News aux 15 & 16 août 2020

La SHOAH FRANÇAISE
ou une extermination programmée

Samedi 15 août 2020 : 546 avortements
Depuis le début de cette année : 138.101
Depuis 1976 : 9.644.912

Dimanche 16 août 2020 : 543 avortements
Depuis le début de cette année : 138.644
Depuis 1976 : 9.645.455

La CHINE ENVAHIT le MONDE par ses VIRUS FABRIQUÉS

Sellin :
À moins que l’origine réelle du COVID-19 ne soit identifiée,
une autre pandémie chinoise est assurée

Jusqu’à présent, personne n’a mieux affirmé la nécessité universelle et urgente d’enquêter de manière agressive sur la véritable origine du SARS-CoV-2, le coronavirus responsable de la maladie COVID-19, que Karl et Dan Sirotkin dans leur article du 12 août 2020 « Might SARS-CoV-2 Have Arisen via Serial Passage through an Animal Host or Cell Culture ?

« Malgré les affirmations d’éminents scientifiques selon lesquelles le SARS-CoV-2 est indubitablement apparu naturellement, l’étiologie de ce nouveau coronavirus reste une question pressante et ouverte : Sans connaître la véritable nature d’une maladie, il est impossible pour les cliniciens de façonner leurs soins de manière appropriée, pour les décideurs politiques d’évaluer correctement la nature et l’étendue de la menace, et pour le public de modifier son comportement de manière appropriée ».

Comme le notent à juste titre les auteurs, le passage en série, c’est-à-dire la réinfection répétée au sein d’une population animale ou humaine, permet à un virus de s’adapter spécifiquement à l’espèce infectée.

Ce processus se produit naturellement dans la nature, mais il peut être considérablement accéléré en laboratoire par le passage en série délibéré de virus dans des systèmes de culture cellulaire ou chez des animaux, ne laissant potentiellement que peu ou pas de traces permettant de savoir si les virus adaptés sont naturels ou manipulés en laboratoire.

Ce type d’expérimentation de « gain de fonction » peut devenir particulièrement dangereux si les virus sont adaptés à l’infection humaine en les faisant passer en série dans des cultures cellulaires et des modèles animaux qui ont été génétiquement modifiés pour exprimer des récepteurs humains.

Il existe de nombreuses publications scientifiques décrivant le passage en série de coronavirus à travers des cultures cellulaires et des modèles animaux « humanisés », créant ainsi potentiellement un nouveau coronavirus « pré-adapté » pour les infections humaines.

À l’heure actuelle, le consensus scientifique est que le SARS-CoV-2 est issu de chauves-souris, mais on ignore encore comment il a évolué pour infecter les humains.

La Chine a affirmé qu’un coronavirus de chauve-souris nommé RaTG13 est le plus proche parent du SARS-CoV-2, mais le RaTG13 n’est pas réellement un virus car il n’existe pas d’échantillons biologiques. Il s’agit seulement d’une séquence génomique d’un virus dont l’exactitude est aujourd’hui sérieusement mise en doute.

En revanche, la Dr Li-Meng Yan, virologiste et lanceuse d’alertes chinoise, a laissé entendre que le RaTG13 pourrait avoir été utilisé pour détourner l’attention du monde de la véritable source de la pandémie de COVID-19, un nouveau coronavirus provenant de laboratoires militaires supervisés par l’Armée populaire de libération de la Chine et créé par la manipulation des coronavirus Zhoushan ZC45 et/ou ZXC21.

Le SARS-CoV-2 présente des signes de transmission en série et d’insertion génétique directe de nouvelles séquences d’acides aminés pour lesquelles aucune voie d’évolution naturelle n’a été identifiée.

Bien que le SARS-CoV-2 semble constituer le « squelette » des coronavirus de chauves-souris, sa protéine de spicule, qui est responsable de la liaison à la cellule humaine et de son entrée par fusion membranaire, comporte des sections qui n’apparaissent dans aucun coronavirus de chauve-souris étroitement apparenté.

Le domaine de liaison du récepteur du SRAS-CoV-2, l’élément spécifique qui se lie à la cellule humaine, a une affinité de liaison dix fois supérieure à celle du premier virus du SRAS qui a causé la pandémie de 2002-2003.

En outre, le SARS-CoV-2 semble être « pré-adapté » à l’infection humaine et n’a pas subi un processus de mutation naturelle similaire à celui observé au sein de la population humaine lors de l’épidémie de SRAS de 2002-2003.

