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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:07

Le mercredi 28 avril 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Conférence sur FranceSoir. Huitième réunion – à distance – d’information indépendante destinée au public : « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) »


 
Dans la continuité de ses précédentes réunions d’information indépendante destinée au public notamment, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet vous propose la huitième rencontre – à distance eu égard au contexte lié à la gestion de la Covid-19 – qui porte sur le thème suivant : « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ».
 
Cette 8ème conférence, tenue le 27 avril 2021, a été organisée en urgence. Elle est diffusée par le journal FranceSoir dans un article publié, le 27 avril 2021, sous le titre : « Dr Umlil – le Grand debriefing : le consentement éclairé, après les recours devant le Conseil d’État ». Dans cet article, FranceSoir met à disposition du public, notamment, les éléments suivants :
 
    L’intégralité de cette conférence : une vidéo d’une durée de 02h 47min 30s ;
 
    Les conclusions de cette conférence : une vidéo d’une durée de 26min 30s ;
 
  Le support de présentation (52 diapositives) de cette conférence : ce support fait partie intégrante de l’ensemble de la présentation (vidéo intégrale) ; il ne peut donc être diffusé, lu et interprété en dehors des explications apportées dans cette vidéo complète (de 02h 47min 30s).
 
 
À nouveau, nous tenons à renouveler nos remerciements à Monsieur Xavier AZALBERT et à toute l’équipe de FranceSoir pour leur contribution à cette 8ème réunion d’information indépendante organisée par le CTIAP.
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/conference-sur-francesoir-huitieme.html
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:08

Le vendredi 16 avril 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19 : pourquoi ce « silence » des médias traditionnels (dominants) sur les « effets indésirables » des vaccins « BioNTech – Pfizer » et « Moderna » ?


 
Depuis plusieurs mois, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet a consacré plusieurs articles visant à proposer une analyse du « rapport bénéfice/risque » des vaccins contre la Covid-19. Actuellement en France notamment, trois vaccins sont commercialisés et administrés : vaccin des laboratoires BioNTech – Pfizer ; vaccin du laboratoire Moderna ; vaccin du laboratoire Astra Zeneca.
 
Concernant l'analyse du « bénéfice », plusieurs articles sont déjà disponibles sur ce même site. Pour rappel et de façon résumée, il ressort de notamment la bouche du Ministre des solidarités et de la santé (en conférence de presse en date du 18 février 2021), des écritures du Ministère (des solidarités et la santé) produites depuis fin février 2021 auprès du Conseil d’État, des documents de la haute autorité de santé (HAS) et de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM)… que la preuve n’a pu être apportée quant à la capacité de ces vaccins de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 ou d’empêcher la transmission virale, notamment. C’est la raison pour laquelle les personnes vaccinées continuent d’être soumises aux mêmes restrictions des libertés fondamentales qui sont imposées aux personnes non-vaccinées.
 
Il y a donc lieu de réserver le présent article au « risque » de ces vaccins ; tout en s’interrogeant sur le silence des médias traditionnels (dominants) concernant les « effets indésirables » notifiés en pharmacovigilance suite à l’administration des vaccins autres que le vaccin Astra Zeneca. Pourquoi ces médias n’ont-ils pas jugé utile d’informer également la population sur les effets indésirables des vaccins BioNTech – Pfizer et Moderna ?
 
Pourtant, chaque semaine, sur son site internet, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), notamment, publie plusieurs documents correspondant aux effets indésirables (signalés en pharmacovigilance) de ces trois vaccins contre la Covid-19. Ces rapports sont publiés sous le titre « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 ».
 
Pourtant, le premier décès notifié à ladite ANSM, par le système de pharmacovigilance, est celui qui est survenu environ 2 heures après l’administration du vaccin BioNTech – Pfizer. Un commentaire du CTIAP de l’analyse de ce cas, telle qu’elle a été effectuée par l’ANSM, est disponible dans l’article publié, le 20 janvier 2021, sous le titre : « Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la « preuve diabolique » (exigée des familles des personnes décédées) ».
 
Parmi lesdits documents, publiés de façon hebdomadaire par l’ANSM, figure celui dénommé « synthèse des résultats et les faits marquants ».
 
Sans présumer de la certitude du lien de causalité entre ces effets indésirables et ces vaccins, et sans occulter la forte sous-notification habituellement observée en pharmacovigilance, la présente réflexion vous propose donc, ci-dessous, quelques extraits de « la synthèse des résultats et les faits marquants » en date du 9 avril 2021 ; telle qu’elle a été publiée, le 9 avril 2021 - et mise à jour le 15 avril 2021 -, par l’ANSM sous le titre « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 26/03/2021 au 01/04/2021 » (chaque personne est invitée à lire l’intégralité de ce document disponible sur ledit site de l’ANSM) :
 
« Plus de 8 513 000 injections avec COMIRBNATY (BioNTech – Pfizer)
Plus de 801 000 injections avec COVID-19 VACCINE Moderna
Plus de 2 454 000 injections avec COVID-19 VACCINE AstraZeneca » »
 
 
N.B. : Dans ce qui suit, sont listés les effets indésirables indiqués dans ladite « synthèse des résultats et les faits marquants » du 9 avril 2021 ; et leurs nombres sont précisés entre parenthèses. Il y a lieu de relever qu’initialement, l’ANSM indiquait le nombre de « décès » en haut du tableau présenté dans cette synthèse. Puis, cette ligne correspondant à ces décès a été relayée tout en bas de ce tableau. Ensuite, le libellé « mortalité toute cause » notamment s’est substitué à celui de « décès »… Ce glissement dans le tableau, et au niveau sémantique, concerne en particulier le vaccin BioNTech – Pfizer. C'est ainsi que cette synthèse de l'ANSM précise :
 
 
« (…)
 
Concernant le vaccin BioNTech – Pfizer
 
« Zoom sur les effets indésirables graves dits « d’intérêt particulier » » :
Cardiomyopathie provoquée par le stress (3)
Maladie coronarienne (Cardiopathie ischémique) (54)
Insuffisance cardiaque (84)
Myocardite (7)
Troubles du rythme cardiaque (323)
Erythème polymorphe (2)
Vascularite (15)
Affections hépatiques aigues (20)
Accidents vasculaires cérébraux (167)
Embolie pulmonaire (77)
Maladie hémorragique (111)
Ischémie des membres (55)
Thrombocytopénie (18)
Thrombose véineue profonde (120)
Arthrite (26)
Diabète tout confondu (19)
Anosmie ou agueusie (5)
Convulsions généralisées (50)
Méningoencéphalite (3)
Méningite aseptique (2)
Paralysie faciale (62)
Syndrome de Guillain-Barré (2)
Insuffisance rénale aiguë (15)
Syndrome de détresse respiratoire aiguë (Cool
Mortalité toute cause (386)
COVID-19 (124)
Hypersensibilité et anaphylaxie de garde II et III (53)
 
« Erreurs médicamenteuses » :
Administration d’une dose incorrecte (30)
Schéma d’administration inapproprié (11) dont (1) avec effets indésirables graves associés
Problème de préparation du produit (Cool dont (1) avec effets indésirables graves associés
Site/voie d’administration inapproprié (Cool dont (4) avec effets indésirables graves associés
Autres circonstances (1)
 
