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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:26

Le samedi 3 juillet 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19. Le CTIAP du centre hospitalier de Cholet : l’un des invités intervenant lors de la « Journée conviviale des collectifs de la région »


 
Dans le cadre de la Covid-19, une « Journée conviviale des collectifs de la région » est prévue le dimanche 4 juillet 2021, de 11h à 17h.
 
Cette rencontre rassemble notamment les collectifs suivants : Collectif Santé Mauges ; Eveil Angers20 ; Libre et responsable49 ; Reinfocovid49 ; Boldair Ancenis ; Comité Santé Liberté Vendée ; et d’autres…
 
Le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet est honoré de faire partie des invités intervenant lors de cette rencontre.
 
L’affiche suivante propose des informations utiles concernant cette journée.

ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Affich10

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/07/vaccins-contre-la-covid-19-le-ctiap-du_3.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:27

Le vendredi 2 juillet 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19. Le CTIAP du centre hospitalier de Cholet : l’un des invités intervenant lors du Conseil scientifique indépendant (CSI) n°12


 
La douzième séance du Conseil scientifique indépendant (CSI) s’est tenue, en direct, le 1er juillet 2021 à 21h. Son ordre du jour a concerné notamment les vaccins contre la Covid-19.
 
Le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet était l’un des invités à intervenir lors de cette rencontre publique qui a réuni des médecins, des pharmaciens, des universitaires et le public.
 
Cette séance a duré 2h 9s.
 
Plusieurs liens sont disponibles pour découvrir les échanges qui ont eu lieu et notamment : une annonce introductive (6min. 17s.) des sujets traités et des intervenants ; l’intégralité de l’émission (2h 9s.) sur CrowdBunker et sur Facebook.
 
Je tiens à renouveler mes remerciements aux membres du CSI pour ce moment de réflexion indépendante, pour leur invitation et pour leur chaleureux accueil.
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/07/vaccins-contre-la-covid-19-le-ctiap-du.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:33

Le mardi 29 juin 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 et agressions des personnes « non-vaccinées ». Réponse au Ministre des solidarités et de la santé : proposition d’un face-à-face télévisé en direct


 
Monsieur le Docteur Olivier VÉRAN,
Ministre des solidarités et de la santé,
République Française,
 
 
 
Copie adressée à :
Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON ;
Monsieur le Premier ministre, Jean CASTEX ;
l’Assemblée nationale ;
[au] Sénat ;
la haute autorité de santé (HAS) ;
l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
 
 
 
 
 
 
 
« Covid-19 : Olivier Véran menace d’imposer une vaccination obligatoire aux soignants en Ehpad [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] » (Les Echos, le 17 juin 2021) ;
 
« Le ministre de la santé, Olivier Véran, en visite ce jeudi dans les Landes, annonce que c’est une soignante non vaccinée qui a fait rentrer le variant Delta dans l’établissement » (France Bleu, le 24 juin 2021) ;
 
« Non-vaccinés récalcitrants : notre patience a des limites » (Par Caroline Fourest, le 25/06/2021, Marianne;
 
« Covid-19. L’Italie suspend les soignants qui refusent le vaccin » (Ouest-France, le 27/06/2021) ;
 
Etc.
 
 
Ces exemples non exhaustifs publiés par divers médias, et ci-dessus rappelés, mettent en évidence la stigmatisation, injustifiée, des personnes qui ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19.
 
Les « soignants » figurent parmi ces personnes mises à l’index de façon infondée.
 
Dans un pays civilisé, les rapports entre les personnes sont régulés par notamment le Droit. Comme vous le savez parfaitement, les conditions juridiques d’une « obligation » vaccinale contre la Covid-19 ne sont pas remplies. Alors, certains semblent vouloir user de la « violence » pour contraindre ces personnes à se vacciner.
 
Dans une précédente lettre ouverte en date du 5 mars 2021, je n’ai pas manqué de vous alerter en vous rappelant quelques principes fondamentaux. Cette alerte a été complétée par celle adressée, le 8 mars 2021, aux 7 Ordres professionnels de santé.
 
Le 14 mars 2021, le journal le Courrier de l’Ouest publie un complément d’informations dans un article intitulé : « Covid-19. Vaccination : un pharmacologue choletais s’oppose à toute obligation en l’état ». La version papier, en date du 15 mars 2021, est parue sous le titre « Vaccin : les réserves du Dr Umlil » (Cf. pièce jointe à la fin de cet article).
 
D’ailleurs, il suffit de lire vos propres écritures, adressées au Conseil d’État à plusieurs reprises, et de se souvenir de vos propres déclarations lors d’une conférence de presse : vos propres affirmations remettent en cause l’efficacité des vaccins contre la Covid-19. Et, il est, pour le moins, inacceptable de voir cette version livrée au Conseil d’État venir contredire la propagande destinée au public.
 
Notre patience aussi a des limites.
 
Il semble facile de s’en prendre à des infirmiers et à des aides-soignants en les accusant, publiquement, sans preuves vérifiables.
 
Et vous pouvez constater, à travers mes écritures notamment, à quel point j’ai peur des menaces. Lesdites écritures ne présument d’ailleurs pas du sens de ma décision (de se vacciner ou non) ; et je n’ai pas à « donner l’exemple » à propos de l’administration de tel ou tel médicament (vaccin). Une telle administration est un acte médical qui relève du colloque singulier unissant la personne à son médecin dans le strict respect du secret professionnel.
 
Votre qualité de Docteur en médecine et votre position temporaire de Ministre des solidarités et de la santé, notamment, vous obligent à veiller au respect de la loi (au sens large), à faire la promotion d’un comportement éclairé par un minimum de cohérence ; à garantir le respect de la dignité de toute personne humaine.
 
Les personnes qui ont, librement, fait le choix de ne pas se vacciner ne sont pas hors la loi. Leur choix est d’ailleurs conforme à l’engagement pris par notamment le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON : celui de ne pas rendre cette vaccination « obligatoire ». Ces femmes et ces hommes, qui semblent devenir une cible, pourraient se révéler comme étant les mieux éclairés sur le rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19 ; des personnes qui soulèvent des questions pertinentes et légitimes, qui ont mené les recherches bibliographiques utiles, qui savent effectuer une lecture critique de telle ou telle étude, qui ne négligent aucun détail, qui se souviennent des fondamentaux appris sur les bancs des facultés, qui sont attachés aux droits et libertés fondamentaux.
 
Il est certain que ces personnes, que désormais n’importe quelle imposture s’autorise à offenser publiquement, sont celles qui refusent de transformer leur corps en un siège du pari biologique que certains tentent de leur imposer ; qui refusent de jouer à la roulette vaccinale ; qui refusent de jouer au loto avec leur bien le plus précieux : leur santé.
 
Ces bouc émissaires, que l'on voudrait sacrifier sur la place publique, ont choisi la prudence. Leur rapport aux risques, liés à cette vaccination, est tout aussi respectable que celui affiché face à la Covid-19 : les premiers ont plus peur des incertitudes liées à ces vaccins ; les seconds ont davantage peur de la Covid-19. Qui peut oser les juger ?
 
Aurait-on envisagé d’interdire également à des personnes de fumer et de boire de l’alcool, par exemple ? Ces comportements engendrent pourtant des risques évitables, génèrent des taux élevés de mortalité et des coûts importants pour la collectivité… Non, il a été décidé de respecter ces rapports aux risques, ces libertés individuelles.
 
Fixer un objectif quantitatif à la vaccination (pourcentage de personnes vaccinées) reviendrait à ignorer l’immunité naturelle, humorale et cellulaire, acquise suite à l’infection de plusieurs personnes par le Sars-CoV-2 (à l’origine de la Covid-19). Il y a d’ailleurs lieu de rappeler que plusieurs soignants se seraient contaminés par manque de moyens de protection : certains auraient même fabriqué des « tenues de protection » à partir de « sacs poubelles »…
 
Si réellement ces vaccins procurent une protection individuelle suffisante comme certains n’ont cessé de l’affirmer, une personne vaccinée n’aura plus à s’inquiéter pour sa santé ; et devra donc cesser d’ordonner à autrui de se vacciner.
 
Le 25 juin 2021, dans un Tweet, Monsieur le Président de la République soutient : « Personne n’est pleinement protégé tant que tout le monde n’est pas vacciné. Soyons solidaires. Soyons responsables ! ». Ce message semble dire notamment ceci : les vaccins contre la Covid-19 ne procurent pas une protection individuelle suffisante. C’est un aveu. Mais, ce message semble aussi marquer un changement de paradigme en espérant une « immunité collective » : un concept pourtant incertain, bien difficile à cerner et à circonscrire…
 
Les personnes « vaccinées » n’ont pas besoin des personnes « non-vaccinées » pour se contaminer entre elles.
 
À quoi sert donc un vaccin qui ne procure pas une protection individuelle suffisante et durable ; et qui n’empêche pas la transmission virale notamment ?
 
Faudrait-il prendre un « abonnement » chez les fournisseurs de ces vaccins eu égard à ce virus qui semble vouloir « mener la danse sur différents rythmes » ? Comme d'autres virus d'ailleurs.
 
Profiter des vacances estivales qui se profilent, pour adopter une loi visant à rendre cette vaccination « obligatoire » pour les soignants, serait regrettable et déplorable. Une telle loi serait source d’un conflit majeur qui pourrait amener à la saisine de la juridiction pénale notamment.
 
Les citoyens, dont les « soignants », ne sont ni des isotèles, ni des vassaux, ni des serfs, ni des esclaves.
 
La France ne se limite pas à Paris. Les établissements de santé publics et privés ainsi que les professionnels de santé en général ne sont pas sous la tutelle de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP). Il vous appartient donc de nourrir votre réflexion en accordant un minimum de considération à l’ensemble des compétences et des expériences disponibles et réparties sur tout le Territoire national notamment ; y compris dans les plus petites structures.
 
À plusieurs médecins des « plateaux télévisés » qui ne représentent qu’eux-mêmes, j’ai proposé un débat public contradictoire et utile. En vain.
 
Alors, je me permets de formuler la même proposition à votre bienveillance : un face-à-face télévisé en direct, serein et apaisé, qui porte sur ce sujet d’intérêt général. L’échange se focalisera notamment sur les données relatives au rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19. Le débat sera fondé sur des preuves de qualité ; et non pas sur des slogans ou des clips télévisés.
 
Sous toutes réserves, je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que vous pourriez éprouver quelques difficultés à surmonter l’obstacle de la première des questions que je pourrais vous soumettre ; et que vous ignorez peut-être, à ce jour.
 
Et avant tout, ce débat pourrait révéler que, au fond, nos divergences actuelles d’interprétation de certaines données et de cette situation ont des solutions pour l’avenir. Nous souhaitons tous retrouver une vie « normale » ainsi que nos droits et libertés perdus. Ensemble, construisons donc ce futur plan d’actions.
 
 
N.B. : Comme vous le savez déjà, suite aux « attaques » ciblant le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques - du centre hospitalier de Cholet -) et son pharmacien responsable, une alerte a été adressée, le 11 mai 2021, au Ministère public (Procureur de la République).
 
 
En vous remerciant de l’intérêt que vous pourriez porter à ces quelques lignes,
 
En espérant une réponse favorable de votre part à cette proposition, à ce défi de la vérité,
 
Dans l’attente,
 
Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le Docteur Olivier VÉRAN, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé, l’expression de mon profond respect.
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
 
 
 
Pièce jointe : article du journal le Courrier de l’Ouest en date du 15 mars 2021

ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Courri10

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/lettre-ouverte-vaccins-contre-la-covid.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:55

Le dimanche 6 juin 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19. « Un signal d’alerte sur la protection conférée par la vaccination chez les personnes très âgées » lancé, le 7 mai 2021, par le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale (COSV)


 
Le 26 décembre 2020, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet publie un article intitulé « Vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) : l’analyse du CTIAP confirmée par celle de la revue indépendante Prescrire notamment ».
 
Le 3 juin 2021, le CTIAP propose une nouvelle analyse des données dans un article publié sous le titre « Techniques de vente. « Bidouillages publicitaires » : quelques « astuces », bien connues, utilisées pour présenter les vaccins contre la Covid-19 comme étant efficaces contre les formes « graves » de la Covid-19 ». Cette réflexion est relayée, le 4 juin 2021, par le journal FranceSoir.
 
Le 7 mai 2021, une nouvelle preuve est venue confirmer encore davantage les analyses, documentées et vérifiables, proposées par le CTIAP. Cette preuve émane des écritures du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale (COSV) dont les avis sont publiés sur le site internet du Ministère des solidarités et de la santé. Dans cette « Note du 7 mai 2021 » intitulée « Efficacité vaccinale et couverture vaccinale des personnes âgées », il est clairement affirmé notamment ceci :
 
« Les personnes les plus âgées sont les plus à risque de développer des formes sévères de la Covid-19. La couverture vaccinale de ces personnes et la protection conférée par la vaccination chez ces personnes sont donc des points d’attention primordiaux dans la conduite de la campagne de vaccination anti-Covid-19. » ;
 
« 1. Clusters en EHPAD [établissements d’hébergement des personnes âgées dépendantes]
 
« La couverture vaccinale en EHPAD est très élevée, c’est une réussite importante de la campagne de vaccination. Néanmoins, depuis plusieurs semaines, on observe des clusters Covid-19 dans des EHPAD où la population a été vaccinée. Des clusters sont survenus dans une trentaine d’établissements sur environ 7000 en France, créant un signal d’alerte sur la protection conférée par la vaccination chez les personnes très âgées. » ;
 
« D’après une étude (…) s’appuyant sur 27 clusters recensés en mars et avril 2021, l’efficacité du vaccin Pfizer chez les résidents d’EHPAD serait de 35% pour la prévention de l’infection, 59% pour la prévention des formes graves, et 75% pour la prévention des décès (résultats non publiés en cours de soumission) ».
 
La conjugaison du verbe, au conditionnel, signe la prudence inhérente à l’incertitude de cette efficacité. Ce doute confirme les analyses mises à disposition par le CTIAP. Et, les taux (pourcentages) d’efficacité affichés semblent s’éloigner de ceux annoncés à la population, par voie de presse notamment.
 
Et que penser de cette affirmation : « 59% pour la prévention des formes graves, et 75% pour la prévention des décès » ? Les « décès » font, pourtant, partie desdites formes « graves »
 
Cet avis du COSV ajoute : « Ce signal d’alerte n’appelle pas une intervention immédiate ». Pour, le moins, surprenant. Il poursuit : « mais pose la question d’administrer une troisième dose de vaccin aux personnes âgées résidant en EHPAD, qui sont « immuno-sénescentes (…) ». Puis, il constate : « En Europe, les autorités de plusieurs pays se posent la question d’adapter la stratégie vaccinale en fonction de ce signal, mais aucune décision n’a semble-t-il été prise concernant une éventuelle troisième dose pour les personnes âgées ».
 
Ensuite, le COSV formule quelques recommandations telles que : « Continuer de recueillir des informations sur les événements de contamination et les clusters survenus en EHPAD (…) ».
 
Et alors que ce COSV admet que « la vaccination (…) n’empêche pas l’infection et la survenue de clusters », et de façon paradoxale, il propose ensuite de « continuer à inciter les professionnels travaillant en EHPAD à se faire vacciner » ; en les culpabilisant : « il s’agit de faire appel à la responsabilité de ces professionnels, puisque des cas de contamination par les soignants ayant causé des décès parmi les résidents d’EHPAD ont été observés » ; en appelant à leur stigmatisation : « On pourrait favoriser la publication du taux de vaccination des professionnels comme un critère de qualité de l’établissement, pour impliquer les responsables des établissements autant que les professionnels y travaillant ». Avant de les menacer : « En cas d’échec de stratégie incitatives supplémentaires à l’égard des professionnels travaillant en EHPAD, la question de l’obligation vaccinale pour ces soignants pourra être posée ».
 