Ces observations, ainsi que la distance génétique inexplicable entre le SARS-CoV-2 et l’un de ses prédécesseurs potentiels chez les chauves-souris, suggèrent un processus d’évolution accéléré obtenu par le passage en série en laboratoire de modèles de souris génétiquement modifiées contenant des récepteurs humanisés précédemment développés par la Chine.

L’autre caractéristique unique du SARS-CoV-2 est un site de clivage polybasique de la furine qui facilite la fusion membranaire entre le virus et la cellule humaine et qui est largement connu pour sa capacité à améliorer la pathogénicité et la transmissibilité, mais qui n’est également présent dans aucun coronavirus de chauve-souris étroitement apparenté.

Il n’existe pas de modèle animal disponible pour produire un site unique de clivage polybasique de la furine par passage en série, mais des techniques d’insertion artificielle de ces sites de clivage polybasique de la furine par génie génétique sont utilisées depuis plus de dix ans.

Pour paraphraser Karl et Dan Sirotkin, à moins d’identifier les hôtes zoonotiques nécessaires pour compléter un saut naturel de l’animal à l’homme, la pratique de recherche de gain de fonction à double usage du passage viral en série et l’insertion artificielle de caractéristiques virales uniques devraient être considérées comme des voies viables par lesquelles le SARS-CoV-2 est apparu et la pandémie de COVID-19 a été lancée.

* * *

L'auteur de cet article, Lawrence Sellin, PhD, est un colonel de réserve de l’armée américaine à la retraite. Il a travaillé auparavant à l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée américaine et a mené des recherches fondamentales et cliniques dans l’industrie pharmaceutique.

Article original en anglais : WION.com

SPOUTNIK V ?
Un VACCIN BID comme TOUS les AUTRES !

Le meilleur médecin en maladie respiratoire de Russie
démissionne pour « violation flagrante de l’éthique »,
comme le dit Duterte,
il sera le cobaye du vaccin de Poutine

Le plus grand médecin en maladie respiratoire de Russie a quitté le conseil d’éthique du ministère de la santé du Kremlin après avoir accusé deux éminents scientifiques impliqués dans le développement du nouveau vaccin Spoutnik V de « violations flagrantes » de l’éthique médicale en accélérant la production du vaccin, selon le Daily Mail.

Le professeur Alexander Chuchalin, qui a fondé l’Institut russe de recherche en pneumologie et qui dirige le département de thérapie hospitalière de l’Université nationale russe de recherche médicale de Pirogov, aurait tenté, sans succès, de bloquer le traitement pour des raisons de « sécurité » avant de quitter le conseil d’éthique.

Mardi, la Russie a annoncé qu’elle avait enregistré le premier vaccin au monde pour le nouveau coronavirus après deux mois d’essais cliniques – dont les données n’ont pas été publiées.

Le professeur Alexander Gintsburg, directeur de l’Institut de recherche en épidémiologie et microbiologie de Gamaleya (à gauche) et Sergey Borisevich, chef virologiste des forces armées (à droite). Les deux hommes étaient les principaux universitaires à l’origine du nouveau vaccin « le plus efficace au monde ».

Le Dr Chuchalin a nommé le professeur Alexander Gintsburg, directeur du Centre de recherche Gamaleya pour l’épidémiologie et la microbiologie, et le professeur Sergey Borisevich, colonel médical et meilleur virologiste de l’armée russe.

Les deux hommes étaient les principaux universitaires à l’origine du nouveau vaccin « le plus efficace au monde ».

Chuchaline leur aurait posé la question : « Avez-vous suivi toutes les pistes nécessaires approuvées par la législation de la Fédération de Russie et la communauté scientifique internationale ? Non ! »

« Ce travail n’a pas été fait. Ainsi, l’un des principes éthiques de la médecine a été grossièrement violé : ne pas faire de mal ».

Il a souligné : Je suis déprimé par la position de certains de nos scientifiques qui font des déclarations irresponsables sur les vaccins prêts à l’emploi ». –Daily Mail

« Dans le cas d’un médicament ou d’un vaccin, nous, en tant qu’examinateurs éthiques, aimerions comprendre, tout d’abord, à quel point il est sûr pour l’homme », a déclaré Tchétchène au journal Nauka i Zhizn (Science et Vie) peu avant sa démission. « La sécurité passe toujours avant tout. Comment l’évaluer ? Les vaccins qui sont créés aujourd’hui n’ont jamais été utilisés chez l’homme, et nous ne pouvons pas prédire comment une personne va le tolérer », a-t-il ajouté.