« Faits marquants » :
 
« Effets indésirables déjà observés et sous surveillance » :
Thrombopénie / Thrombopénie immunologique / hématomes spontanés
Zona
Hypertension artérielle
Troubles du rythme cardiaque
Complications diabétiques
Echec vaccinal
Syndrome de Guillain-Barré
 
 
Concernant le vaccin Moderna
 
« Effets indésirables graves dits « d’intérêt particulier » » :
Convulsions / myoclonies (9)
Troubles du rythme cardiaque (12)
Mort subite (6)
Accidents vasculaires cérébraux (9)
Thromboembolie (9)
Réaction anaphylactique grade II et III (4)
Diabète (2)
Paralysie faciale (5)
Insuffisance cardiaque (1)
Hémorragie (2)
Echec vaccinal (1)
Pneumonie (1)
Myélite cervicale (1)
 
« Erreurs médicamenteuses » :
Schéma d’administration inapproprié (3)
Erreur de site d’administration (1)
Erreur d’indication (1) avec effets indésirables graves associés
 
« Faits marquants » :
Sont évoqués notamment des troubles vasculaires de type hypertension artérielle, troubles du rythme, des réactions de type réactogénicité (malaise, syndrome grippal), des cas graves d’événements thromboemboliques…
 
 
Concernant le vaccin AstraZeneca
 
« Zoom sur les effets indésirables graves dits « d’intérêt particulier » » :
Accidents vasculaires cérébraux (33)
Thrombocytopénies (16)
Troubles du rythme cardiaque (32)
Infarctus du myocarde (10)
Thrombus intra-cardiaque (1)
Embolie pulmonaire (EP) (33)
Thromboses veineuses cérébrales (9)
Thromboses veineuses splanchniques (3)
Thromboses veineuses profondes sans EP (50)
Myo-péricardite (2)
Méningoencéphalite (2)
Convulsions (10)
Paralysie faciale périphérique (7)
Syndrome de Guillain-Barré (1)
Réaction anaphylactique de grade II (5)
Anosmie / agueusie (6)
Décès (45)
 
« Erreurs médicamenteuses » :
Schéma d’administration inapproprié (2)
 
« Faits marquants » :
 
« Nouveaux effets indésirables placés sous surveillance » :
Saignements cutanéo-muqueux (principalement des ecchymoses et des saignements du nez)
Zona
Réactivation herpétique
Décès suite à une hépatite fulminante nécrotique, liée à une réactivation d’Herpès virus simplex type 1.
 
« Effets indésirables déjà sous surveillance » :
Syndromes pseudo-grippaux
Elévations de la tension artérielle
Dyspnées et asthme associés à des cas de syndromes pseudo-grippaux
Evénements thromboemboliques
Thromboses des grosses veines atypiques par leur localisation »
 
(…). »
 
                                                                                                                         
À nouveau, le CTIAP rappelle que, selon la loi (au sens large), l’information délivrée au public doit être claire, loyale et appropriée en vue d’un consentement libre et éclairé (une liberté fondamentale) de toute personne humaine. Et que cette information doit porter sur le rapport bénéfice/risque de tout médicament dont les vaccins.
 
Il y a donc lieu de s’interroger pourquoi ces médias traditionnels (dominants) n’ont-ils pas jugé utile d’informer la population sur ces bilans relatifs notamment aux effets indésirables de tous ces vaccins contre la Covid-19 ; alors même que ces rapports sont disponibles sur le site de l’ANSM.
 
Pourquoi seuls les effets indésirables, notamment graves dont les « décès », signalés après l’administration du vaccin AstraZeneca (et sans présumer de la certitude du lien de causalité, encore une fois) font l’objet d’une grande médiatisation ?
 
Enfin, en principe depuis le début, ces bilans sont publiés sur ce site de l’ANSM chaque vendredi en fin de journée. Toute personne peut donc les consulter et suivre leur évolution.
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/vaccins-contre-la-covid-19-pourquoi-ce.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:09

Le lundi 12 avril 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Covid-19. Vaccination des personnes « immunodéprimées » : la DGS (direction générale de la santé) semble encourager le « mésusage » ; et recommande même une « 3ème dose » des vaccins (Pfizer – BioNTech) et Moderna


 
Dans le cadre de la vaccination contre la Covid-19, la direction générale de la santé (DGS) diffuse, le 11 avril 2021, un document d’information à destination des professionnels de santé. Ce document, signé par le « Responsable de la Task Force Vaccination » puis par le « Directeur général de la santé », « recommande » notamment ceci :
 
« Une troisième dose de vaccin est recommandée pour les personnes immunodéprimées (Pfizer – BioNTech, Moderna)
Conformément à l’avis du 6 avril 2021 du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, l’injection d’une troisième dose de vaccin à ARNm [vaccin du laboratoire Pfizer – BioNTech, et du laboratoire Moderna] est nécessaire pour les personnes sévèrement immunodéprimées (transplantés d’organes solides, transplantés récents de moelle osseuse, patients dialysés, patients atteints de maladies auto-immunes sous traitement immunosuppresseur fort de type anti-CD20 ou anti-métabolites). Cette troisième injection doit intervenir 4 semaines au moins après la deuxième dose, ou dès que possible pour les personnes qui auraient déjà dépassé ce délai.
Des recommandations seront ultérieurement émises concernant la nécessité d’une troisième dose pour les insuffisants rénaux chroniques non dialysés, les patients atteints de cancers et les patients atteints de maladies auto-immunes sous d’autres traitements immunosuppresseurs. »
 
Or, cette recommandation de la DGS contrevient à ce qui est mentionné dans les autorisations de mise sur le marché (AMM) conditionnelles (temporaires) de ces deux vaccins. En effet, dans l’annexe I (Résumé des caractéristiques du produit : RCP) de l’AMM – paragraphe « 4.4 Mises en garde spéciales et précautions d’emploi » correspondant à chacun de ces deux vaccins, il est clairement indiqué ce qui suit :
 
« Personnes immunodéprimées
L’efficacité, la sécurité et l’immunogénicité du vaccin n’ont pas été évaluées chez les sujets immunodéprimés, y compris ceux recevant un traitement immunosuppresseur. L’efficacité [de ces deux vaccins] peut être diminuée chez les sujets immunodéprimés. »
 
Par conséquent, cette nouvelle « recommandation » de la DGS heurte le Code de la santé publique.
 
En effet, selon notamment l’article R.5121-152 du Code de la santé publique, le « mésusage » des médicaments (dont les vaccins) est défini comme étant « une utilisation intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement ainsi qu’aux recommandations de bonnes pratiques ».
 
Il y a lieu de rappeler que dès le 13 janvier 2021, au moins, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet avait déjà publié une alerte concernant ce « mésusage » observé dès ce mois de janvier.
 
