News au 22 avril 2020
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News au 22 avril 2020
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comme BERGOGLIO est HÉRÉTIQUE, APOSTAT & IDOLÂTRE (culte idolâtrique de la Pachamama le 4/10/2019 & « Jésus n'est pas Dieu ! » 9/10/2019, etc...), concluez !
>>> BERGOGLIO = 666_________________
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Re: News au 22 avril 2020
Mercredi 22 avril 2020 : 607 avortements
Depuis le début de cette année : 68.555
Depuis 1976 : 9.575.366
(à retrouver ici : https://gloria.tv/track/VGapFxLT8JP42YFpYLsRysXhk
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Re: News au 22 avril 2020
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COCORICOFrançaises, Français,
Vous pouvez, ou plutôt nous pouvons être fiers aujourd'hui. En effet, trois noms illustres relèvent notre patrie dans sa lutte contre le virus-couronné. Les voici :
1- Sabine PALIARD-FRANCO : https://catholique.forumactif.com/t761-remede-100-efficace-contre-le-covid-19-dr-sabine-paliard-franco#7636
2- Didier RAOULT : https://www.mediterranee-infection.com/
3- Luc MONTAGNIER : https://catholique.forumactif.com/t757p10-news-au-18-avril-2020#7600
Mes chers compatriotes, ces trois-là ont gagné la guerre contre le COVID-19 ou plutôt COVIH-19, et par eux nous avons gagné !
Vive la France ! Mais pas la République maçonnique et assassine !!!
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Re: News au 22 avril 2020
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>>> REMÈDE 100% EFFICACE contre le COVID-19 (Dr Sabine PALIARD-FRANCO)COMMUNIQUÉ de CIVITAS :
Du CORONAVIRUS et de ses CONSÉQUENCES
Chers amis,
C’est la première fois que je m’exprime publiquement, en tant que président de CIVITAS, depuis le début du confinement, Jusqu’ici, j’ai voulu prendre le temps d’observer attentivement la situation en France et dans le monde afin que ce communiqué aborde à la fois les aspects géopolitiques, sanitaires, économiques et religieux de cette période trouble que nous subissons et propose également quelques perspectives pour la suite.
Je mesure que le message que je vous adresse ne va pas dans le sens de la pensée dominante et peut en ébranler certains, Je vous demande néanmoins de le lire entièrement. Il tient en six points énumérés ci-dessous :
- Pour votre santé, vous n’aurez plus de libertés
- Une épidémie qui cache une politique de santé calamiteuse et mortifère
- Hydroxychloroquine ou vaccin de Bill Gates ? Un enjeu totalitaire et mondialiste
- Un confinement qui ruine les Français
- L’échec d’une réponse sans Dieu à l’épidémie
- Dimanche 10 mai 2020 – Opération « Sainte Jeanne d’Arc, sauvez la France »
1. Pour votre santé, vous n’aurez plus de libertés
L’une des plus grandes réussites du Diable est de parvenir à faire croire à beaucoup qu’il n’existe pas, De même, la police de la pensée s’évertue à répéter que les complots et les mensonges d’État n’existent pas, Autorités politiques et médias serviles s’entendent pour discréditer quiconque remet en cause la version officielle des événements.
C’est une évidence, n’est-ce pas, toute l’histoire de l’humanité, particulièrement celle des dernières décennies, démontre que les politiciens, les représentants de la haute finance et les journalistes partagent tous une exceptionnelle probité et un formidable sens du bien commun qui devraient nous conduire à accorder une confiance aveugle à tout ce qu’ils nous affirment.
Les troupeaux bêlants ont la mémoire trop courte pour se souvenir des montagnes de mensonges qu’ils ont gobés un à un de la part des prétendues élites qui pensent pour nous, Amnésiques, les troupeaux bêlants ne tirent aucun enseignement du passé, hypnotisés par ce qu’ils ont vu à la télévision, entendu à la radio, lu dans la presse, sans comprendre que ces médias qui ne survivent que grâce aux subventions de l’État et aux annonces publicitaires pour des produits de multinationales sont naturellement redevables à leurs maîtres.
Pire, la force du mensonge est accrue par la puissance de l’image et la manipulation des émotions, Quoi de plus efficace que de susciter l’effroi planétaire pour obtenir la soumission aux consignes les plus totalitaires.
Par peur du coronavirus, les populations ont accepté les privations des libertés les plus élémentaires.
Nous n’avons plus le droit de voir les membres de nos familles autres que ceux qui partagent le même logement que nous. Le Premier ministre a promis ce dimanche du changement mais nous n’avions plus le droit jusqu’ici de rendre visite à nos malades s’ils sont hospitalisés ou en EHPAD, même s’ils sont mourants, Nous n’avons plus le droit d’accorder des funérailles dignes à nos défunts, Nous n’avons plus le droit d’assister aux célébrations religieuses.
Pour nous protéger du coronavirus, un Etat policier s’est mis en place, qui utilise des drones avec caméras de surveillance, des hélicoptères avec équipement thermique, Des policiers fouillent les sacs des clients sortant des magasins encore autorisés à ouvrir, des gendarmes verbalisent une dame qui faisait un signe affectueux à son mari enfermé en EHPAD ou un fils qui voulait se rendre au chevet de son père mourant, Des Français dénoncent d’autres Français qui vont se balader au bois ou en montagne.
Mais le ministère de l’Intérieur accorde un confinement « allégé » dans les banlieues et quartiers immigrés ; le gouvernement libère huit mille détenus – dont 130 islamistes condamnés dans des dossiers de terrorisme – pour ne pas qu’ils attrapent le coronavirus en prison ; et les forces de l’ordre fuient devant des hordes de racailles qui multiplient les guet-apens.
2. Une épidémie qui cache une politique de santé calamiteuse et mortifère
Dès les premières annonces de l’arrivée de l’épidémie de coronavirus en France, le gouvernement a assuré qu’il était prêt. Mais prêt à quoi ?
Il est rapidement apparu que le personnel hospitalier manquait de tout ce qui lui était nécessaire (masques et blouses de protection, respirateurs artificiels,…).
Il est rapidement apparu également que la France disposait d’un spécialiste en épidémiologie – le Professeur Raoult – qui proposait un traitement (hydroxychloroquine et azithromycine) efficace et peu coûteux. Or, le gouvernement s’acharne à tout faire pour empêcher les malades du coronavirus de bénéficier de ce traitement.
Dans le même temps, sous le prétexte de mettre à l’abri nos personnes âgées, tout est fait pour les isoler, les priver des visites de leur famille, leurs amis et même du prêtre pour les derniers sacrements.
Qu’importe aux personnes âgées d’être épargnées du coronavirus si c’est pour finir leurs derniers jours dans un abandon forcé. Beaucoup se laissent donc mourir tout simplement parce que ces mesures strictes de confinement leur ont fait perdre goût à la vie. D’autres voient leur santé mentale ou physique se détériorer jusqu’au stade fatal parce qu’elles ont été privées des stimulations de leur entourage habituel.
