News au 24 mars 2020

La SHOAH FRANÇAISE
ou une extermination programmée

Mardi 24 mars 2020 : 604 avortements
Depuis le début de cette année : 50.969
Depuis 1976 : 9.557.780

Un LIVRE-BOMBE

C'est une bombe à retardement que ce livre au titre explicite : "ON TUE les VIEUX". En cliquant sur ce titre, vous aurez tous les détails désirés, et vous verrez que malgré 14 ans passés, ce bouquin est très actuel, je dirais même plus qu'actuel, car avec ce qu'il décrit, on présume facilement ce qui se passe aujourd'hui, et c'est terrifiant ! Les esprits bornés ne comprendront rien bien entendu et ils continueront à croire à la rengaine qu'on nous débite 24h/24 ! Or cette rengaine est une fake news organisée ! La réalité est toute autre et vous la découvrirez en lisant ce livre que moi-même j'ai lu tout entier et qui fait frémir. Je ne vous en dis pas plus : achetez-le vite et le lisez, et alors vous comprendrez. Dans ce temps de confinement, cette lecture arrive à point. N'hésitez donc plus et faites vite !

Les BIDROUILLES de l'ANTÉCHRIST

Dans son interview en espagnol sur skype, François a mis Dieu au placard avec les mots « Dieu pardonne toujours ».

Puis il a continué : « La nature [la Terre Mère, la Pachamama] ne pardonne jamais. Les incendies, les tremblements de terre... la nature nous pousse à prendre soin de la nature. » Cette théorie a été propagée plus tôt par le prêtre défroqué Leonardo Boff.

François a avoué avoir « beaucoup d'espoir » [non pas en Dieu] mais en « l'humanité », « les hommes », « les femmes » et « les peuples ».

À la question « Que diriez-vous à ceux qui ont perdu un être cher ? », il a répondu : « La dernière chose que je ferais, c'est de leur dire quoi que ce soit. » Il voudrait leur faire « sentir ma proximité ».

François a été interviewé parmi beaucoup d'autres, notamment des femmes au foyer et des femmes de ménage. Ses réponses triviales s'intègrent bien au reste.

[Tout le monde connaît désormais la doctrine infecte de l'Antéchrist ; il ne lui reste plus qu'à faire son saut de qualité pour la faire croire divine !]

Un AVEU CACHÉ : CHERCHEZ BIEN !

« On ne devrait pas penser que le coronavirus est une punition de Dieu, ce serait un blasphème », écrit le cardinal de Rabat Cristóbal López.

López est un défenseur du blasphème d'Abou Dhabi.

Dans une lettre aux fidèles, López ajoute « Ne tenons pas Dieu pour responsable de ce qui est de notre responsabilité. »

Pour lui, l'annulation des messes est un « acte de solidarité » et « un geste d'amour envers notre prochain ».

[Il faut lire entre les lignes car ce mécréant avoue sans même s'en rendre compte que le VC est de fabrication humaine.]

DEUX FAITS INQUIÉTANTS

Deux messes “sanctionnées” en France :
précisions et explications…

 

Plusieurs lecteurs (merci notamment à M. S. et E. L.) m’ont signalé un article du Dauphiné (Libéré) paru le 22 mars sous le titre « Savoie : la police verbalise une messe de la fraternité Saint-Pie X ». Le voici :

Ce dimanche matin [22 mars], une patrouille de la police aux frontières a contrôlé une messe en cours sur la commune de Saint-Baldoph. Une douzaine de personnes appartenant à la fraternité Saint-Pie X, étaient réunies dans une chapelle du village. Ces derniers ont expliqué qu’ils pensaient être dans les clous au sujet du nombre de personnes tolérées pour un rassemblement religieux. Ils étaient effectivement moins de 20 personnes avec le prêtre mais la chapelle était trop petite pour que les distances de sécurité soient respectées. Selon nos informations, certains participants venaient aussi de villes trop éloignées. Les policiers les ont donc verbalisés.

Cela m’inspire quelques réflexions.

1- D’abord et simplement pour en sourire, le titre de l’article est, sans le vouloir, facétieux : comment peut-on « verbaliser une messe » ?

2- On signale une opération de personnels de la police aux frontières, ce qui est vrai, mais une photo prise au moment des faits, montre également la présence d’un véhicule de la gendarmerie nationale sur le site.

3- Cette « chapelle du village » n’appartient pas à la commune de Saint-Badolph (Savoie). Il s’agit en fait de la chapelle Saint-Anthelme qui est une propriété du district de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, et relève de son prieuré de Meylan (Isère). C’est, objectivement, une très belle réalisation construite à partir d’un vieux corps de ferme acheté par cette Fraternité. Elle fut bénie et inaugurée le 20 décembre 2014.