Cette alerte du 13 janvier 2021 a été relayée, le 7 avril 2021, par le journal France Soir dans un article intitulé « Covid-19 : le vaccin jugé peu efficace sur les personnes immunodéprimées ». Cet article de FranceSoir se base sur ce qui semble être une récente découverte pour notamment le journal Le Monde et la revue JAMA.
 
Ce nouveau hiatus n’est qu’un exemple de décalage entre plusieurs recommandations des autorités ad hoc et les « données acquises de la science ».
 
Enfin, il est conseillé de relire notamment l’article publié, le 2 avril 2021, par le CTIAP sous le titre « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA) ».
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/covid-19-vaccination-des-personnes.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:10

Le samedi 10 avril 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 : Réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet


 
Monsieur Pierre VOLLOT,
Directeur,
Centre hospitalier de Cholet,
 
 
Copie adressée à :
Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON ;
Monsieur le Premier ministre, Jean CASTEX ;
Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN ;
L’Assemblée nationale ;
[au] Sénat ;
la Haute autorité de santé (HAS) ;
l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ;
Monsieur le Président du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Gilles BOURDOULEIX ;
Agence régionale de santé (ARS) des Pays-de-la Loire.
 
 
 
 
 
 
 
Lors de notre dernière rencontre, en date du 31 mars 2021, vous m’avez affirmé notamment ceci : « Je vous redis que je connais les compétences professionnelles indéniables que vous avez pu mettre au service de notre établissement et je vous en remercie ».
 
Mais, hier soir, soit le 9 avril 2021, j’ai découvert avec étonnement, et c’est peu dire, le texte qui a été publié par la direction du centre hospitalier (CH) de Cholet sur le réseau social Twitter : compte de l’hôpital. Ce texte diffuse publiquement le message suivant :
 
« La direction du Centre Hospitalier de Cholet précise que le Dr Umlil s’exprime, à titre personnel, dans le blog du CTIAP [centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques]. Ses opinions concernant la vaccination [contre la Covid-19] ne sauraient engager le Centre Hospitalier de Cholet. Depuis début janvier, le centre hospitalier a ouvert un centre de vaccination destiné aux professionnels de santé et aux services d’aide à domicile. A ce jour, près de 60% de ses personnels sont vaccinés ainsi que 90% des résidents de ses 2 EHPAD [établissement d’hébergement de personnes âgées dépendantes].
L’hôpital poursuit également activement la vaccination des patients les plus fragiles. »
 
Votre texte est publié sur le compte Twitter de l’hôpital en réponse à une personne anonyme qui se présente sous le surnom de « bolus200CH » et qui, le 2 avril 2021, vous posait la question suivante :
 
« Bonjour @ch_cholet @GHT_49. Est-il normal que @ctiap_cholet soit un repère d’antivax ? »
 
Cette personne poursuit : « Oui, c’est assez incompréhensible qu’un CH abrite de tels propos. Le médecin [en fait pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (Droit de la santé)] à la tête de ce centre est apparemment antivax et même Henrion Caude y va chercher des infos !!! ».
 
Ce simple commentaire vous a donc conduit à publier, immédiatement, ledit texte litigieux sur le compte Twitter de l’hôpital public de Cholet. Sans même m’en informer personnellement alors que vous me citez nominativement. Et tout en ignorant les nombreux autres messages favorables reçus, par différents moyens dont les réseaux sociaux (Twitter, Facebook notamment), qui témoignent, comme d’habitude, d’une satisfaction quasi-unanime envers les publications du CTIAP.
 
La violence verbale sous anonymat signe, presque mécaniquement, l’absence d’arguments et de courage de son auteur. Il est toujours surprenant de voir certains injurier, publiquement, les auteurs d’un raisonnement différent. L’anonymat valorise l’abus de liberté au détriment de la responsabilité.
 
Vous n’avez pas jugé utile de contredire ces graves accusations infondées et publiquement diffusées.
 
Par la présente lettre ouverte, j’ai donc l’honneur de vous rappeler les faits, non exhaustifs, suivants que vous semblez vouloir, brusquement, dissimuler auprès du public. Des faits que vous connaissez parfaitement.
 
En 2017, suite à la réclamation d’une famille concernant le décès d’un patient présumé lié à un médicament (réclamation qui avait d’ailleurs été envoyée également à la presse ; et qui a enregistré, ce qui est rare, une action de l’agence régionale de santé (ARS)), vous étiez bien content de trouver une analyse de ce dossier sur ce même site du CTIAP ; article que vous avez imprimé et joint à votre courrier, en date du 10 mai 2017, qui a été adressé à l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Au directeur général de l’ANSM, vous écriviez :
 
« J’attire votre attention sur l’article ci-joint du Docteur UMLIL, responsable de la pharmacovigilance au Centre Hospitalier de Cholet (…) ».
 
Le CTIAP est un service du centre hospitalier de Cholet dont la mission est affichée sur ce même site depuis la création de ce centre. Ce dernier étant une réponse concrète au rapport n°RM2007-136P établi par l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) en septembre 2007 ; rapport intitulé « L’information des médecins généralistes sur le médicament » qui montre que cette information émane de plusieurs sources dont l’indépendance n’est pas toujours garantie. Le communiqué de presse, en date du 10 juillet 2015 que nous avions co-signé, en atteste.
 
Le 21 août 2015, Hospimédia publie un article sous le titre : « Le CH de Cholet crée un centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques ».
 
Le projet de ce centre était prêt depuis le 10 décembre 2007. Et malgré sa validation par toutes les autorités ad hoc, il a rencontré de nombreux obstacles en pratique. Ce n’est donc que ce 10 juillet 2015 que j’ai pu, enfin, commencer à mettre en œuvre de façon effective les actions prévues dans le cadre de ce centre innovant.
 
Rapidement, le CTIAP a acquis une notoriété locale. Puis une portée nationale et internationale comme le relate les nombreux articles de presse, notamment.
 
Auriez-vous déjà oublié les réunions d’information indépendante destinées au public ; dont la première date du 13 octobre 2017 et qui concernait l’« affaire LÉVOTHYROX° » comme le montre votre propre communiqué de presse ? Une rencontre qui a enregistré la satisfaction du public notamment ; et cela est révélé par plusieurs journaux tels que : le Courrier de l’Ouest ; Ouest-France qui ont relevé que « la réunion a fait du bien aux patients ». Ou encore le journal Le Point qui a qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple » ; Ou encore Le Quotidien du Pharmacien qui a vu dans mon intervention « la pédagogie d’un pharmacien » ; etc.
 