Et, comme s’il fallait par tous les moyens réduire le nombre de personnes âgées durant cette épidémie, un décret ministériel encourage le personnel médical à « soulager » les personnes âgées simplement suspectes d’être contaminées par le coronavirus en les traitant au rivotril, ce qui est tout simplement une euthanasie qui ne dit pas son nom comme l’a très bien expliqué le Docteur Nicole Delépine.
Toujours dans une perspective mortifère, le ministre de la Santé Olivier Véran déclare à l’Assemblée Nationale que l’avortement « doit être encouragé » durant l’épidémie de coronavirus et joint les actes à la parole en prenant des mesures pour faciliter l’avortement à domicile durant les neuf premières semaines de grossesse,
3. Hydroxychloroquine ou vaccin de Bill Gates ? Un enjeu totalitaire et mondialiste
Le Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier a déclaré que le coronavirus sortait du laboratoire P4 de Wuhan, en Chine. Or, ce laboratoire avait été inauguré… par une délégation française composée notamment du ministre Cazeneuve et du Docteur Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé.
Ce même tandem Buzyn/Lévy a tout fait pour tenter de discréditer le Professeur Raoult et le traitement à l’hydroxychloroquine.
Dans les médias, des « experts » ont également été sollicités pour discréditer le Professeur Raoult et l’hydroxychloroquine sans préciser que ces mêmes médecins étaient liés financièrement à de grandes entreprises pharmaceutiques internationales qui ont l’intention de commercialiser un coûteux vaccin.
Le promoteur principal de ce vaccin est Bill Gates, le fondateur de Microsoft, présenté aux naïfs comme un philanthrope. Or Bill Gates possède des parts dans les principales industries pharmaceutiques travaillant sur un projet de vaccin contre le coronavirus. Bill Gates finance également ID2020, un projet de traçabilité numérique universelle. Et ID2020 a signé un accord avec GAVI, l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation, financée par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dont la présidente du conseil d’administration est une ancienne directrice générale de la Banque mondiale. L’accord signé entre ID2020 et GAVI vise à inclure un implant de traçabilité numérique universelle dans les vaccins.
Ajoutons que la Fondation Bill & Melinda Gates et l’industrie pharmaceutique sont les principaux bailleurs de fonds privés de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Voilà pourquoi l’OMS, Bill Gates et Jacques Attali s’accordent à répéter que la clé du déconfinement final passe par la vaccination.
Que m’importe d’être épargné par le coronavirus si c’est pour finir esclave du Nouvel Ordre Mondial avec un implant qui permet à « Big Brother » d’épier tous mes faits et gestes.
Il faut s’opposer de toutes nos forces à cette hypocrite campagne de vaccination dont l’objectif final est tout sauf de sauver notre santé.
Il faut permettre à tous les médecins de suivre le protocole de traitement proposé par le Professeur Raoult.
Il faut qu’une enquête soit ouverte sur les responsabilités personnelles de différents ministres et anciens ministres ainsi que du Docteur Lévy.
Il faut mettre fin immédiatement aux mesures mortifères prises par le gouvernement.
4. Un confinement qui ruine les Français
Sous prétexte de les protéger du coronavirus, des centaines de milliers de Français sont plongés dans la ruine. Des dizaines de milliers de commerçants, d’artisans, de petits entrepreneurs, sont inexorablement conduits à la faillite tandis que les chaînes de supermarchés s’accaparent leurs clientèles et accumulent des bénéfices exorbitants. Des millions de Français sont au chômage temporaire mais pour beaucoup le « temporaire » se prolongera bien après le déconfinement dans un pays économiquement et socialement sinistré.
Alors que tant de Français voient avec angoisse les factures s’accumuler, Emmanuel Macron leur répond avec cynisme par l’effacement de la dette… des pays africains.
Et la plongée dans la misère ne s’arrêtera pas là. Le gigantesque endettement du budget ayant explosé depuis le début du confinement, il faudra bien que quelqu’un paye. Et ceux qui devront régler la note seront probablement les petits épargnants. Alors que, depuis le début de l’épidémie, la haute finance apatride se livre à de grandes opérations de spéculation sur les marchés boursiers.
Que m’importe d’être épargné du coronavirus si je suis rendu incapable de nourrir ma famille et de subvenir à ses besoins les plus élémentaires.
Il faut mettre fin au confinement qui ne doit être réservé qu’aux malades.
Il faut que l’activité économique puisse reprendre, en accordant la priorité aux petits commerçants, aux artisans et aux petites entreprises.
Il faut préserver l’épargne des Français de toute tentative de spoliation. Il faut protéger les Français d’une nouvelle vampirisation fiscale.
Il faut mettre fin aux dépenses inutiles de l’État et des collectivités (subventions aux médias, aux associations parasites, coût de l’immigration, dons aux autres États,…).
Il faut adopter une politique économique de préférence nationale et sortir du modèle mondialiste ainsi que de l’Union Européenne.
Il faut adopter une vraie politique agricole française permettant la relance d’une paysannerie française à taille humaine apte à nourrir les Français par circuit court,
5. L’échec d’une réponse sans Dieu à l’épidémie
Nous sommes encore dans la joie de Pâques. Mais nous sommes aussi consternés par la façon dont nous avons été privés des cérémonies liturgiques de la Semaine Sainte et de la résurrection de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Saluons les initiatives de prêtres tels que ceux de l’église Saint Nicolas du Chardonnet pour offrir aux fidèles un palliatif avec la mise en ligne en direct des offices religieux. Saluons aussi tous les prêtres de la Tradition qui ont utilisé diverses astuces pour accorder les sacrements à leurs fidèles.
Il est choquant de constater que les épiscopats ont souvent anticipé les demandes des autorités politiques.
Plus grave encore est de considérer à quel point rares ont été les protestations du clergé devant la fermeture imposée des églises et chapelles en un moment essentiel de l’année liturgique.Du pitoyable actuel occupant du trône pontifical, nous ne pouvions attendre grand chose.
Mais comment admettre que largement de par le monde, et jusque parmi le clergé chargé de conserver la Tradition catholique, le monde catholique se soit plié avec une telle facilité aux ukases d’autorités politiques et sanitaires ?
Comment ne pas considérer que c’est un signe inquiétant de leur manque de Foi qui a conduit tant de cardinaux, d’évêques et de prêtres à se rendre directement ou indirectement complices de cette privation des sacrements ?
Des épidémies, il y en a eu et il y en aura encore dans l’histoire de l’humanité.
Mais c’est la première fois dans l’ère chrétienne que Dieu se trouve oublié, écarté même, des réponses à apporter à une épidémie.
Que m’importe d’être épargné du coronavirus si je suis privé des sacrements et tenu éloigné de Dieu ?
