News au 1er mars 2020
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News au 1er mars 2020
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comme BERGOGLIO est HÉRÉTIQUE, APOSTAT & IDOLÂTRE (culte idolâtrique de la Pachamama le 4/10/2019 & « Jésus n'est pas Dieu ! » 9/10/2019, etc...), concluez !
>>> BERGOGLIO = 666_________________
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Re: News au 1er mars 2020
Dimanche 1er mars 2020 : 584 avortements
Depuis le début de cette année : 37.110
Depuis 1976 : 9.543.921
(à retrouver ici : https://gloria.tv/track/H11rn8jCpKZZ1joTVfjCqu3Rg
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Re: News au 1er mars 2020
>>> Encyclique "HUMANUM GENUS" CONDAMNANT la FRANC-MAÇONNERIE (20/4/1884) Léon XIIILes FAUX-CONVERTIS MAÇONSAujourd'hui il faut se méfier des faux-convertis maçons. Je m'explique.
La maçonnerie envoie quelques-uns de ses sujets pour tromper le peuple de la manière suivante. Ils se disent convertis, mais ce sont de faux-convertis : ce sont simplement des infiltrés qui trompent tout le monde sur le véritable visage de la maçonnerie. Comment les reconnaître ? C'est tout simple !
D'abord, ils disent sur la maçonnerie des choses que tout le monde sait et qu'ils prétendent être des révélations. Ensuite ils disent des inexactitudes flagrantes pour disculper la maçonnerie.
Le cas de Serge Abad-Gallardo est significatif à cet égard, ainsi que le cas du père Michel Viot.
Les vrais convertis de la maçonnerie sont bien différents. Le cas le plus typique et véritable celui-là et que la maçonnerie taxe évidemment de fumisterie est le cas de Diana Vaughan.
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Re: News au 1er mars 2020
Aldo Maria Valli se fait l’écho de ces fidèles (auxquels il a ouvert sa page Facebook) qui se révoltent contre des pasteurs plus empressés d’obéir au préfet qu’au Seigneur et qui, privés de messe au moment où le soutien divin serait le plus nécessaire, en sont réduits à se réunir clandestinement.Le CORONAVIRUS, l’ÉGLISE et les DYSTOPIES RÉALISÉES
Place Saint-Pierre vide pour l’audience hebdomadaire du Pape; messes sans fidèles et transmises à la télévision; évêques qui bénissent les hommes de science mais se gardent bien d’implorer le Dieu tout-puissant; un théologien catholique (cf. Il Sismografo) qui dit que le Carême n’est pas un temps de mortification et de pénitence.
Jusqu’à récemment, nous aurions défini un tableau de ce genre comme dystopique, applicable à un monde futur dans lequel l’Église n’existe que comme une façade mais est morte intérieurement et où ses représentants eux-mêmes ont adopté le langage et la logique du monde.
Aujourd’hui, nous voyons qu’il sagit, au contraire, tout simplement de la réalité. Et l’histoire du coronavirus, qui s’est développé précisément au début du Carême, a servi à le faire remonter à la surface de manière encore plus évidente.Il Sismografo a écrit:« Les sacrifices et les pénitences centrent l’homme sur lui-même, sur sa propre perfection spirituelle, et rien ne peut être plus dangereux et mortel que cette attitude trompeuse, qui donne à la personne l’illusion de s’approcher de Dieu alors qu’en réalité elle ne sert qu’à l’éloigner des hommes ».
Ainsi s’exprime le théologien pour qui le Carême n’est pas un temps de pénitence. Le mal est de s’éloigner des hommes. Il est cependant ironique de constater que cette Nouvelle Eglise humanitaire, face à un virus qui décide de n’en faire qu’à sa tête, commence par éloigner les fidèles.
Ces jours-ci, dans plusieurs villes du nord de l’Italie, les fidèles et les prêtres qui n’acceptent pas de se soumettre à l’imposition de ne pas célébrer de messes publiques se retrouvent pour des messes clandestines, et elles sont semble-t-il très fréquentées. Il s’agit là aussi d’une situation que nous aurions définie jusqu’à récemment comme dystopique: au contraire, elle est sous nos yeux. Ceux qui veulent rester catholiques et continuer à recevoir l’Eucharistie doivent le faire en secret.
Un lecteur qui est allé à une de ces messes clandestines m’a dit qu’il ne pouvait pas donner le nom de église: « Vous savez, le curé pourrait subir des représailles ». Vous entendez? Un homme de Dieu pourrait subir des représailles pour avoir fait son devoir, pour avoir répondu à l’appel du Seigneur et non à celui du préfet.