Cette même « pédagogie » que vous avez, vous-mêmes, constatée dans une attestation, en date du 9 novembre 2017, destinée au Ministère public d’Angers. Document dans lequel, vous soutenez :
 
« Monsieur le Docteur UMLIL a été recruté en tant que pharmacien au Centre Hospitalier de Cholet le 1er septembre 2002.
Depuis cette date, Monsieur le Docteur UMLIL assure la responsabilité de la pharmacovigilance au Centre Hospitalier de Cholet, en lien étroit avec le centre régional de pharmacovigilance d’Angers. Il a mis également en place la coordination des vigilances sanitaires sur l’établissement en 2008 et créé le centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques en juillet 2015, à destination des professionnels de santé et des usagers.
A ce titre, Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »
 
Récemment, le 15 décembre 2020, concernant la 7ème réunion d’information indépendante destinée au public qui portait justement sur le sujet du moment (vaccins contre la Covid-19), le Courrier de l’Ouest vous posait la question suivante :
 
« Bonjour,
Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs.
Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ?
(…) »
 
À cette question du journal, vous avez répondu ceci :
 
« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],
La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID.
Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins.
La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet.
C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue.
(…) »
 
Cette réponse, adressée au Courrier de l’Ouest, est en contradiction avec celle que vous m’aviez envoyée quelques jours auparavant. En effet, dès le 30 novembre 2020, je vous sollicitais en ces termes :
 
« Bonjour,
Comme convenu, et pour information, ci-dessous l’annonce, concernant la « septième réunion - à distance - d’information indépendante destinée au public : « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir » », qui a été publiée sur le site du CTIAP »
Merci de faire relayer cette information auprès du public (comme cela a été fait pour les précédentes rencontres du CTIAP.
En vous remerciant,
Bien cordialement »
 
À cette demande habituelle, vous m’avez opposé, cette fois, un refus de façon expresse :
 
« (…) Je ne pourrai donc pas répondre à vos sollicitations et vous demanderai de bien vouloir ne pas solliciter sans arrêt les personnels de la DRUSAG [entendons le service chargé de la communication].
(…) »
 
Cette réponse, en interne, est donc bien en totale contradiction avec celle que vous avez adressée au journaliste du Courrier de l’Ouest qui s'interrogeait sur le silence inhabituel du centre hospitalier en pareilles circonstances.
 
Comme j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire, tout semble avoir été mis en œuvre pour mettre des freins à la tenue de cette réunion poursuivant, pourtant, un seul but : l’intérêt général. Un juriste pourrait qualifier ces manœuvres de « sabotage » d’une mission d’information relevant du service public.
 
Mais, cette réunion a, malgré tout, fini par avoir lieu. Et, ce n’est pas grâce à votre soutien ou à celui du service de communication.
 
La veille de la rencontre, la Télévision Locale du Choletais (TLC) me propose de diffuser, directement, cette conférence via ses différents canaux (cliquer sur TLC ci-dessus pour accéder au lien vers l'intégralité de cette réunion).
 
En réalité, je ne suis pas surpris de ce type de méthodes que j’éviterais de qualifier dans la présente lettre.
 
Le 26 août 2020, je vous ai déjà adressé quelques précisions suite à la diffusion, par la direction du centre hospitalier de Cholet sur ce même compte Twitter de l’hôpital, de l’un des articles du CTIAP. Un article qui avait suscité l'intérêt de plusieurs collègues notamment médecins et votre intérêt ; comme tant d’autres. Des précisions qui ont fait suite au commentaire d’un usager qui s’interrogeait sur la façon avec laquelle la direction de l’hôpital tente d’échapper à sa responsabilité.
 
Suite à mes deux lettres ouvertes adressées le 5 mars 2021 et le 8 mars 2021 respectivement au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé ; et suite aux nombreuses réactions approuvant le contenu de ces lettres, le même Courrier de l’Ouest a souhaité m’interroger. Cet entretien est publié le 14 mars 2021 sous le titre : « Covid-19 : un pharmacologue choletais s’oppose à toute obligation en l’état ». Dans sa version « papier » parue le 15 mars 2021, cet article du Courrier de l’Ouest relève notamment ceci :
 
« Sollicitée pour réagir aux propos du Dr Amine UMLIL, et faire témoigner un soignant acceptant de se faire vacciner, la direction de l’hôpital n’a pas souhaité donner suite à nos demandes ».
 
Et pour cause, connaissez-vous une personne, notamment au centre hospitalier de Cholet, qui soit capable de contredire mes analyses fondées sur les preuves, et vérifiables sur pièces ?
 
Mais, une nouvelle surprise a surgi d’ailleurs : de Monsieur le docteur Jean-Michel DEBARRE, le dermatologue et homme politique que vous connaissez bien puisqu’il a déjà exercé au centre hospitalier de Cholet. Réaction spontanée de sa part ou plutôt provoquée par un tiers ? Il m’a contredit par voie de presse (le même Courrier de l'Ouest). Je lui ai alors proposé un « débat public télévisé en direct » depuis le 18 mars 2021. Le Courrier de l’Ouest a refusé de relayer ma demande (mon droit de réponse). À ce jour, j’attends toujours des nouvelles de mon contradicteur.
 
Contrairement à vos affirmations, je ne m’exprime donc pas à titre « personnel » mais bien en ma qualité de notamment « pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier responsable du CTIAP, de l’unité de pharmacovigilance et de la coordination des vigilances sanitaires » au centre hospitalier de Cholet dont la direction vous est confiée. Comme cela figure dans notamment votre propre attestation destinée au Parquet d’Angers ; en vue de me recommander comme « expert près les Tribunaux »
 
Ce que vous qualifiez de « ses opinions » sont, en réalité, mes analyses conformes aux données acquises de la science.
 
Contrairement à vous et aux autres qui vous entourent au sein du premier cercle du pouvoir local notamment, je refuse de « jouer » au supplétif d’une politique de santé qui diffuse des messages, pour le moins, inexacts et contradictoires susceptibles de vicier le consentement des personnes humaines ; un consentement placé au rang des libertés fondamentales et qui est censé être libre et éclairé.
 
La direction médico-administrative de l’hôpital n’a pas hésité à diffuser des documents dont le contenu est en décalage avec les autorisations de mise sur le marché (AMM), elles-mêmes, qui ont été attribuées auxdits vaccins contre la Covid-19. Mais, je dois avouer que les autorités nationales et européennes, notamment, vous ont donné l’exemple. En particulier, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et la haute autorité de santé (HAS) ont formulé, publiquement, des recommandations qui incitent au « mésusage » de ces vaccins. Ce mésusage est défini ainsi par le Code de la santé publique : « une utilisation intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement ainsi qu’aux recommandations de bonnes pratiques » (article R.5121-152 du Code de la santé publique).
 
L’actuelle agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n’est d’ailleurs que la descendante de l’ancienne AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) qui était obligée de « changer de nom » pour assurer sa survie. Un réarrangement cosmétique de l’organisation comme l’on tente de le faire aujourd’hui avec l’un des vaccins contre la Covid-19. Cette agence vient d’ailleurs d’être fraîchement condamnée au pénal dans l’« affaire MÉDIATOR° » pour des graves manquements à son rôle de police sanitaire (gendarme du médicament). Mais, seule la personne morale aurait été condamnée. La personne morale, à laquelle il est impossible de serrer la main, qui sert de bouclier protecteur à une délinquance en col blanc. Se référer encore à cet autre article du CTIAP.
 
Concernant la haute autorité de santé (HAS), nous savons depuis un certain temps que « son qualificatif de "haute autorité" n’est toujours pas justifié ». Et que plusieurs de ses guides ont « des défauts majeurs ou susceptibles de nuire à la qualité des soins ».
 