Selon Choukaline, il est crucial de connaître « l’effet du vaccin à long terme », ajoutant « le fait est qu’il existe un certain nombre de substances biologiques qui ne se manifestent pas immédiatement, mais seulement après un an ou deux ».

Duterte fait le plein de miel

Ne donnant aucune information sur la sécurité du vaccin – ou sur son manque de sécurité – le président philippin Rodrigo Duterte a déclaré plus tôt dans la semaine qu’il s’était porté volontaire pour participer aux essais du vaccin russe. Cependant, un porte-parole présidentiel aurait déclaré jeudi que Duterte serait injecté dès mai 2021, selon CNBC.

Selon le rapport, les Philippines seront l’un des rares pays à participer aux essais de vaccins de « phase trois », qui devraient commencer en octobre.

Les experts médicaux considèrent que les essais de phase trois sont essentiels pour le développement de tout vaccin et sont nécessaires pour éliminer tout effet secondaire potentiel. Ces essais, qui permettent généralement de déterminer au hasard qui sera vacciné et qui ne le sera pas, peuvent impliquer des milliers de participants.

La semaine dernière, les Philippines ont dépassé l’Indonésie pour signaler le plus grand nombre de cas cumulés de coronavirus en Asie du Sud-Est, comme le montrent les données compilées par l’université Johns Hopkins. Depuis jeudi après-midi, le pays a signalé 143 749 cas et 2 404 décès, selon les données de Hopkins. –CNBC

Pendant ce temps, le Vietnam s’est enregistré pour acheter 50 à 150 millions de doses du vaccin russe, selon Reuters, citant un rapport de la télévision d’État. Selon le journal Tuoi Tre, une partie de ces doses sera un « don » du Kremlin.

« En attendant, le Vietnam continuera à développer son propre vaccin COVID-19 », a rapporté la télévision d’État Vietnam Television (VTV), citant le ministère de la santé.

Le Vietnam a rapporté un total de 929 infections et 21 décès.

NON aux VACCINS ISSUS de FŒTUS HUMAINS AVORTÉS

Alors que l’hystérie fait rage et que les positions se radicalisent autour du « rebond » claironné, des interdits renforcés, des menaces brandies et du port du masque qui s’étend, il est impossible de ne pas remarquer que la ligne de fracture suit grosso modo le clivage droite/gauche, et que s’il s’agissait d’une question purement sanitaire, ce ne serait pas le cas. Mais il y a une autre très grave question éthique posée par la course au vaccin: celle des fœtus humains utilisés dans certains cas (?) pour les mettre au point. C’est certes une question parmi mille autres, mais pour les catholiques, c’est LA question. Une tribune publiée sur l’Observatoire international Cardinal Van Thuan pour la doctrine sociale de l’Église fait le point.

Comte Amedeo Rossetti de Scander

VACCINS ISSUS de FŒTUS AVORTÉS
et OBJECTION de CONSCIENCE

par Comte Amedeo Rossetti de Scander

Il est établi que beaucoup de vaccins contiennent des cellules humaines, provenant de fœtus d’enfants avortés volontairement; de nombreux scientifiques et médecins l’ont expliqué et cela a même été confirmé par des organismes officiels de l’Église catholique.

L’Académie pontificale pour la vie a publié en 2005 une « Réflexion morale sur les vaccins préparés à partir de cellules de fœtus humains avortés » [ndt: curieusement, le texte ne figure pas, ou plus sur le site de l’Académie, ou bien je ne l’ai pas trouvé, texte en italien ici], qui condamne clairement ces produits et invite à exercer à leur égard une objection de conscience, que l’on trouve également dans l’encyclique de Jean-Paul II Evangelium vitae, n° 74.

Un nouveau document, très différent du précédent, a été rédigé par l’Académie pontificale pour la vie en juillet 2017 [en italien – et en anglais – ici: www.academyforlife.va); dans ce document le mal dû à l’action de l’avortement, s’étant produit bien antérieurement, est édulcoré ; Ce document ne condamne pas l’utilisation de chaînes de cellules humaines provenant de tissus d’enfants avortés, car il explique que le mal au sens moral du terme se trouve dans les actes, donc dans l’avortement, mais pas dans les choses ou la matière, c’est-à-dire dans l’utilisation des tissus; en pratique, le sens de la coopération avec le mal disparaît et, comme l’a expliqué dans une conférence organisée l’année dernière à Rome par « Renovatio 21« , le Dr Martina Collotta, chirurgien médical et bioéthicienne, « la matière est en fait rendue neutre, devenant un objet commercial ». Le document de 2017 considère également qu’il est du devoir de chaque chrétien de se faire vacciner pour le bien commun, sans que cela implique une participation au mal.