À Milan, la messe de l’archevêque pour le début du carême ambroisien sera retransmise en direct à la télévision, sans la présence des fidèles, et tout le monde se félicite de ce beau choix. Milan, la ville de Saint Charles [Borromée], le pasteur qui a lutté indomptablement contre la peste en se mettant totalement entre les mains de Dieu. Nous en sommes à la Messe virtuelle. La prochaine étape consistera à remplacer le célébrant par un hologramme.
Dans les Lettere di Berlicche [en français: « Tactique du diable« , CS Lewis], le diable expérimenté dit: « C’est drôle que les mortels nous représentent toujours comme des êtres qui leur mettent telle ou telle chose dans la tête: en réalité, notre meilleur travail consiste à garder les choses hors de leur tête ». En ces jours marqués par l’affaire des coronavirus, les pasteurs, à de rares exceptions près, rivalisent pour garder hors de notre tête l’idée que Dieu peut nous guérir et nous sauver. L’important est d’appliquer strictement les indications de la préfecture. L' »Église sortante » a enfermé les fidèles à l’extérieur. L’« Église hôpital de campagne » a choisi, au moment opportun, la désinfection et non la sanctification [jeu de mots sanificazione/sanctificazione, ndt].
Amen.
[Je peux vous dire un truc qui est une évidence : les conciliaires sont super contents du coronavirus car cela leur permet de fermer les églises, et les voilà tous en vacances, et en vacances payées s'il vous plaît ! Qui dit mieux ?]
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Re: News au 1er mars 2020
Il y a un peu plus d’un mois, une lettre du cardinal Zen à ses frères cardinaux dénonçant l’accord en cours entre le Vatican et la Chine était rendue publique. Contrairement à ce qui s’est passé avec les fameux dubia, elle a reçu une réponse… et quelle réponse! C’est le cardinal Re, récemment nommé doyen du Sacré Collège, qui en a été chargé. Il va jusqu’à imputer à Benoît XVI la paternité de l’accord, et annoncer un changement doctrinal justifiant la possibilité d’Églises indépendantes.Le VATICAN DECLARE la GUERRE au CARDINAL ZEN
Une lettre explosive signée par le doyen du collège des cardinaux, le cardinal Giovanni Battista Re – que la NBQ a pu consulter – attaque durement l’archevêque émérite de Hong Kong, le cardinal Zen, coupable de critiquer l’accord secret entre la Chine et le Saint-Siège qui est en train de coûter la multiplication des persécutions contre les catholiques. La lettre mélange des jugements trompeurs – affirmant une continuité inexistante entre la ligne de ce pontificat et celle des pontifes précédents – avec des déclarations très graves: on attribue à Benoît XVI la paternité de l’Accord actuel et on affirme un changement doctrinal concernant la possibilité d’Églises indépendantes.
Le cardinal Joseph Zen est un obstacle pour l’Église en Chine, et désormais l’Église catholique peut même être formée d’Églises indépendantes. C’est l’essentiel d’une lettre explosive et incroyable envoyée le 26 février à tous les cardinaux par le doyen du Sacré Collège, le cardinal Giovanni Battista Re, et que la NBQ a pu consulter en exclusivité. Il s’agit d’une dure attaque frontale et sans précédent, contre l’archevêque émérite de Hong Kong, âgé de 88 ans, adversaire intrépide de l’accord secret entre la Chine et le Saint-Siège signé à Pékin le 22 septembre 2018.
C’est un geste sans précédent, rendu encore plus significatif par le fait qu’il s’agit du premier acte officiel (le numéro du protocole est 1/2020) du nouveau doyen du Sacré Collège. Re a été nommé le 18 janvier dernier, suite au Motu Proprio par lequel le pape François a inopinément rendu cette fonction à durée déterminée, mettant ainsi à la retraite le cardinal Angelo Sodano.
Cette lettre se veut une réponse à celle que le cardinal Zen lui-même avait envoyée à ses confrères le 27 septembre dernier [cf. Une lettre du cardinal Zen sur la Chine], mais pas seulement. Le cardinal Re fait en effet explicitement référence à diverses autres interventions de Zen qui – comme on le sait – est très actif pour faire entendre le cri des catholiques chinois dits « clandestins », qui se voient humiliés et condamnés par cet accord qui reste jusqu’à présent secret.
Dans la lettre, le premier point concerne la continuité présumée entre le pape François et ses prédécesseurs concernant d’éventuels accords avec la Chine:Dans l’approche de la situation de l’Église catholique en Chine, il y a une profonde harmonie de pensée et d’action des trois derniers pontifes, qui – dans le respect de la vérité – ont favorisé le dialogue entre les deux parties et non l’opposition.