Les obstacles ayant tenté d'empêcher le CTIAP d'accomplir sa mission qui consiste à informer valablement le public sur les réels rapports bénéfices/risques des vaccins autorisés, notamment en France, rappellent les freins qui portent toujours atteinte à l’exercice normal de l'activité de pharmacovigilance. Comme cela est lisible dans l’article intitulé « DROIT DE RÉPONSE à OUEST-FRANCE. « Putsch administratif » sur les vigilances sanitaires. Suite « Obstacles à la pharmacovigilance » : notre alerte relayée par l’ANSM ».
 
L’ANSM, la HAS, l'ARS, ainsi que le Ministère des solidarités et de la santé, sont donc parfaitement informés de ces obstacles. Et, ils ne sont pas les seuls à être au courant.
 
Mais, de tels obstacles ne font que renforcer la conviction de continuer à servir l’intérêt des patients. Nos lecteurs sont d’ailleurs invités à découvrir l’intégralité de mon entretien, du 6 avril 2021, avec France Soir. Les commentaires enregistrés là encore, et sur ce média, sont d’une toute autre nature. Nos fidèles lecteurs peuvent aussi écouter mon intervention dans l’émission de Monsieur André BERCOFF sur SUD RADIO à propos du projet de vaccination « obligatoire » des soignants.
 
En votre qualité de directeur, vous n’avez aucune compétence, et donc aucune légitimité, à vous exprimer publiquement dans le domaine du médicament (dont les vaccins). Et pourtant, la presse vous sollicite souvent dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19. La seule véritable compétence et indépendance, dans ce domaine, est assurée par le CTIAP que vous semblez vouloir dénigrer, discréditer, brutalement et publiquement.
 
À l’inverse, mon double parcours hospitalo-universitaire pharmaceutique ; et dans les facultés de droit ainsi qu’à l’école des hautes études en santé publique (EHESP) ; m’octroie une compétence dans votre propre domaine de direction d’hôpital.
 
D’ailleurs, mes alertes, qui datent d’au moins 2006, sur la dégradation des conditions de travail au sein de l’hôpital public se sont vérifiées aujourd'hui. Comme vous le savez encore, deux réflexions publiées, en 2020 sur ce même site du CTIAP, ont été intégralement reprises dans des tribunes du journal Le Point. C’est ainsi que nos lecteurs ont pu découvrir les publications suivantes et notamment :
 
« L’hôpital public est-il soluble dans le marketing ? » ;
 
« Hôpital public. Lits de réanimation insuffisamment occupés : le directeur enjoint au chef de service de s’expliquer sur la perte « financière » engendrée » ;
 
« L’équation hospitalière : de R. BOULIN à M. TOURAINE » ;
 
« TRIBUNE. L’hôpital public a besoin d’un choc structurel » ;
 
« TRIBUNE. 23 propositions nouvelles et indépendantes pour l’hôpital public de demain ».
 
L’ensemble de ces réflexions sur l'hôpital public est disponible dans l’article publié, sur ce même site du CTIAP, sous le titre « Comprendre le délabrement de l’hôpital public français en 6 lectures ».
 
Je pourrais continuer encore à vous rafraîchir la mémoire. Mais, ces quelques motifs, non exhaustifs, semblent suffisants. Ils vous démontrent, sur pièces, la gravité de vos affirmations publiquement tenues ; et qui me ciblent de façon nominative.
 
Face à ces agressions, au lieu de m’accorder la protection fonctionnelle, que je tiens légalement de mon statut de praticien hospitalier, vous avez manifestement fait un autre choix : me jeter dans la boue et m'abandonner au lynchage public. Comme vous pouvez le constater via les Tweets dont vous êtes destinataires depuis notamment votre texte litigieux. Ce dernier semble avoir encouragé davantage mes détracteurs ; et ces derniers pensent qu’ils sont hors-atteinte des services de police.
 
Ledit « bolus200CH » semble d’ailleurs jubiler eu égard à votre position exprimée : « En tout cas le @ch_cholet se désolidarise de la source de @CaudeHenrion, le @ctiap_cholet de @amine_umlil antivax ».
 
Les méthodes de management basées sur notamment la ruse, le mensonge, la manipulation, la propagande, la mauvaise foi, etc. relèvent d’une période révolue. Elles n’ont pas leur place dans un établissement de santé, dans un hôpital public notamment.
 
Vos méthodes ne peuvent que porter atteinte à notamment l’image du CTIAP qui est, pourtant, l’un des services de l’hôpital les plus vertueux et les plus efficients. Elles ne peuvent que nuire également à mon honneur et à ma réputation. De façon totalement injustifiée. Infondée. Mais, j’ai l’habitude ; comme vous le savez encore une fois.
 
Vous auriez dû relayer les articles du CTIAP pour accomplir vos diligences normales en matière d’alerte sanitaire : auprès du public, des professionnels de santé, des décideurs, etc. Et notamment celui en date du 2 avril 2021 publié sous le titre :
 
« Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA) ».
 
Votre rôle consiste à faciliter la tâche des experts du domaine concerné. Et non l’inverse.
 
Toutefois, vous semblez avoir oublié un point. À cette personne anonyme pour laquelle vous avez préféré sacrifier un praticien hospitalier sur la place publique, vous avez oublié de répondre à l’autre question qu’elle avait soulevée :
 
« Le @ch_cholet sont aussi des criminels ? »
 
Vous auriez dû informer votre cher(e) interlocuteur(trice) privilégié(e) en lui transmettant au moins quelques indices qui pourraient l’aider à satisfaire davantage sa curiosité ; et à nourrir encore plus son raisonnement qui semble profondément perturbé tant sur le plan intellectuel que sur le volet émotionnel. Et ce ne sont pas les faits qui manquent.
 
Par exemple, il aurait été utile de mentionner l’article du Courrier de l’Ouest, en date du 19 décembre 2020, intitulé « L’hôpital a-t-il voulu faire taire sa médecin ? » ; ce médecin est la Présidente de la commission médicale d’établissement (CME) de l’hôpital de Cholet qui a été, selon cet article, « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur la tête »… avant d’être expédiée, le « 31 mars 2020 », vers « l’hôpital Saint-Jacques du CHU de Nantes » : un hôpital psychiatrique. Au moment de ces faits, et en pleine crise liée à la Covid-19, il me semble que ce médecin était également le chef de service de réanimation… Cette représentante de tous les praticiens de l'hôpital de Cholet « a porté plainte fin août pour faux, usage de faux et séquestration ».
 
Vous auriez aussi pu l’orienter vers la décision livrée lors du conseil municipal de janvier 2021. Cette séance a été filmée et diffusée par la télévision locale du choletais (TLC) notamment. Lors de ce conseil, le Maire de Cholet et Président du conseil de surveillance de l’hôpital de Cholet a décidé de se « retirer » de ce conseil de surveillance « pour des raisons à la fois locales et nationales » en prétendant « n’avoir aucun pouvoir de décision ». En décrivant la situation, il a même employé le terme de « criminalité » vis-à-vis des Français.
 