4- Des messes sont célébrées dans cette chapelle les dimanches, jours de fêtes et les vendredis en semaine.

5- Les dispositions gouvernementales liées au “confinement”, au moment des faits précités, ne disposent pas de la fermeture des lieux de culte, mais règlementent le nombre de fidèles qui peuvent y venir prier. En principe, pas plus de vingt personnes respectant les distances de sécurité. Le Dauphiné se trompe en affirmant, sans vérification, que « la chapelle était trop petite pour que les distances de sécurité soient respectées ». J’ai vu des photos prises lors de l’inauguration de cette chapelle : près de 200 personnes peuvent y tenir aisément dans sa seule nef. Or, le dimanche 22 mars, on comptait une douzaine de fidèles plus le célébrant… J’ignore si les distances de sécurité étaient respectées – mais elles pouvaient facilement l’être – et même si les policiers ont pénétré dans la chapelle pour les vérifier. Les quelques photos disponibles de cette affaire, montre les policiers vérifiant, sur le parvis et le parking de la chapelle, les attestations de déplacement dérogatoire. J’y reviendrai.

6- La célébration de la messe, organisée par ce prieuré de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, semble déroger aux dispositions du district de France de cette organisation religieuse. On peut en effet lire sur la page d’accueil de son site cette instruction non datée destinée à ses fidèles : « Vous êtes dispensés de la messe dominicale. Les offices et messes aux horaires habituels ne sont plus assurés dans nos chapelles ni en semaine ni le dimanche ». Une position proche de celle de la Conférence des évêques de France du 17 mars, encore que la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X ne relève pas, canoniquement, des évêques français.

7- À ma connaissance et selon une information relayée par le Salon Beige hier, les policiers ne semblent pas avoir « verbalisé » les fidèles présents. Ils ont vérifié les attestations de déplacement dérogatoire et sans doute constaté que certaines montraient que des fidèles venaient de loin, de trop loin sans doute pour entrer dans le cadre des « déplacements brefs, à proximité du domicile ». Il n’y a donc eu probablement qu’un simple “rappel à la loi” pour le célébrant et/ou des précisions données sur l’interprétation convenable des dispositions gouvernementales.

8- Un cas plus grave a été rapporté le 23 mars par Le Parisien s’inspirant du quotidien Le Dauphiné de la veille dénonçant une « Messe “clandestine” [sommes nous en 1793 ou en Chine communiste ?] » célébrée sur le terrain d’un particulier à Saint-Romain-de-Jalionas (Isère). Le célébrant un reçu un rappel à la loi pour « mise en danger de la vie d’autrui », les treize fidèles présents ont été verbalisés et ont écopé d’une amende de 135 € pour violation du confinement. Ce qui peut être contestable en droit comme l’est aussi l’affirmation de la procureure de Bourgoin-Jallieu, Dietlind Baudoin, selon laquelle cette messe n’étant pas célébrée « dans un lieu de culte », on ne pouvait donc pas s’appuyer sur les précisions gouvernementales stipulant : « Je ne peux pas participer à un rassemblement ou une réunion de plus de 20 personnes au sein d’un lieu de culte »…

Je laisse à chacun le soin d’en tirer les conséquences qu’il souhaitera. Je vous informe du mieux que je peux tout en gardant en mémoire ces faits troublants qui pourraient devenir inquiétants.

Mise à jour, 24 mars, 14 h 10. Concernant l’affaire de Saint-Romain-de-Jalonias, un lecteur vient de me préciser : « Seul, un participant a écopé d’une amende. Les autres ont eu un rappel à la loi. ».

[Oui, inquiétants ! Cela me rappelle plusieurs faits du même genre qui se sont passés en Italie : intrusion de la police à propos de deux messes, et pour arrêter un baptême. Oui, c'est inquiétant et plus qu'inquiétant !!!]

RAOULT :
« JE ME FOUS de ce que PENSENT les AUTRES ! »
Et il a bien raison !

Alexandra Ducamp (La Provence) : 627 morts en une journée et 40 000 cas de Covid-19 en Italie, on n'en est plus à la "grippette" dont vous parliez il y a quelques semaines...

