News au 26 mars 2020

La SHOAH FRANÇAISE
ou une extermination programmée

Jeudi 26 mars 2020 : 607 avortements
Depuis le début de cette année : 52.177
Depuis 1976 : 9.558.988

La CONCILIAIRE SUPPRIME l'OSSERVATORE ROMANO :
TOUT un SYMBOLE

L'Osservatore Romano, 160 ans, a succombé au coronavirus.

Son édition papier a été interrompue. Un virus a fait ce que deux guerres mondiales n'ont pas pu faire.

Pendant tout le 20e siècle, L'Osservatore n'a pas manqué un seul jour, bien que les nazis aient poussé Mussolini à le fermer.

[La conciliaire est en train de couler à fond ! Après tout, elle ne l'a pas volé. Mais si elle croit faire couler en même temps l’Église catholique, elle se trompe lourdement.]

CORONAVIRUS :
la VRAIE-FAUSSE VICTOIRE de la CHINE

Pour la plus impitoyable dictature du monde, le mensonge d’État est consubstantiel à sa nature. Doit-on vraiment croire que la Chine a réussi à vaincre le virus en un temps aussi court, marquant « la fin la plus rapide d’une pandémie dans toute l’histoire de l’humanité »? Sur fond de politique, guerre commerciale et lutte d’influence en Europe pour le contrôle de la 5G (où l’Italie serait la tête de pont en Europe, au vu des excellentes relations de la Chine avec le gouvernement Conte), les explications de Stefano Magni, le spécialiste de géopolitique de La Bussola.

Giuseppe Conte et le président chinois Xi Jinping

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Les NOMBREUX BLUFFS du SUCCÈS CHINOIS
dans la LUTTE contre le CORONAVIRUS

par Stefano Magni

La Chine est proche, et depuis l’épidémie de coronavirus de Wuhan, elle est encore plus proche. Des experts chinois suggèrent des mesures draconiennes en Lombardie, Huawei relance la coopération sur la 5G et on parle de « Via della Salute » (Route de la santé) en plus de la « Route de la soie ». Mais quelle est la réalité des succès chinois dans la lutte contre le virus et jusqu’à quel point sont-ils gonflés ?

La Chine est proche, et depuis l’épidémie de coronavirus de Wuhan, elle est encore plus proche.

En Lombardie, aux côtés du gouverneur de la région, Attilio Fontana, sont apparus des médecins experts envoyés de Chine, qui ont déclaré lors d’une conférence de presse qu’ « il y a encore trop de gens qui se promènent » et que nous, les Italiens, avons « encore beaucoup à apprendre ». Et de qui, sinon du régime totalitaire le plus intrusif au monde, capable de cataloguer ses citoyens avec la technologie de la reconnaissance faciale?

La conférence de presse chinoise à Milan s’inscrit dans le cadre d’une offensive d’information de la Chine, qui se considère actuellement comme le premier pays capable de vaincre complètement la nouvelle maladie.

Mais quel est le bien-fondé des informations de Pékin et quelle est l’efficacité de leur modèle ?

La Chine envoie experts, know-how (savoir-faire) et matériel biologique pour contenir la contagion. Et nous ne pouvons que les en créditer. Mais tout a un prix et une nouvelle définition entre dans le lexique politique: la « Via della Salute« , un nouveau partenariat italo-chinois, suite naturelle de la Route de la soie, où la Chine se taille inévitablement la part du lion. Le Premier ministre Conte est au centre du tissage de ces relations. Le directeur général de Huawei-Italie, Thomas Miao, parle du partenariat en termes politiques et économiques, relançant l’idée d’une coopération entre Rome et Pékin pour la mise en place de l’infrastructure 5G. Toujours pour la 5G, la lutte chinoise contre le virus est citée en exemple : « À Wuhan, l’échange efficace de données a été un facteur crucial dans le contrôle de l’épidémie – a déclaré Miao – car il a supporté les fonctions ordinaires, ainsi que des services tels que la collecte de données, le diagnostic et la surveillance à distance, la transmission d’images à haute résolution, une meilleure collaboration entre les hôpitaux ».

La 5G est un secteur sensible, car facilement « militarisable », ceux qui contrôlent ses infrastructures pourraient, dans un avenir pas trop lointain, dominer sur les futurs champs de bataille. C’est pour cela que l’administration Trump boycotte les projets 5G de Huawei et fait pression sur les gouvernements qui l’acceptent comme partenaire privilégié. L’Italie n’est pas exclue d’éventuelles rétorsions.

En substance, la Chine mise sur le succès de sa lutte contre le virus, non seulement pour exporter des médecins et du savoir-faire, mais aussi la fleur de ses projets, plus politiques qu’économiques.