On attribue donc à saint Jean-Paul II « l’idée de parvenir à un accord formel avec les autorités gouvernementales sur la nomination des évêques », rappelant qu’il « a favorisé le retour à la pleine communion des évêques consacrés illégalement au cours des années à partir de 1958 ».
Le cardinal Re passe ensuite à l’attaque directe contre le cardinal Zen, coupable d’avoir affirmé à plusieurs reprises qu’ « aucun accord vaudrait mieux qu’un mauvais accord« . « Les trois derniers Pontifes – poursuit Re – ne partageaient pas cette position et ont soutenu et accompagné la rédaction de l’Accord qui, à l’heure actuelle, semblait le seul possible ».
Ces déclarations du Cardinal Re constituent une grave distorsion de la réalité car la différence d’approche de saint Jean-Paul II et de Benoît XVI par rapport au pontificat actuel est assez évidente. S’il est vrai qu’il y avait en eux un grand désir de dialogue avec la Chine et qu’ils y ont consacré beaucoup d’efforts, il est tout aussi vrai que ce dialogue servait exclusivement le but d’aider l’Église chinoise – divisée entre « patriotique » et « clandestine » – à se réconcilier.
Et dans le même temps, ils réaffirmaient les points incontournables d’un accord, qui devait respecter la liberté religieuse et l’identité de l’Église, y compris la liberté de nommer des évêques. En témoignent les réactions sévères de saint Jean Paul II face aux provocations chinoises dans la nomination des évêques, la décision de procéder à la canonisation des martyrs chinois le 1er octobre 2000 malgré les dures réactions à Pékin, et la lettre du 27 mai 2007 de Benoît XVI aux catholiques chinois, pour ne citer que les faits les plus marquants.
Le cardinal Re entend ensuite démentir une déclaration du cardinal Zen selon laquelle l’accord signé en septembre 2018 pourrait être « le même que celui que le pape Benoît avait, en son temps, refusé de signer ». Le doyen assure qu’il a consulté les archives de la Secrétairerie d’État, et il fait une déclaration très lourde : « Le pape Benoît XVI avait approuvé le projet d’accord sur la nomination des évêques en Chine, qui n’a pu être signé qu’en 2018 ».
Ainsi, selon le Cardinal Re, l’Accord secret porterait également la signature de Benoît XVI, une révélation sensationnelle qui, à ce stade, nécessite des preuves: les documents de la Secrétairerie d’État cités par le Cardinal Re et l’Accord secret de 2018 devraient être rendus publics, afin de démontrer ces déclarations. Si cela était vrai, il faudrait en déduire que le pape Benoît XVI avait renié tout ce qu’il avait écrit publiquement, comme par exemple dans la fameuse Lettre aux catholiques chinois de mai 2007, déjà mentionnée, dont nous montrons dans un autre article la diversité radicale par rapport à l’approche expliquée par Re . En outre, Re n’explique pas pourquoi, puisque Benoît XVI avait déjà donné son placet à l’Accord, celui-ci n’a pas été signé il y a dix ans.
En effet, le passage le plus lourd de conséquences pour l’Église universelle vient immédiatement après:L’Accord prévoit l’intervention de l’autorité du Pape dans le processus de nomination des évêques en Chine. A partir également de ce fait certain, l’expression « Église indépendante » ne peut plus être interprétée de manière absolue comme une « séparation » d’avec le Pape, comme c’était le cas dans le passé
. Des déclarations qui laissent abasourdis: on peut être des « Églises indépendantes » et en même temps en communion avec le Pape, une déclaration qui dépasse largement les frontières de l’Église chinoise et propose une nouvelle ecclésiologie. Mais, en ce qui concerne la Chine, c’est exactement ce que le pape Benoît XVI niait dans sa lettre aux catholiques chinois, définissant comme « inconciliables avec la doctrine catholique » les statuts de l’Association patriotique qu’au contraire, l’Accord secret – pour autant que nous puissions le voir – légitime.
Le cardinal Re est clairement conscient de la portée de ces déclarations, à tel point qu’il explique immédiatement après que nous sommes confrontés à un « changement historique (epocale) » dont dérivent des conséquences « à la fois sur le plan doctrinal et pratique ». On parle donc explicitement de changements doctrinaux afin de parvenir à l’accord avec le gouvernement chinois, une affirmation gravissime comme on peut facilement le deviner: c’est l’approche exactement opposée à celle exprimée publiquement par saint Jean-Paul II et Benoît XVI.
