News au 16 octobre 2019

Le VRAI VISAGE :
L'ILLUSION des INDIENS de l'AMAZONIE du Pape FRANÇOIS
(+ vidéo anglaise)

Le pape François et ses disciples dressent un portrait romantique des Indiens d'Amazonie et ignorent qu'ils exploitent l'environnement et pratiquent l'infanticide et le suicide, a écrit Kathy Clubb, une pro-lifer australienne, le 29 juin dernier sur RemnantNewspaper.com.

Meurtres d'enfants et superstition

Clubb fait référence aux rapports de 2018 selon lesquels une vingtaine des 300 tribus indiennes brésiliennes pratiquent encore l'infanticide. Chaque année, une centaine d'enfants sont tués parce qu'ils sont faibles, malades ou handicapés. Les enfants atteints d'albinisme sont considérés comme mauvais et sont donc mis à mort. Dans certaines circonstances, les tribus indiennes acceptent de tuer des filles à cause de leur sexe.

Les Indiens handicapés sont abandonnés, enterrés, affamés à mort.

L'infanticide chez les Indiens du Brésil et la tolérance du gouvernement à son égard sont devenus connus dans les années 1990. Il y a eu le cas de la tribu Zuruaha qui a décidé que deux enfants qui ne se développaient pas normalement devaient mourir. Les parents ont refusé de tuer leur progéniture et se sont plutôt suicidés. La tribu a pris les enfants et les a enterrés vivants. L'une d'entre elles, la fille Hakani, a survécu. La tribu a alors condamné la jeune fille à la famine. Mais son frère aîné lui a fourni des restes de nourriture et l'a finalement amenée dans une famille missionnaire chrétienne qui l'a adoptée et a rendu le cas public.

Les personnes âgées ne valent rien

Clubb montre que pour les Indiens Zuruaha le suicide est parfois souhaitable. Ils pratiquent un empoisonnement par suicide, qu'ils appellent « kunaha ». Il est introduit par des invocations et des chants. Ils croient qu'un suicide kunaha mène à une - citation - « existence véritable ». Entre 2003 et 2005, environ un sixième des Indiens Zuruaha se sont suicidés. Déjà, on enseigne aux enfants qu'il vaut mieux se suicider que de souffrir ou de devenir un fardeau pour la tribu. Clubb remarque que le document de travail du synode se pavane sur la manière de maintenir « la sagesse des anciens de l'Amazonie ». Cependant, dans la tribu Zuruaha, les anciens sont appelés « hosa ». Le mot signifie « inutile » ou « consommé ».

La médecine indienne est la croyance des sorcières

Le document de travail du Synode fait l'éloge d'une médecine prétendument holistique des Indiens. Mais Clubb affirme que les Indiens travaillent simplement avec des drogues hallucinogènes. Par exemple, en cas de maladie, un chaman utilise l'infusion de plantes Ayahuasca pour rechercher la sorcellerie ou l'influence négative. Dans de tels rituels, les esprits sont invités à donner des conseils, les dommages énergétiques émotionnels sont prétendument compensés, et même une infidélité possible d'un partenaire est établie.

Les Indiens étaient cannibales

Enfin, Clubb rapporte que les tribus Yanomami et Wari du Brésil pratiquaient le cannibalisme rituel. Les Indiens brûlaient les corps de parents ou d'ennemis, mélangeaient les cendres avec une pâte appelée « pijiguao » et mangeaient le produit afin de préserver les énergies vitales des morts et de se purifier. Les preuves d'un tel cannibalisme rituel remontent à la fin du 20e siècle.

[Voilà l'image de nos sociétés modernes où tout cela est aussi pratiqué mais avec des mains propres : c'est toute la différence, mais le but est le même.]

en.news 15 octobre 2019

Le Vatican projette une liturgie à « visage amazonien ».

Le Jésuite d'origine américaine Thomas Reese a demandé lors de la conférence de presse du Synode d'Amazonie (15 octobre) comment une « Eucharistie indigène » serait « différente ».

Mgr Rafael Escudero López-Brea, évêque de Moyobamba d'origine espagnole, a répondu qu'elle contiendrait quelques symboles, rituels ou ornements qui n'ont pas d'impact sur ce qui est « essentiel » à l'Eucharistie.

Mgr Eugenio Coter, évêque de Pando d'origine italienne, a annoncé qu'il y aura probablement un effort pour donner un « visage amazonien » à la liturgie, bien que les indigènes n'aient besoin de l'Église que comme organisation de secours, pour leurs besoins religieux ils vont chez les Évangéliques.