Comme vous le savez aussi, un résumé de ces deux « affaires » (ci-dessus mentionnées) est disponible via notamment un article publié sous le titre « Retrait du maire de Cholet du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet : lettre ouverte à Monsieur Gilles BOURDOULEIX, maire de Cholet ».
 
Le moment venu, les médias, qui sont parfaitement informés de ce qui se passent notamment actuellement dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19, et qui ont délibérément censuré et stigmatisé les sources indépendantes d’information destinée au public, pourraient voir leurs responsabilités engagées. Ils peuvent continuer à censurer notamment le CTIAP du centre hospitalier de Cholet.
 
Un vrai journaliste est qualifié de « chien de garde de la démocratie ». Leur silence, alors qu’ils sont parfaitement informés, me semble pire que les comportements déviants des auteurs d’agissements fautifs et répréhensibles.
 
Par conséquent, je vous demande donc de bien vouloir diffuser l’intégralité de ce droit de réponse sur le même compte Twitter du centre hospitalier de Cholet d’une part ; et de présenter publiquement vos excuses tout en retirant ledit texte litigieux.
 
En espérant une réponse, favorable et rapide, à cette demande préalable,
 
En me réservant le droit de parfaire la présente lettre ouverte, et d’engager, le cas échéant, toute action légale utile,
 
Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le directeur du centre hospitalier de Cholet, l’expression de mon profond respect.
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/lettre-ouverte-vaccins-contre-la-covid.html
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:12

Le jeudi 8 avril 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Covid-19. Entretien avec le journal FranceSoir : « Vaccination : la validité du consentement éclairé mise en cause – debriefing avec Amine Umlil »


 
Dans le cadre de la Covid-19 et dans la continuité de nos précédentes réflexions, le 6 avril 2021, le journal FranceSoir publie notre entretien sous le titre « Vaccination : la validité du consentement éclairé mise en cause – debriefing avec Amine Umlil ».
 
Plusieurs points ont été abordés lors de cet échange avec Monsieur Xavier Azalbert.
 
La vidéo de cet entretien, d’une durée de 1h 39min 15s, est accessible via l’article publié par FranceSoir.
 
Je tiens à renouveler mes remerciements à Monsieur Xavier Azalbert et à toute l’équipe de FranceSoir. Ce dernier semble être, actuellement, l’un des rares médias français à permettre notamment un débat d’intérêt général, public, en acceptant une diversité des réflexions, d’analyses et d’opinions ; et par conséquent, un débat contradictoire et utile.
 
 
 
N.B. : Par ailleurs, le 7 avril 2021, ce même journal (FranceSoir) publie un autre article intitulé « Covid-19 : le vaccin jugé peu efficace sur les personnes immunodéprimées » ; en se basant sur ce qui semble être une récente découverte pour notamment le journal Le Monde et la revue JAMA. Dans cet article, FranceSoir rappelle l’alerte qui avait été publiée par le CTIAP du centre hospitalier de Cholet depuis au moins le 13 janvier 2021 ; en précisant qu’« il aura donc fallu près de deux mois pour que cette information soit reprise dans les médias. Ne serait-il pas de bon ton que les services de pharmacovigilance et les experts comme le Dr Umlil soient plus consultés et leurs écrits pris en considération dont la conclusion était : (…) ».
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
 
Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/covid-19-entretien-avec-le-journal.html
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Empty Re: ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1-

Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:13

Le vendredi 2 avril 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA)


 
Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.
 
 
 
Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.
 
Dans le domaine du médicament (dont les vaccins), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.
 
Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vaccins contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.
 
Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.
 
La présente réflexion présente d’abord ce qu’est une AMM « conditionnelle » (I). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées puisqu’elles s’étalent de « 2021 à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.
 
 
I- En premier lieu, il est important de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »
 
L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques. L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.
 
En l’espèce, dans le cas de ces vaccins contre la Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d’études en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.
 
Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les 30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.
 
Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours en cours.
 
 
II- En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »
 
L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.
 
Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.
 
À titre d’exemple, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».
 
Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.
 
Le vaccin Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « mars 2024 ».
 
Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».
 
Mais, à ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 vaccins. Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions de gens.
 
 
III- En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.
 
C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et vendu) est fixé aux mois de :
 
« juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;
 
« juin 2021 » pour Moderna ;
 
« juin 2022 » pour Astra Zeneca ;
 
« août 2021 » pour Janssen.
 
En effet, pour ces 4 vaccins, le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :
 
Pour le vaccin BioNTech/Pfizer (pages 18-19)
 
À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».
 
À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :
 
« compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;
 
« renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » ;
 
« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;
 
« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;
 
Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l’efficacité et la sécurité » de ce vaccin, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».
 
Pour le vaccin Moderna (page 15)
 
Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :
 
« compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;
 
« confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini (tailles de lot initiale et finale) (échéance « avril 2021 ») ;
 
« fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2021 ») ;
 
« soumettre le rapport final de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 Vaccine Moderna » (échéance « décembre 2022 »).
 
Pour le vaccin Astra Zeneca (pages 14-15)
 
Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :
 
« fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;
 
« fournir l’analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;
 
« soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;
 
« fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;
 
« soumettre la synthèse et les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour l’étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).
 
Pour le vaccin Janssen (page 18)
 
Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :
 
« fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;
 
« déposer le rapport final de l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518COV3001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la sécurité du vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).
 
Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.
 
 
Conclusion
 
Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre la Covid-19.
 
L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.
 
D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.
 
Le changement du nom commercial de l’un de ces vaccins, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vaccin du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.
 
Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament (dont les vaccins), la « libération » du produit fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.
 
Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé notamment) peut également être engagée.
 
À notre avis, ces études cliniques n’auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces vaccins.
 
Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vaccin administré peut varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à l’autre… ?
 
Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.
 
Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.
 
Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.
 
La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.
 
Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd’hui vaccinées.
 
Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).
 
L’« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».
 
Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.
 
La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) est la première des pauvretés et des inégalités.
 
D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité de ces vaccins, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État change de position et admet « l’incertitude qui demeure sur l’efficacité réelle du vaccin quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que ces vaccins permettent de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).
 
Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021 - mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces vaccins. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces décès) : « 311 décès » après l’administration du vaccin BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l’administration du vaccin Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vaccin Astra Zeneca ; (pas de données pour l’instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé). En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.
 
Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.
 
D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:14

Le samedi 20 mars 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Vaccins contre la Covid-19 : des informations susceptibles d’intéresser les deux avocats israéliens auteurs de la plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI)


 
Objet : Vaccins contre la Covid-19 (Sars-CoV-2) ; Plainte provenant d’Israël, déposée par deux avocats israéliens auprès de la Cour pénale internationale (CPI).
 
Transmission, pour information, de certaines données relevées, cette fois, en France. Ces éléments sont disponibles sur le site du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet ; région des Pays-de-la Loire ; département du Maine-et-Loire (49) ; France.
 
 
 
Lettre ouverte
 
À l’attention de Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski
Avocats israéliens
Auteurs de la plainte déposée auprès de la Cour pénale internationale (CPI)

Madame, Monsieur,
Bonjour,
 
 
 
En France, le 19 mars 2021, le journal FranceSoir publie un article intitulé « Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski, la plainte à la Cour pénale internationale ».
 