Le reste de la lettre cite ensuite les critiques les plus dures du cardinal à l’Accord, considéré comme une « contestation » à « la conduite pastorale elle-même du Saint-Père, y compris envers les catholiques clandestins‘ », et fait référence au fait que le pape a écouté à plusieurs reprises les raisons du cardinal Zen et lu « ses nombreuses missives ». Le cardinal Zen devient ainsi le bouc émissaire facile pour les « tensions et situations douloureuses » prolongées qui divisent l’Église chinoise malgré les efforts du pape et de ses collaborateurs.
En d’autres termes, ce que fait le cardinal Re – qui n’a évidemment pas écrit de sa propre initiative – n’est rien d’autre qu’un appel à ses confrères à isoler le cardinal Zen, au point de suggérer que l’élimination de l’archevêque émérite de Hong Kong fait partie de l’accord secret. Le cardinal Re devrait cependant nous expliquer pourquoi, après l’accord, la persécution des catholiques en Chine s’est intensifiée, et ce dans le silence total du Saint-Siège; et aussi pourquoi l’Association patriotique, désormais reconnue par le Saint-Siège, n’a jamais exprimé le moindre désir de communion avec Rome.
[Pour mieux comprendre ce post, il faut lire celui qui suit.]
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Re: News au 1er mars 2020
Après la lettre-bombe du doyen du collège cardinalice, le Cardinal Re, à ses confrères cardinaux, Roberto Cascioli dénonce l’extrême gravité des propos, qui suggèrent un « changement historique (epocale) dans la conception de la doctrine, pouvant avoir des implications bien au-delà de la Chine (serait-ce le retour, masquées, des revendications de l’église allemande, auxquelles Querida Amazonia était censée avoir mis un terme?). Et revendique haut et fort la nécessité impérieuse de publier l’Accord.Et MAINTENANT
faites-nous LIRE l’ACCORD CHINE/SAINT-SIÈGE
La lettre du Cardinal Re à ses confrères du Sacré Collège, visant à censurer le Cardinal Zen sur la question de l’Église en Chine, contient des déclarations explosives sur les changements doctrinaux qu’implique l’Accord entre le Saint-Siège et la Chine. Et pas seulement pour la Chine, mais pour toute l’Église. C’est pourquoi les cardinaux devraient avant tout exiger avec force la révélation du contenu de l’accord.
Il est pratiquement impossible de surestimer l’importance et la gravité de la lettre que le doyen du collège des cardinaux, Giovanni Battista Re, a envoyée à tous ses confrères cardinaux pour censurer le cardinal Zen. Nous avons déjà examiné hier les principaux passages de la lettre, visant à démontrer à quel point l’accord provisoire avec le gouvernement chinois sur la nomination des évêques est nécessaire et bon. Et nous avons également examiné en profondeur la référence alarmante à la possible légitimité des Églises indépendantes.
On pourrait continuer en soulignant que c’est la première fois que le sommet invite en substance tous les cardinaux à isoler un de leurs frères; dans la pratique, la « méthode chinoise » fait école aussi au Vatican: ceux qui ne se conforment pas à la ligne du Parti, ceux qui freinent la poussée vers un avenir radieux, sont soit des bourgeois corrompus, soit des contre-révolutionnaires. Le cardinal Zen retarde «le magnifiche sorti e progressive» du catholicisme chinois. Les définitions changent, mais le fond est là.
On pourrait encore souligner la grave mystification qui consiste à attribuer à saint Jean-Paul II et à Benoît XVI la paternité morale (et dans le cas de Benoît XVI également la paternité concrète) de l’Accord Chine-Saint Siège signé le 22 septembre 2018.
Cela aussi est devenu une méthode de gouvernement: chaque fois que des décisions controversées et contestées sont prises dans ce pontificat, la ligne de défense est inexorablement la prétendue continuité avec ses prédécesseurs. Même quand – voir l’Institut Jean-Paul II pour le mariage et la famille et l’Académie pontificale pour la vie – il est décidé de démanteler ce que Saint Jean-Paul II avait construit.
L’archevêque Carlo Maria Viganò, dans la lettre de solidarité au cardinal Zen diffusée hier, parle de « mensonge au Vatican (…) érigé en système ». Expression forte, mais attendez-vous dans les prochains jours à un savant article d’Andrea Tornielli, le grand chef de la communication au Vatican, qui expliquera comment et pourquoi le pape François en Chine ne fait rien d’autre qu’appliquer ce que ses prédécesseurs avaient déjà établi. Contre toute évidence, à tel point qu’à un certain moment, le cardinal Re lui-même ne peut s’empêcher de parler du « changement historique (d’époque) » en cours.