Aux très distingués membres de ce COSV, il y a lieu de rappeler notamment les deux autres analyses, suivantes, publiées par le CTIAP :
 
Un article en date du 5 mars 2021 : « Covid-19. Projet de vaccination « obligatoire » des soignants : lettre ouverte au Ministre des solidarités et de la santé » ;
 
Un article du 8 mars 2021 : « LETTRE OUVERTE. Vaccination des « soignants » contre la Covid-19 : Réponse à l’injonction diffusée par 7 Ordres professionnels de santé ».
 
Par ailleurs, le 14 mars 2021, le Courrier de l’Ouest publie un article intitulé : « Covid-19. Vaccination : un pharmacologue choletais s’oppose à toute obligation en l’état ».
 
En tout cas, par ce nouveau « signal d’alerte », émis par un organe officiel, il est toujours permis de s’interroger sur le rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19. À nouveau, les informations sont disponibles sur les sites internet des autorités ad hoc, le CTIAP les rend visibles.
 
Les attaques, ciblant le CTIAP ainsi que son pharmacien responsable, n’étaient donc pas justifiées ; comme le démontre cette nouvelle preuve publiée sur le site internet du Ministère des solidarités et de la santé.

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/vaccins-contre-la-covid-19-un-signal.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:56

Le jeudi 3 juin 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Techniques de vente. « Bidouillages publicitaires » : quelques « astuces », bien connues, utilisées pour présenter les vaccins contre la Covid-19 comme étant efficaces contre les formes « graves » de la Covid-19


 
Il existe au moins dix façons - astuces - qui permettent de présenter, artificiellement, un médicament comme étant efficace.
 
Dans la continuité de ses réflexions et de ses formations destinées notamment au public, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet propose de vous expliquer certaines de ces méthodes, bien connues, qui semblent avoir été utilisées pour présenter les vaccins contre la Covid-19 comme étant efficaces, de façon certaine, contre les formes « graves » de la Covid-19 ; un résumé de ces astuces est disponible dans la conclusion proposée à la fin du présent article. Pour cela, il y a lieu de rappeler quelques étapes de façon chronologique afin de mettre en évidence l’évolution du raisonnement adopté. Dans un souci pédagogique, il est plus facile de se concentrer sur un seul exemple : celui du vaccin, à base d’ARN Messager (ARNm) des laboratoires BioNTech/Pfizer (Tozinaméran ; COMIRNATY°). Ce vaccin est le premier à avoir bénéficié d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » (temporaire ; dont la durée n’excède pas 1 an) ; c’est le vaccin qui enregistre le plus grand nombre d’injections ; c’est lui qui offre donc le plus de recul.
 
Ce vaccin a obtenu cette AMM conditionnelle le 21 décembre 2020 ; alors que « les résultats des études cliniques ont un recul de 1,5 mois » seulement comme cela est affirmé, dès le 24 décembre 2020, par la haute autorité de santé (HAS). Et alors même que les nombreuses incertitudes ne se limitent pas uniquement à ces essais cliniques : elles concernent également et notamment la composition même de ce produit et son procédé de fabrication comme le révèle l’article publié, le 2 avril 2021, par le CTIAP (les trois autres vaccins autorisés en Europe notamment sont également concernés par cet article).
 
Dès le 30 novembre 2020, le conseil scientifique du collège national des médecins généralistes enseignants (CNGE), tout en soulignant « l’arrivée imminente et très médiatisée des vaccins contre la Covid-19 », alerte en ces termes : « La Haute Autorité de santé se prononcera prochainement sur la stratégie vaccinale à mettre en œuvre. Pour que les français (dont les soignants) adhèrent à ces préconisations, elles doivent être élaborées en toute transparence et fondées sur des données scientifiques valides, fiables, et partagées ». Il ajoute :
« (…) il est crucial qu’ils [les médecins généralistes] disposent de données scientifiques fiables, afin d’exposer au patient la balance bénéfice/risque individualisée des vaccins, en se basant sur des résultats en termes :
· d’effets indésirables et de sécurité d’emploi, car la vaccination s’adresse majoritairement à des sujets en bonne santé ;
· de bénéfices cliniques pertinents (réduction absolue du risque d’hospitalisation et/ou des formes graves et/ou de mortalité, le tout par tranche d’âge et par catégorie de population à risque) ;
· de diminution du risque de transmission du SARS-CoV-2. »
 
Et puis, ce conseil scientifique du CNGE relève ceci : « Selon les publications actuellement disponibles, les essais cliniques en cours pourraient ne pas avoir évalué  les différents vaccins sur plusieurs de ces critères cliniques pourtant fondamentaux pour les patients ».
 
En effet, et comme vient de le confirmer la revue indépendante Prescrire dans un article publié en avril 2021, ces essais cliniques « n’ont pas été conçus pour évaluer la prévention des formes graves ».
 
Quelles sont donc les raisons qui ont conduit à ne pas construire ces essais cliniques sur les critères cliniques pertinents, connus, qui permettent de démontrer l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des formes « graves » ? Cette question est fondamentale car plusieurs pays du monde étaient dans l’espoir de voir cette démonstration venir prouver une telle efficacité.
 
Le 7 décembre 2020, une réunion, présidée par Madame la ministre déléguée chargée de l’autonomie, a eu lieu. Le compte-rendu de cette rencontre souligne que « ce vaccin permettrait de réduire considérablement les risques de forme grave dues à l’infection au COVID-19 ». La conjugaison du verbe au conditionnel signe la prudence ; mais, l’emploi du mot « considérablement » étonne en pareilles circonstances.
 
Le 15 décembre 2020, une instruction interministérielle, du ministre des solidarités et de la santé et du ministre de l’intérieur, précise le cadre de mise en œuvre de la première étape de la campagne nationale de vaccination : « la stratégie nationale de vaccination Covid-19 a pour objectifs principaux de faire baisser la mortalité et les formes graves de la maladie, de protéger les Français et notre système de santé et de garantir la sécurité sanitaire de tous les patients ».
 
Le 23 décembre 2020, soit deux jours après l’octroi de ladite AMM conditionnelle, la haute autorité de santé (HAS) soutient : « A ce stade, les données ne permettent pas de confirmer l’impact de la vaccination par le BNT162b2 [vaccin COMIRNATY°] sur les hospitalisations, les hospitalisations en unité de soins intensifs, ni de démontrer un impact sur la mortalité ». Autrement dit, l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des formes « graves » n’est pas démontrée. Mais, la HAS ajoute : « Il est toutefois noté un effet sur l’incidence des formes sévères (efficacité de 88,9% [IC95% = (20,1 ; 97,7)]) ». La manœuvre semble subtile pour les non spécialistes : ces derniers risquent de ne lire que le chiffre de « 88,9% » sans s’interroger sur ce qu’est cet intervalle de confiance ([IC95% = (20,1 ; 97,7)]) qui est donné à côté de ce chiffre. De façon résumée, plus cet intervalle est large, plus l’incertitude est grande, plus le résultat ne peut être interprété de façon sérieuse.
 
Mais huit jours plus tard, soit le 31 décembre 2020, curieusement, une autre affirmation, pour le moins, inexacte est dispensée auprès du public et sans gêne aucune. En effet, dans la « Fiche 2 Informations à destination des résidents en établissements pour personnes âgées et leurs familles » qui est disponible dans le « PORTFOLIO » établi, le 31 décembre 2020, par le ministère des solidarités et de la santé, il est soutenu ceci :
« 1. Pourquoi se faire vacciner contre la COVID-19 ? » : La vaccination contre COVID-19 vous protégera des complications et de la survenue des formes graves de cette maladie. Les études ont montré que le vaccin était très efficace pour protéger d’une infection ». La conjugaison du verbe, au futur, signe la certitude. Et pourtant…
 
Onze jours plus tard, le 11 janvier 2021, le même conseil scientifique du collège national des médecins généralistes enseignants (CNGE) contredit cette affirmation du ministère des solidarités et de la santé :
« (…) les données importantes font encore défaut, par exemple :
· L’efficacité dans la population des sujets âgés de 75 ans et plus (prioritairement concernés par la campagne de vaccination en France), car l’effectif de ces sujets était insuffisant dans l’essai pour observer un résultat fiable, (…) ;
· L’efficacité sur les hospitalisations et la mortalité ;
· L’effet sur le portage des sujets asymptomatiques et la transmission (protection collective). »
 
De plus, une nouvelle preuve, qui atteste de l’inexactitude de cette affirmation livrée au public, émane de la bouche même du ministre des solidarités et de la santé. En effet, lors de la conférence de presse tenue le 18 février 2021, soit plusieurs semaines après l’élaboration de cette « Fiche 2 », Monsieur Olivier VÉRAN avoue ceci :
 
« (…) j’ai dit tout à l’heure dans mon intervention qu’on serait bientôt en mesure de dire si la vaccination en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] permet d’éviter les formes graves, d’éviter les hospitalisations. Quand nous aurons ces données fiables ; aucun pays européen encore ne dispose de données publiées fiables de ce point de vue-là. J’espère, comme vous j’imagine puisque vous me posez la question et comme les 700 000 résidents en EHPAD et toutes leurs familles, que nous pourrons lever davantage les contraintes sanitaires qu’ils subissent depuis maintenant un an. »
 
Et dès le 3 mars 2021, le Conseil d’État (CE) relève ces contradictions de l’« administration » française ; comme cela a été révélé par le CTIAP dans un article publié le 4 mars 2021. Il est intéressant de découvrir, dans cette décision du CE, l’argumentation avancée par le ministère des solidarités et de la santé dans le cadre de cette instance : « L’administration fait néanmoins valoir, d’une part l’existence d’études récentes invitant à la prudence quant à l’absence de contagiosité des personnes vaccinées, d’autre part, l’incertitude scientifique sur l’immunité conférée par la vaccination en cours à l’égard des variants du virus, enfin la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD où la campagne de vaccination a eu lieu ». Le juge révèle aussi ladite instruction interministérielle du 15 décembre 2020 ci-dessus mentionnée ; ainsi que les affirmations que la haute autorité de santé (HAS) avait osé tenir dans un avis en date du 23 janvier 2021 : « la Haute autorité de santé présente cependant comme connaissance scientifique acquise à ce stade « la réponse immunologique satisfaisante et une efficacité vaccinale similaire à celle retrouvée chez les personnes les plus jeunes » chez les personnes âgées pour les deux vaccins à ARN Messager [COMIRNATY° ; et le vaccin du laboratoire Moderna] en cours d’utilisation. En outre, selon les informations données sur le site du ministère « les vaccins permettent de prévenir lors d’une contamination le développement d’une forme grave de la maladie » et les cas constatés de nouvelles contaminations dans quelques établissements ne concerneraient en réalité que les personnes n’ayant reçu qu’une dose ».
 
Cette affirmation de la HAS, enregistrée dans cet avis en date du 23 janvier 2021, sera donc contredite par le ministre des solidarités et de la santé, lui-même, lors de ladite conférence de presse tenue le 18 février 2021.
 
Puis, le 25 avril 2021, le haut conseil de la santé publique (HCSP) publie les conclusions de son avis rendu, le 11 avril 2021, sous le titre « Avis relatif à l’adaptation des conduites à tenir et des recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19 ». Ce document « recommande pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet » notamment ce qui suit :

« Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :
Que toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes grave (âge, comorbidité). »
 
Or, si réellement ces vaccins sont efficaces contre les formes « graves », pourquoi alors ce HCSP exige-t-il de maintenir toutes ces autres mesures barrières ; et surtout, pourquoi met-il fin à sa recommandation (consistant à « ne pas porter de masque ») dès lors que l’un de ces membres présente un facteur de risque de forme « grave » ? Et alors même que ce même HCSP semble prendre en compte cette soi-disant efficacité sur les formes « graves » dans une « position d’espoir… » précise-t-il. Mais, nous ne sommes plus à une contradiction près ; comme cela est démontré dans la huitième conférence du CTIAP tenue le 27 avril 2021.
 
Dans ledit article publié en avril 2021, la revue Prescrire rappelle plusieurs autres points :
 
« Aucune corrélation n’est démontrée entre la réponse immunitaire et l’efficacité clinique de ces vaccins [à ARN Messager : COMIRNATY° ; et celui du laboratoire Moderna] » ;
 
« Peu de personnes dans les essais ont eu une forme grave de la maladie covid-19. Les résultats vont dans le sens d’une diminution de la fréquence des formes graves dans les groupes vaccin (…) mais non démontrée par ces essais comparatifs »… (Ces mêmes essais comparatifs que certains avaient exigé, avec vigueur, envers l’Hydroxychloroquine…) ;
 
« Ces données sont insuffisantes pour connaître l’efficacité éventuelle de ces vaccins sur la mortalité liée à la maladie covid-19 ou sur la mortalité globale ».
 
« Peu de personnes dans les essais ont eu une forme grave de la maladie covid-19. » ? Comment expliquer donc ce faible taux de recrutement des personnes avec des formes « graves » ? Eu égard aux annonces de plusieurs États et aux nombreuses mesures restrictives des droits et libertés fondamentaux imposées à la population ?
 
Concernant les « données épidémiologiques israéliennes », la revue Prescrire relève que « selon une publication n’ayant pas encore fait l’objet d’une relecture par un comité indépendant (…) le risque de formes graves a été estimé comme étant environ 90% plus petit (au moins 75% plus petit) à partir d’une semaine après la 2e injection que le risque dans la population générale ». Mais, la revue précise immédiatement que « ces résultats sont de faible niveau de preuves car issus de données épidémiologiques où les groupes comparés ne sont pas semblables » !
 
Enfin, dans sa conclusion intitulée « en pratique », la revue Prescrire se contente d’affirmer que ces vaccins à ARN Messager « diminuent fortement à court terme le risque de formes symptomatiques de maladie covid-19. Les essais n’ont pas été conçus pour évaluer l’efficacité de ces vaccins chez les personnes âgées de 75 ans ou plus ». Et puis, cette revue vient nous révéler ce que cette réflexion souhaitait vous livrer depuis le début : l’une de ces dix astuces qui permettent de présenter, artificiellement, un médicament comme étant efficace. C’est ainsi que la revue Prescrire révèle ceci :
 
« En diminuant les infections symptomatiques, il est plausible que ces vaccins aient aussi un effet préventif sur les formes graves de la maladie covid-19 : les résultats des essais vont dans ce sens, ainsi que les premières données épidémiologiques ». Nous sommes clairement au stade de l’hypothèse qui appelle à être vérifiée ; puis éventuellement confirmée.
 