Il nous faut retrouver l’assistance à la sainte Messe. Pourquoi pas en plein air devant nos cathédrales, églises et chapelles, comme ce fut le cas lors de l’épidémie de peste à Marseille ?Il nous faut des processions avec le Saint-Sacrement dans les rues de nos cités.
Il nous faut faire pénitence pour l’apostasie de nos nations et l’application de lois iniques et contre-nature.
Il nous faut témoigner publiquement de notre Foi.
6. Dimanche 10 mai 2020 : Opération « Sainte Jeanne d’Arc, sauvez la France ! »
Le 10 mai 2020, deuxième dimanche du mois de mai, est le jour fixé pour rendre hommage à Jeanne d’Arc, sainte héroïne de France, dont nous célébrons cette année le centenaire de la canonisation.
CIVITAS avait prévu d’organiser ce jour-là un grand défilé national avec le faste propre à cet anniversaire unique.Hélas, un tel défilé sera impossible.
Mais je vous appelle le dimanche 10 mai 2020 à participer à l’opération « Sainte Jeanne d’Arc, sauvez la France » , à venir fleurir la statue de Sainte Jeanne d’Arc la plus proche de chez vous et à y prier publiquement la sainte héroïne de sauver la France et d’intercéder pour nous auprès de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Alain Escada,président de CIVITAS
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Re: News au 22 avril 2020
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En 2014, lors de l’alerte Ebola aux États-Unis, j’ai publié un article mettant en garde contre la façon dont une pandémie mondiale pourrait être utilisée par les élites comme couverture pour la mise en œuvre d’un effondrement économique ainsi que des mesures de loi martiale dans les pays occidentaux. Ma préoccupation immédiate était la manière dont une épidémie virale pourrait être conçue ou exploitée pour justifier un niveau de contrôle social que le public n’accepterait jamais dans des circonstances normales. Et cela pourrait être N’IMPORTE QUELLE épidémie virale, pas seulement Ebola. Il s’agit de la création d’un « ennemi invisible » que la population ne peut quantifier et contre lequel elle ne peut se défendre sans une surveillance constante du gouvernement.
J’ai noté en particulier comment le gouvernement a refusé d’appliquer des restrictions de voyage aérien en 2014 aux nations où l’épidémie s’était installée alors qu’il aurait pu arrêter la propagation sur sa lancée. C’est ce qui s’est produit à nouveau en 2020, lorsque l’OMS des Nations unies et les gouvernements, dont le nôtre aux États-Unis, ont refusé d’interdire les voyages aériens en provenance de Chine, en prétendant que ce n’était pas une zone chaude et qu’il n’y avait rien à craindre de ce virus.
Cette attitude de nonchalance sert un but. L’establishment a besoin que la pandémie se propage, car cela lui donne alors une raison de contrôler strictement les activités et les mouvements du public. C’est l’objectif final. Ils ne se soucient aucunement de la santé ou de la sécurité publiques. Le but final est d’acquérir du pouvoir, pas de sauver des vies. En fait, ils pourraient même préférer un nombre de décès plus élevé au début, car cela inciterait le public à demander plus de restrictions au nom de la sécurité.
Les autorités sont passées de la minimisation de l’épidémie et de l’interdiction de se préoccuper des préparatifs, comme l’achat de masques N95, à un mode de crise totale quelques semaines plus tard. En janvier, Trump a d’abord affirmé qu’il « faisait confiance » aux données provenant de Chine et a déclaré que « tout était sous contrôle » ; comme d’habitude, quelques mois plus tard seulement, Trump a fait volte-face sur ces deux affirmations. L’Organisation mondiale de la santé a même refusé de qualifier cette épidémie de « pandémie » tant que le virus ne s’était pas implanté dans le monde entier. La question que les gens se poseront est la suivante : tout cela était-il dû à l’incompétence ou à une ingénierie sociale ?
Le virus Ebola d’il y a six ans semble avoir été une répétition de ce qui se passe aujourd’hui. Je pense que c’est entièrement délibéré, et j’expliquerai pourquoi dans cet article, mais de toute façon, les gouvernements ont prouvé qu’on ne peut pas leur faire confiance pour gérer la crise de la pandémie, ni pour protéger les gens et leurs libertés.
Dans le même temps, la pandémie elle-même est étroitement liée à l’effondrement économique. Les deux événements se nourrissent l’un l’autre. La pandémie constitue une couverture parfaite pour l’effondrement de l’énorme bulle d’endettement que les banques centrales et les banques internationales ont créée au fil des ans. J’ai constaté en février que l’économie mondiale s’effondrait bien avant que le coronavirus n’apparaisse. En même temps, le chaos économique aggrave les conditions amenant chaque pays vers celles du tiers monde, ce qui signifie une mauvaise alimentation et des options de soins de santé qui provoquent plus de maladies et plus de décès dus au virus. Comme indiqué en 2014 :
Qui remettrait en question l’éventualité d’un effondrement économique à la suite d’un cauchemar imprégné d’Ebola (virus) ? Qui voudrait acheter ou vendre ? Qui voudrait entrer en contact avec des étrangers pour générer une transaction ? Qui quitterait même sa maison ? Le traitement de l’Ebola (virus) dans les pays du premier monde présente les avantages de la finance et d’un environnement sanitaire global plus propre, mais que se passerait-il si le ralentissement économique se produisait simultanément ? L’Amérique pourrait très vite se retrouver comme un pays du tiers-monde et, avec elle, toutes les conditions d’insalubrité qui entraînent un taux de mortalité exponentiel dû à l’Ebola (pandémie).
…Au milieu d’un scénario viral, même modéré ou contrôlé, les actions et les obligations s’effondreront sans aucun doute, un effondrement qui devait se produire de toute façon. Les banques internationales qui ont créé le désordre s’en tireraient sans reproche, tandis que le virus Ebola (épidémie virale), un acte de la nature, deviendrait le bouc émissaire ultime de la catastrophe qui s’ensuivrait.
Alors que la double menace d’effondrement financier et de pandémie virale s’accélère, la peur se répand pour ceux qui ne se sont pas préparés à l’avance (et nous parlons de millions de personnes). Lorsque les gens ont peur, ils ont tendance à sacrifier leurs libertés à toute personne qui leur offre une promesse de sécurité, aussi vide soit-elle. Pour l’instant, le public est convaincu de supposer que les confinements et les restrictions sont temporaires, mais c’est un mensonge. Les élites doivent maintenir et augmenter les restrictions chaque mois afin d’empêcher toute rébellion jusqu’à ce qu’elles soient prêtes à appliquer les mesures de la loi martiale.
Vous voyez, l’establishment est en rupture avec cet événement, et à cause de cela, ils risquent de faire face à des conséquences désastreuses. La façade s’évapore rapidement ; les collectivistes et les globalistes risquent de s’exposer et d’exposer leurs marionnettes politiques afin de construire un système totalitaire avec une rapidité extrême. L’establishment doit maintenir la pression pour l’instant, car si l’on laisse le public respirer un instant, il risque de regarder autour de lui et de comprendre l’agenda plus vaste. Le public doit être forcé de mendier l’aide des autorités ; ce n’est qu’alors que la pression sera levée pour un court instant. Le public doit croire que la grille de contrôle était LEUR idée.