Toutefois, aujourd’hui, il devient urgent de se pencher sur une autre question: le contenu de l’accord entre la Chine et Saint-Siège. Le cardinal Re en parle comme si c’était quelque chose de connu et d’évident, mais ce n’est pas le cas. Le contenu est secret. Le seul détail révélé par le doyen du Sacré Collège est qu’il « prévoit l’intervention de l’autorité du Pape dans le processus de nomination des évêques en Chine ». L’affirmation est très ambiguë, dit de cette façon c’est le minimum syndical: il ne manquerait plus que le pape n’intervienne en rien dans la nomination des évêques.
Mais la question est: à quel point le pape intervient-il? Il y a une grande différence entre le cas d’une association patriotique (qui est responsable devant le parti communiste) qui choisit les évêques, et le pape agissant comme notaire ou tout au plus s’opposant aux nominations les plus indigestes; et le cas d’un pape qui nomme des évêques en essayant d’éviter les noms les plus indésirables à Pékin. Jusqu’à présent, nous n’avons vu que l’acceptation par le Vatican d’évêques illégitimes et très discutables et le renvoi d’évêques légitimes. Le cas de Hong Kong avec la prochaine nomination d’un évêque pro-Pékin, fait craindre le pire. C’est une question fondamentale pour les catholiques chinois, mais aussi pour toute l’Église universelle.
C’est un exemple, mais qui dit la nécessité impérieuse de rendre public le contenu de l’accord. Il n’est pas tolérable qu’après un an et demi au cours duquel la pression du Parti sur les évêques a augmenté, où la persécution des catholiques s’est intensifiée, où le Saint-Siège a fermé un œil (voire les deux yeux) sur la violence du régime, le contenu de l’accord continue à être caché. D’autant plus que le cardinal Re a mis en cause Benoît XVI en lui attribuant la paternité de ce texte. Par ailleurs, comment peut-on se plaindre des « retards » de la Chine dans la transposition de l’accord si les catholiques chinois ne savent même pas ce qu’il prévoit? On leur demande l’obéissance à des règles qu’ils ne connaissent pas, c’est de la folie pure et simple. Les cardinaux qui ont reçu la lettre du cardinal Re auraient le devoir d’exiger la révélation du contenu de l’accord.
La préoccupation pour le sort des catholiques en Chine, et le respect de leur dignité, seraient déjà une raison plus que suffisante pour une demande explicite et résolue des cardinaux. Mais la lettre du cardinal Re introduit un autre point qui concerne toute l’Église, et pas seulement la Chine. Et les cardinaux au premier rang – et ensuite aussi tous les fidèles – ne peuvent pas faire comme si de rien n’était: Re dit – en se référant à la légitimité des « Églises indépendantes » – que nous sommes confrontés à un « changement historique » qui a des conséquences doctrinales et pratiques, et pas seulement pour la Chine. Bref, l’accord avec le gouvernement chinois implique des changements doctrinaux qui touchent l’ensemble de l’Église.
Et les cardinaux, ils devraient se taire? Et les évêques? Et tous les fidèles? Là, on annonce un changement même dans la conception de l’Église et l’on fait comme si de rien n’était? Il est évident que nous sommes bien au-delà d’une question personnelle contre le cardinal Zen: l’élimination du Zen de la scène est fonctionnelle aux bouleversements de toute l’Église. Il n’est pas possible de garder le silence: il est du devoir de chacun de demander haut et fort que le contenu de l’accord avec la Chine soit révélé.
D’ailleurs, quels seraient ces changements doctrinaux ? Le cardinal Re ne l’explique pas clairement, mais ils concernent certainement au moins les Églises nationales. Et ici, la différence radicale entre ce pontificat et celui de Benoît XVI apparaît encore plus clairement. On peut penser que la possible légitimation des « Églises indépendantes » est une évolution des pouvoirs attribués aux Conférences épiscopales nationales, que le Pape François voudrait accroître. Il l’a dit explicitement dans Evangelii Gaudium (2013) lorsqu’il a souhaité « un statut des conférences épiscopales qui les conçoive comme des sujets aux attribution concrètes, incluant également une authentique autorité doctrinale » (n° 32).
C’est une conception opposée à celle de saint Jean Paul II et de Benoît XVI.
Le premier, dans le Motu Proprio « Apostolos Suos » de 1998 concernant précisément « la nature théologique et juridique des conférences épiscopales », veut éviter que les conférences épiscopales émettent des déclarations doctrinales en contraste entre elles et avec le magistère universel de l’Église; ou que se créent des séparations entre les Églises nationales et Rome.
Le second, alors qu’il était encore cardinal, a précisé dans le célèbre livre-interview de Vittorio Messori « Entretien sur la foi » (1985), que « nous ne devons pas oublier que les conférences épiscopales n’ont pas de fondement théologique, elles ne font pas partie de la structure inéliminable de l’Église telle qu’elle est voulue par le Christ ; elles n’ont qu’une fonction pratique et concrète ».