De fait, le respect de la vie depuis la conception jusqu’à la mort naturelle, qui est un des principes non négociables rappelés par Benoît XVI, est perdu et Evangelium vitae est « abrogé ».

« Il est vrai que, du point de vue de la recherche scientifique, les cellules sont nécessaires pour obtenir des vaccins contre les virus », explique le Dr Collotta, « car les virus ne peuvent pas se développer seuls s’ils n’ont pas de cellules dans lesquelles se répliquer; ce qui n’est pas vrai, c’est que ces cellules doivent être humaines, et encore moins qu’elles doivent nécessairement provenir de fœtus. C’est très commode car une cellule provenant d’un fœtus avorté est une cellule extrêmement jeune, c’est-à-dire une cellule qui, en laboratoire, pour un chercheur, a un rendement énorme, mais il s’agit d’une simple question d’argent.

Pour leur utilisation, il faut que ces cellules proviennent de fœtus d’enfants nécessairement avortés volontairement, car ce sont des enfants sains, alors qu’un fœtus avorté spontanément est constitué de cellules porteuses d’anomalies génétiques.

Le Dr Theresa Deisher, du Sund Choice Pharmaceutical Institute, explique bien à quel point il est dangereux d’injecter, surtout aux enfants de moins de trois ans, des vaccins qui contiennent de l’ADN humain, capable d’activer une attaque d’anticorps contre votre corps ; elle explique également que pour créer des virus destinés aux vaccins, il n’est pas nécessaire d’utiliser des cellules humaines, mais qu’on peut utiliser des cellules animales, dont l’ADN ne pourra jamais s’insérer dans le génome d’un humain, car il est d’une espèce différente.

Des doutes sur l’innocuité des vaccins ont également été exprimés dans le rapport final de la commission d’enquête parlementaire, document XXIIa n° 23 du 7 février 2018, dans lequel les effets des vaccins sur les militaires ont également été étudiés : « La Commission a dû constater qu’il était impossible de parvenir à des conclusions précises car … il y avait un manque de données sur les vaccinations multiples pour chaque militaire et leurs effets sur l’ADN pour chaque militaire malade ».

On peut considérer que la position exprimée par l’Académie pontificale pour la vie en 2017 a au minimum engendré une certaine confusion ; le danger d’une dérive morale et éthique due à cette confusion se retrouve directement dans les mots du Dr Stanley Plotkin, médecin spécialisé dans la création de vaccins, co-inventeur du vaccin contre la rubéole et important consultant pour Big Pharma ; le 11 janvier 2018, il a été appelé à témoigner au tribunal, dans le cadre d’un procès intenté par la mère d’un enfant ; sous serment, il a dû répondre à plusieurs questions, admettant que pour une seule recherche, il avait utilisé 76 fœtus d’enfants avortés de plus de trois mois d’âge gestationnel, sans se souvenir exactement du nombre d’autres fœtus qu’il avait utilisés au cours de sa carrière ; à un moment donné, un avocat lui a posé la question: « Savez-vous que l’une des objections de la plaignante à la vaccination est l’inclusion de tissus provenant de fœtus avortés dans le développement du vaccin et le fait qu’il s’agit de l’un des ingrédients? ». La réponse de Plotkin est emblématique : « Je suis au courant, l’Église catholique a publié une réponse à ce dilemme et a déclaré que les personnes qui ont besoin du vaccin, peuvent se faire vacciner. Je suppose que l’accusation que j’irai en enfer à cause de l’utilisation de fœtus avortés est une accusation que j’accepterai volontiers« .

Des voix autorisées de l’Église ont exprimé des points de vue contradictoires sur l’utilisation de vaccins contenant des cellules humaines provenant d’enfants avortés.

Le 30 juillet dernier, la Conférence épiscopale britannique a publié une lettre dans laquelle il est dit que « toutes les vaccinations cliniquement recommandées peuvent être utilisées en toute bonne conscience », indiquant que « L’Église catholique soutient fermement la vaccination et considère que les catholiques ont à première vue le devoir de se faire vacciner, non seulement pour des raisons de santé mais aussi par solidarité avec les autres, en particulier les plus vulnérables ».