Un nouveau processus de conditionnement de masse est sur le point d’être mis en route, utilisant des « vagues » de panique puis des vagues de libération et de calme. Après avoir étudié les traits comportementaux et les méthodes des sociopathes narcissiques (psychopathes) pendant de nombreuses années, je peux vous dire que cette forme de conditionnement est très familière. C’est exactement ce qu’ils font toujours, à l’échelle mondiale : ils créent une atmosphère de crise pour maintenir les gens autour d’eux en déséquilibre et à cran, puis « relâchent la pression » par intermittence pour que ces mêmes personnes se détendent et que leur colère se dégonfle pendant un certain temps. Ensuite, le processus recommence…
Ce conditionnement piège les victimes du sociopathe narcissique dans un état constant de flux et d’incertitude, et les moments de calme deviennent un placebo qui empêche leur rébellion contre lui. Il peut alors se nourrir à loisir de ses victimes comme un vampire psychologique, et souvent ces victimes verront le sociopathe narcissique comme leur seul moyen de soutien. Elles sont convaincues que toutes les menaces viennent de l’extérieur ; elles ne réalisent pas que la source des menaces est la personne qui se trouve juste à côté d’elles.
Le modèle de vague de conditionnement et de contrôle commence à apparaître partout, et il est particulièrement flagrant dans la « solution » présentée par les élites de l’establishment en réponse à l’épidémie de coronavirus. Comme l’a souligné Truthstream Media dans son excellente vidéo « We Are Living In 12 Monkeys« , le MIT a récemment publié un article rédigé par son rédacteur en chef globaliste Gideon Lichfield, intitulé « Il n’y aura aucun retour à la normale« , qui admet assez effrontément la façon dont les élites entendent utiliser cette crise à leur avantage.
Lichfield établit une sorte de calendrier de programmation pour la population, basé sur des vagues d’épidémies d’infections virales, des vagues de restrictions sociales strictes, suivies de vagues d’activité économique limitée et de calme limité au cours des 18 prochains mois. Comme le suggère Lichfield :
Pour arrêter le coronavirus, nous devrons changer radicalement presque tout ce que nous faisons : notre façon de travailler, de faire de l’exercice, de fréquenter les gens, de faire des courses, de gérer notre santé, d’éduquer nos enfants, de prendre soin des membres de notre famille.
Nous voulons tous que les choses reviennent rapidement à la normale. Mais ce que la plupart d’entre nous n’ont probablement pas encore réalisé – et ne tarderont pas à le faire – c’est que les choses ne reviendront pas à la normale après quelques semaines, voire quelques mois. Certaines choses ne le seront jamais.
Il continue :
Tant que quelqu’un dans le monde aura le virus, les éruptions peuvent se reproduire et se reproduiront sans que des contrôles stricts soient effectués pour les contenir. Dans un rapport publié hier, des chercheurs de l’Imperial College de Londres ont proposé un moyen d’y parvenir : imposer des mesures de distanciation sociale plus extrêmes chaque fois que les admissions dans les unités de soins intensifs (USI) commencent à augmenter, et les assouplir chaque fois que les admissions diminuent…
Comprendre qu’il y a 7 milliards d’habitants sur la planète et que ce processus de contrôle pourrait durer des années en attendant que chaque personne surmonte le virus ou en meure. La seule façon pour le public d’échapper à ce purgatoire (selon Lichfield) est de se soumettre à une grille de données biométriques. Ils doivent se porter volontaires (ou être forcés) pour participer à un suivi 24h/24 et 7j/7 grâce à leurs téléphones portables et à une surveillance de masse. Pour pouvoir fonctionner en société, un individu doit avoir le marqueur numérique adéquat qui indique aux autorités qu’il est « propre » et exempt d’infection. Ce système est actuellement utilisé en Chine :
Ce système permet de réaliser un certain nombre de choses. Tout comme le système de crédit social que la Chine utilise depuis quelques années, le public est obligé constamment de laisser les yeux du gouvernement avoir accès à ce qui lui était caché jusqu’à présent, votre intimité . Tout ce que font les chinois est surveillé par des algorithmes et des moyens de surveillance. Toute déviation pourrait déclencher une surveillance et une perte des libertés simples de se déplacer ou de participer à une interaction humaine normale. Lichfield argumente :
En fin de compte, cependant, je prédis que nous allons rétablir la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués pour identifier qui est à risque de maladie et qui ne l’est pas, et en discriminant – légalement – ceux qui le sont.
… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être être abonné à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne pourrait pas voir où vous êtes allé, mais elle recevrait une alerte si vous étiez à proximité de personnes infectées connues ou de points chauds de la maladie. Les mêmes exigences s’appliquent à l’entrée des grandes salles de spectacles, des bâtiments gouvernementaux ou des centres de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui surveille votre température ou d’autres signes vitaux. Si les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir exiger une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou été vacciné contre les dernières souches de virus.
Et voilà, vous l’avez. La grille de contrôle social et biométrique que les globalistes ont mis en place depuis des années a son parfait catalyseur – une pandémie virale qui pourrait se propager indéfiniment ; il suffirait de libérer tous les deux ans un virus de synthèse qui renouvelle la peur du public. La population deviendra de plus en plus dépendante du gouvernement pour tout, car sa survie même dépend de sa capacité à fonctionner dans la nouvelle économie, et sans une marque spéciale accordée par le gouvernement disant que vous n’êtes pas un risque d’infection, vous pourriez être écarté de tout commerce et de toute participation.
Vous refusez de vous faire vacciner pour des raisons de santé ? Vous êtes exclu de l’économie. Vous scolarisez vos enfants à la maison ? Ils n’ont pas été suivis et constituent donc un risque d’infection, et toute votre famille est mise à la porte de l’économie. Vous avez des opinions politiques contraires au globalisme ? Peut-être êtes-vous répertorié comme un danger pour le système et étiqueté à tort comme infecté en guise de punition ; et vous êtes alors mis à la porte de l’économie. L’establishment peut utiliser la menace d’une expulsion économique pour conditionner de nombreuses personnes à la complaisance ou à l’esclavage.
Le rédacteur en chef du MIT poursuit son argumentation de manière assez arrogante :
Nous nous adapterons à de telles mesures et les accepterons, tout comme nous nous sommes adaptés aux contrôles de sécurité de plus en plus stricts dans les aéroports à la suite d’attaques terroristes. La surveillance intrusive sera considérée comme un petit prix à payer pour la liberté fondamentale d’être avec d’autres personnes.