Quel que soit le sens de la légitimation des Églises indépendantes, nous sommes donc confrontés à des conceptions diamétralement opposées, qui nécessitent une clarification immédiate. En partant précisément de la révélation du contenu de l’accord.
[Re a raison et Cascioli a tort. En effet, les prédécesseurs de l'Antéchrist ont agi dans le même sens que lui mais d'une manière camouflée. Rappelez-vous de deux faits similaires :
1- La Nota Brevia pour Lumen Gentium afin que la majorité de Vatican II signe, ce qui a eu lieu.
2- Après Vatican II sous l'impulsion de Paul VI, les conciliaires se sont mis d'accord avec les francs-maçons en 1970 afin que l'excommunication de ces derniers soit retirée du nouveau code, ce qui a eu lieu. Mais pour ne point effaroucher les catholiques et pour les attraper, Ratzinger a fait une note à la veille de la publication du code de 1983, ne parlant plus d'ailleurs de l'excommunication mais affirmant qu'il est toujours interdit de ce faire franc-maçon sous peine d'interdiction de communier, comme si cela n'aurait pas pu être inclus dans le code... une rouerie digne de Ratzinger. Nous assistons pour la Chine à la même fourberie, et comme d'habitude les tradis aveugles n'y voient goutte. J'avoue que c'est bien joué, et même Cascioli s'y laisse attraper. Et que de réflexions je pourrais ajouter ! Mais je m'abstiens car cela ne servirait à rien, car un aveugle est un aveugle, et je sais de quoi je parle puisque matériellement je le suis ]
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Re: News au 1er mars 2020
Vatican - cardinal Zen, la guerre est déclarée à propos des protestations répétées du cardinal émérite de Hong Kong contre les accords secrets entre le Saint-Siège et Pékin au détriment de l’Église clandestine fidèle à Rome. Riccardo Caccioli de La Nuova Bussola Quotidiana a commenté la « lettre explosive et incroyable » envoyée à propos de ce prélat fidèle à tous ses confrères par le cardinal Re. Un article important traduit par « Benoit-et-moi » et à lire ici.
Mgr Carlo Maria Viganò vient à son tour d'adresser avec une grande émotion une lettre de soutien au cardinal Zen, publiée par Corrispondenza Romana, dont je vous propose ici ma traduction intégrale.
– Jeanne Smits*
Très chère Éminence,
Je suis Carlo Maria Viganò, archevêque, ancien nonce apostolique aux États-Unis d'Amérique.
J'ai suivi avec une profonde compassion, partageant vos souffrances dans la prière, vos nombreux appels sincères au Pape Bergoglio, relatifs à la situation dramatique de l’Église martyre en Chine, qu'il a lui-même aggravée de façon coupable avec le malheureux et traître Accord secret signé par le Saint-Siège avec le gouvernement communiste chinois.
Vos appels sincères, cher Frère en Christ, ont été systématiquement ignorés et même tournés en dérision de manière hypocrite et perverse. Quant au cardinal Parolin, il a agi comme le simple exécuteur imprudent d'un maléfique ordre supérieur.
J'ai lu ce matin la lettre ignominieuse et honteuse adressée par le cardinal Giovanni Battista Re à tous les cardinaux, contre vous. J'en suis profondément attristé et indigné, et je tiens à vous exprimer toute mon affection, ma prière et ma solidarité fraternelle dans l'épiscopat.
Vous êtes un courageux confesseur de la foi, qui avez toute ma vénération et mon admiration !
Hélas, le mensonge est érigé en système au Vatican, la vérité est totalement renversée, la tromperie la plus perverse est pratiquée sans vergogne même par ceux qui paraissent au-dessus de tout soupçon, et qui se prêtent désormais à la complicité avec l'adversaire. On en est même venu à dire que « le pape Benoît XVI avait approuvé le projet d'accord » signé en 2018, alors que nous connaissons tous sa résistance acharnée et sa désapprobation répétée des conditions imposées par un régime persécuteur et sanguinaire.
Le Vatican a tout fait et davantage pour livrer l'Église martyre chinoise aux mains de l'ennemi : il l'a fait en signant le Pacte secret ; il l'a fait en légitimant des « évêques » excommuniés, agents du régime ; il l'a fait en déposant des évêques légitimes ; il l'a fait en imposant aux prêtres fidèles de s'inscrire dans l'Église qui est soumise à la dictature communiste ; il l'a fait quotidiennement en gardant le silence à propos de la fureur persécutrice qui, précisément depuis cet accord inopportun, a connu une augmentation inouïe. Il le fait maintenant à travers cette lettre ignoble à tous les cardinaux, cherchant à vous accuser, à vous dénigrer et à vous isoler.