En réponse à cette position, l’évêque texan Joseph Strickland a réitéré sa position le 1er août dernier: « Je renouvelle ma requête de rejeter tout vaccin développé à partir d’enfants avortés. Même si son origine remonte à plusieurs décennies, cela signifie toujours que la vie d’un enfant s’est achevée avant qu’il ne naisse et que son corps a donc été utilisé comme pièce de rechange. Nous ne mettrons jamais fin à l’avortement si nous n’arrêtons pas ce mal! ».

L’année dernière, un représentant de l’Église catholique, le cardinal Raymond Leo Burke, a participé à une importante conférence organisée à Rome par « Renovatio 21 », intitulée « Foi, Science et Conscience – l’utilisation de foetus avortés dans les produits pharmaceutiques » ; le 20 mai dernier, le cardinal s’est prononcé avec véhémence contre les vaccinations forcées obligatoires qui pourraient avoir lieu suite à la mise au point d’un vaccin contre le coronavirus (*); lors de son discours au Forum sur la vie à Rome, tenu cette année sous forme virtuelle, a déclaré qu' »il doit être clair que la vaccination ne peut pas être imposée, de manière totalitaire, aux citoyens ».

Il semble y avoir deux visions différentes au sein de l’Église, mais on peut supposer que ceux qui les expriment n’ont peut-être pas tous vraiment approfondi l’origine de la question, car sinon ils n’accepteraient pas, éthiquement et moralement, la pratique consistant à utiliser les avortements volontaires pour disposer de matériel de laboratoire.

L’obligation morale de toute l’Église, et chacun d’entre nous en est une composante, est de demander et d’exiger, à tous les niveaux, une offre éthique alternative en matière de vaccins.

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(*) NDT

Un aspect particulier de la crise sanitaire internationale qui en résulte, ce que l’on appelle une pandémie, est que l’ensemble plus vaste des personnes en bonne santé sont soumises à de sévères restrictions, même en ce qui concerne leur pratique de la foi, en partant du principe que l’infection par le virus reste souvent cachée avant de se manifester soudainement. D’une certaine manière, chacun d’entre nous devient un danger potentiel pour les autres. Dans une telle situation, l’interaction humaine naturelle est rendue sévèrement limitée. Chez certains, la situation a conduit à s’inquiéter constamment d’une éventuelle infection et à entretenir l’illusion que, d’une manière ou d’une autre, nous pouvons créer un environnement parfaitement sanitaire dans lequel nous ne serons menacés par aucune bactérie ni aucun virus, ou dans lequel, grâce à des mesures prophylactiques, y compris la vaccination universellement imposée, nous aurons une protection certaine contre le coronavirus.

En ce qui concerne la vaccination, il doit être clair qu’il n’est jamais moralement justifié de développer un vaccin en utilisant les lignées cellulaires de fœtus avortés. L’idée d’introduire un tel vaccin dans son propre corps est à juste titre répugnante. En même temps, il doit aussi être clair que la vaccination elle-même ne peut être imposée, de manière totalitaire, aux citoyens. Lorsque l’État se livre à une telle pratique, il viole l’intégrité de ses citoyens. Si l’État peut prévoir des règlements raisonnables pour la protection de la santé, il n’est pas le fournisseur ultime de soins de santé. C’est Dieu qui l’est. Tout ce que l’État propose doit respecter Dieu et sa loi.
https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2020/05/le-cardinal-burke-evoque-le-coronavirus.html

Mon TEMPS est ARRIVÉ

Sur internet, j'ai le plus possible répandu la dévotion au saint Rosaire. En parallèle, j'ai averti du temps de l'Antéchrist auquel nous sommes arrivé. Pourrai-je continué ? Cela paraît peu probable quoiqu'incertain. En effet :

Mais à quoi bon vous parler de moi : cela est absolument inutile ! Vous en savez assez en consultant ici : https://gloria.tv/track/7zeyWtQtszSY4QKdycRmz1PDQ et vous pouvez facilement en déduire ce qui va se passer. Quand vous verrez que je suis disparu du net, vous comprendrez que... nul besoin d'épiloguer.

Ma tutrice (de fait depuis 13 ans) et moi ne vous demandons qu'une seule chose si vous avez encore le courage de la faire, savoir, le CHAPELET QUOTIDIEN