Au-delà de l’effort visant à transformer la « distanciation sociale » en une nouvelle norme culturelle appliquée par la loi, un autre programme est tranquillement mis en place : la société sans cash. De plus en plus d’entreprises commencent à refuser les paiements en espèces, sous prétexte que l’argent liquide sur papier propage le virus. Curieusement, elles acceptent encore les cartes de débit avec des digicodes [heureusement il y a le paiement sans contact, NdT], qui sont beaucoup plus susceptibles que l’argent liquide de propager la maladie.
Cela peut obliger le public à garder son argent dans les banques malgré la menace d’un gel du crédit ou de la fermeture des banques. Que se passe-t-il si vous retirez de l’argent liquide de vos comptes mais que vous ne pouvez le dépenser nulle part ? Ils finiront par interdire les transactions par carte de débit et de crédit dans les magasins également, et les remplaceront par un modèle de paiement non interactif. Au début, cela se fera probablement par le biais de votre téléphone portable, à l’aide d’une application avec un scanner. À la fin, ils utiliseront vos données biométriques pour toutes les transactions monétaires.
Cela oblige une fois de plus le public à avoir un téléphone portable sur lui partout pour sa survie. Le réseau de traçage du virus ainsi que le nouveau système de transaction de paiement rendent ce dispositif indispensable. Si vous voulez participer à la société, vous n’aurez pas d’autre choix que d’être suivi et repéré à tout moment.
À moins, bien sûr, que vous ne construisiez votre propre système de commerce et d’interaction.
La solution à la tyrannie médicale et à la société sans cash est de ne pas avoir besoin du système du tout pour votre propre survie. Cela signifie que les gens devront construire leur propre économie basée sur le troc et une monnaie locale. Ils devront se débarrasser de leurs téléphones portables et s’appuyer sur d’autres formes de communication comme la radio, ou établir un système de communication numérique séparé et indépendant du système de l’establishment. Ils devront devenir des producteurs et parvenir à une plus grande autonomie. Ils devront se libérer du réseau, et cela doit commencer dès maintenant.
Bien sûr, l’establishment prétendra que ces personnes indépendantes sont une menace pour tous les autres simplement parce qu’elles existent. Ils perpétueront le mensonge de « l’immunité collective » et prétendront que les gens indépendants « répandront le virus », même à ceux qui sont censés être protégés par la vaccination. Et finalement, ils essaieront d’empêcher les communautés découplées et localisées d’exister en recourant à la force. À ce moment-là, nous entrons simplement en guerre avec les élites, comme nous devrons toujours le faire de toute façon. L’alternative est l’esclavage au nom du « bien supérieur », mais il n’y a pas de bien supérieur sans liberté, et il n’y a pas de société sans individualité. Que la pandémie soit damnée.
Brandon SmithNote du Saker Francophone
On retrouve le même scénario de stratégie de la tension que dans les années 70/80 avec les opérations gladio avec un ennemi invisible qui frappe au hasard, plongeant tout un chacun dans la peur.
Si on suit les nouvelles venant d’Asie et notamment de leur capacité à retrouver à posteriori les contacts sociaux des gens détectés comme contaminés, cela veut dire que nos déplacements sont déjà tracés et stockés.
On peut y ajouter les fameux portiques sur les autoroutes et les caméras de centre-ville. Le monde techno-orwellien est là.
Traduit par Hervé, relu par Kira pour le Saker Francophone
(Site "Abbatah", page 6728)
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Re: News au 22 avril 2020
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Depuis cet article Geopolintel de janvier 2009, « Bill Gates, apôtre de l’impérialisme humanitaire » [1], ce « philanthrope » vaccinaliste continue plus que jamais, à travers sa fondation, d’exercer une influence démesurée (et surtout intéressée) sur l’OMS et donc sur les politiques de santé que cet organisme supra gouvernemental préconise pour les Etats membres de cette organisation. Cette influence apparaît encore plus nettement en cette période de « crise » sanitaire du Covid 19 [2].
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de Bill Gates sur les vaccins
[3]
Extrait du post Instagram de Robert Kennedy Junior [4] du 9 avril 2020 :
Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale de vac ID) et lui donne un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale - la pointe de lance du néo-impérialisme d’entreprise.
L’obsession de Gates pour les vaccins semble alimentée par une conviction messianique qu’il est destiné à sauver le monde grâce à la technologie et une volonté mégalomane d’expérimenter avec la vie des autres êtres humains.
Promettant d’éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, M. Gates a pris le contrôle du Conseil consultatif national (NAB) de l’Inde et a imposé l’administration de 50 vaccins contre la polio (au lieu de 5) à chaque enfant avant l’âge de 5 ans. Les médecins indiens accusent la campagne de M. Gates d’être à l’origine d’une épidémie de polio dévastatrice qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a mis fin au programme de vaccination de M. Gates et a expulsé ce dernier et ses acolytes du NAB. Le taux de paralysie due à la polio a chuté de façon rapide. En 2017, l’Organisation mondiale de la santé a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la polio est principalement due à la souche vaccinale, ce qui signifie qu’elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, ¾ des cas de polio dans le monde provenaient des vaccins de Gates.
En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le HPV, développés par GSK et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 d’entre elles ont souffert d’effets secondaires graves, notamment de troubles auto-immuns et de troubles de la fertilité. Sept d’entre elles sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées : pressions exercées sur des villageoises vulnérables pour qu’elles participent à l’essai, intimidation des parents, falsification des formulaires de consentement et refus de soins médicaux aux jeunes filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.
En 2010, la Fondation Gates a financé l’essai d’un vaccin expérimental contre la malaria de GSK, qui a tué 151 nourrissons africains et a causé de graves effets néfastes, dont la paralysie, des convulsions fébriles et des crises d’épilepsie, chez 1 048 des 5 049 enfants.
Au cours de la campagne MenAfriVac 2002 de Gates en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints : « Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments ».
L’ancien économiste en chef de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme « impitoyables » et « immorales ».
En 2010, M. Gates s’est engagé à verser 10 milliards de dollars à l’OMS en promettant de réduire la population, en partie, grâce à de nouveaux vaccins. Un mois plus tard, M. Gates a déclaré lors d’un entretien avec Ted Talk que les nouveaux vaccins « pourraient réduire la population ». En 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS de stériliser chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes à l’aide d’une fausse campagne de vaccination contre le « tétanos ».
Des laboratoires indépendants ont trouvé la formule de stérilité dans chaque vaccin testé.
Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle développait les vaccins contre la stérilité depuis plus d’une décennie.
Des accusations similaires ont été portées par la Tanzanie, le Nicaragua, le Mexique et les Philippines.
Une étude de 2017 (Morgensen et.Al.2017) a montré que le populaire DTC de l’OMS tue plus d’Africains que la maladie qu’il prétend prévenir. Les jeunes filles vaccinées souffrent d’un taux de mortalité dix fois plus élevé que celui des enfants non vaccinés.
Gates et l’OMS ont refusé de rappeler le vaccin mortel que l’OMS impose à des millions d’enfants africains chaque année.