Or, l’un des « bidouillages publicitaires » qui permet de présenter un médicament comme étant efficace en apparence réside dans l’imagination d’un mécanisme physiopathologique « plausible » pour expliquer comment agit un produit ; et la « présentation » de ce mécanisme d’action théorique avec « adresse ». Un tel raisonnement était à l’origine, par exemple, de l’une des plus emblématiques « affaires » médicamenteuses : l’affaire du « VIOXX° »… Depuis au moins le 12 novembre 2020, dans un article intitulé « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir », le CTIAP a alerté en ces termes :
 
« (...) Un risque accentué par la nouveauté technologique
Certains de ces futurs vaccins sont à base d’ARNm (acide ribonucléique). Ils sont donc les premiers qui utilisent une telle nouvelle technologie. Cette nouveauté technologique, si elle n’est pas suffisamment évaluée chez l’Homme et dans la durée, nous expose à des risques potentiels, jusqu’alors inconnus, qui pourraient se manifester après l’administration de ces produits chez une large population.
Et, il y a lieu de rappeler qu’une technologie aussi séduisante soit-elle, en théorie, peut se révéler dangereuse une fois transposée à l’Homme. Seule l’expérimentation clinique (chez l’Homme) permet de confirmer ou d’infirmer, en pratique, une telle innovation. La durée de cette expérimentation est incompressible. »
 
Début mai 2021, le CTIAP subit des attaques émanant notamment de l’« agence france presse (AFP) – Factuel » qui est soutenue par l’« AFP ». L’article de cet organe de presse est intitulé « Les vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid ». La réponse du CTIAP est publiée, en urgence, dès le 8 mai 2021. Il est conseillé de lire cette réponse qui fournit des éléments complémentaires. Ces derniers viennent confirmer davantage la présente démonstration. Mais, cet article de l’« AFP -Factuel » nous livre quelques éléments qui mettent encore plus en lumière que ladite efficacité préventive sur les formes « graves » n’est qu’une hypothèse théorique qui ne peut constituer une preuve suffisante. Ces journalistes affirment :
 
« L’efficacité contre les formes sévères (…) s’est vérifiée depuis le début des campagnes de vaccination dans le monde, comme l’ont expliqué des expertes à l’AFP (…) » ;
 
« « On était sûr qu’on avait un effet sur les formes symptomatiques très très net. Donc par déduction, comme on sait la proportion de formes graves qui dépendent des formes symptomatiques, on était sûr qu’il y avait un effet sur les formes graves même si ça n’était pas démontré stricto sensu dans l’essai » pour une raison statistique, poursuit la présidente de la commission technique des vaccinations de la Haute autorité de santé ».
 
On joue donc à la devinette et on utilise une autre astuce de vente : devenir « Maître dans l’Art des raisonnements creux » : « très très net » ; « par déduction » ; « on était sûr (…) même si ça n’était pas démontré »
 
La question vitale est : est-ce que ces incertitudes avaient été portées à la connaissance des personnes concernées comme l’exige la loi (au sens large) ? La réponse est désormais claire eu égard aux éléments, non exhaustifs, ci-dessus exposés.
 
Mais, dans cet article de l’« AFP -Factuel », on apprend également ce que soutient encore cette présidente de la commission technique des vaccinations à la haute autorité de santé (HAS) : « « Dans les essais cliniques, la probabilité d’événements graves était faible car la population testée était relativement jeune et bien portante », a-t-elle expliqué à l’AFP le 3 mai » 2021.

L’autre question est alors la suivante : pourquoi ne pas avoir inclus dans ces essais plutôt les personnes qui étaient à risque de développer des formes graves : les personnes âgées notamment ? Et en particulier celles âgées de 75 ans et plus ?
 
Par ailleurs, l’article publié, en avril 2021 par la revue Prescrire, discute seulement la diminution « relative » du risque. La réduction « absolue » de ce risque ne semble pas abordée. Toutefois, cet article rappelle d’autres informations importantes :
 
« Des inconnues demeurent : l’effet sur la durée de la protection et sur la transmission du virus ; le maintien de son efficacité face à la variabilité du coronavirus » ;
 
« Des inconnues demeurent sur les effets indésirables à long terme » ;
 
« Ont été notamment exclues de ces deux essais [correspondant aux deux vaccins à ARN Messager] les personnes immunodéprimées ou recevant un médicament immunodépresseur, celles atteintes d’une affection non stabilisée ou ayant un antécédent de maladie covid-19, et les femmes enceintes ou allaitantes » ;
 
« On ne sait pas dans quelle mesure ces vaccins ont un effet sur la transmission du virus (…) quelle est l’efficacité de ces vaccins chez les enfants (…) Quel est l’intérêt de l’utilisation de ces vaccins chez les personnes ayant déjà été infectées par le Sars-CoV-2 ; quels sont les risques de ces vaccins chez les femmes enceintes » ;
 
« L’efficacité vaccinale a été évaluée sur les souches de virus circulant dans la population vaccinée au moment des essais cliniques. Une modification importante de la protéine virale ciblée par ces vaccins dans de nouvelles souches du virus expose à une réduction de leur efficacité sur ces souches » ;
 
« Le développement de médicaments à base d’ARN étant récent, leur recul d’utilisation dans l’espèce humaine est faible ».
 
Ces informations sont concordantes avec celles publiées par le CTIAP depuis au moins le 12 novembre 2020 ; soit bien avant la publication par les autorités ad hoc des éléments figurant dans les dossiers des AMM conditionnelles correspondant à ces vaccins contre la Covid-19.
 
Par ces motifs, non exhaustifs ci-dessus exposés, une conclusion pourrait, par conséquent, être proposée.
 
Ces vaccins contre la Covid-19 n’ont pas démontré leur efficacité sur la transmission virale. L’espoir ne résidait donc plus que dans une éventuelle efficacité sur la prévention des formes « graves » de cette Covid-19. Sans cette efficacité, l’AMM conditionnelle ne pourrait plus se justifier. Alors, faute de pouvoir apporter la preuve attendue pour démontrer, avec certitude, une efficacité préventive sur ces formes « graves », des techniques de vente semblent avoir été déployées : imaginer un mécanisme physiopathologique « plausible » censé expliquer comment agissent ces produits et que l’on tente de « présenter » ensuite avec « adresse » ; tenter de dissimuler le fait que les essais cliniques n’aient pas inclus les principales personnes concernées par les formes « graves » (notamment celles âgées de 75 ans et plus) ; faire appel à des médias qui vont utiliser notamment leurs graphistes dans le but d’optimiser l’impact visuel du message ; ignorer les intervalles de confiance lorsque ces derniers montrent une grande largesse et donc une grande incertitude qui ne permet pas d’interpréter le résultat affiché ; inverser la pyramide des preuves en privilégiant les anecdotes et en relayant les essais randomisés à une position secondaire ; recruter des Maîtres dans l’Art des raisonnements creux ; faire appel à quelques « leaders » d’opinion, aux liens et conflits d’intérêts inconnus, en faisant en sorte qu’ils deviennent des « bons clients » pour les médias traditionnels (dominants) expliquer à la population que ces vaccins sont « bons pour leur moral » en présentant ces produits comme d’éventuels médicaments « anxiolytiques » (pour lutter contre l’anxiété) ou « antidépresseurs » ; conditionner l’accès à des activités de la vie courante à des données médicales ; imposer à la population un pari biologique : d’abord chez les personnes âgées de 75 ans et plus, chez les femmes enceintes ou qui allaitent, chez les immunodéprimés… avant de cibler les enfants ; diffuser des clips véhiculant des messages, pour le moins inexacts, sur l’efficacité de ces vaccins ; surtout ne pas évoquer les effets indésirables même ceux enregistrés par le système officiel de pharmacovigilance ; ne pas oublier de tenter de se protéger juridiquement en versant, discrètement, la bonne version des faits auprès du juge administratif lors d’un litige ; protéger cette « prescription politique » de ces vaccins en se réfugiant derrière les autorités sanitaires ad hoc ; ne pas trop s’embarrasser avec les règles fixées par l’AMM conditionnelle (déjà bien fragile) et faire du stock de ces vaccins le principal régulateur des recommandations émises par ces autorités sanitaires ad hoc : ce stock justifie le choix des personnes prioritaires pour la vaccination, oriente la modification du schéma posologique (allongement du délai entre les 2 doses malgré les risques encourus), décide du nombre de doses contenues dans un flacon, influence même la date de péremption... ; propulser l’évaluation objective du rapport bénéfice/risque de ces vaccins vers une position accessoire, subsidiaire… ; tenter de faire croire à la population que la baisse des contaminations, par le Sars-CoV-2 (Covid-19), annoncée en mai 2021 est le fruit de la vaccination même si cette même baisse avait été également annoncée un an plus tôt en ce même moi de mai (2020) et malgré l’absence de toute vaccination ; essayer de culpabiliser les personnes non vaccinées en les accusant d’être à l’origine de telle ou telle « nouvelle vague épidémique » même s’il n’est pas démontré que ces vaccins empêchent la transmission virale et même s’il est admis que les personnes vaccinées continuent de diffuser le virus ; user, sans modération, des contradictions en n'hésitant pas à diffuser des informations, pour le moins, inexactes ; refuser toute demande réclamant un débat public, contradictoire et utile ; étiqueter, sans délai, d'« anti-vax » et de « complotiste » toute personne qui souhaite analyser, de façon objective, le rapport bénéfice/risque de ces produits...
 
Concernant les effets indésirables, le 28 mai 2021, l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) révèle notamment quelques « signaux potentiels ou événements déjà sous surveillance » dont le lien de causalité avec ces vaccins n’est pas encore retenu par cette autorité. Pour le vaccin BioNTech/Pfizer, par exemple, on peut lire : « Zona ; Troubles du rythme cardiaque ; Thrombopénie/thrombopénie immunologique/hématomes spontanés ; Déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité ; Echecs vaccinaux ; Syndromes de Guillain-Barré ; Syndrome d’activation des macrophages ; Myocardite/Myopericardite ; Réactivation à Virus Epstein-Barr ; Méningoencéphalite zostérienne ; Aplasie Médullaire idiopathique ; Hémophilie acquise ». Il est conseillé de lire les rapports, concernant les quatre vaccins (et pas seulement celui des laboratoires BioNTech/Pfizer), établis et publiés par l’ANSM de façon hebdomadaire depuis la mise sur le marché de ces produits.
 
Manifestement, le doute, qu’il porte sur le bénéfice ou sur le risque des médicaments, continue de bénéficier à ces produits et à leurs fabricants ; et non pas aux personnes humaines. À moins que cette personne humaine ne soit devenue, elle-même, un produit. Le produit...
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/techniques-de-vente-bidouillages.html
Gilbert Chevalier
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:57

Le mardi 11 mai 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19 : Alerte au Ministère public suite aux « attaques » ciblant le CTIAP et son pharmacien responsable


 
Madame, Monsieur le Procureur de la République,
 
 
 
 
 
 
 
Le centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) du centre hospitalier de Cholet a l’honneur de vous adresser la présente alerte.
 
Cette alerte s’inscrit dans le cadre des vaccins contre la Covid-19, maladie liée au Sars-CoV-2, qui ont bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) « conditionnelle » (temporaire ; dont la durée n’excède pas 1 an) européenne ; et qui ont été commercialisés notamment en France.
 
Depuis la création du CTIAP en réponse notamment au rapport n°RM2007-136P établi par l’inspection générale des affaires sociales (IGAS), et conformément à sa mission affichée sur son site internet (le présent blog), ce service hospitalier d’information indépendante (sans aucun lien ou conflit d’intérêts) propose notamment au public et aux professionnels de santé une information de proximité, pratique, actualisée et accessible sur les médicaments (dont les vaccins). Pour cela, il utilise notamment deux moyens : des publications sur son site internet ; et des réunions d’information indépendante destinées au public qui se déroulent dans les locaux de l’hôpital public de Cholet (et actuellement, à distance, du fait de la gestion de ladite Covid-19).
 
Le CTIAP est connu de notamment toutes les autorités ad hoc, du public, de la presse, du Ministère public. Il poursuit un seul but : celui de l'intérêt général. Il est attaché au débat public, contradictoire et utile concernant tel ou tel sujet dans le domaine complexe du médicament.
 
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier (et juriste ; Droit de la santé), j’assure la responsabilité du CTIAP ainsi que celle de l’unité de pharmacovigilance et de la coordination des vigilances sanitaires au centre hospitalier de Cholet. C’est ainsi, et par exemple, que le directeur de cet hôpital public (Monsieur Pierre VOLLOT) a pu affirmer, dans une attestation qui est déjà entre les mains de vos services, notamment ceci : « (…) A ce titre, Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines ». Et, dans le cadre desdits vaccins contre la Covid-19, il a pu soutenir auprès des journalistes du Courrier de l’Ouest : « (…) La réussite de ces opérations [de vaccination contre la Covid-19] suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue ».
 
La septième réunion d’information indépendante du CTIAP a été diffusée en direct, le 17 décembre 2020 (soit avant l’attribution de ces AMM européennes), par notamment la télévision locale du choletais (TLC). Elle a porté sur le thème intitulé : « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir ».
 
La huitième réunion d’information indépendante du CTIAP s’est tenue le 27 avril 2021 et a porté sur le sujet suivant : « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ». Elle a été diffusée par le journal FranceSoir. Après une « introduction » expliquant notamment ce qu’est une AMM « conditionnelle », la « première partie » rappelle certaines dispositions de la loi (au sens large) relatives à l’information sur les médicaments : information (claire, loyale et appropriée) et validité du consentement (libre et éclairé ; une liberté fondamentale) ; défaut d’information comme source potentielle de la « défectuosité » du produit ; une information en tant qu’obligation qui pèse sur les professionnels de santé (médecin et pharmacien notamment). La « seconde partie » a cherché à vérifier si ces éléments de droit ont été respectés et appliqués au cas d’espèce (pris comme exemple) concernant le premier vaccin commercialisé (le plus grand nombre d’injections, plus de recul) : vaccin COMIRNATY° des laboratoires BioNTech -Pfizer. Enfin, cette intervention s’est achevée par une « conclusion ». Cet exposé met en évidence les injonctions paradoxales de certaines autorités ad hoc telles que l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la haute autorité de santé (HAS), la direction générale de la santé (DGS). Ces autorités semblent inciter au « mésusage » de ces vaccins contre la Covid-19 ; ce « mésusage » étant défini par les dispositions de l’article R.5121-152 du Code de la santé publique.
 
 
Suite aux travaux publiés du CTIAP sur ces vaccins contre la Covid-19, ce dernier est devenu la cible de plusieurs attaques infondées et publiquement menées. Et, en particulier, depuis que le CTIAP a rendu visible le contenu du paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle » de l’« annexe II » de ladite AMM correspondant à chacun des quatre vaccins contre la Covid-19 autorisés en France notamment ; ces contenus des quatre paragraphe « E » étant publiés sur le site de l’agence européenne du médicament (EMA) et sont accessibles également via notamment le site de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) française. L’article publié, le 2 avril 2021, sur le site du CTIAP révèle donc le contenu de ces paragraphes « E ». Le titre de cet article (qui semble avoir été traduit en plusieurs langues) est le suivant :
 
 
Depuis que j’ai commencé mes études de pharmacie à la faculté d’Angers (études que j’ai poursuivies en tant qu’interne en pharmacie dans les centres hospitaliers universitaires (CHU) de Toulouse), je n’ai jamais eu à connaître d’un médicament mis sur le marché avec des incertitudes concernant la substance active, les excipients, le procédé de fabrication, etc. Pour moi, c’est inédit.
 
