles de blog sont les rares qui n’ont pas été pris par la panique, mais pouvons-nous convenir que la plupart l’ont fait ? Jeffrey A. Tucker, de l’Institut américain de recherche économique, l’a bien exprimé dans son excellent essai du 10 juillet intitulé « Quand la folie prendra-t-elle fin ? »
« Je suis un psychiatre praticien spécialisé dans les troubles de l’anxiété, les délires paranoïaques et la peur irrationnelle. J’ai traité ces problèmes chez des individus en tant que spécialiste. Il est déjà assez difficile de contenir ces problèmes en temps normal. Ce qui se passe maintenant, c’est une propagation de cette grave maladie à l’ensemble de la population. Cela peut arriver avec n’importe quoi, mais ici nous voyons une peur primaire de la maladie se transformer en panique de masse. Cela semble presque délibéré. C’est tragique. Une fois que cela commence, cela pourrait prendre des années pour réparer les dégâts psychologiques ».
J’ai 50 ans, et j’ai remarqué que les jeunes semblent particulièrement effrayés par le COVID-19, ce sont eux que je vois généralement faire du vélo et de la randonnée avec des masques, et cette enquête a vraiment corroboré ce point :La pyramide des âges est frappante. Les jeunes attachent une plus grande probabilité aux personnes comme eux de contracter le Covid-19, d’être hospitalisés pour cause d’infection et de mourir pour cause d’infection. On peut dire que les jeunes personnes interrogées ont un mode de vie qui les expose à des réseaux plus larges, ce qui peut expliquer pourquoi elles se sentent plus susceptibles d’être infectées. Mais leur évaluation des risques sanitaires conditionnés par l’infection est déroutante à la lumière des preuves que le Covid-19 est nettement moins grave chez les jeunes… Troisièmement, et c’est là un point crucial, les jeunes, par rapport aux personnes plus âgées, font état de taux de mortalité nettement plus élevés pour chaque groupe d’âge. Les jeunes sont plus pessimistes que les personnes plus âgées non seulement en ce qui concerne leur propre risque de mortalité, mais aussi celui de tous les autres.
Daniel Horowitz a écrit un excellent article sur cette enquête, intitulé « Nouvelle étude » : Les jeunes pensent que le risque lié au COVID-19 est exponentiellement plus élevé que la menace réelle. Il écrit :
L’élément le plus destructeur du confinement est peut-être la panique et la peur que des mesures aussi sévères contribuent à confirmer, dans ce cas, à tort, dans l’esprit des jeunes et des impressionnables. Comme le conclut l’article, « l’expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d’autres événements indésirables réagissent le mieux et avec le moins d’anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé ». En d’autres termes, nous devons apaiser la peur.
Je pensais que cette enquête était déjà assez mauvaise, mais une autre enquête du CNC Kekst posant des questions différentes a révélé un chiffre tout simplement étonnant : Les Américains ont surestimé de 200 fois le nombre TOTAL de compatriotes qui sont morts du COVID-19 ! A la question (mi-juillet) « Combien de personnes sont mortes du Coronavirus dans votre pays », les Américains ont répondu « 9% », ce qui représenterait environ 30.000.000 de personnes, contre 151.000 en réalité. Pas étonnant que les gens soient paniqués (et sauvagement mal informés).
Super, on peut donc au moins se mettre d’accord sur trois points : 1) La société a perdu la tête collectivement à cause d’un virus, et 2) les jeunes surestiment sauvagement le risque de mourir du COVID-19, ce qui crée un cercle vicieux avec le point n°1, et 3) les Américains ont sauvagement surestimé le nombre de personnes qui sont mortes du COVID-19.
Ces personnes votent, et le résultat est notre réalité actuelle. Il ne s’agit même pas de gens qui ne sont pas exposés aux faits concernant le coronavirus, mais de gens qui acceptent l’hystérie sans aucune forme de résistance.
Vraiment, essayez d’imaginer ce que cela doit être d’être l’une de ces personnes qui pensent qu’un Américain sur dix est mort du virus.
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Re: News au 2 août 2020
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[Ces deux articles quelque peu positifs dans ce même post doivent être lus dans un tout autre esprit : nous y apprenons que le but recherché va être atteint par la Russie ! Tout un symbole. En effet, comme vous pouvez le voir ici : https://catholique.forumactif.com/t892-news-au-2-aout-2020#9160 , le virus-couronné peut être traité, et donc, à quoi bon un vaccin ? Il y a donc un plan judéo-maçonnique ! Et comme par hasard, c'est la Russie qui ouvre le bal ! Bill Gates a de quoi attraper une crise cardiaque, ce qui d'ailleurs lui fera grand bien !!! En attendant, je plains les russes, car là-bas, ils n'y vont pas avec le dos de la cuillère : ça sera une vaccination obligatoire forcée ! Préparons-nous donc au pire.]