Les défenseurs de la santé publique mondiale accusent M. Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets qui ont prouvé leur efficacité dans la lutte contre les maladies infectieuses : l’eau potable, l’hygiène, la nutrition et le développement économique.
Ils affirment qu’il a détourné les ressources de l’agence pour servir son fétiche personnel, à savoir qu’une bonne santé n’est possible qu’avec une seringue.
En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, M. Gates finance des sociétés pharmaceutiques privées qui fabriquent des vaccins, ainsi qu’un réseau massif de groupes de façade de l’industrie pharmaceutique qui diffusent une propagande trompeuse, développent des études frauduleuses, mènent des opérations de surveillance et des opérations psychologiques contre ceux qui doutent des vaccins et utilisent le pouvoir et l’argent de M. Gates pour faire taire la dissidence et contraindre à la conformité de pensée.
Dans ses récentes apparitions non stop dans Pharmedia, Gates semble heureux que la crise du Covid-19 lui donne l’opportunité de forcer ses programmes de vaccination du tiers monde sur les enfants américains [5].
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Bill Gates utilise des implants Microchip pour lutter contre le coronavirus
[6]
Le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, lancera des capsules implantables dans l’organisme humain, dotées de « certificats numériques » qui peuvent indiquer qui a été testé pour le coronavirus et qui a été vacciné contre lui.
Le magnat de la technologie, âgé de 64 ans et actuellement le deuxième homme le plus riche du monde, l’a révélé hier lors d’une séance de Reddit « Ask Me Anything », en répondant à des questions sur la pandémie de coronavirus COVID-19.
M. Gates répondait à une question sur la façon dont les entreprises pourront fonctionner tout en maintenant une distance sociale, et a déclaré que « nous aurons éventuellement des certificats numériques pour montrer qui a guéri ou a été testé récemment ou qui a été vacciné ».
Les « certificats numériques » dont parlait M. Gates sont des « TATOUAGES QUANTUM-DOT » implantables chez l’homme, sur lesquels travaillent des chercheurs du MIT et de la Rice University pour tenir les registres de vaccination. C’est en décembre dernier que des scientifiques des deux universités ont révélé qu’ils travaillaient sur ces tatouages à points quantiques après que Bill Gates les ait approchés pour résoudre le problème de l’identification des personnes qui n’ont pas été vaccinées.
Les tatouages à points quantiques impliquent l’application de micro-aiguilles dissolubles à base de sucre qui contiennent un vaccin et des « points quantiques » fluorescents à base de cuivre intégrés dans des capsules biocompatibles à l’échelle du micron. Une fois que les micro-aiguilles se dissolvent sous la peau, elles laissent les points quantiques encapsulés dont les motifs peuvent être lus pour identifier le vaccin qui a été administré.
Les tatouages de points quantiques seront probablement complétés par l’autre engagement de Bill Gates appelé ID2020, qui est un projet ambitieux de Microsoft visant à résoudre le problème de plus d’un milliard de personnes qui vivent sans identité officiellement reconnue. ID2020 résout ce problème grâce à l’identité numérique. Actuellement, le moyen le plus pratique de mettre en œuvre l’identité numérique est soit les smartphones, soit les implants de micropuces RFID. Cette dernière approche sera probablement celle de Gates, non seulement pour des raisons de faisabilité et de durabilité, mais aussi parce que depuis plus de 6 ans, la Fondation Gates finance un autre projet qui intègre des implants de micropuces implantables à l’homme. Ce projet, également mené par le MIT, est un implant de micropuce pour le contrôle des naissances qui permettra aux femmes de contrôler les hormones contraceptives dans leur corps.
Quant à ID2020, pour mener à bien ce projet, Microsoft a formé une alliance avec quatre autres sociétés, à savoir Accenture, IDEO, Gavi et la Fondation Rockefeller. Le projet est soutenu par les Nations unies et a été intégré à l’initiative des Nations unies pour les objectifs de développement durable.
Il sera intéressant de voir comment Bill Gates et ID2020 vont mettre en œuvre tout cela, car de nombreux chrétiens, et étonnamment un nombre croissant de musulmans chiites, sont très opposés à l’idée de la micropuce et de toute forme de technologie d’identification par effraction corporelle. Certains législateurs et politiciens chrétiens aux États-Unis ont même essayé d’interdire toute forme de micropuce humaine.
Mais, d’un autre côté, c’est l’occasion idéale pour Bill Gates de mener à bien ces projets car, alors que le coronavirus continue de se propager et que de plus en plus de personnes meurent de la pandémie, le grand public s’ouvre de plus en plus aux technologies de résolution de problèmes qui permettront de contenir la propagation du virus.
La principale raison pour laquelle de nombreux chrétiens et certains musulmans chiites sont opposés aux technologies d’identification par effraction corporelle, aussi utiles soient-elles pour prévenir les pandémies, est qu’ils pensent que ces technologies sont la « marque de Satan » mentionnée dans la Bible et dans certaines prophéties du Mahdi. Dans le livre des Révélations de la Bible, toute personne qui ne possède pas cette « marque » n’est pas autorisée à acheter ou à vendre quoi que ce soit.
L’année dernière, en novembre, une société technologique basée au Danemark qui avait des contrats pour produire des implants de micropuces pour le gouvernement danois et la marine américaine, a dû annuler le lancement de son implant de micropuces prétendument « révolutionnaire » alimenté par l’Internet après que des militants chrétiens aient attaqué ses bureaux à Copenhague.
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Dans cet interview à CBS [7], Bill Gates dit que les rassemblements publics de masse ne reviendront pas tant qu’il n’aura pas été procédé à une vaccination de masse contre le Covid 19. La vaccination/puçage dans laquelle il investit sera-t-elle la condition d’accès future aux lieux publics d’après lui ? Et quoi d’autres après ?[4] Robert Francis Kennedy Jr. est un avocat américain spécialisé dans l’environnement, auteur et opposant à la vaccination. Kennedy est le fils de Robert F. Kennedy et le neveu de l’ancien président John F. Kennedy. Il est le président du conseil d’administration de Waterkeeper Alliance, un groupe environnemental à but non lucratif qu’il a contribué à fonder en 1999.
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Re: News au 22 avril 2020
- 5 -
Nous signalions hier aux lecteurs de Médias Presse Info comment Bill Gates, à travers sa Fondation Bill & Melinda Gates, le projet ID2020 qu’il finance et des industries pharmaceutiques dans lesquelles il détient des parts importantes, entend bien profiter du coronavirus pour nous imposer une vaccination quasiment mondiale et y inclure un implant d’identification et de traçabilité.
Ce projet de Bill Gates rejoint celui d’une autre figure bien connue du Nouvel Ordre Mondial, Jacques Attali.
Il y a quelques années déjà, au cours d’une émission de Public Sénat, Jacques Attali expliquait en toute décontraction le plan de puçage de radio-identification appelé RFID.