Cet article affirme notamment ceci : « Avocats israéliens, Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski ont déposé une plainte à la Cour pénale internationale de la Haye, pour violation du code de Nuremberg par l’Etat israélien ».
 
Dans cet article, ce journal, en partenariat avec BonSens, publie également une vidéo (d’une durée de 31min 41s) sous le titre « Les Debriefings FranceSoir ; Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski ». Ces échanges ont attiré davantage mon attention.
 
Afin de contribuer à la recherche et à la manifestation de la vérité, je souhaite porter à votre connaissance des faits qui sont relevés, cette fois, en France.
 
Car, le constat par vous-mêmes effectué en Israël semble confirmer certains faits que j’ai pu observer dans le cadre de mon exercice professionnel notamment. Nos constats respectifs pourraient s’avérer concordants.
 
Par ailleurs, en France notamment, la responsabilité de certains médias traditionnels (dominants) devrait également être interrogée. Alors que ce sujet a une portée d’intérêt général, ces médias ne semblent pas permettre un débat public, contradictoire et utile. Toute analyse divergente par rapport au discours "officiel" semble encourir la censure ; et son auteur la qualification d’« antivax » ou de « complotiste ». Pourtant cette analyse contradictoire est argumentée, vérifiable, et fondée sur notamment des affirmations et des documents émanant des autorités ad hoc elles-mêmes.
 
Ces faits, constatés en France, sont déjà disponibles. Ils sont publiés sur le présent site du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet ; bien avant le dépôt de ladite plainte. Cet hôpital public est situé dans l’Ouest de la France, région des Pays-de-la Loire, département du Maine-et-Loire (49). J’exerce dans cet hôpital depuis septembre 2002. Je suis pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, responsable de l’unité de « pharmacovigilance – coordination des vigilances sanitaires – CTIAP ».
 
Ces publications du CTIAP constituent notamment des alertes.
 
Parmi ces alertes figure une lettre ouverte récente, en date du 5 mars 2021, publiée sous le titre « Covid-19. Projet de vaccination « obligatoire » des soignants : lettre ouverte au Ministre des solidarités et de la santé ».
 
D’autres faits et alertes peuvent être consultés dans les articles, non exhaustifs, suivants :
 
Le 8 mars 2021 – « LETTRE OUVERTE. Vaccination des « soignants » contre la Covid-19 : Réponse à l’injonction diffusée par 7 Ordres professionnels de santé » ;
 
Le 4 mars 2021« Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’« administration » française » ;
 
Le 17 février 2021« Vaccins contre la Covid-19 : le pharmacien réduit à un simple distributeur automatique ? » ;
 
Le 20 janvier 2021« Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la « preuve diabolique » (exigée des familles des personnes décédées) » ;
 
Le 13 janvier 2021« ALERTE. Vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) : des informations contestables diffusées auprès des professionnels de santé et du public » ;
 
Le 9 janvier 2021« Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ;
 
Le 6 janvier 2021« Vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) : quelques documents utiles et éloge de la prudence » ;
 
Le 26 décembre 2020« « Vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) : l’analyse du CTIAP confirmée par celle de la revue indépendante Prescrire notamment » ;
 
Le 20 décembre 2020« Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir » : Intégralité de la Conférence – en direct et à distance – du 17 décembre 2020 » ;
 
Le 12 novembre 2020« Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir » ;
 
Etc.
 
 
 
Bien cordialement,
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/03/vaccins-contre-la-covid-19-des.html
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:15

Le jeudi 18 mars 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Débat public sur les vaccins contre la Covid-19. Réponse au Docteur Jean-Michel DEBARRE : proposition d’un duel télévisé en direct


 
Dans le cadre de la vaccination contre la Covid-19, nos concitoyens français, et notamment les Choletais, ont peut-être de la chance. Ils pourraient, enfin, assister à un véritable débat public, contradictoire et utile qui oppose un médecin et un pharmacien.
 
En effet, suite à mes deux lettres ouvertes adressées le 5 mars 2021 et le 8 mars 2021 respectivement au Ministre des solidarités et de la santé, et aux 7 Ordres professionnels de santé notamment ; et suite aux nombreuses réactions approuvant le contenu de ces lettres, le journal Le Courrier de l’Ouest a souhaité m’interroger.
 
 
Dans sa version « papier » parue le 15 mars 2021, cet article du Courrier de l’Ouest relève notamment ceci : « Sollicitée pour réagir aux propos du Dr Amine UMLIL, et faire témoigner un soignant acceptant de se faire vacciner, la direction de l’hôpital n’a pas souhaité donner suite à nos demandes ».
 
D’ailleurs, dès le 15 décembre 2020, le directeur du centre hospitalier de Cholet écrivait au Courrier de l’Ouest : « La réussite de ces opérations [de la vaccination] suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue ».
 
Mais, Monsieur Jean-Michel DEBARRE, lui, a souhaité réagir, ouvertement, à mes affirmations publiées le 14 mars 2021. Et c’est son droit. Hier, le 17 mars 2021, le même Courrier de l’Ouest a publié cette réaction sous le titre « Cholet. Covid-19. Les réserves vaccinales du Dr Amine Umlil jugées « déplacées » ».
 
Monsieur Jean-Michel DEBARRE est présenté, par le Courrier de l’Ouest », comme étant « Dermatologue choletais », « Docteur en médecine », « Docteur en droit » et « ex-candidat aux municipales à Cholet ».
 
Moi, je suis « Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier », « Docteur en pharmacie » et « juriste » en droit de la santé, notamment.
N.B. : En ce qui me concerne, j’ai fait le choix de faire des études de Droit en suivant le cursus normal (LMD) : en commençant par une Licence ; en validant un Master 2 ; pour l’instant, mon projet de Doctorat ayant été ralenti par la situation liée aux modalités de gestion de la Covid-19. Voici un extrait de mon Curriculum vitae (C.V.).
 
Afin d’éviter des échanges, potentiellement interminables par voie de presse écrite, et pour éviter de se cacher derrière son clavier, je propose à mon contradicteur un duel télévisé en direct qui sera diffusé à une heure de grande audience.
 
Nous sommes face à deux approches opposées concernant notamment la méthode d’évaluation du rapport bénéfice/risque d’un médicament (en l’espèce les vaccins contre la Covid-19) ; concernant les modalités d’information du public ; concernant l’interprétation des règles professionnelles qui nous sont imposées par la Loi (au sens large) ; etc.
 
Selon cet article du Courrier de l’Ouest, Monsieur Jean-Michel DEBARRE aurait « jugé » mes affirmations « déplacées ». Et encore une fois, c’est son droit de penser cela et de l’exprimer librement et publiquement. Je suis conscient que ma réflexion proposée est en décalage avec le discours ambiant comme cela a d’ailleurs déjà été relevé par ce journal : « À rebours du discours sanitaire ambiant ».
 