Pr Didier Raoult : Vraisemblablement, vous ne comprenez pas du premier coup. Toutes les situations doivent être mises en perspective. Sur quelle maladie infectieuse toute la presse s'est-elle excitée l'année dernière ? La rougeole. À la fin, il y a eu 1 000 cas avec un mort et il y avait une annonce tous les jours dans les médias. Le monde de l'information vit dans un monde parallèle au mien, celui de l'observation. On est passé d'une exagération à une déconnection. Il y a dans le monde 2,6 millions de morts d'infections respiratoires par an, vous imaginez que les 5 000, 10 000 ou même 100 000 vont changer les statistiques ?

- On ne parle pas de statistiques, on parle d'êtres humains, de populations entières confinées...

Pr Didier Raoult : De quoi voulez-vous parler d'autres ? Les gens meurent, oui. La plus grande surmortalité de ces dernières années en France, c'était en 2017 : 10 000 morts supplémentaires en hiver, on ne sait pas même pas si c'est de la grippe. 10 000 morts, c'est beaucoup. Mais là, on en est à moins de 500. On va voir si on arrive à en tuer 10 000, mais ça m'étonnerait.

- L'argument statistique est donc le seul prisme...

Pr Didier Raoult : À Marseille, nous avons diagnostiqué 120 cas positifs, il y avait deux morts de plus de 87 ans. Ils mourraient aussi l'année dernière. Sur 100 prélèvements de gens qui ont une infection respiratoire, ce sont plutôt des cas graves, quand on teste 20 virus et 8 bactéries, il y en 50 % dont on ne sait pas ce qu'ils ont, c'est notre grande ignorance. Pour tous les autres, il y a 19 virus saisonniers, qui tuent aussi. Les coronavirus endémiques tuent plus ici que le chinois. Je confronte en permanence les causes de mortalité dans toute la région à cette espèce de soufflet anxiogène qui monte : pour l'instant, on a plus de chance de mourir d'autres choses que du Covid-19. Le grand âge, les comorbidités et la prise en charge tardive sont des facteurs de mortalité. C'est peut-être inentendable, mais c'est la réalité. La seule chose qui m'intéresse sont les datas, les données brutes. Les données vont rester, les opinions, elles, changent... Je ne dis pas l'avenir, mais je ne suis absolument pas terrifié.

- Comment expliquez-vous la situation dans l'est de la France ?

Pr Didier Raoult : Je suis scientifique, c'est ce qui manque dans ce pays ; une grande partie du monde politique et administratif réagit comme vous (les médias, NDLR). Nous, nous ne devons pas réagir comme ça. Les seules données qui m'intéressent ce sont les données d'observation, je n'ai pas d'opinion. Il n'y a que la presse qui parle de ce qui se passe dans l'Est, moi, je n'ai pas de données. Pour l'Italie, on disait pis que pendre, j'ai reçu une analyse, c'est comme ailleurs, ce sont des gens de plus de 75 ans. Les Japonais ont fait un très beau modèle expérimental en confinant les croisiéristes assez âgés sur le Diamond Princess. On a bien vu que c'était contagieux, 700 l'ont chopé. Mais en dépit d'une population très fragile, il n'y a eu qu'1 % qui sont morts. C'est la réalité observée. Quand il y aura 1 000 morts dans l'Est, je dirai oui, c'est grave.

- Vous êtes en permanence à contre-courant du discours...

Pr Didier Raoult : Ce n'est pas parce qu'il y a quelques personnes qui pensent certaines choses à Paris, que je suis à contre-courant. Dans mon monde, je suis une star mondiale, je ne suis pas du tout à contre-courant. Je fais de la science, pas de la politique. Les maladies infectieuses, ce n'est pas très compliqué, c'est diagnostic et traitement. C'est le B-A ba, si les gens ne connaissent pas le B-A ba des maladies infectieuses ou de la chloroquine qui s'apprend en troisième année de médecine, je n'y peux rien. Je vais pas refaire l'éducation de ceux qui refont le monde sur les plateaux-télé. Je me fous de ce que pensent les autres. Je ne suis pas un outsider, je suis celui qui est le plus en avance. La vraie question est : comment ce pays est arrivé dans un tel état que l'on préfère écouter les gens qui ne savent pas que plutôt ceux qui savent ?

- 24 patients sont suivis dans l'essai clinique, combien de personnes ont été traitées depuis...

Pr Didier Raoult : On en a traitées d'autres mais je ne vous dirai pas combien. J'en informerai d'abord le ministère.

- Après six jours de traitement, la charge virale de 75% des patients est négative, sont-ils pour autant guéris ?

Pr Didier Raoult : Ils sont guéris du virus. Mais si vous avez des lésions pulmonaires, elles ne disparaîtront pas en trois jours. Nous ne savons pas pour le moment non plus si, une fois guéri, vous pouvez retomber malade, cela n'a pas été décrit par les Chinois qui ont deux mois d'avance sur nous.