A titre d'exemple, il a parlé de l'utilisation d'une alternative à l'encens, qui est abolie de facto dans le Novus Ordo.

[En fait, voici ce qui va arriver. Écoutez bien. Après ce synode du diable, chaque église locale sera invitée à ressusciter les cultes païens afin de les mêler à ce qu'il reste du culte chrétien. Ainsi par exemple, dans la commune d'Ancenis que je connais bien, il y a un monument appelé "La Pierre du Diable" dénommée actuellement Dolmen de la Pierre Couvretière sur laquelle se faisaient des sacrifices humains (puisque des crânes y ont été découverts suite à des fouilles restreintes). Que vont-ils faire ? Je vous parie qu'ils vont la sortir de son marais infect pour l'amener où ? Dans l'église pour servir d'autel ou autre chose semblable. Désormais, ce que je dis là n'est plus une fiction, mais cela risque de devenir une réalité, et ainsi en sera-t-il partout.]

fr.news  16 octobre 2019

Le père Stefano Manelli est suspens à 85 ans - mais un appel a bloqué la décision

Le 1er février, le père Stefano Manelli, fondateur des Frères Franciscains de l'Immaculée, aurait été suspens a divinis comme prêtre par le père salésien Sabino Ardito, nommé commissaire des Franciscains de l'Immaculée par le Vatican depuis 2015.

Cette affirmation a été divulguée par VeritaCommissariamentoFFI.wordpress.com (15 octobre), qui publie surtout des insultes contre Manelli.

La vérité : Ardito a tenté de suspendre le Père Manelli qui avait fait appel à la Signature apostolique. Après, la Congrégation pour les Religieux du Cardinal Braz de Aviz a reculé.

La raison de la lutte continue du Vatican contre Manelli est le fait qu'il refuse toujours d'aider le Vatican à mettre la main sur les biens substantiels de sa communauté.

[Tout ce que ces Judas veulent, c'est bien entendu la bourse !]

fr.news  16 octobre 2019

VaticanNews est fier de présenter le culte de Pachamama près du Vatican

Un culte d'idole publique en relation avec le synode d'Amazonie a eu lieu devant Santa Maria in Traspontina sur la Via della Conciliazione, la rue principale menant à Saint Pierre.

Une vidéo de cette mascarade (ci-dessous) a été publiée par le compte espagnol de VaticanNews.va sur Twitter (15 octobre).

Des gens, probablement des prêtres et des religieuses déguisés en laïcs, et une femme déguisée en prêtre y forment un cercle. Au centre, il y a une couverture sur le sol.

Différents objets y sont placés, parmi lesquels le démon andin Pachamama qui est omniprésent au synode, et, une fois de plus l'affiche d'une femme indienne dérangée allaitant un animal. Le groupe se tient les mains, chante et danse autour des idoles.

Le spectacle faisait partie d'événements quotidiens, sponsorisé par les organisations d'entraide des évêques allemands.

Cette sorcellerie a probablement été transférée de l'église à la rue pour accroître sa visibilité.

[Effectivement, elle a eu lieu dans l'église Santa Maria le samedi soir 12 octobre mais médiocrement rapportée ; donc sur la rue, ça se voit mieux.]

fr.news  16 octobre 2019

« Nous autres sorcières sommes très heureuses » [des cérémonies païennes qu'approuve François]

La cérémonie en l'honneur de Pachamama approuvée par François est louée par AntroDellaMagia-News.it (9 octobre), une page web consacrée à la promotion de la sorcellerie et de la superstition. Antro della Magia signifie « Grotte de la Magie ».

« Le 4 octobre, une cérémonie païenne a été célébrée dans les jardins du Vatican », écrit la page web qui parle d'un « beau rituel ».

Elle est convaincue que cet événement « ouvrira sûrement les portes d'un avenir plus ouvert et plus rose pour nous, les païens ».

La page web explique que les chamanes ont accompli en présence de François des rituels « qui n'ont rien à voir avec l'Église catholique et qui sont intrinsèquement incompatibles avec la doctrine traditionnelle ».

Ceci indique selon la page web que le Synode d'Amazonie cherche un rapprochement avec « des formes de religion païenne et panthéiste ».

L'article conclut : « Enfin un acte important de l’Église vers la reconnaissance des religions païennes et de leur importance. Nous autres sorcières nous ne pouvons qu'en être très heureuses ! »


[Tout est dit ! Attendez-vous maintenant à ce que cela se répande partout, comme je l'ai dit plus haut : Ainsi par exemple, dans la commune d'Ancenis... ]