Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! -5-

REVUE de PRESSE de Gérard DELÉPINE

1- Balance avantages/risques des injections anti-covid19

2- Un nouveau Lancet gate prétend que les vaccins anti-covid auraient sauvé 20 millions de personnes [c'est-à-dire, tué 20 millions]

3- Lettre ouverte au député Sacha Houlié : les injections anticovid sont expérimentales et ne sont pas réellement des vaccins

4- En Angleterre la vaccination anti-covid est suivie d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues au-delà de 6 mois après l’injection 

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Une INFIRMIÈRE TÉMOIGNE

Je suis infirmière en cardiologie et consultation. Aujourd’hui j’ai reçu plusieurs jeunes filles pour un ECG. Une est atteinte de sclérose en plaques. Après vaccination, plus de règles, très fatiguée et paralysée de la face. L’autre, récidive d’un cancer des ovaires. La 3ème, myocardite, sans antécédents dans la famille. Mail envoyé ce jour à l’ARS de ma région.

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Madame CHARPENTIER TÉMOIGNE

Bonjour,

C’est mon cœur de maman d’une jeune fille âgée de 13 ans, qui vient faire ce témoignage. Mardi 24 août ma fille recevait sa 2ème dose Pfizer. Le jour même dans la soirée, a débuté une forte température, comme je l’avais lu et relu, cela pouvait arriver sans être inquiète. Je lui donnai du doliprane toutes les 6h ; une température qui ne baissait pas ; mercredi pareil. Jeudi j’appelle mon médecin traitant (son remplaçant) qui me dit qu’il lui faut du repos. Vendredi toujours pareil : j’appelle le 15. Le médecin régulateur me rappelle et me dit que ma fille doit être vue par le médecin. J’appelle donc le remplaçant qui me demande de l’amener à 16h45. Ma fille est complètement affaiblie ; il lui prescrit de la cortisone et du primperan. Le samedi ma fille commence à avoir le teint grisonnant, pas blanche ou jaune, mais bien grise, une langue collée au palais et donc difficile à comprendre ses mots, une démarche de quelqu’un de défoncé (pardonnez-moi l’expression).

Une soirée, les 18 ans de sa grande sœur, difficile à tenir le coup. Dimanche je constate que c’est de pire en pire, je décide d’arrêter la cortisone et le primperan. Je laisse quelques heures passées et finis par l’amener aux urgences de Montauban (82). Arrivées à 22h10, prise en charge à 3h30 du matin, ma fille allongée à même le sol dans la salle d’attente au milieu d’autres personnes. Le médecin des urgences finit par la consulter, en me disant qu’il vaut mieux rentrer à la maison, plutôt que d’aller en pédiatrie choppé le covid à ma demande. J’insiste pour qu’elle puisse être surveillée en pédiatrie, au moins pour la nuit, en menaçant de dormir dans ma voiture devant les urgences. Il finit par céder et nous envoie donc en pédiatrie pour la nuit ; s’ensuit une visite d’un premier pédiatre.

Le lundi matin ma fille commence à se plaindre de maux de tête à l’arrière du crâne. Le pédiatre qui ne comprend pas les symptômes de ma fille, lui prescrit du doliprane. Dans la nuit ma fille continue à se plaindre. Mardi matin, nuque raide et douloureuse avec beaucoup de vomissements. Je finis par leur demander un transfert à l’hôpital des enfants de Toulouse. Bizarrement un scanner et une ponction lombaires sont faits sur-le-champ et ils détectent une méningite. Antibiotiques dès l’après midi par intraveineuse, s’ensuivent prises de sang, test urinaire, test selles, électroencéphalogramme. Résultat : ma fille présente également une encéphalite, piste du cerveau au ralenti et une légère paralysie faciale.

Mercredi toujours pas de résultats sur la méningite virale ou bactérienne... Les jours passent, ma fille commence à revenir à elle mais avec des difficultés à parler, une mâchoire complètement serrée, toujours pas de résultats et une neuropédiatre décide d’intervenir. Nous n’avons toujours pas de résultats. Nous lui administrons par prévention le traitement de la méningite bactérienne. « Avez-vous un chat à la maison ? » NON...

Lundi 6, ma fille se sent mieux, n’a plus la mâchoire serrée et les analyses de sang indique la baisse du taux de l’infection (encéphalite). Ils décident de faire rentrer ma fille à la maison. Alléluia ! comme elle dit (avec 14j de piqûres intramusculaires à domicile), sauf que nous n’avons toujours pas de résultats sur la méningite et que depuis vendredi, ils auraient eu l’idée d’une possibilité de la maladie de Lyme et auraient envoyé les analyses à Reims pour avoir une réponse.