Monsieur Jean-Michel DEBARRE, lui, semble tenir, publiquement, des propos qui pourraient relever plus d’un discours de nature « politique » que d’une analyse ad hoc conforme aux données acquises de la science et à la rigueur médicale et juridique nécessaire en pareilles circonstances. Il se contente de livrer des affirmations imprécises, approximatives, incomplètes, inexactes, qui ne peuvent nourrir qu’une appréciation d’ordre général. Une telle posture pourrait induire les gens, le public, en erreur. Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée avant de donner, éventuellement, son consentement libre et éclairé ; ledit consentement est au rang des libertés fondamentales.
 
Monsieur Jean-Michel DEBARRE « appelle à la confiance ». Or, en réalité, les gens n'ont plus totalement « confiance » dans les autorités sanitaires et dans les Hommes (femme et homme) politiques notamment ; et qui pourrait leur en vouloir ? Désormais, les gens ne souhaitent plus croire ; ils veulent comprendre. Et c’est tout le sens de notamment les conférences que le CTIAP (du centre hospitalier de Cholet) propose régulièrement au public depuis plusieurs années. Le vaccin est un médicament ; il ne relève pas du dogme. Et, le « paternalisme médical » date d’une période révolue depuis au moins 2002. Il existe un principe : dans le domaine du médicament (dont les vaccins), en cas de doute sur le rapport bénéfice/risque, ce doute doit bénéficier aux patients et à toute personne humaine ; et non pas à ces produits et à leurs fabricants. La récente « suspension » de l’utilisation du vaccin contre la Covid-19 des laboratoires Astra Zeneca, par plusieurs pays notamment européens, en est la plus belle expression. Ledit principe est tiré du bon sens et des enseignements de l’Histoire des médicaments (dont les vaccins) notamment ; plus exactement, de ce qui a été qualifié, par certains, de « scandales sanitaires » à répétition. Mais, manifestement, ces leçons ne semblent toujours pas avoir été retenues par tout le monde.
 
Monsieur Jean-Michel DEBARRE soutient que « les » vaccins sont « l’arme essentielle dans la lutte contre la Covid-19 » ; sans même opérer de distinction entre les différents vaccins disponibles. Le dogme vaccinal.
 
Il ne semble exprimer aucune nuance, aucun doute, aucune réserve, aucune prudence ; alors même que le doute jaillit pourtant des propos et des écritures des autorités ad hoc, elles-mêmes : le Ministre des solidarités et de la santé et ses services ; la haute autorité de santé (HAS) ; l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ; Santé publique France ; etc.
 
Selon cet article de presse, « Jean-Michel Debarre ne comprend pas les réserves émises dans notre journal par le Dr Amine Umlil, le responsable de la pharmacovigilance du centre hospitalier de Cholet, sur la campagne vaccinale ». Il ne serait pas le premier « médecin », notamment, à ne pas comprendre, immédiatement et rapidement, de telles réserves.
 
L’explication a, pourtant, déjà été livrée par notamment un « Docteur en médecine », « psychiatre des hôpitaux », « praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :
 
« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,
1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :
des connaissances scientifiques et méthodologiques, rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : indépendantes des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;
une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;
une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;
une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;
un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.
(…) ».
 
Etc.
 
 
Par ces motifs, non exhaustifs, je propose donc à mon opposant, Monsieur Jean-Michel DEBARRE, de bien vouloir accepter ce face-à-face, serein et apaisé, qui porte sur un sujet d’intérêt général.
 
Il viendra avec ses certitudes ; et moi avec mes doutes. Il pourrait ainsi nous expliquer notamment ce qu’il qualifie d’« Obligation fraternelle ».
 
Un éventuel refus de sa part de cette confrontation sera interprété comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de mes réflexions publiées ; et de la légèreté, et c'est peu dire, de sa réaction.
 
Enfin, je demande au Courrier de l’Ouest notamment, de bien vouloir relayer la présente invitation, avec tous ses éléments (en mettant éventuellement un lien vers cette lettre), dans ses colonnes afin que l’intéressé, Monsieur Jean-Michel DEBARRE, puisse en prendre connaissance.
 
 
Dans l’attente d’une éventuelle réponse de Monsieur Jean-Michel DEBARRE,
 
 
Bien cordialement,
 
 
 
Docteur Amine UMLIL
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:18

Le dimanche 14 mars 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Comprendre le délabrement de l’hôpital public français en 6 lectures




 
Le 10 mars 2021, dans l’émission « Bercoff dans tous ses états » diffusée en direct sur SUD RADIO, Monsieur Bernard KRON (membre de l’académie de chirurgie et vice-président de l’association des anciens internes des hôpitaux de Paris) a présenté son nouveau livre intitulé « BLOUSES BLANCHES, COLÈRE NOIRE » (cf. lien en bas de l’article publié le 11 mars 2021). Ce livre évoque l’effritement de l’hôpital public.
 
C’est l’occasion de rappeler mes précédentes réflexions publiées ; dont la première date de septembre 2006. Il y a donc plus de 14 ans. Ces analyses et alertes sont donc rappelées dans ce qui suit : un éditorial (I) publié dans un revue nationale professionnelle avec comité de lecture ; un article (II) publié sur ce même site ; un livre (III) ; deux tribunes dans le journal LE POINT (IV et V) :
 
I- 2006 : « L’hôpital public est-il soluble dans le marketing ? » (Éditorial, Le Pharmacien Hospitalier, la revue des pharmaciens publics et privés, n°166)
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ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Editor10
ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Editor11
 
II- 2008 : « Hôpital public. Lits de réanimation insuffisamment occupés : le directeur enjoint au chef de service de s’expliquer sur la perte « financière » engendrée » (article publié le 24 octobre 2020)
 
 
 
 
III- 2016 : Livre « L’équation hospitalière : de R. BOULIN à M. TOURAINE »
 
ARTICLES du Dr Amine UMLIL du CTIAP de CHOLET -1- - Page 4 Livre_10
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Message par Gilbert Chevalier Dim 19 Sep - 22:22

Le jeudi 11 mars 2021, le Docteur Amine UMLIL a écrit:

Covid-19. Projet de vaccination « obligatoire » des soignants : SUD RADIO, émission d’André BERCOFF, serait-il le seul média français à permettre un débat public, contradictoire et utile ?


 
Dans le cadre de la Covid-19, une lettre ouverte, adressée au Ministre des solidarités et de la santé, a été publiée le 5 mars 2021. Son objet porte sur le projet de vaccination « obligatoire » des « soignants ».
 
Suite à cette lettre notamment, le 10 mars 2021, en direct, SUD RADIO, dans l’émission de Monsieur André BERCOFF, a donné la parole à trois soignants : une aide-soignante, un infirmier et un pharmacien (et juriste) hospitaliers.
 
Je tiens à renouveler mes remerciements à Monsieur André BERCOFF, à Madame Clémence HOUDIAKOVA, et à toute l’équipe de SUD RADIO.
 
En France, SUD RADIO serait-il le seul média à permettre un débat d’intérêt général, public, contradictoire et utile ? Serait-il le seul média à accepter une diversité des réflexions, d’analyses et d’opinions ?
 
L’intégralité de cette émission, intitulée « Bercoff dans tous ses états », est disponible via le lien suivant : cliquer ici
 
 
 
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