Suite aux premières attaques, infondées et enregistrées sur notamment le réseau social Twitter, le 10 avril 2021, j’ai adressé une lettre ouverte à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet. Ce directeur semble, désormais et soudainement, encourager ces agressions en tenant des affirmations, pour le moins, inexactes et contradictoires par rapport à ses affirmations antérieures (ci-dessus rappelées). Ma lettre est restée sans réponse. Ce directeur a refusé notamment de retirer son Tweet litigieux. De façon totalement injustifiée, ce dernier continue donc de nuire à l’image du CTIAP et à celle de mes prérogatives liées à mes fonctions relevant d’une mission de service public.
De même, depuis cette lettre, je ne reçois plus la « revue de presse » quotidienne que la direction m’adressait habituellement. Cela ressemble à des représailles en réponse à ladite lettre ouverte. Mes interrogations, adressées à Monsieur Pierre VOLLOT, sont, elles aussi, restées sans réponse. Désormais, le CTIAP est donc privé d’une source d’information qui permettait à ce centre de prendre connaissance des informations sur les médicaments que la presse diffuse auprès du public. Pourtant, cette revue de presse est financée par l’hôpital public de Cholet ; et non pas par Monsieur Pierre VOLLOT.
 
 
Le 4 mai 2021, le CTIAP répond aux attaques, là encore injustifiées, sur Twitter émanant de Monsieur Raphael GRABLY qui se présente comme étant « Chef de service tech @BFMTV ». Cette réponse du CTIAP est publiée sous le titre : « Vaccins contre la Covid-19. Nouvelles « attaques » contre le CTIAP : Monsieur Raphael GRABLY (« Chef de service tech @BFMTV » diffuse, publiquement, des informations « inexactes » de la Direction du centre hospitalier de Cholet ».
 
Et puis le 7 mai 2021, je découvre, par hasard, un article me ciblant ainsi que le CTIAP qui a été publié, cette fois, par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel ». Celle-ci a, ensuite, diffusé cet article sur Twitter ; un Tweet qui a été relayé par l’« AFP ». Dans cet article, je suis désigné de façon nominative ainsi que le CTIAP. Et pourtant, les journalistes de ces « AFP – Factuel » et « AFP » ne m’ont jamais contacté avant la publication de leur article afin de recueillir, préalablement et de façon contradictoire, ma version des faits. Ils ne m’ont pas informé, non plus, de la parution de leur article litigieux. Ces journalistes ne semblent pas attachés au débat public, contradictoire et utile. D’où la réponse du CTIAP qui a été publiée, le 8 mai 2021, sous le titre : « Vaccins contre la Covid-19 : Encore des « attaques » ciblant le CTIAP : une nouvelle et nécessaire rectification des affirmations « inexactes » diffusées, cette fois, par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et par l’« AFP » ».
 
Les articles du CTIAP, en date du 1er mai 2021 et du 8 mai 2021 ci-dessus mentionnés, ont été relayés par notamment le journal FranceSoir.
 
Je saisis cette occasion pour vous informer des trois articles supplémentaires suivants :
 
 
 
 
 Depuis au moins 2016, le CTIAP alerte sur la procédure accélérée d’attribution de ces AMM. Et le 10 novembre 2017, le CTIAP publie un article sous le titre : « Des médicaments commercialisés plus rapidement malgré une évaluation insuffisante : un rapport de 2017 de l’agence européenne du médicament (EMA) ».
 
Mais, actuellement, dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19, une limite supplémentaire aurait été franchie. Il suffit de lire lesdits paragraphes « E » ci-dessus exposés dans l’article du CTIAP en date du 2 avril 2021.
 
La crédibilité du CTIAP jaillit, par exemple, des commentaires d’une association de patients, d’un journaliste, et du plus ancien directeur au centre hospitalier de Cholet qui ont été formulés suite à une conférence sur le médicament qui a eu lieu, dans les locaux de l’hôpital de Cholet, le 30 janvier 2020.
 
La crédibilité et la notoriété du CTIAP sont également perceptibles dans l’intérêt que des avocats, notamment, accordent à ses publications. Comme le montre le nouvel exemple suivant ; un article publié, le 19 avril 2021, sous le titre : « Covid-19 –Vaccination : Rétablir la confiance par une réelle transparence ».
 
Par ailleurs, j’ai déjà alerté également sur les autres obstacles qui entravent le fonctionnement normal de mes autres fonctions : pharmacovigilance et coordination des vigilances sanitaires. En vain.
 
La crédibilité de mes affirmations a été relevée y compris par le service régional de la police judiciaire (SRPJ) et par l’inspection régionale de la pharmacie dans le cadre de l’enquête qui a été diligentée par le procureur de la République suite à mon alerte qui avait été adressée, en 2007, au procureur Général en ces termes : « (…) que cessent tous ces dysfonctionnements graves au centre hospitalier de Cholet, afin d’éviter que la vie des patients ne soit mise en jeu (…) ». Le SRPJ a pu affirmer notamment ceci : « (…) Les pièces produites par Mr UMLIL. En très grand nombre, elles argumentaient ou précisaient chaque point développé par Mr UMLIL ». Mes preuves sont indépendantes et légales en tout premier lieu. Le SRPJ a aussi enregistré notamment les menaces que les témoins avaient reçues la veille de leur audition par les enquêteurs…
 
Je tenais donc à porter à votre connaissance ces quelques faits non exhaustifs. Je me réserve le droit de parfaire cette alerte que je vous transmets également en ma qualité de citoyen français et usager potentiel du système de santé et de ses produits pharmaceutiques.
 
Il vous appartient de notamment chercher la (les) raison(s) qui pourraient justifier ces attaques, inhabituelles et infondées, qui ciblent, publiquement, le CTIAP (un service hospitalier d’information indépendante sur le médicament) et son responsable (moi en l’espèce) ; avec la soudaine contribution de la direction (Monsieur Pierre VOLLOT n’ayant d’ailleurs aucune compétence pharmaceutique) du centre hospitalier… depuis que le CTIAP informe sur le rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19.
 
De ces éléments, faudrait-il déduire notamment que ces vaccins contre la Covid-19, qui ne bénéficient que d’une AMM « conditionnelle » (rapport bénéfice/risque insuffisamment connu), seraient à l’abri de toute évaluation indépendante de leur rapport bénéfice/risque ? Et que le public et les professionnels de santé devraient être la cible de pratiques qui pourraient relever du dol et de la violence au lieu d’être les destinataires d’une information claire, loyale et appropriée ?
 
Par ailleurs, je sollicite une intervention de votre bienveillance visant notamment à faire cesser ces attaques injustifiées (accorder une protection au CTIAP et à son responsable (moi, en l’espèce)). Une telle intervention, que j’espère rapide, serait appréciée ; et avant tout par les nombreuses personnes qui me témoignent, publiquement et par différents moyens, de leurs soutiens en ces temps, pour le moins, étranges. Comme le montrent les exemples (Tweets) suivants qui ont été adressés à la direction du centre hospitalier de Cholet (et dont j’étais également destinataire) :
 
« Au lieu de défendre votre praticien hospitalier, vous préférez le livrer en pâture aux hyènes se délectant des commentaires haineux, souvent anonymes. Laissez la place à une science avec conscience, comme celle du Dr Umlil. Ses publications et son travail intègres en témoignent. » ;
 
« @ch_cholet Honte à vous ! Vous aviez la possibilité d’être reconnu pour une réelle intégrité avec le docteur Umlil. Vous avez préféré baisser la tête. Vous ne faites honneur à vos soignants en agissant ainsi. Respect @amine_umlil. » ;
 
« Inadmissible. CH Cholet devrait au contraire vous mettre en avant, être fier et porter haut votre intégrité scientifique. L’hôpital de Cholet est dans l’erreur. Vous êtes lu, compris et reconnu par bcq de soignants. Respect et soutient à vous. Honte à eux ! ».
 
Au lieu de prendre part à ces dénigrements qui tentent de jeter le discrédit sur les travaux du CTIAP de façon injustifiée, Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) aurait dû m’accorder plutôt la protection fonctionnelle que je tiens légalement de mon statut de praticien hospitalier.
 
Enfin, je me réserve le droit de porter plainte contre X.
 
 
Je vous prie de bien vouloir recevoir, Madame, Monsieur le Procureur de la République, l’expression de mon profond respect.
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/05/vaccins-contre-la-covid-19-alerte-au.html
Gilbert Chevalier
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:58

Le samedi 8 mai 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19. Encore des « attaques » ciblant le CTIAP : une nouvelle et nécessaire rectification des affirmations « inexactes » diffusées, cette fois, par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et par l’« AFP »


 
Le 1er mai 2021, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet publie un article intitulé : « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération – CheckNews » ».
 
 
Ce Monsieur Raphael GRABLY, lui au moins, avait l’élégance de me mettre en copie de son message diffusé sur Twitter. Alors que l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et l’« AFP » publient un article me ciblant ainsi que le CTIAP ; sans même m’en informer. Cette « AFP – Factuel » (avec ses « 130K Abonnés »et « AFP » (aux « 3,6M Abonnés »)  ne semblent pas attachées au débat public, contradictoire et utile.
 
En effet hier, vendredi 7 mai 2021, je découvre, par hasard, un article publié par ces « AFP – Factuel » et « AFP » sous le titre « Les vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid ». Cet article est publié le 5 mai 2021 ; et mis à jour le 6 mai 2021. Ce 7 mai 2021, cet article est tweeté par l’« AFP – Factuel » ; puis retweeté par l’« AFP ». Or, dans cet article, je suis désigné de façon nominative ainsi que le CTIAP. Et pourtant, les journalistes de ces « AFP – Factuel » et « AFP » ne m’ont jamais contacté avant la publication de cet article. Ils ne m’ont pas informé, non plus, de sa parution.
 
Ces journalistes m’ont réservé notamment un paragraphe intitulé « Qui est Amine Umlil ? ». Tout en omettant d’indiquer un lien vers un extrait de mon Curriculum vitae (C.V.). Pourtant, ce dernier est disponible sur le site du CTIAP ; ils ne peuvent donc l’ignorer. Ce (C.V.) avec une double compétence serait, peut-être, un peu long pour eux (elles).
 
Cet article de l’« AFP – Factuel » et de l’« AFP » appellent une nécessaire rectification des informations, pour le moins, « inexactes » qui sont diffusées par ces journalistes. Il y a lieu de répondre, de façon circonstanciée et en urgence, à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’ « AFP » en rappelant les faits, non exhaustifs, suivants.
 
À titre liminaire, il y a lieu d’observer que ces journalistes ne contestent qu’un seul point malgré les nombreux articles du CTIAP portant sur ces vaccins contre la Covid-19. Leur contestation concerne le point relatif à l’efficacité de ces vaccins contre les formes « graves » de la Covid-19.
 
Ces journalistes affirment : « Des publications très partagées sur internet affirment que l’efficacité des vaccins contre les formes graves du Covid-19 n’est pas démontrée. Cette affirmation, répétée notamment par un pharmacien hospitalier de Cholet, est trompeuse. L’efficacité contre les formes sévères – déjà fortement suggérée dans les résultats des essais cliniques – s’est vérifiée depuis le début des campagnes de vaccination dans le monde, comme l’ont expliqué des expertes à l’AFP et d’après plusieurs études. »
 
Si tel était le cas, pourquoi aucune autorité ad hoc n’a jugé utile de me contredire ?
 
Manifestement, je ne suis pas le seul à affirmer cette absence de preuve puisque ces journalistes utilisent le terme de « notamment ». Et, ils ont raison.
 
Car, en réalité, ces journalistes oublient de mentionner notamment les affirmations que Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a tenues lors de la conférence de presse en date du 18 février 2021. Monsieur Olivier VÉRAN, lui-même, a avoué ceci :
 
« (…) j’ai dit tout à l’heure dans mon intervention qu’on serait bientôt en mesure de dire si la vaccination en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] permet d’éviter les formes graves, d’éviter les hospitalisations. Quand nous aurons ces données fiables ; aucun pays européen encore ne dispose de données publiées fiables de ce point de vue-là. J’espère, comme vous j’imagine puisque vous me posez la question et comme les 700 000 résidents en EHPAD et toutes leurs familles, que nous pourrons lever davantage les contraintes sanitaires qu’ils subissent depuis maintenant un an. »
 
Le lien vers cette conférence de presse est pourtant disponible, depuis au moins le 4 mars 2021, sur le site du CTIAP dans l’article intitulé « Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’« administration » française » ».
 
Ces journalistes oublient de mentionner aussi les conclusions de l’avis rendu, le 11 avril 2021, par le Haut conseil de la santé publique (HCSP) sous le titre « Avis relatif à l’adaptation des conduites à tenir et des recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19 ». Ce document, publié, le 25 avril 2021, « recommande, pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet » notamment ceci :
 
« Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :
Que toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes graves (âge, comorbidité). ».
 
Si réellement ces « vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid », comme l’affirment ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », pourquoi alors ce HCSP exige-t-il de maintenir toutes ces autres mesures barrières ; et surtout pourquoi met-il fin à cette recommandation (« ne pas porter de masque ») dès lors que l’un de ces membres présente un facteur de risque de forme « grave » ? Et alors même que ce même HCSP semble prendre en compte cette soi-disant efficacité sur les formes « graves » dans une « position d'espoir... » précise-t-il. Mais, nous ne sommes plus à une contradiction près ; comme cela est démontré dans la huitième conférence du CTIAP tenue le 27 avril 2021.
 
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » s’appuient notamment sur une « étude publiée le 19 avril dans la revue Nature Medecine et portant aussi sur Israël » en expliquant que cette étude « relève une baisse des hospitalisations "sévères" quelques semaines après le début de la vaccination, qu’elle impute pour l’essentiel à la campagne de vaccins ». Et curieusement, ils ajoutent ceci : « le pays a aussi connu un confinement ». Comment alors juger de l’efficacité de cette vaccination si, en même temps, ce pays a confiné sa population ? Ladite efficacité pourrait être due soit à cette vaccination, soit à ce confinement, soit à la combinaison de ces deux mesures, soit au hasard.
 
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » osent même se fonder sur une « étude réalisée en Angleterre et mise en ligne le 2 mars ». Tout en nous indiquant que cette étude n’est « pas encore publiée dans une revue scientifique ». Deux mois après, elle n'est toujours pas publiée alors que la question est importante.
 
Ces journalistes s’appuient aussi sur les « expertes » de notamment la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
 
Pourtant, dès le 23 décembre 2020, cette HAS soutient : « A ce stade, les données ne permettent pas de confirmer l’impact de la vaccination par le BNT162b2 [vaccin Comirnaty° des laboratoires BioNTech - Pfizer] sur les hospitalisations, les hospitalisations en unité de soins intensifs, ni de démontrer un impact sur la mortalité. » Ces critères étant ceux de la gravité. Puis, cette HAS ajoute : « Il est toutefois noté un effet sur l’incidence des formes sévères (efficacité de 88,9% [IC95% = (20,1 ; 97,7)] ». La manœuvre semble subtile pour les non spécialistes : ces derniers risquent de ne lire que le chiffre de « 88,9% » sans s’interroger sur ce qu’est cet intervalle de confiance ([IC95% = (20,1 ; 97,7)]) qui est donné à côté de ce chiffre. De façon résumée, plus cet intervalle est large, plus l’incertitude est grande, plus le résultat ne peut être interprété de façon sérieuse.
 
D’ailleurs, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » citent plusieurs chiffres sans accompagner ces derniers des nécessaires intervalles de confiance. Deux premières formations peuvent donc leur être proposées :
 
1. La première est celle dispensée, le 17 décembre 2020 par le CTIAP, lors de la septième réunion d’information indépendante destinée au public ; qui a été diffusée, en direct, par notamment la Télévision Locale du Choletais (TCL) sous le titre « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir ».
 