Tout l’objectif officiel du système est d’organiser la traçabilité de chacun.
Jacques Attali y expliquait que vous pourriez être pucé “volontairement ou sans le savoir” (à 8’10 de l’entretien vidéo).
Ce plan vise à une “traçabilité universelle” (à 9’30 de l’entretien vidéo).
Et Jacques Attali concède que, dans le monde futur, “le luxe de demain, ce sera d’être isolable”, c’est-à-dire de parvenir à échapper à cette traçabilité.
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Re: News au 22 avril 2020
- 6 -
Lorsque sous pression internationale, les États, les uns après les autres, dans leur grande majorité, ont assigné leur population à domicile, aucun plan général de gestion de la crise n’a été mis en place au niveau national, aucune mesure rationnelle et adaptée à chaque situation n’a été envisagée (par exemple, l’OMS et l’UE recommandaient de laisser les frontières ouvertes entre les pays européens). Pourtant, une décision a été prise selon laquelle, pour le coronavirus, cette fois, les États sont majoritairement prêts à se plier et à enfermer leurs populations et les populations sont prêtes à se faire enfermer. Que ces États s’affirmaient comme globaliste (la France, par exemple) ou souverainiste (la Russie, par exemple), cela n’a rien changé in fine. Pourtant, ces États n’ont aucun plan de route et surtout aucun plan de sortie de confinement. Il faut dire qu’ils sont dans une impasse : impossible de laisser éternellement les gens confinés, les cas de dépression commencent à se démultiplier et ce virus n’est pas éternel pour justifier de telles mesures; impossible de libérer purement et simplement les gens qui, sortis de leur torpeur, pourraient avoir la mauvaise idée de demander des comptes, le temps de la pression psychique doit donc dépasser celui de l’existence du virus. Heureusement, dans ce monde global, les États ne sont plus obligés de réfléchir, ni de prendre de décision, ils les appliquent. D’autres réfléchissent pour eux. En l’occurrence le puissant Think Tank américain American Entreprise Institute, qui a publié un rapport le 28 mars sur les étapes du déconfinement. Mesures que l’on entend reprises un peu partout, que ce soit en France ou en Russie.
La saison est propice aux questions et puisque l’on nous en donne le temps, il serait criminel de ne pas en profiter. Question du jour : l’on sort comment du confinement ? Car de cela va dépendre le quand.
Pour l’instant la France est confinée jusqu’au 15 avril, certains estiment que ce sera repoussé au moins jusqu’à début mai. En Russie, le confinement a été annoncé par le Président jusqu’au 30 avril. Que ce soit le Premier ministre français ou le Maire de Moscou, les deux déclarent que le déconfinement n’est pas pour bientôt, car nous sommes seulement dans la phase montante de la crise du coronavirus. C’est à croire que, quelles que soient les mesures prises, quel que soit le moment où elles ont été prises, quelle que soit la statistique officielle de personnes touchées, quel que soit le niveau de réaction du système médical, la situation est la même partout, le discours est identique. Donc que ces mesures n’ont, finalement, aucun effet ?
Ce qui est flagrant, c’est l’absence totale de gestion de sortie de la situation au niveau national. Il est impossible de laisser éternellement les gens enfermés. Cela n’a aucun sens, d’autant plus qu’il y a toujours eu des attaques virales et qu’il y en aura toujours, que l’été arrive et que les gens ont justement besoin d’être au soleil pour leur système immunitaire. Mais si la question est fondamentale, ce n’est pas tant sur le plan sanitaire que politique : il faut absolument que les gens restent convaincus, une fois sortis de leur torpeur, que cette mesure extraordinaire prise dans une situation qui ne l’était pas (voir notre texte sur les autres pandémies en cours) était quand même justifiée. De ce coup de force va dépendre la possibilité de continuer sur cette voie globale.
Autrement dit, une sortie pure et simple du confinement est inenvisageable. Et, en France, le ton est donné par ce Conseil scientifique de la présidence:“La réflexion sur la sortie du confinement, les stratégies post-confinement sont nécessaires. La priorité demeure cependant la poursuite d’un confinement renforcé dans la durée.”
Donc, on réfléchit à comment vous laissez enfermés. Sine die. Et même “libérés”, puisqu’il faudra bien y arriver, le poids carcéral doit rester sur vos épaules et continuer à vous faire baisser les yeux. Pour cela, des éléments commencent à apparaître:“définition de nouvelles mesures de distanciation sociale, disponibilité des protections matérielles (gel hydroalcoolique, masques…) et de tests de dépistage rapides, amélioration du système de surveillance épidémiologique, développement d’outils numériques, définition d’une politique de contrôle aux frontières, etc.”
Autrement dit, pour une période indéterminée, car ce Conseil ne précise pas de terme, des mesures post-crises doivent être adoptées, qui finalement doivent conduire à un changement de comportement social des gens, indépendamment de la source première, c’est-à-dire au-delà du coronavirus. Finalement, le texte d’hier (le lire ici) n’était pas si utopique que cela …
Et comme l’indique l’un des membres, le temps de réclusion, en fait, cela va dépendre de nous, de notre capacité de soumission. Plus l’on sera docile, plus ça va durer. Au moins, vous aurez été prévenu:“Le sanitaire a la priorité mais ce n’est pas le seul à être pris en compte. Tout va dépendre aussi du taux de tolérance de la population.”
Étrange, l’on aurait pu croire que si ce coronavirus n’est rien moins que la peste des temps modernes, rien ne doit justifier d’autres critères que sanitaires, sinon l’existence de toute une population devrait être en jeu. Finalement, non. Si les gens résistent, ils pourront ressortir plus vite.
Cette imprécision sur la feuille de route de sortie, cette absence de critères objectifs qui laisse toute sa place à des intérêts extérieurs au domaine de la santé publique inquiète. En effet, le parallèle entre des pays comme la France et la Russie, où la situation est objectivement différente, alors que la similitude est flagrante dans la détermination des phases et des éléments contraignants dans chaque phase, oblige à s’interroger sur le lieu de prise de décision. De détermination de ce plan de sortie.
Le New York Times a donné la réponse. Le 28 mars, l’American Entreprise Institute a publié un rapport intitulé : “National Coronavirus respons: a Road Map to Reopenning” (le rapport est disponible ici en anglais).
Prenons les choses dans l’ordre. L’AEI est un Think Tank américain, ancien et puissant, mêlant business et politique, qui s’occupe de politiques publiques et de renforcer le leadership américain en général. Il est de tendance conservatrice, voire néo-conservatrice. Par exemple, John Bolton, qui fut conseiller de Trump pour la sécurité nationale, est membre de cet Institut. Alors que le rapport présenté concerne, théoriquement, les États-Unis, il semble être appliqué bien au-delà des frontières du pays.