Notre Seigneur nous assure que rien ni personne ne pourra jamais arracher de sa main ceux qui résistent à l'infernal ennemi et à ses acolytes, car Il triomphe d'eux « par le sang de l'Agneau et par le témoignage de leur martyre » (Apoc. 12, 11).
Votre exemple, cher Cardinal, et le prix très élevé que vous payez pour défendre la Cause de Dieu et de son Église, nous causent un choc salutaire, nous arrachant à l'inertie et à la complaisance avec lesquelles nous assistons à la capitulation de l'Église catholique à ses plus hauts niveaux et dans sa hiérarchie, devant l'hérésie et l'apostasie, pour s'être mise à suivre le Prince de ce monde, menteur et assassin depuis l'origine.
Parce, Domine, parce populo tuo,
quem redemisti, Christe, sanguine tuo,
ne in aeternum irascaris nobis.
+ Carlo Maria ViganòArchevêque titulaire d'UlpianaNonce apostolique[Magnifique lettre. Viganò a compris que tout vient de Bergoglio, ce que s'acharne à ne pas comprendre la cardinal Zen comme on le voit dans le post ci-après.]
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Re: News au 1er mars 2020
Le cardinal chinois répond à travers son blog au cardinal Re, dans une lettre ouverte aux termes d’une ironie mordante, et met directement en cause le cardinal Parolin. Voilà que tombent les mauvais fruits d’un pontificat diviseur.
Le seul qui pourrait démêler ce nouveau sac de nœuds, c’est évidemment Benoît XVI. Je doute qu’il puisse intervenir, car alors, ce ne serait plus la guerre Zen/Vatican mais… Benoît/François, ce qui serait autrement plus lourd de conséquence; et cela me paraît assez peu vraisemblable. Mais je ne suis pas devin.Monsieur le Cardinal,
Permettez-moi d’utiliser le moyen de la lettre ouverte pour une communication plus rapide.
Indirectement, j’ai lu votre lettre du 26 février laquelle (Prot. N. 1/2020) a également l’honneur d’avoir ainsi inauguré votre haute fonction de Doyen du Collège des Cardinaux.
J’admire le courage dont vous faites preuve en vous aventurant dans des domaines que vous reconnaissez même comme « complexes », mettant en péril le prestige de votre honorable fonction tout juste inaugurée. Mais on sait qu’il existe aujourd’hui un vice-pape qui parvient à donner du courage à tous les serviteurs du Saint-Siège.
Venons-en à la lettre.
1- Pour clarifier la vision de Jean-Paul II et de Benoît XVI à l’égard du communisme, il me suffit aujourd’hui de vous renvoyer aux pages 161-162 du livre « Dernières conversations » (le pape Benoît m’en a donné un exemplaire avec la dédicace « en communion de prière et de pensée »).
Question du journaliste Peter Seewald :
« Avez-vous partagé et soutenu activement l’Ostpolitik du Pape (Jean-Paul II)? »
Réponse de Benoît:
« Nous en parlions. Il était clair que la politique de Casaroli, bien que mise en œuvre avec les meilleures intentions, avait échoué. La nouvelle ligne suivie par Jean-Paul II est le fruit de son expérience personnelle, du contact avec ces pouvoirs.
Naturellement, à l’époque, on ne pouvait pas espérer que ce régime s’effondre rapidement, mais il était clair qu’au lieu d’être conciliant et d’accepter des compromis, il fallait s’y opposer avec force [ndt: soulignement du cardinal Zen!]. C’était la vision de fond de Jean-Paul II, que je partageais ».
2- Pour prouver que l’accord signé avait déjà été approuvé par Benoît XVI, il suffit de me montrer le texte signé, que je n’ai pas été autorisé à voir jusqu’à présent, et les preuves des archives, que vous avez pu vérifier. Il ne resterait plus qu’à expliquer pourquoi il n’a pas été signé à l’époque.
3- Le changement « historique (epocale) » de la signification du mot « indépendance », je le crains, n’existe que dans la tête de l’éminent secrétaire d’État, induit peut-être par une traduction erronée du chinois faite par le jeune minutante de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, désormais monoculus rex in regno caecorum (borgne-roi au royaume des aveugles), lequel fut également co-responsable d’au moins 10 erreurs dans la traduction de la lettre du pape Benoît en 2007.
Mais étant donné l’intelligence du Très Éminent, il m’est difficile de croire qu’il a été trompé, il est plus probable qu’il ait voulu « se laisser tromper ».