2. La deuxième est venue confirmer la première. Elle est l’œuvre de Madame Christine COTTON, une Biostatisticienne qui a exercé pour l’industrie pharmaceutique pendant plusieurs années. Elle a proposé une analyse des données concordante avec celle livrée le 17 décembre 2020 par mes soins. Son analyse a été diffusée, le 8 avril 2021, par le journal FranceSoir sous le titre « Christine COTTON : expertise des résultats des essais des quatre vaccins ». Et comme le révèle l’extrait de mon (C.V.) qui a été occulté par ces journalistes, je suis également titulaire de plusieurs diplômes dont un Diplôme interuniversitaire de statistique appliquée à la médecine, option biologie.
 
Comme j’ai pu déjà le soutenir, et eu égard à mon devoir de pharmacien, je considère que les recommandations de cette HAS (haute autorité de santé) et de cette ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) sont présumées conformes aux « données acquises de la science ». Mais que cette présomption est simple : elle n’est pas irréfragable. Autrement dit, je peux renverser ces recommandations par une preuve contraire.
 
D’ailleurs, dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19 notamment, cette HAS et cette ANSM n’ont pas hésité à formuler, publiquement, des recommandations qui incitent au « mésusage » de ces vaccins. Certaines de ces recommandations ont été rejetées, et publiquement, par le Ministre des solidarités et de la santé, lui-même. Ce « mésusage » est défini ainsi par le Code de la santé publique : « une utilisation intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement ainsi qu’aux recommandations de bonnes pratiques » (article R.5121-152 du Code de la santé publique).
 
Lesdits journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » peuvent prendre connaissance de plusieurs exemples mettant en évidence les injonctions paradoxales de toutes ces autorités ad hoc. Ces exemples ont été développés notamment lors de la huitième réunion d’information indépendante du CTIAP destinée au public (ci-dessus mentionnée). Cette conférence, diffusée par FranceSoir, a porté sur le thème « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ». C’est une troisième formation qui pourrait être proposée à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP ».
 
Face à la crédibilité et à la notoriété du CTIAP, y compris à l’étranger, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » soutiennent : « L’autorité de régulation des médicaments en France s’appelle l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM) ». Et ajoutent : « L’instance française qui donne des recommandations sur les vaccins ou les médicaments s’appelle la Haute autorité de santé (HAS) ».
 
Mais, ces journalistes oublient que le CTIAP du centre hospitalier de Cholet est dirigé par un pharmacien dont l’indépendance professionnelle est garantie par la « loi » (au sens large) ; et cela est confirmé par les écritures de l’Ordre national des pharmaciens notamment. Comme cela est rappelé dans l'article publié, le 17 février 2021, sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : le pharmacien réduit à un simple distributeur automatique ? »
 
Par ailleurs, en 2018, et concernant ladite HAS, la revue indépendante Prescrire a pu soutenir que « son qualificatif de "haute autorité" n’est toujours pas justifié » ; que seulement 6% des guides de cette HAS sont jugés « intéressants » ; qu’environ 21% de ces guides ont « des défauts majeurs ou susceptibles de nuire à la qualité des soins ».
 
L’ANSM, elle, n’est que la descendante de l’ancienne AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) qui était obligée de « changer de nom » pour assurer sa survie : un réarrangement cosmétique de l’organisation. Cette agence vient d’ailleurs d’être fraîchement condamnée au pénal dans l’« affaire MÉDIATOR° » pour des graves manquements à son rôle de police sanitaire (gendarme du médicament).
 
Puis, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » interrogent la direction du centre hospitalier de Cholet. Et réitèrent les mêmes attaques que celles formulées, publiquement, par ledit Monsieur Raphael GRABLY qui se présente comme étant « Chef de service tech @BFMTV ». Des agressions qui voudraient notamment laisser penser que ce site du CTIAP serait « mon » blog « personnel » ; et qui viseraient à vider mon long (C.V.) de toute sa substance. Des attaques auxquelles j’ai déjà répondu, de façon circonstanciée, dans l’article en date du 4 mai 2021 ci-dessus mentionné.
 
Cette direction du centre hospitalier de Cholet, et notamment le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT), ne m’a pas associé, non plus, à sa réponse qu’il aurait adressée à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » par « mail le 28 avril ».
 
Reprenant les affirmations de ce directeur, et sans vérification préalable, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » soutiennent notamment ceci : « La communauté médicale et la Direction du CH de Cholet ne souscrivent donc pas à un certain nombre de propos relayés » sur le site du CTIAP.
 
Mais, aucun fait précis n’est indiqué. Il s’agit d’une simple affirmation qui ne vise qu’à nourrir une appréciation d’ordre général.
 
Or, en réalité, ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) a tenu des affirmations totalement inverses et notamment auprès des journalistes du Courrier de l’Ouest. Ces derniers avaient même publié ceci :
 
« Sollicitée pour réagir aux propos du Dr Amine UMLIL, et faire témoigner un soignant acceptant de se faire vacciner, la direction de l’hôpital n’a pas souhaité donner suite à nos demandes. »
 
Mieux encore, ce même directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) soutenait ceci auprès de ces journalistes du Courrier de l’Ouest :
 
« La réussite de ces opérations [de vaccination contre la Covid-19] suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue ».
 
Pis encore, ce directeur semble maintenant se réfugier derrière ladite « communauté médicale ». Or, en réalité, et selon les journalistes du Courrier de l’Ouest, la représentante de cette communauté médicale (la Présidente de la commission médicale d’établissement) a porté « plainte fin août pour faux, usage de faux et séquestration ». Lesdits journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » auraient-ils manqué de lire également au moins les deux articles publiés, le 18 décembre 2020, par le Courrier de l’Ouest ? Le premier s’intitule « [url=https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/maine-et-loire/cholet-internee-d-office-la-medecin-accuse-l-hopital-d-avoir-voulu-la-faire-taire-28386986-407d-11eb-8608-7f0bbbb8511e#:~:text=Cholet.-,Intern%C3%A9e d'office%2C la m%C3%A9decin accuse l'h%C3%B4pital d,usage de faux et s%C3%A9questration.]Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire[/url] » et soutient que cette représentante (de tous les médecins, pharmaciens, sages-femmes…), et chef de service de réanimation, a été « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur la tête ». Le deuxième article est publié sous le titre « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues » et informe de ceci : « Ce n’est pas la première fois que le centre hospitalier de Cholet défraye la chronique des faits divers. Il y a un an, devant le tribunal correctionnel d’Angers, un ancien chef de service [de réanimation, encore] avait été jugé et condamné pour avoir réglé ses comptes avec un confrère [Président de la commission médicale d’établissement, encore] dans une galerie marchande à coups… d’excréments. (…) ».
 
À chacune de ces affaires médiatisées, ledit Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) voudrait faire croire aux journalistes qu’il serait totalement étranger à ces conflits. Ce directeur connaît l’étendue de ma parfaite connaissance des agissements délictueux, voire criminels, de la bande locale.
 
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » sont-ils informés des démissions, soudaines et groupées, des membres de ladite commission médicale d’établissement qui ont été enregistrées au centre hospitalier de Cholet ?
 
Même le maire de Cholet a annoncé son retrait du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet. Comme le montre cette lettre ouverte publiée, le 16 janvier 2021, cette fois sur ce qui pourrait être considéré comme mon blog personnel (intitulé « Analyse citoyenne indépendante »).
 
Selon ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », ce directeur aurait affirmé aussi : « M. Umlil est responsable du Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP) du centre hospitalier, une entité en charge des questions de pharmacovigilance (surveillance des effets secondaires [indésirables] des médicaments) ». Or, en réalité, la mission du CTIAP est affichée sur le présent site de ce centre d’information indépendante ; un texte que ce directeur avait, lui-même, adressé à l'agence régionale de santé (ARS). Concernant la pharmacovigilance, le centre hospitalier a également créé une « unité de pharmacovigilance », distincte de celle du CTIAP, dont je suis également responsable. De même, l’établissement m’a confié la « coordination des vigilances sanitaires » depuis 2007. Le tout s’est déroulé sous le contrôle des juges notamment ; et bien avant l’arrivée de ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT).
 
Ma réponse à ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) est pourtant disponible dans une lettre ouverte publiée, le 10 avril 2021, sur ce site. Au contenu de cette lettre, est venu s’ajouter un complément, qui concerne ce même directeur, dans ladite réponse en date du 4 mai 2021 qui a été adressée à Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » (ci-dessus indiquée). Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » ont donc également ignoré ces éléments de réponses, contradictoires et utiles, adressées à ce directeur. En tout cas, ce dernier vient d’aggraver son cas.
 
Sans vérifier les affirmations de l’ANSM, ces journalistes soutiennent aussi ceci : « l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients ». Si tel était le cas, pourquoi alors avoir créé cette AMM « conditionnelle » si celle-ci offre le même niveau de sécurité qu’une AMM « standard » ? Je renouvelle donc ma proposition de ladite troisième formation, ci-dessus précisée, qui pourrait s’avérer utile à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP ».
 
Et en même temps, ces journalistes admettent, qu’à la date de délivrance de cette AMM « conditionnelle », l’efficacité sur les formes « graves » n’était que « suggérée ».
 
Toute personne, qui s’est faite vaccinée en croyant que ces vaccins avaient démontré cette efficacité, serait ravie d’apprendre que, finalement, ladite efficacité n’était que « suggérée ». Et que ces journalistes, des médias traditionnels (dominants), ont omis de porter à sa connaissance une telle information qui, pourtant, conditionne les caractères « libre » et « éclairé » du consentement donné par cette personne avant de se faire vacciner.
 
Ensuite, et de façon pour le moins sournoise, ces journalistes tentent de montrer que le CTIAP aurait du succès auprès notamment d’un « site canadien anti-avortement », d’un « groupe Facebook canadien anti-vaccin et anti-confinement », d’un « groupe appelé "effets indésirables des vaccins Covid" »Or, en réalité, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet n’est pas responsable de la qualité des articles faits par des tiers qui reprennent les données du CTIAP ; et sans même solliciter l’accord préalable de ce centre. Et le CTIAP n'a pas, non plus, à porter de jugement sur la qualité du travail de ces tiers.
 
Selon ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », certains voient même le CTIAP comme étant « Le centre français d’évaluation des médicaments » : juste merci à eux de le percevoir ainsi !
 
Des articles du CTIAP ont même été traduits en plusieurs langues (et sans l’accord préalable du CTIAP) : allemand, anglais, espagnol, italien, etc. Un fait qui n’est pas relayé par ces journalistes. Merci aux personnes qui ont effectué ces traductions (auxquelles le CTIAP n’a pas contribué).
 
Bien avant la mise sur le marché « conditionnelle » (temporaire) de ces vaccins, des journalistes des médias traditionnels (dominants) ont diffusé, auprès du public, des informations qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées. Ces journalistes persistent en continuant de diffuser des affirmations, pour le moins, « inexactes ». Ce sont ces informations, diffusées par ces journalistes, qui sont « trompeuses »C’est ce que le CTIAP a mis en évidence conformément à sa mission connue de toutes les autorités ad hoc. Alors, évidemment, un tel recadrage ne peut que déplaire à ces journalistes pour lesquels je ne peux réserver, de façon parallèle, un paragraphe intitulé « Qui sont ces journalistes ? » ; puisque leurs Curriculum vitae (C.V.) ne me sont pas accessibles. Ils n’osent même pas signer leur article litigieux avec leurs noms et prénoms.
 
Il y a lieu de relever également que ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’ « AFP » ne contestent pas notamment les « incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… » qui ont été portées à la connaissance du public, notamment, dans l’article en date du 2 avril 2021 : le CTIAP étant sans doute la seule entité à avoir révélé cette information de façon inédite et exclusive. Ces journalistes ne répondent pas, non plus, à notre article intitulé « Vaccins contre la Covid-19 : pourquoi ce « silence » des médias traditionnels (dominants) sur les « effets indésirables » des vaccins « BioNTech – Pfizer » et « Moderna » ? » publié, le 16 avril 2021, sur ce site du CTIAP. Deux réflexions qui ont pourtant été visées dans l’article litigieux de ces journalistes.
 
En conclusion, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » m’accusent publiquement de façon infondée ; et sans même recueillir au préalable ma version des faits ; ni même m'informer de l'existence de ces accusations publiquement tenues devant tant d'abonnés. À nouveau, des preuves contradictoires et utiles, vérifiables sur pièces, sont apportées. Celles-ci démontrent le caractère injustifié de cette nouvelle attaque contre le CTIAP (un service hospitalier d’information indépendante sur le médicament) et contre son responsable (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (Droit de la santé)). Ces journalistes viennent donc rejoindre la cohorte des détracteurs qui cherchent à empêcher le CTIAP de remplir sa mission d’information relevant du service public. Le moment venu, ils auront aussi à répondre de leurs actes. Ils font obstruction à la manifestation de la vérité concernant le rapport bénéfice/risque de ces vaccins.
 
Ou peut-être, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » auraient souhaité venir en aide, au secours, à leurs éventuels "amis" de « Libération – CheckNews » et de « BFMTV » auxquels le CTIAP a réservé les deux réponses ci-dessus mentionnées.
 
Ou alors, peut-être, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » n’auraient pas apprécié ma réaction, en date du 4 mai 2021, en réponse à un Tweet de cette même AFP qui soutenait le 3 mai 2021 ceci :
 
« « Après la tragédie du Covid, s’ouvrira la bataille pour regagner le terrain perdu sur la liberté d’informer ». Le journalisme se remettra-t-il de la pandémie ? Une réflexion nourrie des expériences des journalistes de l’AFP pendant la pandémie (…) ».
 
Ce Tweet de l’AFP ayant ensuite relayé une citation de Madame « SOPHIE HUET », « Rédactrice en chef centrale de l’AFP » :
 
« Nous nous doutons bien que, comme tout un chacun, nous ne sortirons pas indemnes de ce traumatisme mondial. Mais, gageons avec optimisme que, comme les mauvaises herbes, les journalistes s’attacheront à reprendre chaque interstice de liberté. »
 
À ces proses de l’AFP, j’avais répondu le 4 mai 2021 ceci : « C’est lors des périodes difficiles que la démocratie a besoin de ses « chiens de garde » (de ses vrais journalistes) ; et non pas après. Pour comprendre, il suffit de découvrir deux exemples regroupés dans l’article publié, ce jour, par le @ctiap_cholet. »
 
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » devraient méditer notamment cet autre article publié, le 19 septembre 2020, sur ce site du CTIAP sous le titre : « Covid-19 et Hydroxychloroquine : l’« empirisme » refusé au professeur Didier Raoult (en situation d’urgence) est pourtant toléré pour les « médicaments pédiatriques » (en pratique courante ») ». Ils trouveront dans cet article notamment l’une de mes tribunes publiées par le journal Le Point (ce dernier ayant repris intégralement des articles du CTIAP du centre hospitalier de Cholet). Et celui publié, le 6 mai 2021 sous le titre « La Covid-19 : un projet de « passeport sanitaire » alors que cette maladie n’est pas inscrite sur la liste des « maladies à déclaration obligatoire » (celles-ci, elles, ne nécessitent aucun « passeport ») ».
 