Quand j’ai parlé du vaccin à notre arrivée en pédiatrie, 2 pédiatres m’ont dit que si ils ne trouvaient rien, ni virus, ni bactéries, ils feront remonter l’information à l’ARS. Aujourd’hui il n’en est plus question, pour eux, cela ne vient pas du vaccin...

Voilà notre triste histoire, nous nous rappellerons toute notre vie des 18 ans de sa grande sœur, et son petit frère qui a vu l’état de santé de sa sœur, ne souhaite plus se faire vacciner quand il aura l’âge.

Aujourd’hui lundi 13 septembre, l’hôpital m’appelle pour m’annoncer que les analyses de Lyme sont négatif et qu’ils n’ont trouvé aucun virus et aucune bactérie concernant la méningite, et aucune réponse à la question, qu’a eu ma fille ?

J’espère que mon témoignage sera lu même si c’est 1 cas sur... C’est bien arrivé à ma fille... Rdv dans un mois pour refaire un électro-encéphalogramme et revoir la neuropédiatre. Je vous fais donc parvenir moi-même l’information en espérant avoir toute votre attention.

Cordialement,

Mme Charpentier I.

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« TÉMOIGNAGE sur mon ENTOURAGE »

Bonjour,

Témoignage sur mon entourage (tous avec Pfizer) :

1. Mon père (env. 70 ans), infection de la mâchoire pendant 1 mois, après la 2e dose en février. Sous antibios et cortisone.
   
   
2. La mère d’une amie (env. 70 ans), infarctus 4 jours après la 2e dose en mai. Les médecins ont dit « aucun lien avec le vax ».
   
   
3. Le père d’une amie (env. 70 ans), zona généralisé juste après la 2e dose en mai ; toujours pas résolu après 4 mois. Les médecins ont dit « aucun lien avec le vax ».
   
   
4. La nounou de mon chat (env 80 ans). Infection généralisée juste après la 2e dose en juin. CRP multiplié par 5 et anticorps positifs à certaines maladies et très fatiguée depuis (cela fait 4 mois). Le médecin du CHU a quand même reconnu que cela devait être dû au vaxx.
   
   
5. La fille d’une amie (16 ans), malaise 4 jours après la 1ère dose début août. Puis re-malaise 8 jours après, avec perte de connaissance de 30 min et n’arrivait plus à parler au réveil. Le médecin des urgences a dit : « Simple malaise vagale, repartez avec un caramel, essayez de gérer vos émotions. » Elle a été obligée d’arrêter son job d’été, car tellement fatiguée qu’elle devait restée couchée.
   

Et parallèlement, chez les doublement vaccinés de mon entourage :

1. Une personne de 25 ans a eu le Covid.
   
   
2. Une personne de 70 ans a eu le Covid avec forme sévère et passage aux urgences.
   
   
3. Une personne de 70 ans a eu le Covid avec réa...
   

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« JE suis EXPLOSÉE »

Bonjour à tous,

J’espérais ne jamais venir écrire ce qui suit :

En date du 10 juillet, un de mes fils jumeaux de 39 ans a été faire une 1ère dose d’injection génique expérimentale Pfizer, car là où il était à l’hôpital, ils lui ont fait peur de ne pas être soigné si pas vax !!! Il n’osait pas me le dire, puisque nous avons une maladie génétique rare, Ehlers-Danlos, qui donne des problèmes au niveau des tissus conjonctifs, puisque non fixation du collagène à tous les niveaux de ces tissus, et que cette injection nous est interdite !! Le 12 septembre, il m’appelle à l’aide car se sent mal (je n’étais pas au courant sinon j’aurais déjà mis un protocole en place)... Je vais le chercher pour consulter le médecin... Quel ne fut pas le choc à le voir... Il avait perdu 17 kg...

Voici ce qu’il a comme effets indésirables depuis deux mois :

Asthénie profonde, nausées, vomissements, sensations de chaleur intense (= brûlure), resserrement des organes génitaux avec une coloration très rose et démangeaisons, bouche sèche et crevassée, paralysie faciale côté gauche + l’œil gauche, frissons, chauds/froids sans fièvre, fièvre légère, bourgeonnement d’abcès cutanés sur l’avant-bras gauche et le bras droit ! Désorientation, perturbations psychologiques et état nerveux intense, périodes de sommeil de 12 à 24h et ce, 1 jour sur 2.

Il a vu le généraliste, naturopathe qui est herboriste et iridologue ! J’en ai eu pour plus de 100€ pour des nutriments, homéopathie et médicalisation pour éliminer les effets des excipients ! Lui qui dort toujours sans bouger, remuait tout son corps de la même façon que ceux qui ont les jambes sans repos. Une sérologie et une urine toxicologique sont prévues ! Il a repris presque 3kg ! Pour le reste, ça s’atténue légèrement ! Je suis explosée car c’était paniquant ! J’attends si expressions d’autres effets arrivent d’ici le 15 octobre ! Il refuse la seconde dose !