Le rapport produit divise la période de crise en 4:
1) Lors de la première phase, il faut instaurer des distances physiques, mettre en place une infrastructure de testing rapide et général, adapter les structures de soins, prévoir le matériel pour le personnel de soin, mettre en place un système de surveillance du coronavirus, mettre en place un système de traçage massif, d’isolement et de quarantaine, proposer des mécanismes locaux de confinement volontaire, encourager les gens à porter des masques.
C’est exactement ce à quoi on assiste, quelle que soit la situation réelle dans chaque pays. Sans revenir sur les méthodes de surveillance globale qui ont été rapidement développées, un aspect est intéressant. En Russie, par exemple, Sobianine a annoncé que des hôpitaux fédéraux seront entièrement reprofilés vers le coronavirus. Pas même vers la virologie, non, concrètement le coronavirus. Et les médecins aussi. Comme si aucune autre maladie ne valait la peine de faire des efforts, comme si ce virus était le dernier de l’humanité. Qu’en est-il du grand bond en avant préconisé dans la lutte contre le cancer ? Silence … on a le coronavirus.
C’est mesures sont d’autant plus importantes, qu’elles conditionnent le passage au stade 2, c’est-à-dire le début du déconfinement Etat par Etat. C’est pourquoi, en France, aussi, le début de “plan” proposé reprend globalement ces lignes.
2) La seconde phase est celle du déconfinement Etat par Etat. Mais il doit être progressif, avec des mesures de surveillance et ne peut concerner les populations fragiles. C’est exactement ce que déclare le Conseil des experts en France, qui manifestement a parfaitement traduit en français ce rapport. Par ailleurs, enfin l’on parle d’une accélération de la thérapie (qui ne semblait pas intéresser grand monde avant), sans oublier l’identification des personnes immunisées. Cela renvoie à l’idée choquante d’un certificat de bonne santé lancée par la Maire de Paris. C’est aussi l’idée d’un déconfinement par tranche d’âge avec groupes immunisés.
3) La troisième phase est celle de la vaccination, avec tout d’abord un plan de priorisation de la vaccination avant d’arriver à une vaccination massive, dont le but thérapeutique n’est plus présent, sans oublier le suivi. Cela ne peut pas ne pas rappeler cet étrange carnet de santé numérique avec une puce sous la peau, technologie mise en place par l’incontournable MIT américain. Il faut dire que ce n’est pas nouveau, car déjà en 2018, le débat était ouvert sur les avantages et les inconvénients d’un carnet de santé implanté, qui était déjà techniquement possible, mais les gens résistaient encore. Tout est une question de moment, est-il venu?
4) La quatrième et dernière phase est celle d’une reconstruction de notre système en vue de la prochaine pandémie (vous serez prévenu, finalement ce n’est peut-être pas la peine de sortir de chez soi …) et de la mise en place d’un nouveau système de gouvernance. Comme l’exprime noir sur blanc le rapport, il faut sortir d’un système décentralisé de réponse (= étatique) pour se concentrer autour d’une prise de décision centralisée (=système global):“We need to move away from a decentralized system that promotes unequal implementation of preparedness measures across the nation and toward a more coordinated execution of response“
Les États, eux, pourront alors mettre en oeuvre les décisions qui ne sont pas prises pas eux :“We should develop clear and effective plans for the implementation of public-health measures such as quarantine and the unification of actions made by state and local health departments.”
Ce plan mis en place aux États-Unis est exactement celui mis en oeuvre au niveau mondial. L’on peut alors se demander ce qu’il reste de la souveraineté des États … La question est d’autant plus importante, que le rapport met bien en évidence qu’il y aura d’autres pandémies, ce qui parfaitement réaliste. Pour être même plus exacte, il y en a déjà d’autres en cours aujourd’hui. Cela veut-il dire que ces mesures extraordinaires vont devenir ordinaires ?
PS: Dans tous les cas, cela n’explique pas pourquoi, si le coronavirus est à ce point dangereux qu’il exige une réponse globale, dirigée comme nous le voyons par l’OMS, pourquoi les plateaux télé continuent, comme si de rien n’était, à se remplir de stars et d’experts, pourquoi certaines entreprises peuvent fonctionner ? Par exemple, pourquoi à Moscou les salons de beauté sous convention médicale (autrement dit de la chirurgie esthétique légère) ont été réouverts? C’est un domaine stratégique ? Certainement autant que celui des experts et artistes dans ce monde.
L’incohérence totale de la situation au regard du discours “fin du monde” tenu fait penser que finalement, le plus important est la 4e phase, que l’on peut transposer au niveau mondial. Ce qui est quand même surprenant, car les globalistes sont partout au pouvoir, formellement ou réellement, que vont-ils faire de ce surplus de pouvoir ? Radicaliser la société pour implanter par la force ce qui n’a pu être fait par la persuasion ? J’ai des doutes quant à la réussite de ce schéma … Y a-t-il seulement une idée réaliste finalement ?
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Re: News au 22 avril 2020
- 7 -
L'évêque de Crémone, Antonio Napolioni, en Italie, a attaqué le prêtre âgé Lino Viola pour avoir défendu la Sainte Messe contre une descente de police.
Viola a célébré des funérailles (vidéo) dans une église de 300 mètres carrés en présence de 13 fidèles masqués - six de plus que « permis ».
Napolioni a écrit dans une déclaration du 20 avril qu'il serait conscient de la « souffrance » de nombreux prêtres et fidèles à cause de l'interdiction de la messe.
Un « mais » ultérieur annule cette déclaration, introduisant le regret de Napolioni, non pas sur l'interruption de la messe, mais sur le comportement du prêtre qui - selon Napolioni - contredit « les normes civiles et les indications canoniques » bien que la descente de police soit illégale selon le concordat entre l'Italie et le Saint-Siège.
[Les évêques conciliaires sont tous des lâches, autrement dit des Judas : ils seront emportés en enfer comme Judas le fut par un diable selon l'illustration expressive et véridique d'un chapiteau de Vézelay.]
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Re: News au 22 avril 2020
- 8 -
Après le coronavirus, la classe moyenne sera « les nouveaux pauvres », a dit le cardinal Matteo Zuppi de Bologne, invoquant un premier mantra de François, lors d'un chat Internet avec les associations familiales (IlMessaggero.it, 21 avril).
Le deuxième mantra de François a suivi rapidement, lorsqu'il a parlé de « reconnecter les fils avec les périphéries » qui sont pour lui aussi « psychologiques et existentielles ».
Il a qualifié de « belle et spectaculaire » la création par François, à côté de Saint-Pierre, d'une auberge pour « les pauvres », alors que l'endroit aurait pu être loué comme un hôtel.
Pendant le confinement du coronavirus, Zuppi a lu La Peste d'Albert Camus (+1960), un auteur français athée, coureur de jupons, anarchiste et anti-chrétien.
Pour Zuppi, le confinement a « ouvert une dimension spirituelle ».[Les évêques conciliaires sont tous comme ça : ils sont comme les faux-prophètes d'Israël qui vaticinent.]
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