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » devraient lire mon livre publié, en décembre 2018, sous le titre : « Obstacles à la pharmacovigilance : Délinquance en col blanc ; Inertie des pouvoirs publics ». Dans cet ouvrage, ils pourront découvrir notamment comment je suis perçu par les corps d’inspection, par ladite communauté médicale derrière laquelle ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) tente de se réfugier à chaque fois qu’il est mis face à ses responsabilités, par ce même directeur, par l’actuel Président de la commission médicale d’établissement (CME), par le service régional de la police judiciaire (SRPJ), etc. Ce dernier ayant pu intervenir en 2007 suite à mon alerte adressée, cette même année 2007, au procureur Général en ces termes : « (…) que cessent tous ces dysfonctionnements graves au centre hospitalier de Cholet, afin d’éviter que la vie des patients ne soit mise en jeu (…) ». Ledit SRPJ ayant pu relever notamment ceci :
 
« (…) Les pièces produites par Mr UMLIL. En très grand nombre, elles argumentaient ou précisaient chaque point développé par Mr UMLIL. »
 
Ces attaques répétitives, ciblant le CTIAP ainsi que les prérogatives de mes fonctions relevant du service public, appellent, peut-être, une nouvelle alerte auprès du Ministère public.
 
Cet article litigieux de l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et l’« AFP » ne mentionne aucune déclaration d’éventuels liens ou conflits d’intérêts des « expertes » interrogées notamment ; comme cela est exigée par les dispositions de l’article L.4113-13 du Code de la santé publique.
 
À l’avenir, le législateur devrait penser, sérieusement, à rendre également obligatoire ces déclarations des liens ou conflits d’intérêts pour tout journaliste qui publie des articles dans le domaine, réglementé, du médicament (vaccins).
 
Enfin, ayant construit cette réponse en urgence, je me réserve le droit de la parfaire ; en apportant, éventuellement et notamment, quelques informations complémentaires contradictoires et utiles.
 
 


Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/05/vaccins-contre-la-covid-19-encore-des.html
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 21:59

Le jeudi 6 mai 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

La Covid-19 : un projet de « passeport sanitaire » alors que cette maladie n’est pas inscrite sur la liste des « maladies à déclaration obligatoire » (celles-ci, elles, ne nécessitent aucun « passeport »)


 
À l’entrée d’un stade de football, d’une salle de sport ou d’un restaurant, par exemple, pourrait-on imaginer une loi exigeant notamment le port du masque ainsi qu’un certificat attestant du statut « tuberculeux » d’une personne ? La tuberculose, elle, est pourtant une « maladie à déclaration obligatoire » selon le Code de la santé publique.
 
En France notamment et dans le cadre de la Covid-19, maladie liée au Sars-CoV-2, le projet d’un « passeport sanitaire » semble se profiler à l’horizon.
 
Pourtant, et en plus de nos réflexions déjà proposées notamment sur ce même site du CTIAP du centre hospitalier de Cholet, il y a lieu de soulever une nouvelle question qui semble être occultée.
 
Cette question est la suivante : pourquoi ce « passeport sanitaire » pour seulement cette maladie dénommée Covid-19 ; et alors même que cette Covid-19 n’est même pas inscrite sur la liste des « maladies à déclaration obligatoire » ?
 
Pour essayer de répondre à cette question, quelques informations préalables méritent d’être connues du public, notamment.
 
I- Qu’est-ce qu’une « maladie à déclaration obligatoire » ?
 
En réalité, ce libellé de « maladie à déclaration obligatoire » n’est plus utilisé depuis une ordonnance datant du 15 juin 2000 qui a recodifié le Code de la santé publique. Désormais, ce dernier utilise la terminologie suivante : « transmission obligatoire de données individuelles à l’autorité sanitaire ». Larticle L.3113-1 du Code de la santé publique mérite une attention particulière. Cet article du « Chapitre III » est classé dans le « Titre Ier Lutte contre les épidémies et certaines maladies transmissibles ». Cet article dispose notamment :
 
« I.- Les médecins et les responsables des services et laboratoires de biologie médicale publics et privés signalent :
1° A l’agence régionale de santé les cas de maladies nécessitant une intervention urgente locale, nationale ou internationale ;
2° A l’agence nationale de santé publique les cas de maladies exigeant une surveillance particulière pour la protection de la santé de la population. »
 
Ce texte distingue donc deux situations. La première concerne une « intervention urgente » qui semble viser la protection de la santé d’un patient et celle de son entourage ; et relève d’une procédure de « signalement ». La seconde évoque une « surveillance particulière » qui semble s’intéresser à une dimension de santé publique ; et dépend d’une procédure de « notification ».
 
Ce même texte ajoute notamment ceci : « III.- Un décret fixe la liste des maladies devant faire l’objet d’un signalement au titre du 1° ou du 2° du I [intervention urgente ou surveillance particulière] en raison notamment de leur gravité ou leur contagiosité ».
 
Or, à ce jour, et de façon pour le moins surprenante, la Covid-19 ne semble pas figurer dans cette « liste des maladies devant faire l’objet d’un signalement en raison notamment de leur gravité ou leur contagiosité ».
 
II- Quelle est donc cette « liste des maladies » devant faire l’objet d’un signalement et/ou d’une notification en raison de leur gravité ou leur contagiosité ?
 
Cette liste est consacrée par l’article D.3113-6 du Code de la santé publique. Cet article est classé dans la « Section 2 : Liste des maladies » ; elle-même classée dans le « Chapitre III : Transmission obligatoire de données individuelles à l’autorité sanitaire » relevant dudit « Titre Ier Lutte contre les épidémies et certaines maladies transmissibles » ci-dessus mentionné. Cette liste a été modifiée par Décret n°2018-342 du 7 mai 2018. Depuis cette date, aucune modification n’a été apportée à cette liste : la Covid-19 n’est donc pas venue rejoindre cette liste consacrée par l’article D. 3113-6 du Code de la santé publique.
 
À cette liste, il y a lieu d’ajouter celle des maladies relevant de ladite procédure de « notification » consacrée par l’article suivant : article D. 3113-7 du Code de la santé publique. Ce dernier a été modifié par Décret n°2012-47 du 16 janvier 2012 : la Covid-19 n’est donc pas venue rejoindre cette liste, non plus.
 
Nos lecteurs sont invités à consulter ces deux listes qui mentionnent ces maladies telles que : tuberculose… Charbon, Chikungunya, choléra, dengue, diphtérie, fièvres hémorragiques africaines, fièvre jaune, fièvre typhoïde et fièvres paratyphoïdes, hépatite A aiguë, infection invasive à méningocoque (méningite), légionellose, listériose, orthopoxviroses dont la variole, paludisme autochtone, paludisme d’importation dans les départements d’outre-mer, peste, poliomyélite, rage, rougeole, rubéole, typhus exanthématique, zika, saturnisme chez les enfants mineurs, infection aiguë symptomatique par le virus de l’hépatite B, infection par le virus de l’immunodéficience humaine  (VIH) quel que soit le stade, tétanos, etc.
 
Ces « maladies, ci-dessus listées et devant faire l’objet d’un signalement et/ou d’une notification en raison de leur gravité ou leur contagiosité, elles, ne semblent pas soumises audit « passeport sanitaire ».
 
III- Pourquoi la Covid-19 n’a pas rejoint cette « liste des maladies » devant faire l’objet d’un signalement et/ou d’une notification en raison de leur gravité ou leur contagiosité ?
 
La réponse à cette question semble jaillir notamment des dispositions spéciales consacrées par la loi n°2020-546 du 11 mai 2020 prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions. Et en particulier de l’article « 11.VI » qui dispose :
 
« Article 11. VI.- Les données individuelles relatives à la covid-19 font l’objet d’une transmission obligatoire à l’autorité sanitaire prévue à l’article L.3113-1 du code de la santé publique. Cette transmission est effectuée par les médecins, les responsables des services et laboratoires de biologie médicale publics et privés et les autres professionnels de santé mentionnés au 1° du II du présent article, au moyen des systèmes d’information mentionnés au présent article. »
 
Cet article 11 est une « dérogation » au droit commun. Ces dispositions spéciales dérogent aux règles générales.
 
La Covid-19 n’est pas inscrite sur la liste desdits articles D. 3113-6 et D.3113-7 du Code de la santé publique ; mais, les données individuelles relatives à la covid-19 doivent être transmises à l’autorité sanitaire.
 
Plusieurs hypothèses pourraient être envisagées pour tenter d’expliquer cette « non-inscription » de la Covid-19 sur la liste des maladies qui doivent être obligatoirement signalées et/ou notifiées au titre de l'article L.3113-1 du Code de la santé publique ; dont les deux suivantes :
 
La Covid-19 ne relèverait-elle pas, finalement, de ces maladies appelant lesdites « intervention urgente » et/ou « surveillance particulière » consacrées à l’article L.3113-1 du Code de la santé publique ?
 
Les moyens de diagnostic de cette Covid-19 seraient-ils, finalement, non fiables ? L’inscription d’une maladie sur ces listes nécessite, en effet, que le diagnostic de cette maladie soit confirmé par un test biologique fiable. Une telle fiabilité n’étant pas totalement garantie par les tests proposés dans le cadre de la Covid-19 : des faux positifs et des faux négatifs sont relevés.
 
Ces nouvelles incohérences interpellent.
 
Conclusion
 
Ledit projet de « passeport sanitaire » ne concerne donc que cette Covid-19 ; et alors même qu’il n’a pas été jugé utile d’inscrire cette Covid-19 dans la liste des maladies dont le signalement et/ou la notification sont obligatoires selon l’article L.3113-1 du Code de la santé publique.
 
Mais, ce n’est qu’une incohérence supplémentaire ; qui aurait été banale si elle ne portait pas atteinte, de façon disproportionnée, à des droits et libertés fondamentaux, notamment.
 
En effet, ce nouveau hiatus vient confirmer davantage, et notamment, le caractère disproportionné de ce projet de « passeport sanitaire ».
 
Il nous semble qu’un virage incertain, voire dangereux, aurait été initié à l’occasion de cette Covid-19. La présente réflexion apporte une nouvelle preuve à travers cette nouvelle question soulevée. D’un signalement et/ou d’une notification d’une maladie, un nouveau régime d’exception semble s'orienter vers une surveillance des personnes. Ce chemin nous offre le choix entre des paris biologiques (des vaccins contre la Covid-19 dont le rapport bénéfice/risque est peu connu (une roulette vaccinale) ; des tests de diagnostic non totalement fiables…) et le statut d’un « citoyen de seconde zone » (un pestiféré relégué à la marge de la société). Une voie qui se dirigerait vers la limitation, voire l'anéantissement de la « liberté » ; vers la rupture d’« égalité » ; vers la destruction de la « fraternité ».
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/05/la-covid-19-un-projet-de-passeport.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:04

Le mardi 4 mai 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19. Nouvelles « attaques » contre le CTIAP : Monsieur Raphael GRABLY (« Chef de service tech @BFMTV ») diffuse, publiquement, des informations « inexactes » de la Direction du centre hospitalier de Cholet


 
La délinquance, voire la criminalité, en col blanc, hospitalière et médiatique notamment, semble être l’oubliée de la tribune des Généraux.
 
Ce terme de « criminalité », vis-à-vis des Français, ayant été employé par notamment le Président du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX.
 
De nouveaux faits sont enregistrés.
 
Samedi 1er mai 2021, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet subit de nouvelles attaques de façon injustifiée. Ces nouvelles agressions sont l’œuvre de Monsieur Raphael GRABLY qui se présente, sur le réseau social Twitter (@GrablyR), comme étant « Chef de service tech @BFMTV » en affichant ses « 18,1K Abonnés ». Je ne connaissais pas ce Monsieur.
 
L’initiative de Monsieur Raphael GRABLY fait suite à la publication (reprise), par le journal FranceSoir, de l’article du CTIAP qui a été publié, ce même 1er mai 2021 et sur le présent site, sous le titre « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération –CheckNews ».
 
Publiquement, sur Twitter, et en s’adressant à Monsieur Xavier AZALBERT (directeur de la Publication FranceSoir), Monsieur Raphael GRABLY commence ses attaques ainsi : « Et votre source est un blog (@amine_umlil) qui a, il me semble, aucun lien avec @ch_cholet [centre hospitalier de Cholet] ».
 
Immédiatement, je réagis en informant Monsieur Raphael GRABLY : « Le CTIAP est un service du centre hospitalier de Cholet, comme le montrent plusieurs sources officielles disponibles. Une lecture utile (non exhaustive) : « LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 : Réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet ».
 
Monsieur Raphael GRABLY poursuit ses attaques : « Ce que je veux dire, c’est que vous ne vous exprimez qu’en votre nom, pas au nom du centre hospitalier ».
 
Déjà, Monsieur Raphael GRABLY semble moins sûr de ces affirmations initiales : « (…) un blog (@amine_umlil) qui a, il me semble, aucun lien avec @ch_cholet. ». Ce « Chef de service tech @BFMTV » ne dit plus que le présent site n’a « aucun lien avec » ce centre hospitalier. Mais, désormais, il s’immisce dans l’organisation interne de l’hôpital public de Cholet.
 
Je lui explique : « Je m’exprime dans le cadre de mes fonctions au sein du centre hospitalier de Cholet ; et avec l’indépendance professionnelle consacrée par la loi. Vos confrères et consœurs locaux connaissent bien le CTIAP. Voici un extrait de mon Curriculum vitae (C.V.) ».
 
Mais, Monsieur Raphael GRABLY réitère ses agressions : « Epinglé par son propre hôpital » ; et sous cette phrase, il diffuse une information, pour le moins, « inexacte » qui est toujours disponible sur le compte Twitter du centre hospitalier de Cholet. Et pourtant, une réponse circonstanciée avait été adressée à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet dans ladite lettre ouverte publiée, le 10 avril 2021, sur ce site. Les manœuvres de cette direction sont donc visibles et vérifiables.
 
Je lui adresse, à nouveau, cette lettre ouverte en date du 10 avril 2021 ; en lui précisant : « N’oubliez pas de lire jusqu’au bout ».
 
J’ajoute : « N’oubliez pas de lire aussi cet article publié par le @courrier de l’ouest sous le titre : « Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire » ». Cet article date du 18 décembre 2020. J'aurais pu lui transmettre aussi ce supplément paru le même jour, dans ce même journal, sous le titre : « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues » et qui informe de ceci : « Ce n’est pas la première fois que le centre hospitalier de Cholet défraye la chronique des faits divers. Il y a un an, devant le tribunal correctionnel d’Angers, un ancien chef de service avait été jugé et condamné pour avoir réglé ses comptes avec un confrère dans une galerie marchande à coups… d’excréments. (…) »Concernant la nouvelle « affaire », qui a vu cette représentante de tous les médecins « internée d'office », des explications sont proposées dans un article disponible à la fin de ladite lettre ouverte du 10 avril 2021.
 
Je poursuis : « Et, votre position de « chef de service tech @BFMTV » ne vous permet pas de diffuser, auprès du public, des informations « inexactes » concernant des médicaments (vaccins) tout en portant atteinte à l’honneur et à la réputation d’un praticien hospitalier et juriste (Droit de la santé) ».
 
Il réagit ainsi : « J’ai diffusé quoi comme information inexacte sur les vaccins ? ».
 
Je lui réponds : « Vous venez de faire quoi en jetant publiquement le discrédit sur le @ctiap_cholet, un service hospitalier d’information indépendante sur les médicaments (connu de toutes les autorités ad hoc, du public, de la presse, etc. depuis plusieurs années) ? Le Droit succédera au désordre ».
 
Et lui demande : « Et pourriez-vous porter à ma connaissance votre Curriculum vitae (C.V.) ? Etant donné que je vous ai transmis un extrait du mien ? Vous auriez, peut-être, des compétences particulières qui pourraient vous permettre de « juger », depuis @BFMTV, la qualité de mon travail ? ».
 