- Quid des 25 % qui sont toujours positifs ? Leur situation s'aggrave-t-elle comme on le dit autour des 7e et 8e jours ?

Pr Didier Raoult : Nous n'avons pas eu d'aggravation dans les cas traités mais nous ne voyons pas de gens dans des états graves. Pour l'instant, les cas graves sont ceux qui ne sont ni détectés, ni traités et qui arrivent avec une insuffisance respiratoire très grave. Ils vont directement en réanimation et ils vont mourir là-bas. Si on dépiste et que l'on traite les gens précocement il y a forcément plus de chance de les sauver que 48 heures avant la phase terminale.

- Votre stratégie depuis le début de l'épidémie est de mobiliser tout l'IHU pour faire du dépistage massif, pourquoi, cela n'a pas été une stratégie nationale dès l'origine ?

Pr Didier Raoult : Ce n'est pas ma stratégie, c'est du bon sens. Je ne sais pas pourquoi ce n'est pas une stratégie nationale, c'est un choix politique. Moi, je fais mon devoir, point final. Je fais ce que je dois faire, je joue ma partition dans une pièce. Mais ce n'est pas moi qui ai inventé le théâtre, ni le texte. Je suis le seul à avoir une pensée classique sur les maladies infectieuses alors que tout le monde perd ses nerfs...

- Quid des effets secondaires du traitement à l'hydroxychloroquine ?

Pr Didier Raoult : Ce qu'on dit sur les effets secondaires est tout simplement délirant. Ce sont des gens qui n'ont pas ouvert un livre de médecine depuis des années. Plus d'un milliard de gens en ont bouffé, les personnes qui souffrent de lupus en prennent pendant des décennies... Je connais très bien ces médicaments, j'ai traité 4 000 personnes au Plaquénil depuis 20 ans. Ce n'est pas moi qui suis bizarre, ce sont les gens qui sont ignorants. On ne va pas m'apprendre la toxicité de ce médicament.

- Le gouvernement a annoncé élargir les essais sur l'hydroxychloroquine mais par des équipes indépendantes de la vôtre, pourquoi ?

Pr Didier Raoult : C'est normal. Jusqu'il y a 30 ou 40 ans, en faisant face à des maladies qu'on soignait mal ou pas, la méthodologie, on s'en foutait un peu. Le premier type qui avait une infection à staphylocoque, on lui donnait de la pénicilline, il était guéri et tout le monde était content. Au fur et à mesure où l'on a été de plus en plus compétent, il a fallu faire des études en double aveugle, puis rendre publiques des données pour ne pas qu'il y ait des tricheurs, notamment en raison des enjeux financiers. Aujourd'hui, on sait par les Chinois que le portage moyen du virus est de 20 jours. Nous, nous avons les moyens de mesurer la charge virale, on voit qu'elle baisse, donc c'est que ça marche. On n'avait pas besoin de groupe témoin. Je suis content de l'élargissement des essais avec des médicaments, qui marchent, je suis juste un docteur. Si vous avez des doutes sur ma crédibilité, ce n'est pas mon problème. Il y a des gens soignés dans le monde entier, je ne me sens pas plus responsable des malades de Paris que de Corée. Ce seront les plus intelligents qui seront le mieux soignés. Je n'essaie pas d'être arrogant. Si les gens ne veulent pas regarder les chiffres, je n'y peux rien. Nous avons réalisé les 2/3 des tests de France, on a mis en place une machine de guerre. Après, on ne peut pas faire boire un âne qui n'a pas soif.

[Mais pourquoi ne veulent-ils pas se servirent du médicament préconisé par Raoult ? Tout simplement parce que cela arrêterait leur pandémie-bidon et tout leur plan maçonnique serait par terre. Mais comme ils veulent casser l'économie mondiale et envoyer les vieux à la poubelle, il faut avoir un alibi pour entretenir cette psychose diabolique. On verra si l'avenir me donne raison. Mais je note que déjà le ministre de l’Économie annonce dans les médias une crise économique plus grave que celle de 1929 : c'est tout dire ! Et avec cela, on connaît maintenant la fin pour laquelle ces mécréants militent. Je note encore que la Buzin, le 13 janvier dernier, avait rangé ce fameux médicament comme « substance vénéneuse ! » alors qu'elle savait ce qui allait arriver comme le prouve sa lettre du 11 janvier à Macron. Nos autorités ne méritent que la poubelle .]