4- Je ne comprends pas la dernière partie de votre lettre, pour le moins confuse. Les faits sont là. J’ai la preuve que Parolin manipule le Saint-Père, qui me montre toujours beaucoup d’affection, mais ne répond pas à mes questions. Devant des prises de positions du Saint-Siège que je ne parviens pas à comprendre, je dis à tous les frères désolés qui s’adressent à moi de ne pas critiquer ceux qui suivent ces dispositions. Toutefois, comme les dispositions laissent encore la liberté à ceux qui ont une objection de conscience, je les encourage à se retirer dans les catacombes, sans s’opposer aux injustices, sinon ils finiraient par nous en remettre en plus.
Où me suis-je trompé ?
5- Je suis d’accord à 100% avec l’invitation à prier.
Je rappelle que récemment, le Saint-Siège a aussi recommandé l’invocation à la Sainte Vierge « Sub tuum praesidium » [Sous l’abri de ta Miséricorde] et celle à l’Archange Saint-Michel.
Il y a évidemment l’Oremus pro Pontifice qui se termine par « et non tradat eum in animam inimicorum ejus« .
Je vous souhaite des moments plus heureux dans votre longue carrière de doyen du Collège des cardinaux.
Cardinal Zen
Premier dimanche de carêmeDe l’Évangile selon Matthieu (4:8-10)Le diable l’emmena sur une très haute montagne et lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire et lui dit : « Je te donnerai toutes ces choses si, en te jetant à mes pieds, tu m’adores ». Jésus lui répondit : « Va-t’en, Satan! Car il est écrit: Le Seigneur ton Dieu, tu adoreras, et tu adoreras lui seul ».
[Dommage que Zen ne comprenne pas que tout ses déboires viennent de Bergoglio, et non de Parolin ou de Re : les manières doucereuses et faussement affectueuses de l'Antéchrist l'ont subjugué ! Qu'il lise les saints Pères et il verra que ceci est une tromperie.]
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Re: News au 1er mars 2020
fr.news 1er mars 2020François : « La grande tentation pour un pasteur est de s'entourer de ses semblables »
En raison d'une légère indisposition, François ne s'est pas présenté à la liturgie de carême du 27 février pour les prêtres romains.
Le cardinal vicaire De Donatis a lu son discours dans lequel François déclare que la « plus grande tentation » pour un pasteur est « de s'entourer de ses semblables » et de remplacer la compétence par la loyauté.
En lisant cela, Marco Tosatti (29 février) n'en croyait pas ses yeux. Il compare François à un "rouleau compresseur" qui élimine tous ceux qui ne pensent pas comme lui.
[Je ne m'attarderai pas sur les âneries de l'Antéchrist mais sur sa soi-disante indisposition qui s'est renouvelée d'ailleurs le lendemain pour un autre truc où un autre mec a lu son torchon. Quelle est cette indisposition mystérieuse ? Vous n'avez pas deviné ? Je vais vous le dire : une trouille incommensurable du... virus couronné !!! La preuve ? Il a gardé ses petits rendez-vous mignons !!!]
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Re: News au 1er mars 2020
fr.news 1er mars 2020Le doyen des cardinaux déclare la guerre au cardinal Zen
Dans une lettre, le doyen des cardinaux Giovanni Battista Re a averti tous les cardinaux au sujet du cardinal Joseph Zen, 88 ans, de Hong Kong.
La lettre (à voir ici) a été divulguée à AldoMariaValli.it (29 février). Elle discrédite la lettre de Zen de septembre 2019 à tous les cardinaux par laquelle il critique l'accord secret de François avec le régime chinois.
C'est le premier acte officiel de Re en tant que doyen (numéro de protocole 1/2020). Sans produire aucune preuve, il affirme qu'il y a une continuité entre François et Benoît XVI concernant la nomination communiste des évêques. En réalité, Benoît a refusé l'accord qui a ensuite été signé par François.
Re explique que l'Église d’État chinoise n'est plus « indépendante » dans un sens absolu puisque l'accord permet au pape de participer à la nomination des évêques. En d'autres termes : elle serait à la fois « indépendante » et »"en communion » avec Rome.
Valli souligne que les revendications de Re impliquent une ecclésiologie aberrante, concluant que Rome est même prête à changer la doctrine pour plaire à la Chine.
[Et pourtant, et je vais vous scandaliser, Re a raison : effectivement, les prédécesseurs de Bergoglio ont été dans le même sens que lui, mais d'une façon camouflée. Je l'ai expliqué en vert ici : Il FAUT RENDRE PUBLIC l’ACCORD CHINE/SAINT-SIÈGE]
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