Il persiste : « J’ai souligné que ne parliez qu’en votre nom, ce qui est, il me semble, parfaitement juste. Je n’ai absolument rien dit concernant les vaccins, n’ayant pas de compétence à ce sujet. Vous trouverez mon CV sur Linkedin ».
 
Je l’interroge : « Et vous pourriez dire à un « chirurgien », par exemple, qu’il opère en « son nom » ? Mais, comment vous pouvez affirmer des certitudes sans même vérifier des informations au préalable ? ».
 
Il continue : « J’ai précisé que votre blog n’engageait que vous, pas un centre hospitalier. C’est un fait. Je vous laisse débattre du reste, qui n’est pas de ma compétence ».
 
Ce Monsieur Raphael GRABLY qui se présente, sur le réseau social Twitter, comme étant « Chef de service tech @BFMTV », semble totalement ignorer ce qu’est un « praticien hospitalier » et la protection fonctionnelle que ce dernier tient de son statut. Contrairement à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet… Le premier ne fait que réciter les affirmations, pour le moins, « inexactes » du second.
 
Il y a lieu de préciser que ce Monsieur Raphael GRABLY a reçu, en parallèle, plusieurs réponses de la part d’autres personnes qui se sont invitées à ces échanges (dont je vous relate quelques extraits, non exhaustifs, dans la présente réflexion).
 
Je lui réponds : « Encore une fois, ce n’est pas « mon » blog. C’est le site du CTIAP, un service hospitalier créé par l’hôpital lui-même. Je m’exprime dans le cadre de mes fonctions ; ce qui m’engage ainsi que l’hôpital. Ce site est référencé sur le site internet de l’hôpital. » Et lui transmets le lien vers le site internet du centre hospitalier de Cholet qui indique parfaitement que le CTIAP est bien un service de cet hôpital (comme le montrent également d’autres sources officielles).
 
Et là, Monsieur Raphael GRABLY change son angle d’attaques : « Il y a un lien vers votre blog Blogspot là-dessus ? ». Il insiste : « Si vous regardez un peu plus attentivement vos sources, vous verriez que ce sont deux sites différents : un site officiel de centre hospitalier vs un compte Blogspot ». Il persiste : « Et il ne me semble pas que le site Blogspot de monsieur ait un quelconque caractère officiel par rapport au @ch_cholet. Mais vous allez sûrement me montrer la page du site de l’hôpital qui redirige vers ce blog ».
 
Cette succession d’attaques, publiquement tenues par ce « Chef de service tech @BFMTV », m’oblige à fournir à ce dernier une nouvelle pièce (Cf. pièce jointe à la fin de cet article) : un extrait du Guide médical » du centre hospitalier de Cholet. Ce document mentionne clairement ledit lien réclamé par ce « Chef de service tech @BFMTV ». Ce Guide précise notamment ceci :
 
« Un site intitulé « CTIAP Centre Hospitalier de Cholet » est disponible : http://ctiapchcholet.blogspot.fr ».
 
Je lui transmets cette pièce en ces termes : « Ci-dessous, un extrait du « Guide médical » du centre hospitalier de Cholet : cf. ladite adresse du site du CTIAP à la fin de cette page. Le directeur aura à répondre de ses manœuvres, qui me mettent soudainement dans cette position de justification, le moment venu. Et vous aussi ».
 
Soudainement, mon agresseur, semble garder le silence.
 
À Monsieur Raphael GRABLY, j’indique alors : « M. le « chef de service tech @BFMTV, il reste quoi maintenant après avoir attaqué, publiquement, un service hospitalier et son responsable de façon injustifiée ? Il reste le FOND de l’article dont l’analyse objective des preuves officielles proposées vous serait inaccessible ».
 
Et propose à Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » ceci : « Concernant ces vaccins c/ la Covid-19, et pour l’intérêt général, pourriez-vous organiser un débat public, en direct, entre l’un (voire plusieurs) de vos « experts » @BFMTV et moi ? Eu égard à votre arrogance, et c’est peu dire, je crois que vous ne pourriez pas refuser ma demande ».
 
Et là, curieusement, Monsieur Raphael GRABLY semble se réduire à sa juste dimension en me répondant : « Il y a plein d’intervenants très compétents qui nous font l’honneur de venir sur le plateau et je ne suis que chef de service, je n’organise rien du tout Smile ».
 
Je lui précise : « Je vous parle d’un débat contradictoire et utile justement face à vos « intervenants très compétents ». Car, on relève des affirmations, pour le moins, inexactes répétées « en chœur »… ».
 
D’autres personnes l’interpellent sur les éventuels liens et conflits d’intérêts, de ces « intervenants très compétents », qui doivent être déclarés avant toute intervention sur les médicaments (vaccins) auprès du public ; conformément à l’article L.4113-13 du Code de la santé publique.
 
Une personne s’interroge : « Une citoyenne vous demande pourquoi les médias ne font-ils pas l’objet de plaintes pour ne pas répondre à leurs obligations ? Que fait le CSA ?? N’est ce pas de la tromperie aggravee ?? ».
 
À cette personne, je propose la réponse suivante : « Je pense qu’ils ont contribué à diffuser des informations qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées sur le rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19 ; et donc à vicier le consentement de certaines personnes (dans une proportion qui reste à déterminer) ».
 
Eu égard aux réponses, sur pièces, que j'ai apportées à Monsieur Raphael GRABLY, « Chef de service tech @BFMTV », ce dernier aurait dû alors, comme tout vrai « Chien de garde de la démocratie » (comme tout vrai journaliste)interroger ainsi et notamment Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) : pourquoi avoir diffusé des informations, pour le moins, « inexactes » sur le compte Twitter de l’hôpital de Cholet ? Et a minima, il aurait dû me présenter publiquement ses excuses. Pour le surplus, il ne s’est pas non plus interrogé pourquoi ce site du CTIAP comporte une extension dans son libellé : « CTIAP Centre Hospitalier de Cholet » depuis le 20 août 2015 ; et sans jamais voir l’hôpital de Cholet contester un tel libellé.
 
Au lieu de cela, Monsieur Raphael GRABLY a choisi de rendre invisibles, à mon regard, ses frappes litigieuses (pensant sans doute pouvoir échapper à sa responsabilité découlant de ses Tweets litigieux sauvegardés). Je finis par lui adresser un dernier Tweet :
 
« Il est « chef de service » et soutient qu’il « n’organise rien du tout » @BFMTV. Par contre, il ose s’immiscer dans une organisation hospitalière… en croyant savoir… et tente de porter, publiquement, atteinte à l’image d’un service hospitalier et à celle de son responsable. »
 
Comme cela a déjà été porté à la connaissance de Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet), les précédents détracteurs du CTIAP ont immédiatement soit supprimé leur compte, soit présenté leurs excuses :
 
« Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du @ch_cholet, je porte à votre connaissance de nouvelles excuses publiquement formulées par l’un de mes détracteurs, anonymes ; le premier (ledit dénommé(e) « bolus200CH ») ayant, lui (elle), déjà pris la fuite (compte supprimé) comme vous le savez ». Ces deux cas ne sont que des exemples.
 
Mais, Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV », lui, pense pouvoir échapper à sa responsabilité en se cachant derrière son soudain silence ; et en m’interdisant brutalement, et sans m’en informer préalablement, l’accès à ses Tweets litigieux.
 
Ce Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » ne semble pas avoir mené les vérifications ad hoc préalables de l’information avant de formuler, publiquement, ces accusations infondées ; et devant ses « 18,1K Abonnés ».
 
Ces accusations injustifiées, fondées sur des affirmations pour le moins « inexactes » de Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet), ne peuvent que porter atteinte à l’image d’un service hospitalier d’information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) ; ainsi qu’à l’honneur et à la réputation de son responsable : un pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, et juriste (Droit de la santé) : Docteur Amine UMLIL (moi en l’occurrence).
 
Et surtout, ces attaques cherchent à empêcher le CTIAP de remplir sa mission affichée d’information indépendante du public, notamment, sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19.
 
Le CTIAP est pourtant connu, depuis plusieurs années, de notamment toutes les autorités ad hoc, du public, de la presse, du Ministère public, etc.
 
Ladite lettre ouverte, en date du 10 avril 2021 qui a été adressée à Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet), est restée sans réponse. Ce dernier a refusé notamment de retirer son Tweet litigieux. De façon totalement injustifiée, ce dernier continue de nuire à l'image du CTIAP et à celle de mes prérogatives liées à mes fonctions relevant d'une mission de service public.
 
Pis encore, depuis cette lettre ouverte, je ne reçois plus la « revue de presse » quotidienne que cette direction m’adressait habituellement. Cela ressemble à des représailles en réponse à ladite lettre ouverte. Mes interrogations, adressées à ce même directeur, sont, elles aussi, restées sans réponse. Désormais, le CTIAP est donc privé d’une source d’information qui permettait à ce centre de prendre connaissance des informations diffusées par la presse auprès du public. Pourtant, cette revue de presse est financée par le centre hospitalier de Cholet ; et non pas par le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT). Mais, ce dernier semble s’être approprié l’hôpital de Cholet comme le montrent plusieurs faits enregistrés. Il se croirait chez lui. Il se sentirait hors-sol.
 
Monsieur Pierre VOLLOT n’a pas, encore, osé me couper ma messagerie professionnelle comme il l’avait fait, à plusieurs reprises, il y a quelques années. En effet, à trois reprises, et pendant plusieurs semaines, j’étais privé de l’accès à mes e-mails professionnels alors que je suis responsable de notamment la pharmacovigilance et la coordination des vigilances sanitaires. Les nombreux faits litigieux, commis à mon égard, par notamment ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) sont toujours disponibles sur mon blog (cette fois, ce dernier pouvant être qualifié de personnel) intitulé « Analyse citoyenne indépendante » (lui aussi connu de toutes les autorités ad hoc, les juridictions, le public, la presse, etc.). Plusieurs plaintes avaient d'ailleurs été déposées auprès du Procureur de la République ; avant que Monsieur Pierre VOLLOT ne vienne solliciter, finalement, l’apaisement en me demandant de ne pas donner suite à ces plaintes. Ce que j’avais accepté. Depuis, il m’avait laissé construire des projets intéressants ; et je lui renouvelle, publiquement, mes remerciements pour cela.
 
Mais, à nouveau, Monsieur Pierre VOLLOT semble récidiver.
 
Et pourtant, en plus des faits rappelés dans ladite lettre ouverte en date du 10 avril 2021, il y a lieu d’ajouter ce qui suit pour faire taire, définitivement, les détracteurs du CTIAP et de son responsable (moi en l’espèce).
 
Le 21 août 2015, « HOSPIMEDIA L’actualité des territoires de santé », un quotidien en ligne lu par notamment la hiérarchie hospitalière et les établissements de santé, publie un article intitulé « Le CH [centre hospitalier] crée un centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques [CTIAP] ». Dans cet article, il est clairement précisé ceci :
 
« Un blog sera en outre prochainement opérationnel » (Cf. pièce jointe à la fin de cet article).
 
Dès le 11 juillet 2015, et suite à un communiqué de presse co-signé par Monsieur Pierre VOLLOT (directeur de l’hôpital de Cholet) et moi-même, le journal Ouest-France précisait que le CTIAP sera également :
 
« disponible via internet » (Cf. le premier article du CTIAP, publié le 20 août 2015, sous le titre « Bienvenue » ; puis cliquer sur le lien proposé concernant le lancement, effectif, du projet du CTIAP).
 
La direction du centre hospitalier de Cholet a déjà relayé, à plusieurs reprises, des articles publiés sur ce site du CTIAP : dans ses communiqués de presse, sur le compte Twitter de l’hôpital de Cholet (@ch_cholet), etc. ; comme le prouvent les exemples suivants :
 
« Conférence très intéressante sur le médicament, assurée par Mr le Dr Amine Umlil. Les échanges avec le public ont été enrichissants », un Tweet du Centre Hospitalier de Cholet (@ch_cholet) en date du 5 février 2020 qui propose un lien vers l’article publié, le 3 février 2020, par le CTIAP sous le titre : « Avis du public présent. Conférence sur le médicament : les commentaires d’une association de patients, d’un journaliste, et d’un directeur d’hôpital (Joël Doumeau) »Nos lecteurs sont invités à lire ces commentaire de cette association de patients, de ce journaliste, de ce directeur d’hôpital exerçant au centre hospitalier de Cholet (le plus ancien directeur à l’hôpital de Cholet) ;
 
Un Tweet de l’hôpital de Cholet, en date du 22 janvier 2020, informant le public ainsi : « « Comprendre le médicament : son aventure à l’intérieur du corps humain » : Cinquième réunion d’information indépendante animée par le Dr Amine UMLIL destinée au public : jeudi 30 janvier 2020, Salle Verlaine à 18h @ch_cholet » ;
 
Un 3ème exemple : le 7 avril 2020, la direction du centre hospitalier de Cholet (@ch_cholet) « retweete » un Tweet du CTIAP (@ctiap_cholet) : « Cette réunion (à distance) est prévue le samedi 11 avril 2020, à 15h ; sur Facebook : groupe « Conférence CTIAP Centre Hospitalier Cholet ». Les personnes souhaitant participer à ce moment d’échange sont invitées à rejoindre ce groupe » ;
 
Un 4ème exemple : un Tweet du @ch_cholet en date du 5 avril 2019 informant le public d’une nouvelle réunion d’information indépendante organisée par le @ctiap_cholet et portant sur le rapport bénéfice/risque du vaccin GARDASIL° ;
 
Etc.
 
Le 18 janvier 2016, je porte à la connaissance de Madame la directrice générale de l’agence régionale de santé (ARS) des Pays-de-la Loire un article publié sur ce site du CTIAP sous le titre « Essais cliniques et médicaments : informations d’ordre général ». Deux jours après, soit le 20 janvier 2016, ce même directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) m’écrit ceci :
 
« Docteur,
J’ai lu avec intérêt votre article et vous en remercie.
Cordialement.
Le Directeur
Pierre VOLLOT »
 
Suite à la publication d’autres articles sur ce même site du CTIAP, ce même directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) m’écrit encore ceci dans un e-mail en date du 31 août 2016 :
 
« Bonjour docteur,
Vos 2 derniers articles sont interessants, clairs et précis.
Cordialement. P. Vollot »
 
Suite à la reprise, par plusieurs organes de presse, de certains articles publiés sur ce site du CTIAP, ce même directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) m’écrit à nouveau l’e-mail suivant en date du 14 mai 2018 :
 
« Merci Docteur pour ces articles.
Je vous confirme par ailleurs mon accord de principe pour votre doctorat [en Droit], selon des modalités à préciser.
Bien cordialement.
Le Directeur
Pierre VOLLOT »
 
Le 23 novembre 2017, une pharmacienne, et ancienne Présidente de l’Ordre national des pharmaciens, m’écrit : « Absolument bravo ! ».
 
Le même jour (23 novembre 2017), un Conseiller au cabinet de Madame la Ministre des solidarités et de la santé m’adresse ceci : « Je voulais juste vous remercier pour vos messages et vous assurer que, même s’il est parfois difficile de répondre à tous les courriels, qui sont nombreux, nous avons bien reçus les éléments que vous avez envoyés et que nous vous en remercions ».
 