Merci !

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QUELQUES CAS qui INTERPELLENT

Bonjour,

Je n’ai pas fait d’injection et je n’en ferai pas. C’est très clair pour moi depuis le début, mais autour de moi presque tout le monde l’a faite. Voici quelques cas qui m’interpellent sur des personnes injectées les derniers mois :

- Un ancien collègue, pensionné, en rémission d’un problème de prostate >>> cancer de vessie déclaré fin août. Il fait de la chimio actuellement.

- Le pire de tous je trouve : Le compagnon d’une ex-collègue, 37 ans, commence a avoir des picotements aux bras, à se sentir mal au resto (quelques semaines après l’injection). Il fait un malaise et une crise d’épilepsie. Il fait des examens, scanner du cerveau. Diagnostiqué tumeur au cerveau stade 4, inopérable de par sa localisation. Il est condamné (maximum quelques années de vie et ce en perdant des facultés).

- Une collègue, 60 ans, ménopausée depuis quelques années, jamais de bouffées de chaleur auparavant. Après la piqûre elle en fait et elle se sent déprimée.

- Le fils de ma voisine, il a la cinquantaine, injecté car travaille dans le médical. Un grand gaillard, costaud. Il a perdu 11kg et fait des examens pour des problèmes de foie. Son papa et apparemment d’autres personnes de la famille avaient déjà présenté des problèmes à cet organe, son papa étant décédé d’un cancer du foie, mais bien plus âgé que lui.

- La maman d’une amie n’arrête pas d’avoir des problèmes de peau depuis son injection.

- Une voisine d’une soixantaine d’années, avec des problèmes de santé déjà avant sa piqûre, mais OK pour une vie normale, depuis peu développe d’une manière assez accélérée un état où elle n’arrive pas à comprendre quand on lui parle, elle est désorientée, incapable de retenir des informations... Une sorte d’Alzheimer.

- Une connaissance à une collègue, 40 ans, a déclenché des grosses crises de tétanie (muscles qui se raidissent restant bloqués, je ne connaissais pas) après son injection. Au point qu’elle n’arrive plus à avoir une vie normale (crises trop intenses et fréquentes). Elle a fait des examens, scanners,... On n’a rien trouvé. Aux dernières nouvelles les médecins lui ont donné des anti-dépresseurs.

- Un petit copain de mon fils, 13 ans, un téton gonflé après sa première dose cet été (je l’ai vu moi-même), le médecin a dit que ça peut arriver, que c’est hormonal et il est en pré-adolescence, c’est normal d’après lui.. Moi je trouve que c’est une sacrée coïncidence, genre 2 semaines après sa 1ère injection.

Voilà jusqu’ici tout ce que j’ai appris autour de moi. Je suis convaincue qu’il y en a plein d’autres cas, mais qu’ils n’en parlent pas spontanément et évidemment personne ne fait le lien avec ces injections. Moi je n’ose rien dire aux personnes concernées, car de toute manière le mal est fait et ça ne sert plus à rien, mais je ne peux pas m’empêcher de faire le lien avec leur injection ! Et je pense que cela va encore se multiplier dans les mois qui viennent, des maladies sorties de nulle part, ou réactivées...

Bon courage à tous et battez-vous pour vous faire entendre. Vous avez fait ces piqûres pour différentes raisons, peu importe, vous avez servi de cobayes et maintenant, le même système qui vous a utilisés pour son expérience, vous met de côté, vous isole et vous cache pour empêcher que cela se sache. C’est honteux ! Pire : c’est CRIMINEL !!! Ces criminels méritent le pire. Battez-vous ! Partagez, signalez, regroupez-vous ! ON VOUS SOUTIENDRA !

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Une FEMME TÉMOIGNE
(OùEstMonCycle)

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Une FEMME TÉMOIGNE
(OùEstMonCycle)

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NATHALIE TÉMOIGNE
(OùEstMonCycle)

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NATHY CHAMB TÉMOIGNE
(17 octobre 2022)

Ô très miséricordieux Jésus,
vous qui brûlez d’un si ardent amour pour les âmes,
je vous en conjure,
par l’agonie de votre très Saint Cœur,
et par les douleurs de votre Mère Immaculée,
purifiez dans votre Sang
tous les pécheurs de la terre qui sont maintenant à l’agonie
et qui aujourd’hui-même doivent mourir.
Amen.

Cœur agonisant de Jésus,
ayez pitié des mourants.
Cœur compatissant de Marie,
priez pour les affligés.