La RUSSIE prévoit de PROCÉDER
aux PREMIÈRES VACCINATION MASSIVES
contre le COVID-19 en OCTOBRE,
dans un contexte de scepticisme mondialLe ministère russe de la santé a annoncé qu’il prévoyait de procéder aux vaccinations de masse contre le coronavirus d’ici octobre, les premières séries devant être administrées aux travailleurs médicaux de première ligne ainsi qu’aux enseignants.
« Nous prévoyons des vaccinations plus larges pour octobre », a déclaré samedi le ministre de la santé Mikhail Murashko après avoir décrit que le centre de recherche d’Etat basé à Moscou, l’Institut Gamaleya, a terminé les essais cliniques d’un vaccin efficace.Depuis que la crise a commencé à toucher des pays autres que la Chine au début de cette année, la course internationale s’est engagée pour produire un vaccin, dont la plupart des responsables ont estimé qu’il faudrait probablement 18 mois, mais il semble que la Russie – actuellement le quatrième pays le plus infecté au monde avec 843 900 cas – fasse pression pour être le premier à produire un vaccin pour sa population.
Reuters rapporte que l’approbation réglementaire locale pourrait être accélérée et être terminée dès la mi-août.
« Maintenant, l’ensemble des documents pour la procédure d’homologation [du vaccin] est en cours de préparation », a déclaré M. Murashko samedi dans son communiqué. Mais les rapports internationaux ont également noté que le calendrier ambitieux soulève des questions :« Pourtant, la vitesse à laquelle la Russie s’apprête à le mettre en place a incité certains médias occidentaux à se demander si Moscou fait passer le prestige national avant la science et la sécurité« , commente Reuters.
Les premières séries de tests ont été effectuées sur des soldats, ont déclaré des responsables russes.Le Wall Street Journal (WSJ) a noté la semaine dernière que « le vaccin, qui a passé par deux phases de tests, devrait être enregistré auprès du ministère de la santé d’ici le 14 août », selon Kirill Dmitriev, responsable du Fonds d’investissement direct de la Russie, ou FIDR.
« Nous avons des procédures très strictes et ils les suivront toutes », a déclaré M. Dmitriev, cité dans le WSJ. « J’ai tellement confiance dans le vaccin que je l’ai moi-même injecté ».
Actuellement, un autre vaccin développé en Russie, par le laboratoire des maladies infectieuses Vector, basé à Novossibirsk, est également en cours d’essais cliniques, et devrait bientôt être testé sur des volontaires.
L’urgence tient en partie au fait que la Russie est l’un des premiers pays à avoir été touché par cette maladie, avec une population importante. À un moment donné, elle avait le deuxième taux d’infection le plus élevé au monde, ce qui a mis à rude épreuve les hôpitaux et le système de santé.
PARIS (Reuters) - Le ministre russe de la Santé prépare une campagne de vaccination de masse contre le nouveau coronavirus pour le mois d'octobre, rapportent samedi des agences de presse locales, après qu'un candidat vaccin a fini ses essais cliniques.
Mikhail Murashko a indiqué que l'Institut Gamaleya, structure de recherche d’État située à Moscou, avait terminé ses essais et que la documentation nécessaire à son enregistrement était en cours de préparation, rapporte l'agence Interfax.
Il a ajouté que les médecins et les enseignants seraient les premiers à bénéficier de cette vaccination.
"Nous prévoyons des vaccinations plus étendues en octobre", a ajouté le ministre, selon des propos cités par l'agence.
Une source a dit à Reuters cette semaine que le premier vaccin potentiel russe obtiendrait le feu vert des autorités de régulation dès août et serait administré peu après au personnel de santé.
Cette rapidité a conduit certains médias occidentaux à se demander si Moscou ne plaçait pas la question du prestige national - la mise au point du vaccin a été comparée en Russie à l'exploit de Spoutnik, premier satellite de l'histoire, en 1957 - avant les questions de sécurité.
Plus de 100 candidats vaccins sont actuellement en cours de développement à travers le monde pour tenter d'arrêter l'épidémie de coronavirus. Selon un dernier bilan compilé samedi par Reuters, plus de 17,61 millions de personnes dans le monde ont contracté le virus, et 679.094 personnes en sont mortes.
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Re: News au 2 août 2020
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Depuis que le Covid-19 est entré dans nos vies, on ne parle plus que de ça. Pour autant, beaucoup de questions restent aujourd’hui sans réponse. Parfois même, certaines ne peuvent être posées. Ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Alexandra Henrion-Caude parle librement. Le virus vient-il d’un animal ou d’une manipulation humaine d’un laboratoire ? Que faut-il penser de la vaccination expérimentée de plus en plus aux quatre coins du globe ? Les conflits d’intérêt ont-ils ôté la liberté de la science ? Avec une humanité qui transparaît à chaque mot, Alexandra Henrion-Caude tranche avec la langue de bois des pseudos spécialistes du comité scientifique et livre sans détour les certitudes et les questionnements qui ressortent de cette crise inédite.
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