Le 14 octobre 2017, une journaliste, ayant assisté à la première réunion d’information indépendante du CTIAP portant sur l’« affaire LÉVOTHYROX° », m'écrivait ceci : 
 
« Bonjour
Merci à vous pour votre exposé très clair et très pertinent, qui a fait beaucoup de bien à de nombreuses personnes. Votre attitude respectueuse a été saluée.
J’ai d’ailleurs écrit un article dans la foulée, qui devrait paraître en début de semaine prochaine.
Bon week-end
(…) »
 
Mais, lorsque le CTIAP souhaite informer le public sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, soudainement, cette même direction du centre hospitalier de Cholet soutient publiquement l’invraisemblable ; et sans gêne aucune.
 
La direction du centre hospitalier de Cholet, et notamment Monsieur Pierre VOLLOT (directeur), est parfaitement informée de ces nouvelles attaques. Elle les contemple ; au lieu d'intervenir dans le but de protéger le CTIAP et son responsable.
 
Face à ces agressions, de quelques personnes minoritaires d’ailleurs, le CTIAP reçoit énormément de témoignages écrits de soutien, et par différents moyens, de la part de ses lecteurs dont certains sont nouveaux ; et nous leur renouvelons, publiquement, nos remerciements. Cela est illustré par les quelques exemples suivants qui ont été également portés à la connaissance de ladite direction de l’hôpital de Cholet ; et en particulier à celle du directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) :
 
« Au lieu de défendre votre praticien hospitalier, vous préférez le livrer en pâture aux hyènes se délectant des commentaires haineux, souvent anonymes. Laissez la place à une science avec conscience, comme celle du Dr Umlil. Ses publications et son travail intègres en témoignent. » ;
 
« @ch_cholet Honte à vous ! Vous aviez la possibilité d’être reconnu pour une réelle intégrité avec le docteur Umlil. Vous avez préféré baisser la tête. Vous ne faites honneur à vos soignants en agissant ainsi. Respect @amine_umlil » ;
 
« Inadmissible. CH Cholet devrait au contraire vous mettre en avant, être fier et porter haut votre intégrité scientifique. L’hôpital de Cholet est dans l’erreur. Vous êtes lu, compris et reconnu par bcp de soignants. Respect et soutien à vous. Honte à eux ! » ;
 
Etc. (une longue liste est disponible).
 
 
La crédibilité du CTIAP jaillit également de l’intérêt que des Avocats, notamment, accordent à ses publications. Comme le montre le nouvel exemple suivant ; un article publié le 19 avril 2021 sous le titre : « Covid-19 – Vaccination : Rétablir la confiance par une réelle transparence ».
 
 
Alors, le moment venu, les détracteurs du CTIAP, et mes agresseurs, auront à répondre de leurs agissements devant les organes ad hoc. Tout comme les serviteurs de ce régime qui semblent ignorer que tout agent public ne doit pas exécuter des ordres manifestement illégaux de nature à compromettre gravement l’intérêt public. Tout comme les responsables des structures de contrôle, de régulation et de sanction qui étaient censés intervenir pour mettre un terme à ce trouble dans un hôpital public.
 
 
N.B. : Et sans même évoquer les autres « affaires » telles que celles décrites (ci-dessus) dans l’article publié, le 18 décembre 2020, par le Courrier de l’Ouest sous le titre : « Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire » ; avec un supplément sous le titre « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues ».
Par ailleurs, dans ce même centre hospitalier de Cholet, s’est produit aussi un autre événement rare dans un hôpital public : démissions, soudaines et groupées, des membres de la commission médicale d’établissement (CME) : l’instance, composée notamment par des médecins, pharmaciens, sages-femmes élus… et présidée par ladite médecin « internée d’office » et qui a, selon cet article de presse, porté « plainte fin août pour faux, usage de faux et séquestration ». L’article indique que ce médecin a été « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur la tête » (cf. mon analyse de cette « affaire » dans un article disponible à la fin de ladite lettre ouverte du 10 avril 2021 qui a été adressée au directeur de l'hôpital de Cholet (Monsieur Pierre VOLLOT)).
Mais, rien que ces démissions, soudaines et groupées, des membres de la CME auraient dû conduire les autorités ad hoc à diligenter une enquête de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) comme cela s’est fait dans un autre établissement.
Depuis au moins 2005, toutes mes demandes, réclamant une telle inspection de l’IGAS, sont restées sans réponses. Aujourd'hui, une telle inspection n'aurait plus aucun sens puisque la gravité de la situation, vérifiable sur pièces, a été même admise, et publiquement, par notamment le Président du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX qui a employé ledit terme de « criminalité » vis-à-vis des Français. Et comme le révèle mon deuxième livre intitulé « Médicament : recadrage. Sans ton pharmacien, t'es mort ! », dès 2004, ladite IGAS sollicite ma contribution dans le cadre d'une enquête pénale diligentée suite au décès d'un enfant : les inspecteurs avaient découvert mes alertes adressées aussi bien au laboratoire pharmaceutique concerné qu'à l'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS ; actuellement ANSM : agence nationale de sécurité du médicament). Ces inspecteurs m'ont écrit ceci : « Bonjour, nous avons bien reçu votre envoi et nous vous en sommes très reconnaissants. Bien à vous ».
 
 
Alors, oui, la tribune des Généraux semble avoir occulté cette délinquance, voire criminalité, en col blanc, notamment hospitalière et médiatique. Et le présent article ne présente qu’un exemple ; les faits, ci-dessus décrits, n'étant pas exhaustifs.
 
 
Enfin, à nouveau, nous invitons nos fidèles lecteurs à prendre connaissance, avec attention, du contenu de la huitième Conférence du CTIAP tenue, le 27 avril 2021, et ayant pour thème : « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ».
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
 
 
 
 
Les deux pièces jointes (citées dans l’article ci-dessus) :
 
Extrait du « Guide médical » du centre hospitalier de Cholet :
 ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Guide_10
 
Article d’HOSPIMEDIA « Le CH [centre hospitalier] crée un centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques [CTIAP] », le 21 août 2015 :
 
ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Hospim11
 ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 3 Hospim10

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/05/vaccins-contre-la-covid-19-nouvelles.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:06

Le samedi 1 mai 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération – CheckNews »


 
Le 28 avril 2021, un article est publié par le journal « Libération CheckNews » sous le titre « Est-il vrai que des centres de pharmacovigilance ont appelé à limiter les signalements d’effets secondaires des vaccins ? ». Des affirmations, diffusées par cet article, appellent les nécessaires rectifications suivantes.
 
Cet article soutient que le « rôle » des centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) « est d’enquêter sur les problèmes graves et non identifiés » ; et qu’il est « inutile de signaler des effets non graves qui sont déjà connus ». Cet article poursuit en affirmant que l’idée « selon laquelle la mission des CRPV est de recenser de manière exhaustive tous les effets secondaires liés à un médicament, même les plus bénins » repose sur « une idée fausse ». Or, en réalité, ces affirmations, diffusées auprès du public notamment, sont contredites par les dispositions du Code de la santé publique.
 
En effet, d’une part, l’article R.5121-161 du Code de la santé publique dispose :
 
« Le médecin, le chirurgien-dentiste, la sage-femme ou le pharmacien déclare immédiatement TOUT effet indésirable suspecté d’être dû à un médicament ou à un produit mentionné à l’article R.5121-150, dont il a connaissance, au centre régional de pharmacovigilance.
Les autres professionnels de santé, les patients et les associations agréées de patients peuvent déclarer TOUT effet indésirable suspecté d’être dû à un médicament ou à un produit mentionné à l’article R.5121-150, dont ils ont connaissance, au centre régional de pharmacovigilance.
(…). »
 
Selon le Code de la santé publique, et contrairement à ce qui est affirmé dans cet article de presse, « tout » effet indésirable « suspecté » doit être déclaré en pharmacovigilance. Il n’est pas nécessaire que cet effet indésirable soit certain : une simple suspicion d’un lien de causalité entre cet effet indésirable et le médicament (vaccin) concerné suffit à rendre cette déclaration obligatoire pour notamment « le médecin, le chirurgien-dentiste, la sage-femme ou le pharmacien ». Il n’est pas nécessaire, non plus, que ces derniers soient les prescripteurs ou les dispensateurs dudit médicament (vaccin) : dès qu’ils sont informés, ils doivent signaler ledit effet indésirable au CRPV territorialement compétent.
 
Cet article (R.5121-161) du Code de la santé publique a été modifié par le Décret n°2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à la pharmacovigilance. Il nous semble, qu’avant ce décret, l’obligation de déclaration en pharmacovigilance ne pesait que sur les effets indésirables « graves » (même connus) ou « inattendus ». La question est donc : pourquoi avoir élargi le champ de cette notification à « tous » les effets indésirables depuis 2012 ?
 
En effet, d’autre part, les « Bonnes pratiques de pharmacovigilance », prises par « Décision du 2 février 2018 » du Directeur général de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et intégrées au Code de la santé publique, consacrent cette obligation de déclaration immédiate de « tout » effet indésirable (page 19/43) :
 
« Fait l’objet d’une déclaration immédiate tout effet indésirable suspecté d’être lié à l’utilisation d’un ou plusieurs médicaments qu’il soit grave ou non, listé ou non dans la notice patient, survenant dans des conditions d’utilisation conforme ou non conforme aux termes de l’autorisation ou de l’enregistrement du ou des médicaments. Sont également concernés, les effets indésirables résultant : (...) ».
 
Dès le 10 juin 2018, ces Bonnes pratiques de pharmacovigilance ont fait l’objet d’un article publié, sur le site du CTIAP, sous le titre : « Pharmacovigilance : l’ANSM rappelle aux PROFESSIONNELS DE SANTÉ leur OBLIGATION relative aux TYPES d’effets indésirables médicamenteux à DÉCLARER ».
 
Toutefois, les inquiétudes des CRPV, exprimées dans cet article de presse, nous semblent légitimes : les moyens dont disposent ces CRPV devraient être mobilisés pour documenter, en priorité, les effets indésirables « nouveaux ou graves ». Les CRPV soulèvent également deux causes à l’origine de cette « embolie du système » : d'une part, la création du « portail de signalement des effets secondaires [indésirables] » ; et d'autre part le fait que « beaucoup » de « signalements » reçus, par les CRPV, « n’ont pas le niveau de précision requis. Certains médecins se contentent en effet de nous déclarer "décès", "thrombose", "hospitalisation"… » ; ce qui obligent les CRPV à « recontacter les médecins pour demander les antécédents, les facteurs de risques, les données cliniques, le jour de la vaccination. Et ainsi construire une histoire clinique… C’est cette histoire clinique qui permet de construire le dossier qui est intégré dans la base nationale » de pharmacovigilance.
 
Mais si ces inquiétudes des CRPV sont légitimes, et au lieu de stigmatiser publiquement les déclarants (professionnels de santé, patients…) qui ne font que se conformer à la « loi » (au sens large), il y a lieu de s’interroger plutôt sur les véritables causes à l’origine de cette nouvelle « embolie du système » de pharmacovigilance ; un tel constat ayant déjà pu être réalisé lors de l’« affaire LÉVOTHYROX° » notamment. Parmi ces causes, certaines ont déjà été identifiées depuis plusieurs années. Et le CTIAP a déjà proposé quelques réflexions sur ce point comme le montre l’article publié, le 16 juin 2017, sous le titre « Pharmacovigilance : une nouvelle plateforme du Ministère de la santé inutile, nuisible et coûteuse » ; une réflexion qui alertait déjà en ces termes :
 
« Cette orientation prise ne peut que conduire à la dilution des signaux importants. Les cas graves et/ou inattendus peuvent être noyés dans une masse d’informations transmises sans contrôle préalable ».
 
Et, une autre cause potentielle, de cette nouvelle « embolie du système » de pharmacovigilance, mérite d’être soulevée. En effet, dans le cadre des vaccins contre la Covid-19 qui ont été autorisés notamment en Europe (et donc en France), il y a lieu de rappeler notamment le contenu du paragraphe « E » de l’annexe II de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) « conditionnelle » (temporaire) correspondant à chacun de ces vaccins. Selon les termes de ce paragraphe « E », l’évaluation du rapport bénéfice/risque de ces vaccins n’est pas terminée. Et par conséquent, en principe, la gestion des déclarations des effets indésirables, observés après l'administration de ces vaccins, aurait dû être supportée par les laboratoires pharmaceutiques concernés comme cela serait fait lors des essais cliniques (chez l’Homme) qui précédent l’AMM, nous semble-t-il ; et non pas par les CRPV (et à moyens constants). Ledit contenu de ce paragraphe « E » de l’annexe II de AMM « conditionnelle » est repris dans l’article publié, le 2 avril 2021, par le CTIAP sous le titre « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA) ».
 
Dès 2002, au centre hospitalier de Cholet, nous avons proposé, en lien avec le CRPV territorialement compétent, une organisation efficiente (qualité, sécurité, coût) de la pharmacovigilance. Cette organisation a été saluée par plusieurs autorités ad hoc. Elle est décrite notamment dans une publication parue, en 2006, dans une revue nationale avec comité de lecture « Le Pharmacien Hospitalier » sous le titre : « La pharmacovigilance dans un Centre Hospitalier Général : modalités pratiques de mise en place, résultats et actions d’améliorations ». Cette organisation contribue à soulager le CRPV : les déclarations sont reçues et complétées, localement, par l’unité de pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet avant leur transmission au CRPV ; ce dernier dispose d’un correspondant local bien identifié s’il a besoin d’un complément d’informations ; cette antenne locale (de proximité) du CRPV a plus facilement accès aux dossiers des patients ; etc. Mais, curieusement, dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19, cette procédure, en vigueur à l’hôpital de Cholet depuis 2002, a été violée ; et les alertes adressées notamment à la direction sont restées vaines.
 
Par ailleurs, et à plusieurs reprises, nous avons déjà signalé des obstacles à la pharmacovigilance comme le montrent ces deux articles disponibles sur le site du CTIAP :
 
 
 
Malgré ces alertes auprès des autorités ad hoc notamment, rien n’a changé : les obstacles à la pharmacovigilance continuent de prospérer.
 
Une autre solution pourrait également trouver sa source dans cette autre analyse proposée dans l’article du CTIAP publié, le 10 décembre 2018, sous le titre « Le PMSI : un moyen pour détecter les effets indésirables liés aux médicaments et NON DÉCLARÉS en pharmacovigilance ».
 
Enfin, il y a lieu d’utiliser le terme d’effet « indésirable » et non celui d’effet « secondaire ». Car, l’effet « indésirable », notamment, est défini, de façon précise, par le Code de la santé publique (article R.5121-152) ; cet article définit aussi ce qu’est un effet indésirable « grave », « inattendu », etc..
 
En conclusion, et eu égard aux motifs (non exhaustifs) ci-dessus mentionnés, l’affirmation de cet article de presse (publié par le journal « Libération CheckNews »), qui semble vouloir imputer les réclamations enregistrées à notamment des « divers sites ou comptes opposés à la vaccination », nous semble être une argumentation, pour le moins, irrecevable : elle ne peut donc prospérer. Et en cas de divergence d’opinions, il y a lieu de se référer, d’abord, aux règles consacrées notamment par la « loi » (au sens large) et par les règles professionnelles ; au lieu de mettre à l’index, et publiquement, les déclarants (professionnels de santé, patients, etc.) qui ne font que suivre le cadre légal prescrit au système de pharmacovigilance français. Et d’autant plus que la sous-notification est habituellement forte en pharmacovigilance ; et que l’évaluation du rapport bénéfice/risque de ces nouveaux vaccins contre la Covid-19 n’est pas achevée.

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/05/vaccins-contre-la-covid-19-declaration.html
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