Mais en fin de compte, est-il vrai que la Chine a remporté un tel succès dans la lutte contre le Covid-19? Depuis cette semaine, la presse officielle de Pékin rapporte « plus aucune infection par coronavirus » dans la ville de Wuhan, où tout a commencé. Même les « contagions domestiques », c’est-à-dire de personne à personne à l’intérieur des frontières chinoises, ont officiellement atteint zéro. On se prépare donc à contrer les cas de retour, tant européens qu’américains. Et il s’agira certainement des prémisses à la poursuite de la fermeture et du contrôle aux douanes.

Toutefois, il est très douteux que la Chine (1,5 milliard d’habitants, trois mois d’épidémie) ait moins de décès que l’Italie (60 millions d’habitants, un mois d’épidémie). Selon l’anthropologue Steven Mosher, les succès du Parti ne peuvent être considérés comme crédibles. Si les données fournies par Pékin étaient vraies, « ce serait la fin la plus rapide d’une pandémie dans toute l’histoire de l’humanité ». Mais : « Ce que font les dirigeants communistes est beaucoup plus simple: ils nous ordonnent d’arrêter de diagnostiquer les cas et de signaler les nouveaux cas d’infection. Du jour au lendemain, les nouveaux cas ont atteint zéro ». À l’appui de sa thèse, Mosher cite deux cas: « Il est prouvé que les gouvernements locaux ont délibérément sous-estimé le nombre de patients qui ont été testés positifs pour le virus. Il n’est pas clair s’ils le font à l’instigation d’une directive nationale ou simplement pour se conformer au récit officiel ». En outre : « Au moins un gouvernement de province demande à tous les bureaux administratifs de détruire toutes les ‘données et documents’ qu’ils ont pu recevoir concernant l’épidémie ».

La Chine communiste gonflerait donc ses succès pour obtenir plus de crédit à l’étranger, et aussi pour faire oublier son énorme responsabilité dans l’apparition et la propagation de l’épidémie de Wuhan au reste du monde. Selon une étude de l’Université de Southampton, si les autorités chinoises étaient intervenues de manière drastique pour contenir le virus trois semaines plus tôt, le nombre de cas aurait été réduit de 95%. Il faut en revanche rappeler que les autorités ont pris au moins un mois de retard dans la déclaration des premiers cas de pneumonie causée par un virus « ressemblant au Sras » et ont ont tenu à couvert toutes les informations jusqu’à la dernière semaine de janvier.

Si la Chine était vraiment un modèle, pourquoi chasse-t-elle un grand nombre de journalistes étrangers, notamment américains? Car après avoir retiré les accréditations de trois reporters du Wall Street Journal, elle a annoncé l’expulsion de journalistes du New York Times, du Washington Post et de Voice of America. Le motif, en théorie, est une réponse aux nouvelles règles, imposées par Washington, exigeant que les médias (d’État) chinois s’enregistrent en tant qu’entités diplomatiques. Mais la réciprocité souhaiterait une réglementation similaire pour les journaux américains: seule Voice of America est « public » et comparable à la presse chinoise aux États-Unis, les autres sont des journaux indépendants. Il ne s’agit donc pas seulement d’une demande d’enregistrement en tant qu’entité diplomatique, mais d’une forme de censure. Et la raison pourrait être précisément leur narration de l’épidémie, qui contraste avec ce que le parti veut promouvoir dans le monde.

[La Chine voudrait prendre les rênes du monde, mais un autre prendra les rênes de la Chine, et cet autre s'appelle l'Antéchrist !]

ARCHIVES du VATICAN :
PIE XII VOULAIT ÉCRIRE une ENCYCLIQUE
CONTRE les ERREURS MODERNES

Des projets élaborés d'une encyclique jamais publiée contre les « erreurs modernes » ont été trouvés dans les archives du Vatican après leur ouverture le 2 mars pour le pontificat de Pie XII (+1958).

Ces projets prouvent que Pie XII avait l'intention de condamner les erreurs concernant la théologie morale, l'autorité ecclésiastique et la compréhension de la relation entre l'Église et l'État.

La découverte a été faite par l'historien allemand de l'Église Matthias Daufratshofer (Die-Tagespost.de, 12 mars),

Maintenant, les archives sont à nouveau fermées à cause du coronavirus.

[Décidément, le virus-couronné sert d'alibi pour tout fermer : c'est le mur de Bergoglio !]

Le VATICAN ANNONCE des CHANGEMENTS
pour l'ANCIENNE MESSE

La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a publié le 25 mars deux décrets du 22 février concernant l'Ancienne Messe.

Le premier "Quo magis" autorise sept nouvelles préfaces, dont quatre du Nouveau Rite. Quant aux trois autres, elle affirme étrangement qu'elles « étaient d'usage général avant la réforme liturgique, et qu'elles ont été autorisées par la suite dans les diocèses français et belges ».

Le deuxième décret "Cum sanctissima" permet la célébration des saints canonisés après 1962.

Il est peu probable que ces changements trouvent beaucoup d'adeptes. Au moins, VaticanNews.va admet que la messe tridentine est préférée par un nombre « croissant » de catholiques.

[Le serpent Novus-Ordo commence à se faufiler dans le Vetus Ordo juste au moment où toutes les messes sont supprimées à cause du virus-couronné qui profite de l'occasion.]

L'AFRIQUE DONNE l'EXEMPLE,
mais pour combien de temps ?

Le président tanzanien John Magufuli, un catholique pratiquant, a déclaré (vidéo) le dimanche 22 mars à Dodoma, la capitale de la Tanzanie, dans la cathédrale St. Paul :

« J'insiste, mes frères chrétiens et même musulmans, n'ayez pas peur, ne cessez pas de vous rassembler pour glorifier Dieu et le louer.

Ainsi, en tant que gouvernement, nous n'avons pas fermé d'églises ou de mosquées. Au contraire, elles devraient toujours être ouvertes pour que le peuple puisse chercher refuge auprès de Dieu.

Les églises sont des lieux où les gens peuvent chercher la vraie guérison, car c'est là que réside le vrai Dieu. N'ayez pas peur de louer et de chercher le visage de Dieu dans l'Église. »

Faisant référence à l'Eucharistie, M. Magufuli a déclaré : « Le coronavirus ne peut pas survivre dans le corps eucharistique du Christ. Il sera bientôt brûlé.

C'est exactement la raison pour laquelle je n'ai pas paniqué en recevant la Sainte Communion, parce que je sais qu'avec Jésus dans l'Eucharistie je suis en sécurité. C'est le moment de construire notre foi en Dieu. »

[L'Afrique sera certainement le dernier bastion a tombé sous les foudres du virus-couronné, mais elle sera obligée de faire comme les copains, dictature mondiale oblige !]

Un MAIRE PLUS CATHOLIQUE que son ÉVÊQUE

La basilique Saint-Benoît de Norcia sera reconstruite, « exactement comme elle était avant », a annoncé le maire local (UmbriaDomani.it, 22 mars).

Cela marque une défaite écrasante de l'archevêque de Spoleto-Norcia, Renato Boccardo.

Dans un article d'Avvenire, Boccardo avait proposé de « préserver la mémoire du passé » en intégrant les restes de l'église effondrée dans une nouvelle construction car « nous ne pouvons pas effacer » les cicatrices du tremblement de terre.

Boccardo voulait un concours international ouvert aux « grands noms » de l'architecture.

La population a été horrifiée, mais le maire les a rassurés : « La basilique aura le vieux visage habituel pour nous faire sentir en sécurité quand nous serons à nouveau à l'intérieur. »

La basilique appartient à l'État.

[Espérons que la maire de Paris aura une aussi bonne idée pour Notre-Dame, que le maire de Norcia pour sa basilique, mais ça, ce n'est pas garanti du tout...]

Des ÉVÊQUES qui PARLENT COMME le DRAGON

Les évêques autrichiens ont non seulement suspendu toutes les messes mais aussi toutes les confessions.

Dans une déclaration du 20 mars, ils prétendent avoir le pouvoir de « dispenser » les fidèles de leur confession de Pâques.

Ils ont annulé toutes les confessions prévues. Les fidèles ne sont autorisés à contacter les prêtres que pour des « raisons graves ».

Les évêques conseillent à ceux qui se confessent régulièrement de « suspendre temporairement cette pratique ».

[Désormais, les évêques sont dispensés de leur épiscopat et ils sont embauchés à balayer les routes puisqu’il n'y a plus de bagnoles dessus à cause du Virus-Couronné...]

L’ANTÉCHRIST a une TROUILLE BLEUE...

Monseigneur Gianluca Pezzoli, 58 ans, qui vit à Santa Marta, est infecté par le coronavirus et est en soins intensifs, écrit MarcoTosatti.com (26 mars).

Pezzoli est le chef de la section italienne de la Secrétairerie d'État. Les gens qui le connaissent le qualifient de réservé, sobre et grand travailleur : « Ce n'est certainement pas un monseigneur mondain. »

Pour Tosatti, il est « très probable » qu'il ait été infecté à l'intérieur du Vatican.

La section italienne est la plus grande section de la Secrétairerie d'État : il est donc probable que Pezzoli ait infecté de nombreuses autres personnes.

Selon Tosatti, seules cinq personnes vivent actuellement à Santa Marta. Elles sont toutes isolées parce que soupçonnées d'avoir contracté le virus.

François vit en isolement. Il passe la majorité de son temps dans son appartement au dernier étage. Son secrétaire personnel lui apporte le déjeuner et le dîner.

Dans sa jeunesse, François s'est fait enlever des parties de son poumon. « Le fait que François ait décidé de manger seul, dans sa propre chambre, indique qu'il est très inquiet », écrit Tosatti.

[Le coronavirus mène l'assaut contre le Virus-Couronné de Santa-Marta !]